PRO A : 21ème journée : SIG - Hyères-Toulon

DNA du 10 mars 2011

Basket-ball / Avant SIG – Hyères-Toulon, samedi (20h)

Plein soleil sur le HTV

Aux deux tiers de la saison, Hyères-Toulon, hôte du Rhenus samedi, est en position de force pour disputer les play-offs. Et le rendement de l’inoxydable Rick Hughes n’y est pas étranger.

ASSIDUITÉ. – La météo est toujours au beau fixe dans le Var. Sixième de ProA – avec 12 victoires et 8 défaites, un bilan historique à ce stade de la saison –, nanti de deux points d’avance sur l’ASVEL et de trois sur Pau-Lacq-Orthez et Le Mans, Hyères-Toulon est bien parti pour accrocher les play-offs. Et cela ne doit absolument rien au hasard. Les Sudistes, qui s’étaient déjà qualifiés pour la Semaine des As, sont en effet présents sans interruption dans le Top-8 depuis le coup d’envoi de la saison.

Rick Hughes a toujours de beaux restes

COUP DOUBLE. – Emmenés par un Rick Hughes une nouvelle fois royal (23 points, à 10 sur 14 aux shoots, 8 rebonds, 5 passes), Patch Morlende et ses coéquipiers ont disposé du leader chalonnais le week-end dernier (97-89). Il s’agit du deuxième succès du HTV face à l’Élan cette saison, les hommes du président Aubry s’étant déjà imposés au Colisée à l’aller (80-94). La SIG, défaite à cinq reprises par Chalon depuis le mois de septembre, appréciera.

« HÔPITAUX ». – Alain Weisz a une nouvelle fois fait confiance à de vieux briscards et à des joueurs qui n’ont pas toujours été épargnés par les problèmes physiques (Houston, Morlende, Hughes…). « Cette année, on a beaucoup recruté dans les hôpitaux ! », a plaisanté « le Sphinx » dans les colonnes de La République des Pyrénées avant le déplacement à Pau.

STATS. – Deuxième attaque du championnat (78,9 points de moyenne) – seule la Chorale de Roanne peut se targuer d’un rendement supérieur (82) –, le HTV n’a jamais perdu un match en marquant 76 points ou plus.
Hyères-Toulon est également la deuxième équipe de Pro A au rebond (38,6 prises par match, contre 41 à Gravelines), et même la première au rebond offensif (14,3 par match). Enfin, avec 8,6 interceptions par match, dont près de 2,4 pour le seul Tony Dobbins, le HTV émarge au 3 e rang de l’élite dans cette catégorie statistique.

HUGHES. – A 38 ans, Rick Hughes a toujours de beaux restes. « Il saute moins haut qu’avant, court moins vite, mais compense par une très bonne technique », a récemment déclaré coach Weisz, au sujet de celui qu’il avait déjà eu sous ses ordres à Strasbourg. Meilleur scoreur de Pro A en 2003/04 avec la SIG, le pivot américain tourne à 17,7 pts et 7,2 rbds cette saison et est le n°1 à l’évaluation (21,2), devant Tremmell Darden.

TACLE. – Celui de Francis Charneux, l’ex-coach du HTV, en direction de Laurent Legname dans un récent numéro de BasketNews. « Lorsque je vois la superbe saison du HTV, je me dis qu’il a bien trouvé sa place au bout du banc. Il pourrait au moins être utile en passant les serviettes et en épongeant la sueur des autres », a déclaré l’actuel entraîneur de Charleville-Mézières au sujet de l’arrière varois. En voilà deux qui ne passeront pas leurs vacances ensemble…

Sacha Giffa fera à nouveau défaut samedi

INFIRMERIE. – Déjà absent à Levallois, Sacha Giffa (hématome post-traumatique au niveau du mollet gauche) fera à nouveau défaut samedi contre le HTV. L’échographie d’hier matin n’a révélé aucune évolution notable. Un nouveau contrôle est prévu la semaine prochaine. Le retour de l’ailier-fort strasbourgeois est espéré à Gravelines, plus vraisemblablement contre Limoges le 26 mars.
Pervis Pasco, lui, s’est donné une entorse de la cheville droite hier matin à l’entraînement. A priori, rien d’alarmant, mais le pivot américain sera tout de même vu aujourd’hui par le D r Sarbacher et devrait être ménagé d’ici samedi.
Pas de pépin à signaler dans le camp varois où Damir Krupalija, Rick Hughes et Vincent Masingue ont eu la permission de souffler avant-hier.

COPINAGE. – Ricardo, MVP en sommeil ? L’article « Du Greer aux larmes », à découvrir dans le n°542 de BasketNews, en kiosque aujourd’hui, se penche sur le cas du Dominicain. L’aîné des frangins est-il moins dominant qu’autrefois ? Et si oui, pourquoi ? Frédéric Sarre, Jean-Luc Monschau et le principal intéressé apportent leurs réponses.

SYNERGIE. – Après la double affiche proposée au Rhenus le 29 janvier – SIG féminine - Bourges en Coupe de France, suivi de SIG - ASVEL en ProA –, la SIG pro et la SIG amateur unissent à nouveau leurs efforts.
Sur présentation du billet de la rencontre face au HTV, les spectateurs du match opposant les filles de la SIG (Ligue 2) à Pleyber-Christ, le 19 mars (20h) à Illkirch, ne paieront qu’1 € au lieu de 5. Pour les abonnés désireux d’assister à cette rencontre capitale dans l’optique du maintien, il suffira de présenter la carte d’abonnement à l’entrée de la salle, rue de la Poste, pour bénéficier de ce tarif préférentiel.

R. Sch.


Bande annonce du match

http://www.sigbasket.fr/n260-bandeannonce_sigtoulon.html

directement honoré par le site BasketSession dans la catégorie "Label imitateurs Youtube de la prestation vidéo à la limite du ridicule"

http://basketsession.com/les-trophees-evan-et-la-sig/

très belle revue de presse pour cette bande annonce...

Et Heurtel fait des siennes : http://www.basketnews.net/asp.net/main.news/details.aspx?id=10408

Heurtel, Heurtel, Heurtel....

http://www.basketusa.com/news/59516/le-wtf-du-jour-blake-griffin-inspire-la-sig/

....

Jack a écrit:http://www.basketusa.com/news/59516/le-wtf-du-jour-blake-griffin-inspire-la-sig/

....

Y'a du collector dans les 82 commentaires

Moi qui connait pas mal le monde de la vidéo sur le web, j'ai une double vision de ce cette vidéo :
- niveau réalisation technique (mise en forme), c'est très très pauvre
MAIS
- le "buzz" (toute proportion gardée) est bien présent avec déjà plus de 6200 vues (le dernier "vis mon match de Poitiers a attiré 6500 vues).

La question est donc juste de savoir si le plus important est qu'on parle de la SIG, même pour des mauvaises raisons (toute proportion gardée à nouveau, ce n'est que du sport) ?

Jack a écrit:très belle revue de presse pour cette bande annonce...

Et Heurtel fait des siennes : http://www.basketnews.net/asp.net/main.news/details.aspx?id=10408

Monsieur fait des caprices, vraiment??

françois a écrit:

Jack a écrit:très belle revue de presse pour cette bande annonce...

