PRO A : 24ème journée : Dijon - SIG

DNA du 25 mars 2010

Basket-ball / Avant JDA - SIG, samedi (20h)

Dijon, ou ce qu'il en reste

Steffon Bradford et Ramel Bradley viennent d'être remerciés et c'est une équipe ramenée à sa portion congrue que la SIG affronte samedi. Lanterne rouge de Pro A, la JDA Dijon ne compte plus que sept pros dans son effectif, dont deux minots.

ENFER. - Tout ou presque a été dit - et écrit - sur la saison cauchemardesque de Dijon, lanterne rouge de la Pro A. Meurtrie par le décès accidentel du jeune et prometteur Jonathan Bourhis, la JDA a ensuite été inexorablement aspirée vers le fond. L'incroyable spirale de 17 défaites en 18 matches, dont 15 ( !) consécutives, a coûté son poste au coach Randoald Dessarzin, remplacé par Julien Mahé, pour un court intérim, puis par Henrik Dettmann.

Le grand ménage de printemps se poursuit en Côte-d'Or

DÉPARTS. - Le grand ménage de printemps se poursuit en Côte-d'Or. La JDA a coupé début mars son intérieur américain Steffon Bradford, pas franchement un coéquipier modèle, et vient de se séparer de son meneur US Ramel Bradley, officiellement en raison des performances et de l'investissement du joueur. Ce dernier départ pourrait aussi avoir un lien avec la situation financière du club, dont le passif s'élèverait à 200 000 €. Errick Craven, en décembre, avait été le premier à changer d'air.
BLESSURES. - Noir, c'est noir. La poisse s'en est aussi mêlée cette année et la raquette bourguignonne a payé un lourd tribut aux blessures. Nick Fazekas (cheville) a inauguré la série, puis ce fut au tour de Damir Krupalija (fracture au poignet et à la main droite) de rejoindre l'infirmerie. Son remplaçant, Roger Powell, auteur de débuts intéressants à Levallois (22 points), n'a joué que dix minutes le week-end suivant face à Hyères-Toulon avant d'être victime d'une fracture de la pommette ! Quand ça ne veut pas...
SEPT. - Le bonnet d'âne de la Pro A ne compte plus que sept pros dans son effectif, dont les jeunes Benjamin Monclar et Alexis Tanghe, sollicités respectivement 17 et 19 minutes à Orléans. Lens Aboudou, lui, en a profité pour se montrer durant 12 minutes samedi dernier. A noter que trois éléments - D'Almeida, Bogavac, Milosevic - du cinq de base aligné lors de la défaite (77-61) dans le Loiret n'étaient pas là en début d'année.
MILOSEVIC. - Nick Fazekas convalescent, Frédéric Adjiwanou non conservé, Steffon Bradford remercié, c'est à Stevan Milosevic (2,11 m, 24 ans) qu'incombe désormais la lourde tâche de tenir la baraque dans la peinture dijonnaise. Formé à Podgorica, l'intérieur monténégrin a porté les couleurs de l'Étoile Rouge Belgrade et de Cologne. Au sortir d'une pige d'un mois au Partizan Belgrade, en remplacement d'Aleks Maric, il a rejoint la Bourgogne fin février et tourne à 10,3 points et 8,3 rebonds en quatre matches.

L'ancien de l'Aris est rentré dans le rang

DÉCLIN. - Du quatuor US encensé lors des cinq premières journées de championnat ne reste que le seul Sean Marshall. Flamboyant à l'automne - 22,3 pts de moyenne après six journées, 15,4 lors de la phase aller -, l'ancien ailier de l'Aris est très nettement rentré dans le rang. Son apport offensif a chuté à 10,6 pts par match lors du cycle retour et ses pourcentages de réussite n'ont pas de quoi effaroucher : 51% à deux points, 26% à trois.
REPOS. - Alain Digbeu a été laissé au repos depuis le début de la semaine en raison d'une tendinite au tendon d'Achille gauche. L'arrière strasbourgeois, qui passera une IRM aujourd'hui, devrait toutefois être en mesure de tenir sa place samedi.

