Uleb Cup : 5ème Journée : Zadar - SIG

DNA du 04 décembre 2007

Garder le sourire
Strasbourg retrouve la coupe d'Europe, ce soir en Croatie. Face à une formation qui a besoin d'un succès pour rester dans la course aux places qualificatives, les Strasbourgeois veulent d'abord confirmer les progrès constatés depuis dix jours.
De notre envoyé spécial à Zadar
Il était près de 17h quand les Strasbourgeois ont rejoint la salle des sports Jazine, avec une grosse demi-heure de retard sur l'horaire prévu. La faute à un décollage tardif de Francfort et à une barrière refusant de se relever à l'aéroport de Split pour laisser passer leur bus...
Ils ont tout de même pu s'entraîner pendant une petite heure dans cette enceinte glacée de 3000 places, aux airs de halle de marché laissant filtrer ici et là quelques gouttes d'une pluie tombant dru. Au menu de la séance, du shoot et un travail technique, histoire de ne pas trop puiser dans les réserves énergétiques.

« C'est un peu le même type d'équipe que Turow »

Car les Alsaciens auront bien besoin de toutes leurs ressources s'ils veulent inquiéter ce soir une équipe de Zadar certes mal en point au classement de la poule I (5e à égalité avec Kazan avec une seule victoire pour trois défaites) mais qui paye d'abord le prix du calendrier : les Croates sont les seuls à s'être déplacés trois fois depuis le début de saison.
Et s'ils n'ont pas réussi loin de leurs bases, s'inclinant à Kazan, Den Bosch puis Jerusalem, ce n'est pas faute d'avoir essayé. Aux Pays-Bas, ils sont tombés sur une équipe impressionnante d'adresse. Ils ont perdu de dix points. La semaine dernière en Israël, ils se sont inclinés d'une petite longueur. Comme la SIG avant eux.
A domicile en revanche, Zadar entend bien ne rien lâcher. Turow Zgorzelec, devenu le favori de la poule depuis son carton face à la SIG et son succès à Kazan, y a concédé sa seule défaite, de dix points.
« Ils montrent une grosse intensité des deux côtés du terrain, mettent beaucoup de pression dans une salle petite mais très bruyante. C'est un peu le même type d'équipe que Turow », estime Éric Girard à propos de l'adversaire.
Comme les Polonais, les Croates s'appuient sur un groupe réduit de six joueurs qui tournent à près de 30' de jeu, plus deux rotations de 10'.
Corey Brewer est le maître à jouer de l'équipe, passeur et scoreur régulier. Il ne quitte que rarement le parquet. Deuxième point fort, les deux tours jumelles, Todor Gecevski, 2,08 m mais adepte du tir primé et Jure Lalic, un pivot de 21 ans qui tourne à plus de 12 points de moyenne. Enfin, les Américains Shammel Stallworth et Julius Johnson sont deux ailiers de petite taille qui dynamisent le jeu.

« On doit faire en sorte de tenir le coup, éviter de prendre un écart »

Autant d'éléments à contrôler pour une SIG qui ne se présente pas dans les meilleures conditions. Si John McCord est remis de son souci au mollet, Derrick Obasohan, en revanche, souffrait toujours des adducteurs hier. « S'il y a un risque important, on le ménagera », indique Éric Girard, qui pense aussi à la rencontre de vendredi, à Gravelines.
« C'est le match le plus important de la semaine, même si à Zadar, on doit faire en sorte de tenir le coup, éviter au moins de prendre un écart ». De sombrer comme à Liberec face à Zgorzelec, il y a deux semaines (67-42).
« Dans l'état d'esprit, je ne suis pas inquiet, poursuit le coach alsacien. Mais si on veut comparer, il ne faut pas oublier que nous abordons ce match avec un joueur de moins (King) et deux autres diminués (Obasohan, McCord). J'espère avant tout qu'on saura rester dans un basket cohérent, en espérant que l'on n'accumulera pas trop de fatigue jusqu'à Noël ».
Libérés en attaque depuis trois matchs, les Alsaciens voudront montrer ce soir qu'il sont aussi capables de faire preuve de plus de rigueur. Un impératif face à une équipe du calibre de Zadar, surtout chez elle.
« Le basket parfait n'existe pas. Mais à l'extérieur, si on court et qu'on lâche les balles trop vite, on risque un retour de bâton », rappelle le coach. Alors que son équipe redresse à peine la tête, ce serait effectivement dommage.