Et Heurtel fait des siennes : http://www.basketnews.net/asp.net/main.news/details.aspx?id=10408

Monsieur fait des caprices, vraiment??

Voilà qui ne fait que confirmer ce qu'on savait déjà (et que les supporters d'Alicante avaient très vite décelé). Menfin, je suppose que Thomas nous sortira encore un discours sur le coach qui ne lui fait pas assez confiance, etc...

Vincent a écrit:

françois a écrit:

Jack a écrit:très belle revue de presse pour cette bande annonce...

Et Heurtel fait des siennes : http://www.basketnews.net/asp.net/main.news/details.aspx?id=10408

Monsieur fait des caprices, vraiment??

Voilà qui ne fait que confirmer ce qu'on savait déjà (et que les supporters d'Alicante avaient très vite décelé). Menfin, je suppose que Thomas nous sortira encore un discours sur le coach qui ne lui fait pas assez confiance, etc...

On apprend aussi que Vitoria voulait le signer.

C'est vrai qu'on avait un tellement grand coach sur le banc de la SIG l'année dernière (aussi fort que celui de cette année je crois) que tout est la faute d'Heurtel !

DNA du 11 mars 2011

Basket-ball / Alain Weisz se confie avant SIG – Hyères-Toulon, demain (20h)

« Talent et humilité »

Qualifié pour la Semaine des As, le HTV est aujourd’hui en position de force pour se hisser en play-offs. Alain Weisz, le coach varois, livre les clefs de la réussite.

Le HTV est un candidat de plus en plus sérieux aux play-offs. Qu’est-ce qui fait sa force cette année ?
– Les vieux (sourire). Ce sont tous de bons joueurs qui, pour des raisons diverses, ont eu des saisons précédentes difficiles et que l’on essaie de relancer. A l’arrivée, ils forment une équipe qui est toujours près de son maximum. Et ce maximum dure depuis longtemps (...)
Paradoxalement, le groupe a eu de bons résultats en l’absence de Rick (Hughes). Quand Rick est revenu, il a eu l’intelligence de s’adapter à l’équipe, qui avait trouvé entre-temps des automatismes, et il a ajouté sa capacité à scorer (...). On s’était fixé un objectif élevé au début, on visait le Top-8 et on est en phase avec ce discours. Cela dit, nous ne nous prenons pas non plus pour ce que nous ne sommes pas. On connaît nos limites, on sait qu’on n’a pas de marge.

– Relancer des joueurs semble plus que jamais être votre marque de fabrique…
– J’ai toujours attaché beaucoup d’importance au talent et le talent se paie. Dans un club qui a moins de moyens, comme le HTV, on ne peut pas avoir ces joueurs-là au sommet de leur art ou de leur forme physique. Kevin (Houston), Patch (Morlende) ou Damir (Krupalija) sont des garçons qu’on a pu avoir parce qu’ils ont, à un moment donné, été blessés. Ils ont progressé tout au long de la saison et ont aujourd’hui retrouvé leur potentiel (...). Et puis, ils ne se marchent pas sur les pieds, ont tous des caractéristiques qui leur sont propres. Cette équipe-là est composée de joueurs qui peuvent tous apporter quelque chose de spécifique et Damir en est le socle.

– Rick Hughes symbolise l’éternelle jeunesse de ces vieux briscards…
– C’est un joueur pétri de talent. Il a perdu de ses qualités athlétiques, ne serait-ce que par rapport à son passage à Strasbourg (en 2003/04 ndlr) où il était impossible de l’empêcher de scorer lorsqu’il l’avait décidé. Il peut désormais souffrir contre des joueurs athlétiques, mais il a gardé cette technique sans égal. Il s’est aussi bien fondu dans le groupe, fait beaucoup plus de passes décisives que par le passé. A Strasbourg, il avait annoncé la couleur , il était déterminé à se relancer et, pour celà, à terminer meilleur marqueur du championnat. Là, il rend service d’une autre façon.

– Le fait de l’avoir déjà dirigé à Strasbourg constitue-il un atout ?
– Ça aide, même si le contexte n’est pas le même. Rick, je le répète, c’est la prime au talent. Il ne faut pas en avoir dix dans une équipe, mais en avoir un, c’est pas mal (sourire).

– Vous avez évoqué le rôle prépondérant de Damir Krupalija. La clef de voûte, c’est lui ?
– A une passe près, il serait le meilleur passeur de l’équipe alors qu’a priori, ce n’est pas la position où on en fait le plus. J’ai toujours essayé d’avoir des postes quatre polyvalents, comme Josh Grant au Mans. Damir est un peu dans la même veine. C’est un joueur complet qui peut marquer intérieur et extérieur et qui rend les autres meilleurs.

« On ne se prend pas la tête, ni dans un sens, ni dans l’autre »

– L’arrivée de Tony Dobbins semble aussi avoir constitué un gros plus…
– Ça a été une aubaine pour le HTV de l’avoir et, aujourd’hui, c’est un joueur très important dans notre dispositif. Il a été dans des équipes qui gagnaient, comme Cholet et Orléans. Et sur un terrain, il fait beaucoup de petites choses, des balles touchées, des balles volées ou un panier qu’on n’attend pas.

– Trois victoires devraient suffire pour vous envoyer en play-offs. Est-ce que vous commencez à y penser le matin en vous rasant ?
– On ne fait pas les fiers, même si on est bien placés. On ne se prend pas la tête, ni dans un sens, ni dans l’autre. Une des qualités de ce groupe, c’est d’avoir gardé son humilité jusqu’à présent. Alors, on ne va pas la perdre, pas maintenant.

Propos recueillis par R. Sch.

kent1 a écrit:Moi qui connait pas mal le monde de la vidéo sur le web, j'ai une double vision de ce cette vidéo :
- niveau réalisation technique (mise en forme), c'est très très pauvre
MAIS
- le "buzz" (toute proportion gardée) est bien présent avec déjà plus de 6200 vues (le dernier "vis mon match de Poitiers a attiré 6500 vues).

La question est donc juste de savoir si le plus important est qu'on parle de la SIG, même pour des mauvaises raisons (toute proportion gardée à nouveau, ce n'est que du sport) ?

Moi ce que je ne comprends pas, c'est que tout le monde souhaitait en début de saison que le marketing se bouge un peu, qu'on fasse des trucs nouveau.
Là je trouve que l'initiative est bonne, une petite vidéo bande-annonce sympa qui rappelle Blake Griffin, vue par bcp de monde.

Bon sur, ce n'est pas du Spielberg, mais au moins un effort a été fait. Et au lieu de souligner l'effort, tout le monde crie à la honte... Jamais content l'Alsacien ? Non, ça c'est une légende.

Jeff a écrit:

Vincent a écrit:

Voilà qui ne fait que confirmer ce qu'on savait déjà (et que les supporters d'Alicante avaient très vite décelé). Menfin, je suppose que Thomas nous sortira encore un discours sur le coach qui ne lui fait pas assez confiance, etc...

On apprend aussi que Vitoria voulait le signer.

C'est vrai qu'on avait un tellement grand coach sur le banc de la SIG l'année dernière (aussi fort que celui de cette année je crois) que tout est la faute d'Heurtel !

Y en a certains qui sont un peu monomaniaques...

