Mädrich reste à la SIG en tant que joker médical

loq a écrit:Oui, cependant je l'aurais signé jusqu'à la fin de l'année car il a un profil intéressant qui risque de nous manquer, j'espère que ce sera possible (s'il confirme bien sûr).

World B. Free a écrit:

loq a écrit:Oui, cependant je l'aurais signé jusqu'à la fin de l'année car il a un profil intéressant qui risque de nous manquer, j'espère que ce sera possible (s'il confirme bien sûr).

Ca veut pas dire qu'ils ne le garderont pas pour toute la saison.
Pour l'instant ils le signent entant que joker médical, c'est aussi une manière de le laisser faire ses preuves.

S'il tourne bien nul doute qu'il sera conservé.

Namele a écrit:

World B. Free a écrit:

loq a écrit:Oui, cependant je l'aurais signé jusqu'à la fin de l'année car il a un profil intéressant qui risque de nous manquer, j'espère que ce sera possible (s'il confirme bien sûr).

Ca veut pas dire qu'ils ne le garderont pas pour toute la saison.
Pour l'instant ils le signent entant que joker médical, c'est aussi une manière de le laisser faire ses preuves.

S'il tourne bien nul doute qu'il sera conservé.

Exact je pense pareil, il devrait rester s'il arrive à montrer ce qu'il sait faire....
En tout cas, au vue de ses préstations, c'est un très bon choix des dirigeants

En voie de consolidation
Depuis trois semaines, la reconstruction est en marche. Samedi soir à Mulhouse, à l'épreuve des rugueux Belges de Mons-Hainaut, la SIG version 2006/07, de mieux en mieux charpentée, semble être entrée dans une phase de consolidation.

Mike Smith, à la lutte avec Mounty Mack, s'est rassuré sur l'état de son genou. (Photo DNA - Philipp Anstett)


« Ce fut intense, plus vraiment amical. N'oublions pas que Mons aussi joue l'ULEB. Sur un effectif de douze, on leur impose un minimum de quatre joueurs Belges. Dès lors, ils comptent sept Américains dans leurs rangs. Les gars ont eu le mérite de ne pas lâcher pour n'être menés que d'un point au repos. »
Éric Girard mesure ainsi la performance de ses hommes, vainqueurs 94-80 en finale du tournoi de Mulhouse. Plus que le succès face à un Villeurbanne incomplet une semaine auparavant, il s'en sert volontiers de référence.


«On est capable de jouer
à intensité constante»


Certes, à ce stade guère avancé de la saison, très souvent, tout le monde il est beau, tout le monde, il est gentil. Tout va bien dans le meilleur des mondes et chacun pense, espère disposer de l'équipe idéale.
Mais plus le temps passe, plus les indices parlent pour cette SIG nouvelle formule, dont l'état d'esprit, le sérieux au travail et surtout l'impression laissée sur le terrain comblent les observateurs.
« Ils sont bien physiquement compte-tenu de ce qu'on leur demande, apprécie le coach. On monte en régime et dans tous nos matches jusqu'ici, je note que nos adversaires ont lâché prise au fil du temps. Notre équipe n'est peut-être pas hyper-physique, mais elle est athlétique et court beaucoup. On est capable de jouer à intensité constante. »
Après trois semaines de labeur à peine, face à Mons, il fallait déjà le faire. Une équipe dure, limité même, à l'image du coup de poing sur Dirk Mädrich qui a valu une disqualifiante à Shawnta Rogers, pas intimidé pour un sous par les 50 cm qu'il rend à l'Allemand.