Cyril Tromson

La bonne étoile d'Obasohan
L'ailier nigérian venu de Hyères-Toulon a vécu un début de carrière accidenté. Le destin s'est ensuite rattrapé.
La voix est posée, presque timide. Le sourire, chaleureux, semble éternel. Qu'il joue au poker dans le bus avec ses coéquipiers ou réponde à quelques questions, confortablement installé dans un salon du Falkensteiner hotel de Zadar, Derrick Obasohan dégage une impression de bien-être, de bonne humeur. Un mélange de détermination et de confiance dans sa bonne étoile.
A 26 ans, l'ailier américain vit son rêve, il vit du basket. Une envie bâtie sur les parquets de la fac de Texas Arlington, entre 2000 et 2004.
Derrick Obasohan progresse chaque année, mais son université n'est pas de celles qui font rêver les clubs européens. « Mon agent n'a reçu qu'une offre, venant du Luxembourg », raconte le joueur. « J'ai dit oui parce que je voulais être professionnel. Je ne savais même pas trop où c'était, je croyais que cela faisait partie de l'Allemagne. Sur place, ils m'ont vite fait comprendre que ce n'était pas le cas ! »

Coupe et championnat

C'est donc à Ezthella Luxembourg qu'il effectuera ses premiers pas de basketteur professionnel. Il est le seul de son équipe, l'un des rares du championnat. « Tous mes coéquipiers bossaient la journée, c'était une situation un peu bizarre... »
Obasohan affole les compteurs, est élu joueur et défenseur de l'année, remporte la coupe, le championnat. « J'ai été invité dans un show télé, les journaux parlaient de moi, c'était très sympa. » Mais pas vraiment rémunérateur. 2000 $ par mois.
Ses prestations de choix ne laissent pas insensible chez le plus argenté voisin belge. A l'intersaison, Pepinster le contacte et lui suggère de demander un passeport nigérian, la nationalité de ses parents, pour qu'il n'évolue comme joueur « Cotonou ». La démarche prend un mois.

Deux matchs au Portugal

Malheureusement, ce sésame ne lui assure pas une place sur le parquet. « Il y avait des joueurs dans l'équipe qui étaient bien mieux payés que moi. Et le président et le manager voulaient les voir jouer », soupire Obasohan. « C'est dommage parce que j'ai énormément progressé là-bas ». Cantonné dans un rôle de joker, il joue 18' par match, ce qui ne l'empêche pas de tourner à près de 10 points de moyenne et d'être le meilleur tireur à trois points de son équipe.
« En fin de saison, le club a eu des soucis d'argent et j'ai demandé à partir, ils m'ont libéré ». Le joueur rejoint Belenenses pour les play-offs. mais son équipe se fait éliminer dès le 1er tour, deux matchs. Derrick repart aux États-Unis, inquiet pour son avenir.
Et pendant que son agent prospecte sur le Vieux-Continent, en Pro B notamment, son destin bascule grâce au représentant de LaMont McIntosh, son coéquipier à Pepinster. « Il a envoyé une cassette à Hyères-Toulon. Le club cherchait un meneur de jeu, mais c'est moi qui leur ai tapé dans l'oeil ». Il signe dans le Var.

Coudées franches

Le début de saison ressemble à son expérience belge. Obasohan passe beaucoup de temps sur le banc. « Le coach m'utilisait pour ma défense. Je savais que je pouvais faire plus, mais bon... » Au sortir des matchs aller, le HTV, englué dans les profondeurs du classement, licencie son coach sous la pression des joueurs.
« On s'est mis en grève. Moi, ça m'embêtait parce que c'est lui qui m'avait fait venir. On était trois dans l'équipe à être relativement neutres, mais quand tous vos coéquipiers prennent une décision, on ne va pas contre », estime Obasohan.
Le Nigérian est le premier bénéficiaire du changement. Nicolas Perez lui laisse les coudées franches. Il explose, marque 34 points contre Pau, 36 face à Besançon, 32 devant Nancy... « C'était facile, on jouait pour moi, tout le monde me soutenait. Je savais que j'en étais capable ».