Le basket ne se résume pas à la SIG. Que ce soit à Pau, à la SiG, à Alicante, Heurtel à toujours montré un caractère de cochon (cf. ses interviews débordantes d'égo) et, dans le jeu, un côté soliste insupportable.

Bien sûr qu'il intéresse plein de bons clubs, parce qu'il a un incroyable talent offensif. Mais tant qu'il n'aura pas compris que le basket est avant tout un sport collectif et que le jeune doit avoir un peu d'humilité devant les conseils des anciens (selon lui, rien n'est jamais de sa faute), Heurtel se savonnera la planche partout où il passera. Lis un peu les forums des palois ou d'Alicante : ils n'ont pas Sarre et ils ne sont pas plus tendres pour Thomas.

DNA du 12 mars 2011

Basket-ball / SIG – Hyères-Toulon, ce soir (20h)

Plus de temps à perdre

La fin de saison approche à grands pas et la SIG ne dispose plus que de dix matches pour s’offrir un peu de rab au mois de mai. Face à Hyères-Toulon, ce soir, les Strasbourgeois jouent déjà gros. Ce sera dorénavant le cas à chaque journée.

La clepsydre, inexorablement, se vide de son contenu. Le championnat entre, ce soir, dans son dernier tiers et il ne reste désormais plus que dix matches aux uns et aux autres pour satisfaire à leurs objectifs du début de saison.
Ceux de la SIG faisaient état d’une qualification pour les play-offs. Mais avec leur bilan de huit victoires et douze défaites, les Strasbourgeois sont pour l’instant loin du compte. Et chaque rencontre n’est déjà pas loin d’être à quitte ou double s’ils veulent encore espérer prendre place dans le grand huit.

« Tant que ce n’est pas mort mathématiquement, il faut se lancer dans la bataille »

« Chaque match qui passe nous rapproche de la dernière chance d’aller en play-offs, confie Frédéric Sarre. Il faut prendre tous les matches qui arrivent pour se donner encore une chance d’y aller. Celui face au HTV d’abord. Puis le prochain. Et le suivant. Tant que ce n’est pas mort mathématiquement, il faut se lancer dans la bataille ».
Pragmatique, Fred Sarre n’oublie pas non plus de regarder dans le rétroviseur. Son équipe n’a, a priori, pas trop à craindre du trio (Poitiers, Vichy, Limoges) à la lutte pour ne pas descendre. Mais la prudence dicte de se méfier. « Il vaut mieux aussi gagner quelques matches pour se garantir du retour éventuel des équipes qui sont derrière, prévient le stratège strasbourgeois. Ce n’est pas manquer d’ambition que de dire ça, c’est faire preuve de lucidité et d’objectivité. Aujourd’hui, on est dans la réflexion de gagner un match, mais cette réflexion est encadrée. Ce serait évidemment plus confortable de se dire qu’on est sixième, à l’abri et de pouvoir prendre ce match sans autre forme de pression ».
Le sixième de Pro A, précisément, débarque ce soir au Rhenus, poussé par un mistral gagnant qui n’en finit pas de le porter vers d’enchanteurs rivages, ceux réservés aux huit meilleurs de la saison régulière. Avec deux points d’avance sur l’ASVEL, trois sur Le Mans et Pau-Lacq-Orthez, Hyères-Toulon baigne dans une certaine félicité.
« Ils font preuve d’une vraie cohésion, d’une vraie cohérence dans le jeu », observe Frédéric Sarre, particulièrement laudatif lorsqu’il évoque la première mi-temps varoise contre Chalon s/Saône (51-36 pour une victoire 97-89). « Ils ont été très adroits, très efficaces et ont bien défendu. Tous les joueurs ont été mis en valeur dans leurs forces. »

« Cette physionomie de petit doute nous empêche d’aller au bout de l’histoire »

Battus cinq fois par les Bourguignons depuis le mois de septembre, les Alsaciens n’ont sans doute pas manqué d’apprécier à sa juste valeur le succès de Rick Hughes et de sa bande. Au même moment, Steeve Essart et ses partenaires se prenaient, eux, une nouvelle fois les pieds dans le tapis à Levallois (93-85), selon un scénario trop souvent vu cette année.
Ce revers en région parisienne est en effet venu s’ajouter à la longue liste de ces rencontres que la SIG aurait dû et pu s’adjuger, mais qui lui ont filé entre les doigts. « Dans l’esprit et la physionomie, les derniers matches sont plutôt intéressants. Il y a plein de choses pas mal, mais elles ne sont pas suffisantes. On est toujours dans cette physionomie de petit doute qui nous empêche d’aller au bout de l’histoire », dit Fred Sarre.
Une maîtrise et une efficacité revues à la hausse conditionneront la suite de l’aventure. « On est le type même de la cordée d’alpinistes qui fait les efforts pour se hisser sur le plateau, mais qui re-glisse au moment d’accrocher la dernière arrête », conclut le Limougeaud. Il va falloir assurer la prise du jour sous peine de voir les sommets s’éloigner un peu plus. Plus que jamais, le temps presse.

R. Sch.


Avec Pasco, sans Giffa

Déjà forfait samedi dernier à Levallois, Sacha Giffa (hématome post-traumatique au mollet gauche) manquera également la réception de Hyères-Toulon. Le secteur intérieur alsacien devrait, en revanche, pouvoir compter sur Pervis Pasco. Victime d’une entorse de la cheville droite mercredi et ménagé depuis, le pivot américain est espéré en tenue. « Ça me semble jouable », indique Frédéric Sarre.


L'Alsace du 12 mars 2011

SIG : il y a urgence !

Avec un seul succès lors de ses cinq derniers matches de Pro A, la SIG n’a pas le choix si elle veut conserver une chance de participer aux play-offs : la victoire est obligatoire face à Hyères-Toulon ce soir (20 h) au Rhénus.
On le sait bien. Tous les matches sont importants. Mais celui qui va opposer la SIG à Hyères-Toulon ce soir au Rhénus, sur les coups de 20 h, est tout particulièrement décisif pour l’avenir proche du club strasbourgeois. En effet, plus les semaines passent et plus l’étau se resserre sur les joueurs de Frédéric Sarre.

En cas de succès, ces derniers seront toujours dans la course, sans être toutefois en position favorable, pour participer aux play-offs. À l’inverse, une défaite serait un nouveau coup dur. Très dur. Même si mathématiquement, rien ne sera encore joué. « Il faut prendre tous les matches qui arrivent comme des moyens d’avoir une chance de se qualifier pour les play-offs. Tant que ça ne sera pas fini mathématiquement, on sera dans la bataille car il y a encore une occasion d’aller au bout de l’histoire et de bien finir la saison », commente le coach bas-rhinois.
Avec une seule victoire de retard sur Le Mans, 8 e du classement (avec en plus, le point average en faveur des Sarthois), et trois d’avance sur Vichy, premier relégable, les Strasbourgeois savent que tout est possible, dans un sens comme dans l’autre. « Nous devons aussi gagner quelques matches pour nous préserver d’un retour des équipes de derrière. Ce n’est pas un manque d’ambition mais il faut être lucide. À la lecture du classement, on ne peut pas faire autrement. J’aimerais me préoccuper de seulement aller chercher les play-offs mais aujourd’hui, il n’y a pas que cette réflexion à avoir », ajoute Fred Sarre.