«Avoir évolué à ce niveau
sans Cooper est positif»


L'incident a néanmoins rendu service à la SIG, les deux formations évoluant dès lors sur un pied d'égalité, sans leur meneur titulaire.
Vendredi soir contre Mulhouse, Loonie Cooper s'est en effet donné une entorse à la cheville qui a incité le staff strasbourgeois à ne prendre aucun risque. La radio passée samedi matin s'est révélée rassurante. Le meneur américain espère les mêmes conclusions de l'IRM qui l'attend ce lundi matin.
Pour compenser et sachant que le risque était infime, Mike Smith a repris du service samedi soir, malgré l'alerte au genou du milieu de semaine, avec 9 points à la clé en un gros quart d'heure.
« Avoir évolué à ce niveau sans Cooper est positif », jauge Girard, séduit par la prestation de Gauthier Darrigand, invité à prendre les rênes.
Mais surtout, l'entraîneur a eu la confirmation que son groupe, truffés d'hommes polyvalents, lui offrait plein de variantes. « Eidson aussi a un peu mené. Parfois, nous avions cinq hommes de plus de 2 m sur le terrain. » Version plus petit ou version plus grand, l'édifice semble tenir la route.


Vu les promesses engendrées,
la curiosité est attisée


Chuck Eidson, 23 points en finale après les 13 de la veille, a été élu MVP du tournoi, succédant à Aerick Sanders, désigné une semaine plus tôt à Aix-les-Bains. Claude Marquis trouve ses marques.
Elson Mendy profite lui des pépins des uns et des autres et voit son temps de jeu gonfler sensiblement (19 et 20 minutes cette fin de semaine).
Enfin, Dirk Mädrich, encore 22 points en deux matches, a confirmé que, sans lui, cette équipe ne serait pas la même. « Il apporte la taille que nous n'avons pas, décrit Girard. Il court bien et dispose de bonnes mains. » On n'imagine pas la SIG s'en séparer. Le dossier serait en cours de finalisation (voir encadré).
Ce mercredi (*), face au promu Besançon, pour l'unique sortie dans le Bas-Rhin avant les trois coups, le 23 septembre devant Roanne, le public de Geispolsheim pourrait bien découvrir la SIG sous sa forme complète et définitive.
Avec un effectif remodelé à 80 % et vu les promesses engendrées, la curiosité est attisée. De quoi faire courir les foules.



Rémy Sauer

Dirk Mädrich tout près

Rien n'est jamais acquis, mais il est probable que la SIG et l'Allemand Dirk Mädrich parviennent à s'entendre en ce début de semaine. « Les deux parties ont à y gagner », reconnaît justement le directeur sportif Jérôme Rosenstiehl.
Les 2,10 m de l'espoir de 23 ans feraient un bien fou à l'équipe strasbourgeoise, fort prometteuse mais manquant de taille dans la raquette. Quant à l'Allemand, ex-international des moins de 20 ans stoppé dans son ascension par des blessures successives, il a encore tout à prouver à haut niveau. La SIG, en Pro A et plus encore en coupe ULEB, peut lui en donner l'occasion.
Si l'affaire devait effectivement se conclure, ce serait vraisemblablement pour Mädrich avec le statut de joker médical. Il remplacerait officiellement Sacha Giffa, victime d'une rupture des ligaments croisés du genou, dont le retour est programmé début janvier. Dans un premier temps au moins, le contrat de Mädrich courrait donc jusqu'en fin d'année.



R.S.

BOB a écrit:Ben, le SLUC n'avait plus de sous et pensait commencer la saison sans 4 remplacant et ils prennent Samnick (pas forcement une bonne idée mais bon)

BOB a écrit:Et pis, si la saison est correcte et que Madrich est bon, y'a bien un sponsor qui va mettre une petite ralonge...comme chaque année quoi !

World B. Free a écrit:
C'est confirmé dans les DNA du jour. Ils laissent entendre que Mädrich pourrait être gardé s'il donne satisfaction.

World B. Free a écrit:

BOB a écrit:Ben, le SLUC n'avait plus de sous et pensait commencer la saison sans 4 remplacant et ils prennent Samnick (pas forcement une bonne idée mais bon)

Pas d'accord avec toi sur ce coup là. C'est une très bonne recrue pour le SLUC Samnick. Là à l'intérieur ils sont blindés ! Physiques, grands, adroits et complémentaires.