R. Sch.

Il y a un bon coup à jouer au classement ce week-end. Rouen reçoit Orléans et Le Havre accueille Le Mans. Si la SIG parvient à prendre le meilleur sur Dijon (ce que je lui souhaite sinon...) elle pourra creuser l'écart sur ses poursuivants et rejoindre les Havrais. Si en plus l'Asvel a la bonne idée de disposer de Chalon, alors...

Faut pas le perdre celui-là!

boon a écrit:Il y a un bon coup à jouer au classement ce week-end. Rouen reçoit Orléans et Le Havre accueille Le Mans. Si la SIG parvient à prendre le meilleur sur Dijon (ce que je lui souhaite sinon...) elle pourra creuser l'écart sur ses poursuivants et rejoindre les Havrais. Si en plus l'Asvel a la bonne idée de disposer de Chalon, alors...

Faut pas le perdre celui-là!

c'est clair c'est INTERDICTION de perdre samedi!!

françois a écrit:

boon a écrit:Il y a un bon coup à jouer au classement ce week-end. Rouen reçoit Orléans et Le Havre accueille Le Mans. Si la SIG parvient à prendre le meilleur sur Dijon (ce que je lui souhaite sinon...) elle pourra creuser l'écart sur ses poursuivants et rejoindre les Havrais. Si en plus l'Asvel a la bonne idée de disposer de Chalon, alors...

Faut pas le perdre celui-là!

c'est clair c'est INTERDICTION de perdre samedi!!

eh oui, une victoire et une défaite de Rouen pourrait d'ores et déjà signifié le maintien 3 victoires d'avance à 6 journées de la fin. Mais avec cette équipe, on est sur de rien, malheureusement.

françois a écrit:

boon a écrit:Il y a un bon coup à jouer au classement ce week-end. Rouen reçoit Orléans et Le Havre accueille Le Mans. Si la SIG parvient à prendre le meilleur sur Dijon (ce que je lui souhaite sinon...) elle pourra creuser l'écart sur ses poursuivants et rejoindre les Havrais. Si en plus l'Asvel a la bonne idée de disposer de Chalon, alors...

Faut pas le perdre celui-là!

c'est clair c'est INTERDICTION de perdre samedi!!

En cas de défaite ça va être compliquée c'est clair, mais pour le perdre faudrait vraiment le faire exprès vu l'effectif remodelé de dijon.

DNA du 26 mars 2010

Basket-ball / Avant Dijon - SIG, demain (20h)

Monclar gagne du temps

Contraint de composer avec un effectif réduit à sa plus simple expression, Henrik Dettmann, le coach de Dijon, a choisi de faire confiance aux jeunes. Benjamin Monclar, l'arrière de la JDA, a ainsi vu son temps de jeu considérablement augmenter. Une éclaircie dans un ciel qui ne cesse de s'assombrir.

Au sein d'une équipe dijonnaise en plein naufrage, Benjamin Monclar, 22 ans, continue de s'accrocher. Pourtant, sa troisième saison dans le club bourguignon s'apparente à une vraie galère.
Au décès de son ami Jonathan Bourhis, au mois de novembre, sont venues s'ajouter les contre-performances de son équipe. « J'espère que cette saison sera vraiment la pire de ma carrière, philosophe l'arrière de la JDA. On a fait un bon début, mais quand on a perdu en Coupe de France contre ce club alsacien de Nationale 2 (Souffelweyersheim ndlr), on aurait dû voir un signe et tirer la sonnette d'alarme. Après, on a eu la poisse. »