« Un surplus de confiance »

Pour cette rencontre de la 21 e journée de Pro A, les Alsaciens seront une nouvelle fois privés de Sacha Giffa (écrasement musculaire au mollet), déjà forfait le week-end dernier lors du revers face au Paris-Levallois (93-85). L’intérieur est également incertain pour le déplacement à Gravelines dans une semaine. Victime d’une entorse de la cheville droite mercredi dernier à l’entraînement, Pervis Pasco a été ménagé hier matin, sans que sa participation à la rencontre ne soit remise en cause.
Face au Toulon d’Alain Weisz, l’ancien coach de la SIG, 6 e du classement et bien placé pour se qualifier pour les play-offs, les coéquipiers de Ricardo Greer devront sortir le bleu de chauffe. « Hyères-Toulon vient de battre Chalon en réalisant une première mi-temps de très haut niveau avec, en plus, une grande efficacité de tout le monde. Ils ont une vraie cohérence et une grande confiance en ce qu’ils font », souligne le technicien bas-rhinois.
Forcément, alors qu’il reste dix matches avant la fin de la saison régulière, l’objectif est clair dans les têtes strasbourgeoises : « Si on veut repartir, ça passe par une victoire face au HTV. L’équipe doit gagner en contrôle et en maîtrise afin de remporter ce succès qui nous manque tant. Cela nous donnerait un surplus de confiance. Surtout que lorsqu’on regarde le contenu de nos derniers matches, il y a des choses qui ne sont pas mal du tout mais on ne va pas au bout », conclut enfin Frédéric Sarre. Et si elle veut aller au bout des choses, la SIG n’a pas le droit de manquer la marche varoise.

Olivier Arnal


Interview d'Ollivier Weissler
http://www.sigbasket.fr/n262-avant_match_sig_hyerestoulon.html


Nice Matin du 12 mars 2011

Décrocher une 13e étoile

L'équipe du HTV a pris l'avion ce matin de Marseille direction Strasbourg. Une formation, actuellement 11e du championnat, qu'elle avait battue à l'aller (85-77).

Mais la vérité d'hier n'est jamais celle de demain. D'autant que ramener deux points du Rhénus n'est jamais chose facile. Surtout lorsque l'adversaire a un besoin impératif de victoires.
En effet, depuis le début de la phase retour, le groupe de Fred Sarre n'est pas à la fête. Il affiche un bilan de quatre défaites en cinq matches !
De quoi donner des idées de conquête aux joueurs d'Alain Weisz. Eux qui, à l'inverse des Alsaciens, surfent sur une excellente dynamique. Les Chalonnais peuvent en témoigner...
Toutefois, c'est diminués qu'ils se présenteront ce soir sur le parquet de l'Est. En particulier à l'intérieur puisque Krupalija et Hughes sont incertains (lire ci-contre). De là à dire que Masingue et Boungou-Colo auront à faire le boulot, il n'y a qu'un double pas...

Un exploit la saison dernière

Et du boulot, les Varois vont en avoir face à Ricardo Greer notamment, client dont on connaît l'aptitude à faire basculer un match à lui tout seul.
Le poste 4, depuis le début de la saison, tourne tout de même à 13 points de moyenne, 6,3 rebonds et 3,6 passes décisives. Un chef à surveiller comme du pop-corn dans le four !
Bonne nouvelle en revanche - si tant est qu'on puisse se réjouir de blessures - Sacha Giffa ne sera pas de la partie et Pervis Pasco, lui, sera diminué.
Lorsqu'on sait que le point fort de la Sig se situe dans la peinture, le HTV doit s'attendre, peut-être, à un changement tactique.
Un HTV qui, comme à son habitude, ne fait pas cas de son rival. En pleine bourre, à trois succès des play-offs, il défendra crânement sa chance. En se rappelant que l'an passé, il avait réussi l'exploit d'atomiser les Strasbourgeois (74-110), avec 31 points de Derrick Obasohan de retour dans son ancienne maison.
« Je nous verrais bien taper Strasbourg et enchaîner par Paris », confiait mardi Nobel Boungou-Colo. La jeune valeur montante sudiste ne doute de rien.
A ses partenaires de s'inspirer de son état d'esprit pour décrocher une 13e étoile.

Raphaël Coiffier

de retour du rhénus,
pas un match génial niveau basket, en plus face à un adversaire diminué (krupalija était pas là et morlende s'est blessé), mais bon on a réussi à l'usure finalement après avoir joué l'élastique pendant tout le match.

Lewis co-mvp avec john, adroit, dur en défense face à hughes, son meilleur match assurément il a profité des fautes de pasco.
john, il nous a sorti une deuxième mi-temps de ouf, remonté comme une pile électrique tellement enragé d'avoir manqué quelques shoots sous le cercle. exemplaire la classe quoi.
ricardo je vais rien dire pour pas qu'on me reproche de m'acharner quoi^^
hawkins surtout bon dans le 4ème quart, s'est bien chauffé avec colo suite à un dunk
m'baye: a raté des shoots et des lancers puis s'est repris en défense.
digbeu: il a manqué un gros alley-hoop pas c'est nul
jeanneau: dur pour lui face à houston
essart: adroit il a géré.

DNA du 13 mars 2011

Basket-ball / SIG bat Hyères/Toulon (86-66)

Un succès qui vaut de l’or

La SIG avait l’obligation de ne pas démâter contre Hyères-Toulon pour continuer à croire aux play-offs. Dans le sillage d’une doublette Lewis — McCord de gala, et sur la base d’une défense plutôt bien en place, les Strasbourgeois se sont acquittés de leur mission (83-66).

Pour la SIG, on l’a dit, toutes les rencontres sont importantes désormais. Une semaine après leur revers à Levallois, les Strasbourgeois étaient dans l’obligation de s’imposer face au HTV pour préserver leurs chances de qualification pour les play-offs. L’écueil sudiste promettait de réserver quelques difficultés aux coéquipiers d’Aymeric Jeanneau. D’abord, parce que les Varois surfent sur une belle dynamique en ce moment, en atteste leur succès contre Chalon s/Saône samedi dernier. Ensuite, parce que Hyères-Toulon n’a jamais réussi à la SIG ces dernières saisons. En championnat, la formation alsacienne reste sur… six défaites de rang face au visiteur du jour.

Le feu-follet M’Baye est de tous les bons coups en début de rencontre.

L’arrière strasbourgeois sème la panique dans la défense toulonnaise avant de servir McCord, puis pénètre dans la raquette pour marquer sous le cercle (5-0, 2 e’). Fein manque par deux fois la cible à 6,75m et la SIG fait la course en tête (15-7, 8 e’). Las, le HTV efface ce débours en deux temps, trois mouvements (15-14, 9 e’). Fin du 1 er quart : 17-16.

Un bon passage d’Essart permet à la SIG de se redonner un peu d’air (22-16, 12 e’). Mais ce HTV-là est une véritable sangsue et Hughes se charge de lui donner l’avantage après avoir cueilli deux rebonds offensifs (22-23, 15 e’). Fébriles aux lancers francs (3/10 à la pause), les Alsaciens reprennent les commandes grâce à Lewis. L’ex-Roannais va s’occuper de tout, marquant derrière l’arc, avant de ramasser un ballon qui traîne pour porter son total personnel à neuf points dans ce deuxième quart-temps. Mi-temps : 38-31.