L'Euroligue

Sa carrière est lancée. A la fin de la saison, plusieurs clubs s'intéressent à lui, dont Strasbourg et Nancy. « En fait, j'avais eu l'occasion de discuter avec John McCord. Il m'avait parlé de la SIG et j'avais bien aimé ce qu'il m'avait dit ». Il signe pour deux ans.
Est-ce qu'il regrette d'avoir choisi le club alsacien plutôt que son voisin lorrain, leader du championnat ? « Pas du tout. On n'est qu'au début du championnat, la saison est encore très longue. Et Nancy perd toujours à la fin », se marre-t-il.
Et ce dont Derrick a envie, c'est d'abord de gagner. Un championnat. « Cette année, je découvre la coupe ULEB, c'est génial. Maintenant, je rêve de gagner le championnat, de jouer l'Euroligue. » Le prochain pallier, le prochain objectif.

C.T.

Comme on se retrouve...
KAZAN. - Les basketteurs strasbourgeois ont croisé leurs homologues de Kazan, hier en fin de matinée, à l'aéroport de Francfort. Les Russes étaient dans l'attente de leur correspondance pour les Pays-Bas - ils jouent ce soir à Den Bosch - pendant que les Alsaciens se rendaient à Split avant de gagner Zadar par bus.
PREMIÈRE. - Intégré au groupe pro depuis l'éviction de Bernard King, l'espoir Isife Soumahoro participe en Croatie à son premier déplacement européen. Samedi contre Pau-Orthez, il avait effectué ses premiers pas en Pro A.
DIRECT. - Les Strasbourgeois se sont rendus directement de l'aéroport de Split à la salle Jazine de Zadar pour s'entraîner. En retard sur le programme prévu, ils ont ainsi pu optimiser le créneau qui leur était réservé.
BREWER. - Par deux fois, Corey Brewer, le meneur de Zadar, a failli rejoindre la SIG. Il y a deux ans, le club alsacien cherchait un remplaçant pour Alvin Young et l'Aris Salonique était prêt à se séparer du meneur de jeu formé à Oklahoma. Il était finalement resté en Grèce.
L'an passé, même topo : Brewer souhaitait partir de Charleroi mais la SIG et le club belge n'étaient pas tombés d'accord sur les modalités financières de ce départ.

Le berceau du basket

PALMARÈS. - Zadar est considéré comme le berceau du basket en Croatie. En 1928, la ville fait partie du Royaume d'Italie et deux équipes de militaires italiens disputent la première rencontre sur le sol dalmate.
Le club de Zadar vit ses heures de gloires pendant une décennie au milieu des années 60. Le club remporte cinq titres de champion de Yougoslavie entre 1965 et 1975, ainsi que la coupe en 1970. Les mythiques Kresimir Cosic et Giuseppe Giergia sont au sommet.
Depuis l'indépendance de la Croatie, Zadar a dû se contenter de cinq coupes nationales et de la très relevée ligue adriatique (en 2003).

20 Minutes du 04 décembre 2007

La SIG prend de l'élan

Pour la première fois cette saison, les Alsaciens viennent d'aligner trois succès de rang. Même s'il n'a pas encore été éprouvé face à de grosses cylindrées, le redressement est réel. Il serait encore plus net en cas de quatrième victoire consécutive, ce soir (19 h) à Zadar, lors de la 5e journée de la Coupe Uleb.
Titulaire d'un bilan équilibré (deux succès pour autant de défaites), la SIG prendrait ainsi un sérieux avantage sur les doubles vice-champions de Croatie dans la course aux 16es de finale. Mais Zadar, troisième de la Ligue adriatique, reste sur six victoires d'affilée dans sa chaude salle. « J'espère qu'on pourra faire un résultat, souligne le coach Eric Girard. Pour Derrick Obasohan [adducteurs], on ne prendra pas de risques parce que Gravelines arrive très vite derrière [vendredi]. »

J. S. - ©2007 20 minutes

L'Alsace du 04 décembre 2007

SIG En passant par Zadar
La SIG est en Croatie pour défier le vice-champion national, ce soir (19h). Mais le groupe d’Eric Girard garde à l’esprit les échéances de la fin de semaine.