Pas assez pour un cinq contre cinq

Après un début de saison pourtant tonitruant, avec quatre victoires en cinq matches, la JDA a plié, rompu et s'est délitée pour n'afficher qu'un succès de plus au compteur, dix-huit journées plus tard. Lanterne rouge de la Pro A, la formation dijonnaise n'espère plus rien et attend la fin de la saison comme une délivrance.
« Je ne vois pas comment on peut encore s'en sortir, on perd des joueurs tous les jours et parfois on n'est même pas assez à l'entraînement. On est moins de dix, ce qui nous empêche de faire un cinq contre cinq, lâche Benjamin Monclar, désabusé. On essaye de gagner un match, mais il faudrait réussir à en gagner plusieurs, au moins deux d'affilée. En plus, contre Strasbourg, on jouera sans Abdou Mbaye qui s'est blessé. Alors que faire ? »
En attendant la clôture de cette éprouvante saison, Henrik Dettman, le successeur de Julien Mahé et Randoald Dessarzin, a décidé d'envoyer ses jeunes joueurs au charbon, afin de pallier au départ des cadres. Comme son coéquipier Alexis Thange, le fils du grand Jacques trouve donc un motif de satisfaction dans cette situation cauchemardesque.
« Le malheur des uns fait le bonheur des autres dit-on, et avec les départs de nombreux joueurs, c'est vrai que j'ai plus de temps de jeu. Cela me permet de m'améliorer, de progresser. Et c'est vrai, aussi, que ça me fait plaisir de jouer davantage. » Dettmann l'a ainsi utilisé 16 minutes à Roanne et 17 à Orléans. Lors des sept derniers matches, le gamin a passé entre 10 - contre Vichy - et 26 minutes - face à Hyères-Toulon - sur le parquet. Une aubaine qu'il a mis à profit pour soigner ses statistiques et se montrer, histoire de préparer la saison prochaine aussi.

« On espère les accrocher le plus longtemps possible »

Demain, face à la SIG, Benjamin Monclar devrait à nouveau être largement sollicité. « On espère les accrocher le plus longtemps possible d'autant qu'ils ne sont pas en confiance. Si on joue bien, pas comme à Roanne où on a pris 40 points, mais plutôt comme à Orléans, où nous avons été bons par séquences, on pourra rester au contact. » Dans le marasme actuel, fait presque exclusivement de défaites, le garçon a au moins gagné du temps. C'est déjà ça.

Guylaine Gavroy

DNA du 27 mars 2010

Basket-ball / Dijon - SIG, ce soir (20 h)

Défense de perdre !

Il est grand temps pour la SIG d'en finir avec le surplace. Victorieuse à une seule reprise lors de la phase retour, la formation strasbourgeoise doit s'imposer sur le parquet de la lanterne rouge dijonnaise. La défaite, ce soir, contre une équipe aux moyens plus que limités est tout simplement interdite.
La scène a eu quelque chose de surréaliste. Alors que la SIG venait de s'incliner contre Roanne (74-82), samedi dernier, Louis Lapp, l'inénarrable speaker du Rhenus, a commenté à distance les dernières secondes de la rencontre entre Paris-Levallois et Rouen. Les Normands ont fini par lâcher prise et se sont inclinés in extremis (92-88), au grand soulagement - du moins, on l'imagine - des derniers spectateurs encore présents dans les travées.

Un match qui laissera un des traînards sur le carreau

Parce qu'ils ne parviennent pas à gagner - un seul succès lors des huit derniers matches -, les Strasbourgeois en sont donc réduits aujourd'hui, à guetter, non sans anxiété, les résultats de leurs poursuivants immédiats. Le statu quo est de mise pour le moment, les deux relégables n'ayant pas non plus spécialement adopté un train d'enfer pour s'extraire de la zone rouge - deux victoires en huit matches pour Rouen, une seule en... dix-huit rencontres pour Dijon.
L'option qui consiste à s'en remettre aux contre-performances d'autrui pour sauver sa peau n'est évidemment pas viable sur la durée. D'abord parce qu'elle est soumise à trop d'aléas et qu'il vaut mieux prendre son destin en main. Ensuite parce que le calendrier réserve aussi des oppositions entre mal-classés. Ce sera le cas, ce soir en Bourgogne, pour un match qui laissera un des traînards sur le carreau.
Sur le parquet d'une équipe qui, pour tout dire, a déjà neuf orteils en Pro B, Steeve Essart et ses coéquipiers n'ont pas d'autre alternative que de gagner. Un point c'est tout, inutile de tergiverser bien longtemps. « La défaite doit être bannie de notre langage, approuve Frédéric Sarre. Quand on voit le calendrier et le classement, la victoire est impérative, fondamentale même ».
Certaines voix se sont élevées récemment pour estimer que si la SIG ne parvient pas à faire entendre sa voix chez le cancre de la division, c'est qu'elle n'a pas sa place parmi l'élite. « Il restera des matches derrière, relève le coach strasbourgeois. Mais il est certain que les choses se méritent. Rien ne tombera du ciel. Ce sera à nous d'aller chercher les victoires qui assureront le moindre des objectifs qu'on peut se fixer, à savoir le maintien ».
Si la JDA a dégraissé son effectif (DNA, 25/03) - certains y décèleront de la résignation de la part de ses dirigeants -, cette saignée ne constitue pas l'assurance d'un huitième succès alsacien. « C'est un trompe-l'oeil, pense Fred Sarre. Ils essaient de se battre avec ceux qui veulent vraiment se battre. D'avoir lâché des joueurs les prive peut-être d'arguments dans la rotation, mais en se désarmant un peu, ils collectent plus de vivacité chez les autres ».