Fein marque derrière l’arc, Essart lui rend la monnaie de la pièce (44-34, 22 e’). Fein insiste, mais Lewis bâche Hughes, puis Boungou Colo, avant d’accompagner la tentative de McCord dans le panier. Le vétéran anglais abat un chantier colossal et redonne dix longueurs d’avance aux Alsaciens (56-46, 28 e’). Dix qui deviennent douze après le panier d’Hawkins à la sirène. Fin du 3 e quart : 64-52.

Le HTV rapplique à grandes enjambées, mais Lewis vient calmer ses ardeurs (68-62, 34 e’). McCord ne mollit pas et la SIG entre dans le money-time avec un matelas de onze points (73-62, 36 e’). Hawkins, en fin de rencontre, ajoute la manière à un résultat qui vaut de l’or. Fin du match : 83-66.

R. Sch.


Nick Lewis comme on l’aime

Effacé ou improductif au gré de ses apparitions sous le maillot de la SIG, l’intérieur américain a refait surface hier soir. Et sa palette est variée...

LEWIS. — 24’15 de temps de jeu; 15 points; 7/12 aux tirs (58%), dont 1/4 à 3 pts; 7 rebonds, 1 balle perdue, 2 contres. Évaluation: 18.
On l’a retrouvé avec le costume de guerrier qu’il enfilait constamment l’an passé avec Roanne. Son entrée en jeu s’est rapidement traduite en points, et sa défense sur Rick Hugues, meilleure évaluation moyenne de Pro A, a agréablement surpris. Le Rhenus l’a ovationné.

M’BAYE. — 21’15 de temps de jeu; 9 pts; 3/8 aux tirs (38%), dont 1/3 à 3 pts; 2 LF sur 4, 1 rbd, 3 pd, 1 bp, 1 int, 3 fte. Éval.: 6.
Il a serré les poings sur son premier panier marqué, après deux minutes de jeu. Du haut de ses 22 ans, l’ancien Dijonnais respire l’envie de bien faire et la rage de vaincre.

HAWKINS. — 23’15 de temps de jeu; 12 pts; 6/10 aux tirs (60%), dont 0/2 à 3 pts; 0 LF sur 2, 6 rbd, 2 pd, 2 bp, 1 ctre, 3 fte. Éval.: 13.
L’ailier US a bénéficié de shoots ouverts qu’il a su convertir. Il a en outre gratifié les fans de plusieurs dunks spectaculaires dans une fin de rencontre riche en contre-attaques.

ESSART. — 28’15 de temps de jeu; 11 pts; 4/10 aux tirs (40%), dont 3/7 à 3 pts; 5 rbd, 1 pd, 1 bp, 1 int, 1 fte. Éval.: 11.
Le meneur guyanais a trouvé une multitude de fenêtres de tir. Ses trois shoots primés ont constitué autant de bouffées d’oxygène pour la SIG.

JEANNEAU. — 11’45 de temps de jeu; 4 pts; 2/3 aux tirs (67%); 1 rbd, 2 pd, 3 fte. Éval.: 6.
Le chef d’orchestre maison est parvenu à créer les quelques décalages à l’origine de l’excellente entrée en matière de sa formation.

DIGBEU. — 18’45 de temps de jeu; 4 pts; 1/5 aux tirs (20%), dont 1/3 à 3 pts; 1 LF sur 2, 5 rbd, 3 pd, 2 bp, 1 int, 2 ctre, 1 fte. Éval.: 8.
Privé de positions convenables, l’ex-international tricolore a intelligemment redéployé son énergie en direction de ses partenaires.

GREER. — 32’30 de temps de jeu; 12 pts; 6/9 aux tirs (67%), dont 0/1 à 3 pts; 4 rbd, 5 pd, 5 bp, 3 int, 1 ctre, 3 fte. Éval.: 17.
Assez effacé durant trois quart-temps, le Dominicain a ressorti le couteau suisse dans les dix dernières minutes. Par ici l’addition!

PASCO. — 9’30 de temps de jeu; 3 pts; 1/2 aux tirs (50%); 1 LF sur 4, 3 rbd, 1 bp, 3 fte. Éval.: 1.
Rapidement pénalisé par les fautes, le roc de la SIG n’a pas spécialement manqué à son équipe, compte tenu de l’impact de Lewis.

McCORD. — 30’30 de temps de jeu; 13 pts; 5/14 aux tirs (36%); 3 LF sur 4, 16 rbd, 4 pd, 1 int, 2 ctre. Éval.: 26.
Ses deux paniers à mi-distance, sans opposition en début de partie, ont agi en trompe-l’œil. Il a globalement manqué de réussite dans ses tentatives, mais a réalisé un grand match au bénéfice d’une cueillette exceptionnelle au rebond (ses 16 prises représentent son nouveau record en carrière) et d’une implication sans faille dans tous les compartiments du jeu.

Amaury Prieur


L'Alsace du 13 mars 2011

La SIG entretient l’espoir

La SIG a profité hier soir d’un non-match de Hyères-Toulon pour signer sa neuvième victoire de la saison (83-66). Les play-offs restent dans le viseur, mais il faudra encore hausser son niveau de jeu pour y parvenir.
La SIG n’a pas eu besoin de forcer particulièrement son talent hier soir au Rhénus pour dominer une équipe de Hyères-Toulon totalement à côté de la plaque. Les Varois n’auront mené qu’une seule fois durant la partie (22-23, 15 e) et ne peuvent pas seulement invoquer l’absence de Damir Krupalija, un de leurs fers de lance (il pèse 12,2 points et 8,4 rebonds). « Les joueurs se sont pris pour d’autres, soulignait après la rencontre Alain Weisz, l’entraîneur. Hier soir, j’ai vu des joueurs grincheux qui ne se sont pas remis en question. Je sors frustré de ce match, non pas à cause de la défaite, mais parce que mes joueurs n’ont pas compris que pour être sixièmes, ils ont dû concéder de gros efforts… »

Lewis sort du banc

Hyères-Toulon, une des équipes surprises des deux premiers tiers de la saison, avait en effet laissé une partie de son basket dans le vestiaire. Malgré les efforts de Kevin Houston et l’abattage collectif au rebond, les hommes d’Alain Weisz n’ont jamais trouvé de rythme, offrant le plus souvent une bouillie de basket des deux côtés du terrain. Pourtant, la SIG n’en profitait pas outre mesure au départ, ne comptant qu’un point d’avance après le premier quart temps, la faute à un relâchement défensif et quelques pertes de balle au mauvais moment (15-7, 8 e, 17-16, 10 e).

Lorsque l’ex-Strasbourgeois Rick Lewis offrait pour la première fois l’avantage aux siens (22-23, 15 e), la SIG s’en remettait à Nick Lewis, qui sortait de sa boîte, scorant 9 points à 67 %. Et comme les Varois étaient subitement très fâchés avec leurs tirs (5 sur 20 dans le second quart temps), les locaux pouvaient creuser un petit écart (31-25, 18 e, 38-31, 20 e). Qui aurait pu être plus conséquent, s’ils n’avaient pas dilapidé sept points sur la ligne des lancers (3 sur 10 à la pause).