On n’en voudra pas aux Strasbourgeois de s’autoriser une impasse sur son 5e rendez-vous en coupe ULEB. Avec deux rendez-vous par semaine jusqu’à Noël, certains protégés de Girard tirent la langue alors qu’il s’agit, depuis une quinzaine de jours, de rétablir une situation délicate en Pro A.
En coupe d’Europe, s’il n’est pas génial, le bilan alsacien est équilibré. La SIG gagne à domicile, perd à l’extérieur. Et son adversaire du jour, Zadar, berceau originel du basket croate d’après les historiens du sport, en fait de même.
La SIG se garde d’autant plus de bomber le torse pour ce nouveau voyage vers l’Est, qu’elle doit concentrer une bonne partie de son énergie sur le championnat de France ces temps-ci. Le « pain quotidien » de n’importe quelle équipe professionnelle a bon goût depuis dix jours avec deux victoires à Dijon (70-76) et face à Pau-Orthez (95-80) pour un rétablissement bienvenu après une longue glissade.
Mais il a son prix: formé de neuf éléments professionnels, le groupe strasbourgeois comptait ses valides hier matin, au moment de monter dans l’avion. Et le coach strasbourgeois n’avait pas l’intention de tirer plus que de raison sur la corde. « Nous nous apprêtons à vivre une semaine qui aurait été une source d’informations sur la capacité de ce groupe à franchir un cap si nous avions eu toutes nos forces », souligne Eric Girard. « Mais avec le rendez-vous de Gravelines qui arrive vite derrière (ndlr : dès vendredi en raison des attentions télévisuelles), on essayera de jouer le coup face aux Croates. Mais ce match tombe mal ».

Un match qui tombe mal
Entre la fatigue du déplacement et celle héritée des récents combats remportés – la SIG a réussi une dernière semaine à trois victoires -, l’état de forme général s’annonce douteux. Derrick Obasohan continue de ressentir une douleur à l’adducteur qui l’empêche de s’entraîner, John McCord et Afik Nissim sont contraints de serrer les dents. De plus, dans le camp d’en face, on place volontiers chaque joute au programme sur des bases assez intenses. Troisième de la Ligue adriatique (9 victoires, 3 défaites), battu d’un rien à Jérusalem la semaine dernière (84-83) avec Brewer en échec à deux reprises sur la ligne des lancers francs à 13 secondes du buzzer, Zadar a logiquement les faveurs du pronostics sur la ligne de départ. « C’est une équipe dure et agressive », note Eric Girard, qui aura remarqué que Todor Gecevski constitue l’un des meilleurs joueurs de l’épreuve (4e à l’évaluation parmi tous les joueurs engagés en coupe ULEB). « On risque de devoir disputer un match avec beaucoup d’intensité dans une salle très bruyante. En fait, c’est un test intéressant puisque l’on se retrouve dans un contexte assez proche de ceux que l’on a rencontré à Vichy ou face à Zgorzelec ». Pour confirmer le mieux-être actuel, et avec en mémoire les deux humiliations connues en ces occasions (deux défaites dans proportions hallucinantes 76-53 et 66-42), on ne sera peut-être pas loin de se contenter d’une défaite honorable côté strasbourgeois avec l’idée de préparer au mieux le déplacement de Gravelines.