Une panne de réveil serait lourde de conséquences

Le Limougeaud en veut pour preuve le succès dijonnais (79-70) arraché contre Vichy il y a trois semaines. Les hommes d'Henrik Dettmann ont mixé les défenses, alterné homme à homme, zone, boîte et double boîte, et ont fini par renverser la vapeur. « Les joueurs se sont engagés dans un combat, ont démontré du caractère et joué sans pression. »
Certes. Mais à l'heure, pour la SIG, d'affronter une équipe dont le banc réunira Lens Aboudou, Matthias Jeanville et Ferdinand Prénom, tout autre résultat qu'une victoire est à proscrire. Une panne de réveil, a contrario, serait lourde de conséquences.

Régis Schneider


L'Alsace du 27 mars 2010

La victoire ou rien

Dans sa lutte pour le maintien, le déplacement sur le parquet de la lanterne rouge dijonnaise, ce soir (20 h), constitue pour la SIG une étape à ne surtout pas manquer.
Sur une série de sept défaites lors des huit derniers matches toutes compétitions confondues, la SIG n’a plus vraiment le choix. Elle doit absolument rapporter une victoire de son voyage en Bourgogne, ce soir (20 h), pour garder son avance, ou l’augmenter en fonction du résultat de Rouen son premier poursuivant, qui reçoit dans le même temps Orléans, sur la zone rouge. Face à la lanterne rouge du championnat de France, Frédéric Sarre s’attend à une rencontre compliquée. « Ça s’annonce difficile dans le sens où Dijon n’a aucune pression, contrairement à nous. Dans la succession des matches qu’il nous reste à jouer, même si rien ne sera fini derrière, il faut vraiment mettre tout en œuvre pour le gagner si on veut rester en Pro A. Si on le perd, je ne sais pas si on mérite de se maintenir dans l’élite », explique le coach strasbourgeois.

« La pression est de notre côté »

Avec une seule victoire (face à Vichy (79-70) le 6 mars dernier) lors des dix-huit dernières journées (dont quinze défaites de suite !), la JDA Dijon, qui ne compte plus que sept pros dans son effectif, a pratiquement les deux pieds en Pro B. Attention, tout de même, à ne pas sous-estimer des Bourguignons limités mais toujours combatifs sous les ordres de leur nouveau coach, Henrik Dettmann. « Ils ne lâchent jamais les matches. Ils jouent avec une grande agressivité et beaucoup de mixité en défense. Contre Vichy, qui n’est pas n’importe quelle équipe, ils ont gagné la rencontre à la régulière et en mettant beaucoup d’engagement. J’ai préparé les joueurs pour qu’ils ne soient pas surpris par les différentes stratégies défensives de Dijon. De toute façon, seul le jeu peut nous sauver. Il faut vraiment avoir la capacité de s’opposer défensivement, c’est ce qui fait le plus souvent la différence », souligne ensuite Fred Sarre.

Embêté par une tendinite au tendon d’Achille en début de semaine, le capitaine strasbourgeois Alain Digbeu, qui a repris l’entraînement mercredi, sera bien présent sur la feuille de match, tout comme le reste de ses coéquipiers. « La pression est de notre côté, il ne faut pas se mettre dans une situation encore plus précaire, prévient le coach bas-rhinois. On n’est pas dans une dynamique et un comportement de dominant, il faut alors juste penser à gagner pour atteindre le seul objectif de la fin de saison : maintenir le club en Pro A. »

O.A.