Mais la SIG accentuait sa pression défensive au retour des vestiaires et surtout se montrait un peu plus adroite (11 sur 19 durant le troisième quart temps). Avec l’apport d’un énorme McCord (16 prises, 26 d’évaluation), la domination au rebond s’intensifiait et les dix points d’écart étaient atteints (56-46, 28e), puis dépassés sur un panier de Hawkins au buzzer (64-52, 30e).

« L’état d’esprit a été très intéressant »

Hyères-Toulon, en passant en zone, maintenait un semblant de suspense (66-62, 33 e), mais vite éteint par Lewis, McCord et Greer. Les Varois baissaient la tête, laissant la SIG finir en roue libre et l’emporter de 17 points (83-66). « Il était important qu’on aille chercher une victoire, analysait Frédéric Sarre, l’entraîneur alsacien. Depuis plusieurs semaines, nous étions dans un basket cohérent, mais il nous manquait de la maîtrise par moments. Même si nous nous sommes quelques fois précipités, nous avons gardé hier soir la partie sous contrôle. Cela faisait longtemps que mon équipe n’avait pas gagné les quatre quarts temps. Globalement, la consistance a été correcte de la part de tous les joueurs. L’état d’esprit a été très intéressant. Il faudra voir notre capacité à faire gonfler cette petite boule pour rester dans cette dynamique ».

Pour aller chercher la huitième place, toujours à une longueur au classement, la SIG aura besoin de hausser encore son niveau de jeu, d’évoluer en confiance. Et de réussir l’un ou l’autre exploit. À Gravelines dès samedi ?

Marc Wilb

Belle équipe du HTV avec un super meneur (Houston) et 2 extérieurs (Dobbins et Nobel) très athlétiques et très fort défensivement.
Un début de matche au ralenti avec une SIG qui a du mal à ce détacher face à une équipe du HTV accrocheuse mais qui rate beaucoup de shoots ouverts et faciles.
Grâce à un Lewis de gala qui du fait de son profil (bon shooteur à mi-distance et à 3 pts) posait des problèmes à Hughes et Masingue qui avaient du mal (du fait de leur âge)à ressortir sur lui sans oublier un McCord également de gala s'arrachant sur chaque rebonds.
Suite à le blessure de Morlende le HTV ce retrouvait à 7 pros qui en fin de matche étaient carbo situation dont la SIG profita.
En fin de matche Nobel voulait en découdre avec Hawkins ce dernier ayant du le chambrer avec quelques mots doux suite après lui avoir dunké dessus et estimant avoir été victime d'une faute.

Pour le HTV:

Houston: quel joueur c'est pour moi un des joueurs les plus sous-côté de Pro A, il nous a fait souffrir (feintes, pénétrations, passes, etc..) je l'associerait bien à Jeanneau la saison prochaine seul bémol pas de réussite à 3 pts
Morlende: bonne rentrée, malheureusement sa blessure l'empêcha de revenir
Fein: il est passé à côté de son matche ratant beaucoup de shoots ouverts et n'était pas très impliqué en défense
Flowers: également un matche à oublier pour lui
Dobbins: quel joueur, de grosses qualités athlétiques, très fort défenseur et un engagement de tout instant
Nobel: un énorme prospect, la copie-conforme de Dobbins mais en 3/4, il sera fortement demandé l'été prochain
Masingue: vite sanctionné par les fautes a eu du mal face à la mobilité de nos intérieurs
Hughes: matche difficile pour lui avec peu de réussite, a eu du mal en 1 contre 1 physiquement face à nos intérieurs ne pouvant pas profiter hier soir des brèches et des qualités de passes de Krupalija.

Pour la SIG:

Jeanneau: dur soirée face à Houston
Essart: quelques 3pts bien senti et une bonne défense face à Houston qui sur la majorité de ses cross partait à gauche
M'Baye: peu en réussite au début, mais a apporté sa vitesse et sa percution
Digbeu: bonnes passes, présent aux rebonds mais a eu du mal en défense comme en attaque
Hawkins: bonne rentrée très présent offensivement ainsi qu'aux rebonds
Ricardo: matche sobre de sa part malgré quelques balles perdues bêtement
McCord: grand messieurs, un vrai guerrier
Pasco: vite sanctionné par les fautes et pas rentré dans son matche
Lewis: son meilleur matche sous nos couleurs il c'est battu et a su appuyer la ou ça fait mal

Concernant le coaching de Sarre toujours aussi incompréhensible, lorsque Lewis est en pleine bourre et nous permet de créer un bel écart (7pts), il le sort à 3,55 de la mi-temps pour remettre Pasco qui prend directement une 3ème faute l'obligeant à remettre Lewis qui heureusement continuait sur sa lancé ou face à la zone du HTV ou il leur posait des problèmes il le sortie pour mettre une équipe ou il y avait peu de shooteurs capable de la faire exploser, tout comme le choix de laisser M'Baye tout le 2ème quart-temps sur le banc.

Pour l'ambiance c'était triste un Rhénus à moitié plein qui sans les invités et les VIP n'auraient malheureusement été rempli qu'à tout juste 30/35%, quand à ceux présent beaucoup d'anciens qui ne font que critiquer et beugler tout le long du matche croyant avoir la science infuse parce qu'ils ont joués au basket il y a 15/20 ans, ok chacun est libre de penser ce qu'il veux moi ce qui me dérange c'est qu'avec eux le dialogue est impossible et l'on ce fait même crier dessus (voir plus) si l'on n'est pas du même avis.

Donc je me demande pourquoi venir au Rhénus si ce n'est que pour critiquer et ne voir que du négatif?

Je tiens juste à préciser que je ne fais pas d'amalgame et qu'avec beaucoup d'anciens et/ou d'autres passionnés de basket le dialogue est possible, constructif et dans une ambiance conviviale.

Enfin pour finir je trouve que peu poste après cette victoire alors qu'après une défaite c'est une déferlante de poste.

Effectivement toujours beaucoup de critiques après les défaites,rien après les victoires...

N'empêche ils ont même remplacé l'emmental des sandwichs par du fromage fondu en tranchette... Les invités sont chéris et ceux qui payent leurs places et conso sont négligés...

Boutade culinaire à part(mais bien réelle!), la sig fut sérieuse, le public accepte les ratés de Pasco aux tirs (s'il était en plus adroit,ils ne seraient pas chez nous...), Lewis me fait plaisir depuis deux-trois matchs, hawkins est une perle(acceptera-t-il de rester une saison de plus derrière Ricardo, m'baye est fougueux,Essart est revenu à son niveau et sait prendre feu,et que dire de celui qui fut jeté il y a 2 ans et demi car trop vieux... Match de titans pour papy John, et même ricardo,qui parait si maladroit en attaque, a joué sérieux...

Merci aux joueurs qui ont été constants et courageux,par contre plus besoin de parler du coaching et des temps morts de Sarre...consternant...

Et je rejoins John White concernant les râleurs de tribunes,qui en plus j'en suis sûr sont majoritairement des invités...