François NAMUR

mick a écrit:
Un match qui tombe mal
Entre la fatigue du déplacement et celle héritée des récents combats remportés – la SIG a réussi une dernière semaine à trois victoires -, l’état de forme général s’annonce douteux. Derrick Obasohan continue de ressentir une douleur à l’adducteur qui l’empêche de s’entraîner, John McCord et Afik Nissim sont contraints de serrer les dents. De plus, dans le camp d’en face, on place volontiers chaque joute au programme sur des bases assez intenses. Troisième de la Ligue adriatique (9 victoires, 3 défaites), battu d’un rien à Jérusalem la semaine dernière (84-83) avec Brewer en échec à deux reprises sur la ligne des lancers francs à 13 secondes du buzzer, Zadar a logiquement les faveurs du pronostics sur la ligne de départ. « C’est une équipe dure et agressive », note Eric Girard, qui aura remarqué que Todor Gecevski constitue l’un des meilleurs joueurs de l’épreuve (4e à l’évaluation parmi tous les joueurs engagés en coupe ULEB). « On risque de devoir disputer un match avec beaucoup d’intensité dans une salle très bruyante. En fait, c’est un test intéressant puisque l’on se retrouve dans un contexte assez proche de ceux que l’on a rencontré à Vichy ou face à Zgorzelec ». Pour confirmer le mieux-être actuel, et avec en mémoire les deux humiliations connues en ces occasions (deux défaites dans proportions hallucinantes 76-53 et 66-42), on ne sera peut-être pas loin de se contenter d’une défaite honorable côté strasbourgeois avec l’idée de préparer au mieux le déplacement de Gravelines.

François NAMUR

Tiens, Nissim est aussi handicapé par une blessure?

J'ai comme l'impression qu'on va laisser filer le match. Si c'est pour gagner vendredi, ça va, mais si c'est pour retomber dans une mauvaise dynamique...

Source Alsatic : ce match ne sera pas télévisé. Il faudra suivre tout ça sur Internet

y'a pas de streaming dispo?

Non pas de streaming pour le match de la SIG ce soir.

En revanche, il est possible de voir d'autres matchs de cette 5ème journée d'ULEB
En particulier, l'alléchante rencontre entre l'ASVEL et G.Canaria, Turow - Jerusalem, ou encore Riga qui se déplace à Trévise.

Les liens ici

10-4, et déjà 3 pts, 4 rbds pour Gecevski.

moi a écrit:10-4, et déjà 3 pts, 4 rbds pour Gecevski.

tu suis cela où?.

Sur le live ULEB. Si ça ne marche pas, passe par "follow live scores" et sélectionne ton match.

19-13

sa marche pas chez moi

Fin du 1er quart 22-17 pour Zadar

29-20 à la 13eme

34-20 premier éclat

le desormais traditionnel passage a vide...faut attendre que ca reparte maintenant !

Le départ de King bénéficie à Darrigand qui joue 2 si je ne m'abuse, avec un temps de jeu plus qu'honorable.

edit : arf Afik vient de rentrer à la place de Shannon donc Darrigand est sans doute passé meneur.

BOB a écrit:le desormais traditionnel passage a vide...faut attendre que ca reparte maintenant !

Quand on est devant on le sent moins.
On approche des 20 pts d'écart : 43-24

oui, mais -5 d'eval pour lui pour l'instant et 43-24...

38-22 le de manque d'effectif se fait une fois de plus sentir, récurent avec Girard

Brewer est entrain d'étouffer nos meneurs ce qui empêche de trouver Pettway dans de bonnes conditions pour qu'il soit performant , Nissim et Obasohan semblent fatigués et sont malmenés par Stallworth, Giffa, McCord et Lewin sont présent et font leur boulot.

Mi-temps 49-26
Eh bien ça fait mal aux dents

SIG 66 le retour a écrit:38-22 le de manque d'effectif se fait une fois de plus sentir, récurent avec Girard

Ce pourquoi Girard souhaite avoir une rotation supllémentaire le plus vite possible.

Sinon pendant ce temps Jai Lewis avec son nouveau club de l'Hapoel Galil Elyon est entrain de faire un carton (malgré la défaite qui arrive) contre Fribourg et son très fort intérieur Ken Johnson dans le Groupe E.

La barre des 30 pts est atteinte 66-36

-25 a l'entame du dernier quart !

-41/// c'est noel avant l'heure !

94-59, horreur, on est encore ridicule