Le Bien Public du 27 mars 2010

Basket. Pro A (24e journée). La JDA Dijon reçoit Strasbourg ce soir

La toute dernière chance

S'ils veulent encore croire à un éventuel maintien, les Dijonnais n'ont pas le choix : ils doivent battre les Strasbourgeois ce soir.

La JDA a déjà grillé énormément de jokers pour se relancer cette saison. Mais paradoxalement, il lui reste une dernière carte à abattre, ce soir contre Strasbourg, pour conserver un petit espoir de maintien. Si un revers la condamnerait sans doute définitivement à l'échelon inférieur, une victoire lui permettrait de revenir à une victoire de son adversaire du jour et à égalité avec Rouen, en cas de défaite des Normands face à Orléans.

Henrik Dettmann, l'entraîneur de la JDA, ne s'y trompe pas, ciblant « un match extrêmement important pour les deux équipes ». Il devrait donc peser une pression toute particulière sur les épaules bourguignonnes et alsaciennes au coup d'envoi ce soir. Et ceux qui sauront s'en libérer le plus rapidement prendront sans doute un premier avantage.

Que chacun joue à son meilleur niveau

Pour Dijon, il faudra surtout oublier les deux récentes défaites à Roanne et à Orléans et retrouver l'état d'esprit du dernier match à domicile, qui s'était soldé par une victoire contre Vichy. « A Roanne, les joueurs étaient un peu sous le choc du départ annoncé de Bradley et de certains membres du club ; ce sont des êtres humains et ça les a marqués », explique Dettmann. « Mais à Orléans, on a montré un meilleur visage. »

Avec cet effectif amoindri, les Dijonnais ont en effet prouvé par moments qu'ils pouvaient malgré tout développer du jeu et encore poser des problèmes à leurs adversaires. Mais pour espérer l'emporter, ils n'ont pas le choix : tous doivent jouer à leur meilleur niveau. D'Almeida doit poursuivre sur sa lancée du dernier quart-temps à Orléans, Milosevic doit se montrer efficace et perdre beaucoup moins de ballons et surtout, M'Baye et Marshall doivent redevenir des menaces offensives de premier plan.

« Mais on aura aussi besoin du banc », souligne le technicien finlandais. Face à une équipe alsacienne à la peine mais bien plus complète, Alexis Tanghe et Benjamin Monclar ne devront pas hésiter à prendre leurs responsabilités.

Sur le papier, la SIG - comme toutes les autres équipes de Pro A - paraît mieux armée que la JDA. Avec Heurtel ou Essart à la mène, Digbeu, Darden et Roberson sur les ailes ou encore Giffa, McCauley et le bien connu Simon à l'intérieur, Frédéric Sarre possède à coup sûr plus d'options que son collègue Dettmann. Mais le collectif strasbourgeois s'est lui aussi complètement délité depuis deux mois et n'a connu qu'une seule victoire lors des huit derniers matches de championnat.

Voilà pourquoi les Dijonnais peuvent et doivent y croire, au moins encore pendant quarante minutes.

Guilhem George

allez, le quart temps de la saison

ca se présente mal...

Mat a écrit:ca se présente mal...

Je regarde ca depuis chez moi a Atlanta... et je crois qu'il y'a prolongation!!! Roberson, il en a une paire celui la!!!

Greg

remember david harris a écrit:

Mat a écrit:ca se présente mal...

Je regarde ca depuis chez moi a Atlanta... et je crois qu'il y'a prolongation!!! Roberson, il en a une paire celui la!!!

Greg

Autant pour moi il reste 1min! Allez les gros, encore un effort...

Greg

Ouf, on accroche la prolongation

remember david harris a écrit:

remember david harris a écrit:

Mat a écrit:ca se présente mal...

Je regarde ca depuis chez moi a Atlanta... et je crois qu'il y'a prolongation!!! Roberson, il en a une paire celui la!!!

Greg

Autant pour moi il reste 1min! Allez les gros, encore un effort...

Greg

Si prolongation... merci roberson

Rouen a perdu d'un point.
Ca fait nos affaires.