Entièrement d'accord avec toi John White, Dobbins et Houston sont de bons joueurs mais dans leur rôle respectif je préfère Dobbins, le joueur besogneux qui fait son boulot sans en rajouter, humble comme quand il s'excuse de pas avoir couru assez vite pour rattraper la balle et qu'il s'arrête à l'entrée des joueurs de la SIG. J'aimerais bien l'avoir en back up de Ricardo si Hawkins ne reste pas. Houston est fort, c'est indéniable mais bon je trouve qu'il n'a pas su driver son équipe pour essayer de revenir (heureusement pour nous ! ) . Sinon côté SIG , McCord énorme au rebond, une volonté exemplaire et Lewis a mis ses shoots et de l'énergie en défense avec 2 contres dont un sur Hughes.

Essart : un match sobre, une bonne défense sur Houston et a su mettre les 3 points en début de 3ème quart temps pour relancer l'équipe habituée au coup de la panne au retour des vestiaires

Jeanneau : un match correct , présent en défense même si Houston est difficilement arrêtable mais présent, a beaucoup encouragé ses coéquipiers sur le banc et a marqué 2 paniers faciles en 1ère mi-temps, une pénétration et un bon placement sur le second où il se retrouve seul sous le panneau.

M'Baye : j'adore le joueur, très fort en défense, il se sortait des écrans pour coller au basque de Fein. N'a pas percuté contrairement à son habitude mais précieux comme toujours !

Digbeu : il a fait ce qu'on lui demande , défendre, apporter une menace longue distance, un match quelconque

Greer : j'étais surpris en voyant ses stats, parce que j'ai trouvé qu'il n'avait pas tant peser que ça sur le match , à part en 4ème quart ou après chaque panier il regardait Castano pour le narguer après le passage en force qui n'a pas été sifflé pour Ric ( à vrai dire , il y avait du flopping de Ricardo ... ) mais présent aux rebonds, à la passe malgré quelques pertes de balle ...

Hawkins : très précieux en sorti de banc, de l'énergie , un apport offensif non négligeable , 3 actions superbes, le panier au buzzer, les 2 dunks sur Nobel à la fin du match , un 6ème homme de luxe !

McCord : alors je crois que tout a été dit sur lui , un Captain en or , un véritable guerrier qui a fait une moisson de rebond et qui était remonté comme une pendule. MVP !

Pasco : n'a pas réussi à entrer dans match , très vite gêné par les fautes et toujours frustre aux lancers ... Mais je ne comprends pas qu'il n'ait pas joué de toute la seconde mi-temps ... mais je trouve qu'il est mal arbitré sa 2ème et 3ème faute sont limites, très limites, sur le passage en force, le défenseur n'était pas sur ses appuis ...

Lewis : Assurément son meilleur match sous le maillot strasbourgeois, il a été présent en défense avec notamment 2 contres, des rebonds, et en attaque , il a des mains extraordinaires pour un gars de 2m10 !

Maintenant reste à confirmer cette victoire même si à Gravelines, je crois qu'on va beaucoup souffrir ... Mais si tout le monde se met au diapason, on a une superbe équipe.

DNA du 14 mars 2011

Basket-ball / Après la victoire de la SIG face à Hyères-Toulon (83-66)

Lord McCord

Il vient de fêter ses 38 ans, mais affiche un enthousiasme et une forme de junior. John McCord a sorti le grand jeu, samedi, face à Hyères-Toulon (83-66), établissant, avec 16 rebonds, un nouveau record en carrière LNB. L’inoxydable vétéran au passeport anglais tirera sa révérence à la fin de la saison et sa retraite laissera forcément un grand vide dans le paysage.

Le temps ne semble pas avoir de prise sur le vieux briscard. Les saisons passent, les matches défilent, forcément usants, mais « Old » John n’en finit pas de repousser les limites que ses artères devraient normalement lui imposer. Et ce ne sont pas les Toulonnais qui affirmeront le contraire.
Par deux fois, cette saison, ils ont été les témoins de l’éternelle verdeur de l’homme aux 38 printemps. Au mois de novembre, dans le Var, John McCord avait déjà réussi un sacré numéro. L’ailier-fort strasbourgeois avait inscrit 28 points ce soir-là, établissant à cette occasion son record en carrière LNB. Ce fut cependant insuffisant pour empêcher la défaite de la SIG (85-77).

Le doyen a réussi une nouvelle performance digne du Guinness

Samedi soir, le doyen de l’effectif le plus âgé de Pro A, le plus vieux joueur du championnat aussi, a remis ça et réussi une nouvelle performance digne du Guinness – le book, of course, encore qu’une pinte pour célébrer l’événement aurait également pu convenir.
Au Rhenus Sport, le « poilu » au crâne lisse a capté la bagatelle de 16 rebonds, une moisson céleste qui constitue son meilleur total depuis ses débuts dans l’Hexagone en 2004. En apesanteur, il a pris, à lui tout seul, 33 % des rebonds strasbourgeois et en a confisqué davantage que tout le secteur intérieur varois, privé, il est vrai, de Krupalija (15 pour le trio Hughes, Masingue et Boungou Colo).
Le gladiateur a ajouté 13 points à sa ligne de stats pour signer un double double du plus bel effet. Et cette performance de haut vol, en plus de forcer le respect, a cette fois pesé dans la balance et favorisé la neuvième victoire alsacienne de la saison (83-66).
Le New Yorkais naturalisé anglais était donc sur un petit nuage – ce qui peut s’avérer évidemment très utile lorsqu’il faut s’élever plus haut que les autres –, même si le contexte de la rencontre a sans doute aussi facilité sa cueillette. « Le fait de jouer longtemps avec Nick (Lewis), qui a écarté Hughes, a pu lui permettre d’exercer une forme de domination à l’intérieur, souligne Frédéric Sarre. Mais cela n’amenuise pas sa performance. Encore fallait-il aller chercher ces rebonds ».

John McCord est une sorte de Connor Mac Leod de la grosse balle orange

La prouesse se trouve même rehaussée lorsque l’on sait que l’ancien des Chester Jets a été handicapé en début de semaine par des problèmes respiratoires. Une trachéite lui a fait le souffle court jusqu’à jeudi ? Il a respiré la santé le week-end venu et ce sont ses vis-à-vis qui ont paru manquer de coffre.
John McCord, on l’a déjà dit, est une sorte de Connor Mac Leod de la grosse balle orange, un guerrier qui fait fi du temps et de ses ravages. Cette année, le grognard tourne à 10,7 points et 6,3 rebonds de moyenne, des chiffres guère éloignés de ceux qu’il fournissait il y a six ans, lors de sa première saison en Alsace (12 pts, 5,7 rbds). Avec une évaluation moyenne de 11,3, le n°15 de la SIG est même le deuxième joueur le plus productif de l’équipe cette année, derrière Ricardo Greer (14,5).
L’homme n’est pas un immortel. Il n’est pas invincible non plus, comme son entorse au Mans, début février, est d’ailleurs venue le rappeler. Cette cheville douloureuse l’a d’ailleurs cloué sur le banc face à Pau. Mais le champion de France 2005 n’en demeure pas moins un modèle de longévité. « C’est un phénomène, c’est indéniable. A trente-huit ans, il a encore de l’explosivité et de la vitesse, ces caractéristiques qu’habituellement, on perd avec l’âge, poursuit Frédéric Sarre. Et puis, il y a cette forme d’enthousiasme qu’il dégage dans l’engagement. Beaucoup de jeunes joueurs pourraient s’en inspirer ».
L’inaltérable combattant a été relativement épargné par les pépins physiques tout au long d’un itinéraire débuté en 1997 aux Thames Valley Tigers et cela explique sans doute aussi sa faculté à durer. Mais le secret de son éternelle jeunesse ne réside pas que dans ce corps préservé, il se loge aussi dans la tête. « Il faudrait l’emmener dans un laboratoire et l’autopsier pour en avoir le cœur net, plaisante Fred Sarre. Et il faudrait alors, en plus de prélever des fibres, faire une étude de son cerveau. Car le mental est un vrai plus dans sa carrière ».