Mat a écrit:Rouen a perdu d'un point.
Ca fait nos affaires.

Je crois malheureusement que sur cette fin de saison, on va être obligé de compter sur les autres pour nous maintenir. On a l'air incapable de le faire par nous même

Legend a écrit:

Mat a écrit:Rouen a perdu d'un point.
Ca fait nos affaires.

Je crois malheureusement que sur cette fin de saison, on va être obligé de compter sur les autres pour nous maintenir. On a l'air incapable de le faire par nous même

Effectivement... c'est perdu. 97-95

je n'irai pas a crier au scandale mais presque!!
on a quand meme virer girard pour moins que ca

Bon ben là c'est quand même la super loose

yannickos a écrit:je n'irai pas a crier au scandale mais presque!!
on a quand meme virer girard pour moins que ca

C'est plus la faute de Sarre... Quand on voit le nombre de balle perdu, ca me parait inconcevable contre une équipe aussi faible que dijon... Alors que heurtel perde des ballons, ca va encore il est jeune, mais quand on vois GIFFA 5 ou 6 balles perdu, digbeu 3 balles perdus. On a beau dire que nos US sont des mercenaires, mais nos francais ont pas l'air vraiment plus impliqués...

yannickos a écrit:je n'irai pas a crier au scandale mais presque!!
on a quand meme virer girard pour moins que ca

Ouais enfin c'est pas le moment de rappeler Weissler!



Non, mais c'est quo cette équipe même pas capable de battre une équipe de cadets encadrée par les Ricains qui ont bien voulu rester. Honte à eux! J'espère au moins qu'ils auront encore un peu d'amour propre pour remporter encore un ou deux matches avant la fin de la saison.

Bravo aussi au duo de looser JC/JR pour cette magnifique équipe qu'ils nous ont construites cette année. Les Laurel et Hardy du basket!

Legend a écrit:

yannickos a écrit:je n'irai pas a crier au scandale mais presque!!
on a quand meme virer girard pour moins que ca

C'est plus la faute de Sarre... Quand on voit le nombre de balle perdu, ca me parait inconcevable contre une équipe aussi faible que dijon... Alors que heurtel perde des ballons, ca va encore il est jeune, mais quand on vois GIFFA 5 ou 6 balles perdu, digbeu 3 balles perdus. On a beau dire que nos US sont des mercenaires, mais nos francais ont pas l'air vraiment plus impliqués...

rouen et le havre ont perdu d'un point devant des ténors,la sig a échappé au pire,sauf que Dijon talonne aussi la sig...mais quelle tristesse devant une telle gabegie..

un coup de chapeau à nos meneurs qui nous ont tenu dans le match en n'usant pas trop le panier de dijon...

putin je découvre le carnage, c'est inadmissible comment peut-on perdre contre une équipe avec pas de banc, 2 intérieurs dont un jeune français????
non mais là si on descend ce sera bien fait pour notre gueule, purée c'est pas possible!!

françois a écrit:putin je découvre le carnage, c'est inadmissible comment peut-on perdre contre une équipe avec pas de banc, 2 intérieurs dont un jeune français????
non mais là si on descend ce sera bien fait pour notre gueule, purée c'est pas possible!!

La fierté du maillot,ils ont dû oublié ce que c'était,mais à la limite,on ne peut nier que la "defense" de la sig est une passoire depuis des mois et cela n'a choqué pas grand monde en haut lieu,et apres la décision concernant la passation de pouvoir que l'on sait,il doit y avoir des ricanements par ci,par là...

Legend a écrit:

Mat a écrit:Rouen a perdu d'un point.
Ca fait nos affaires.

Je crois malheureusement que sur cette fin de saison, on va être obligé de compter sur les autres pour nous maintenir. On a l'air incapable de le faire par nous même

C'est bien cela qui me fait peur: l'équipe a l'air d'avoir abdiqué toute volonté, tout orgueil. Or, en face, Rouen a encore la force d'accrocher les gros, et je n'ai pas l'impression qu'il y ait ce mélange de fatalisme et de jeanfoutisme qu'on sent à la SIG...

C'est pas gagné...