« Il n’est pas très cup of tea et reste très Ricain dans l’âme »

La carrière en question est aujourd’hui entrée dans l’ultime ligne droite. En rempilant à la SIG, après deux années en Pro B – à Antibes et Limoges –, John McCord avait prévenu : cette saison serait la dernière. Dans deux mois, un peu plus si la SIG se hisse en play-offs, l’artiste aux 237 matches sur le sol français – série en cours – quittera la scène. Et son départ laissera fatalement un grand vide.
L’anoblissement du futur retraité, suggéré pas plus tard qu’hier dans ces colonnes, risque toutefois de se heurter à un petit obstacle. « Il n’est pas très cup of tea et reste très Ricain dans l’âme », sourit Fred Sarre. Dommage. Lord McCord, cela aurait plutôt fière allure.

Régis Schneider


L'Alsace du 14 mars 2011

SIG : la bonne surprise signée Nick Lewis

Nick Lewis a réalisé sa meilleure sortie de la saison samedi soir face à Hyères-Toulon. Le pivot strasbourgeois offre quelques possibilités supplémentaires à son équipe pour la fin de saison.
Il n’était pas forcément attendu à pareille fête. D’ailleurs, en début de rencontre, il a rongé son frein sur le banc de touche, ne prenant la mesure de l’air ambiant que durant 45 secondes lors du premier quart temps.

Lancé dans le grand bain au second quart temps, suite aux deux fautes de Pervis Pasco, il s’est distingué par deux paniers consécutifs à la 15 e, avant de prendre feu juste avant la mi-temps, avec un tir primé et un nouveau panier à deux points. Dans ce second quart temps, Nick Lewis n’a soufflé que 15 secondes, le temps nécessaire à Pasco pour écoper de sa troisième faute.
À l’arrivée, Nick Lewis a contribué largement à la belle victoire de la SIG samedi soir face à Hyères-Toulon, délivrant une belle feuille de statistiques : 15 points à 58 % de réussite (1 sur 4 à trois points, 6 sur 8 à deux points), 7 rebonds, 2 contres, 1 balle perdue pour une évaluation totale de 18. S’il n’a pas amélioré son record de points (17 contre Vichy), il n’avait pas encore capté autant de rebonds, ni atteint ce score à l’évaluation. Il faut dire aussi qu’il n’avait pas encore passé 24’15’’ sur le parquet lors d’un seul match (ses moyennes depuis le début de la saison : 6,2 pts, 2,3 rebonds, 4,8 d’évaluation en 12’).
«C’est une bonne surprise pour nous, témoigne son entraîneur Frédéric Sarre. Nick a réussi une très bonne sortie, il s’est concentré sur l’aspect physique. Il a été intéressant dans ce qu’il a montré dans l’engagement, dans la dureté défensive recherchée. Il l’a montré pour la première fois samedi. On va donc pouvoir lui en demander un peu plus que d’habitude, puisqu’il sait le faire ».
« Je me suis tout simplement senti bien avant-hier, souligne l’Américain de 2,09 m, arrivé en cours de saison après avoir effectué une pige à l’Iraklis Salonique. J’ai pu prendre beaucoup de shoots, j’ai été à l’aise en défense. J’avais une grosse responsabilité, vu que Pervis Pasco a été rapidement diminué par les fautes. Il fallait que j’apporte également mon écot au niveau du rebond. Sa sortie ne devait pas nous pénaliser. Il a fallu me concentrer sur la défense, notamment sur Rick Hughes. Je savais que si nous arrivions à le tenir, cela irait tout seul ».
La défense, voilà un point sur lequel Frédéric Sarre avait insisté tout au long de la semaine. Ne relâchant jamais leurs efforts, ses joueurs ont suivi à la lettre ses consignes et lui ont donné raison. « On s’est vraiment focalisé sur ce domaine, poursuit Nick Lewis. Le coach a insisté ces derniers jours sur le fait que lorsque nous défendons bien, l’attaque se bonifie. Samedi, nous avons contrôlé le rebond, et nous avons aussi pris plus de shoots. Tout est donc lié ».
Dans la course aux play-offs, qui reste très compliquée pour l’équipe strasbourgeoise, Nick Lewis a passé un message fort à son coach samedi : il peut compter sur lui. Frédéric Sarre ne s’en plaindra pas. À condition que l’Américain poursuive désormais sur la même voie. Tous les samedis.

Marc Wilb


Reportage France 3 Alsace

http://alsace.france3.fr/info/deux-rives/proa--sighyeres-toulon-83-66-67789954.html

Je ne sais pas pour vous mais je trouve que la présentation de l'équipe ne réveille pas trop le public, je trouve que c'est quand même bien plus vivant quand ils passent "Music was my first love", les joueurs se sentent alors soutenus (du moins je pense) et l'adversaire sait que le public est là pour encourager la SIG ... enfin ce n'est que mon avis ... si quelqu'un sait où transmettre le mot, je pense que pour Cholet ça pourrait être sympa avec un rhénus qui sera bien garni (à priori ) ...

Résumé du match

http://www.alsace20.fr/video.php?id=2258

newik68 a écrit:Je ne sais pas pour vous mais je trouve que la présentation de l'équipe ne réveille pas trop le public, je trouve que c'est quand même bien plus vivant quand ils passent "Music was my first love", les joueurs se sentent alors soutenus (du moins je pense) et l'adversaire sait que le public est là pour encourager la SIG ... enfin ce n'est que mon avis ... si quelqu'un sait où transmettre le mot, je pense que pour Cholet ça pourrait être sympa avec un rhénus qui sera bien garni (à priori ) ...

Il ne faut surtout pas réveiller le public! Ce serait très dangereux,ces braves gens égarés au Wacken pourraient en se réveillant brutalement ,tomber de leur siège et se blesser,vomir leurs knacks,ce qui serait franchement dégueulasse,demander des dommages et intérêts à la SIG qui est déjà fauchée.....

newik68 a écrit:Je ne sais pas pour vous mais je trouve que la présentation de l'équipe ne réveille pas trop le public, je trouve que c'est quand même bien plus vivant quand ils passent "Music was my first love", les joueurs se sentent alors soutenus (du moins je pense) et l'adversaire sait que le public est là pour encourager la SIG ... enfin ce n'est que mon avis ... si quelqu'un sait où transmettre le mot, je pense que pour Cholet ça pourrait être sympa avec un rhénus qui sera bien garni (à priori ) ...

Pour moi aussi c'est :

John Miles en intro
Les Black Eyes Peas après une victoire!

Mais bon niveau marketing c'est pas ça...demander à Lewis de dunker au lieu de Pasco.....l'an dernier on aurait demandé à Heurtel plutôt qu'à Darden?

Autre idée, le tir du milieu de terrain, on tire au sort parmi les gens du public et celui qui marque recoit un maillot dédicacé de la sig ...