Equipe 2014/2015

c'est pas encore fait,a priori la resignature de Harris ne sera pas annoncé aujourd'hui

cbabas a écrit:c'est pas encore fait,a priori la resignature de Harris ne sera pas annoncé aujourd'hui

Parmi ceux qui ont leurs entrées à la Sig, rien mais rien du tout ne filtre ?

van_pet a écrit:

Stéph a écrit:

cbabas a écrit:c'est pas encore fait,a priori la resignature de Harris ne sera pas annoncé aujourd'hui

Parmi ceux qui ont leurs entrées à la Sig, rien mais rien du tout ne filtre ?

Autant avant (en juillet) il y avait quelques trucs a se mettre sous la dent, autant la c'est mort. Soit c'est vraiment très confidentiel, soit il n'y a rien de sérieux, soit je suis grillé  

Après ça dépend de ce que l'on entend par entrée aussi   

Le plus inquiétant serait qu'il n'y ait rien de sérieux...

Et Jérémy LELOUP, il a changé de passeport ou il a une permission signé de VC ?

Le Mans cherche aussi un 4 fuyant :

http://www.catch-and-shoot.com/livenews/le-mans-a-la-recherche-dun-poste-4-fuyant/2014/

Le MSB contrairement a nous ,a du lourd au poste 5

Oui enfin faut pas non plus dévaloriser le recrutement strasbourgeois... Traore s'est pas le premier venu ! Contrairement à yarou il offre des garanties sur son adaptation à la proA et en terme d'état d'esprit ! Si il retrouve ses moyens physiques pas sûr qu'on perde au change

Les supporters du MSB évoquent le nom de Will Daniels. Tiens, on n'en a pas parlé ici

van_pet a écrit:

Stéph a écrit:Les supporters du MSB évoquent le nom de Will Daniels. Tiens, on n'en a pas parlé ici

Il a été très bon sur les premiers matches d'EL mais alors sur la seconde partie de saison il s'est complètement éteint... C'était sensé être l'un des leaders de l'équipe, et il n'a pas su le faire dans la durée et si Nanterre n'a pas fini dans les 8, il a sa part de responsabilité... Je ne serais pas convaincu par sa venue, il n'est pas très fiable. Pas sportivement (car il a du talent, certains de ses matches le prouve) mais mentalement.

On construit une équipe de joueurs battants avec de l'agressivité, de l'envie, et un esprit d'équipe fort. Il faut que le dernier rentre dans le même moule sinon la stratégie du staff ne peut pas (ou pas bien) fonctionner

ok

Les DNA consacre la une d la page sportive à ALI :


Basket-ball Carrière, blessures, objectifs : le nouveau pivot de la SIG se confie

Ali, là et bien là



À Strasbourg, Ali Traoré est résolu à regarder à nouveau vers le haut. « Toutes les conditions sont réunies », estime le joueur. Ali Traoré ne cache pas son impatience à l’idée de porter le maillot de la SIG. Au sortir de deux années compliquées, la recrue phare du club strasbourgeois entend à nouveau briller au plus haut niveau.


Il piaffait d’impatience depuis des semaines, il en trépignait presque. Alors que tout le pays n’aspire qu’à une seule chose, partir en vacances, Ali Traoré, lui, n’avait qu’une hâte : reprendre le chemin de l’entraînement. Et c’est avec un enthousiasme de junior qu’il a pris possession du parquet du Rhenus lundi après-midi, en compagnie de Paul Lacombe et Axel Toupane.

« J’ai faim de basket, lâche le colosse (2,05 m). Je suis vraiment dans la peau du gamin qui vient d’arriver et veut prouver qu’il appartient toujours au haut niveau. Alors oui, j’ai un énorme appétit et une féroce envie de bien faire. En plus, je retrouve le basket qui me plaît et ça a ajouté à mon empressement. »

« J’étais plus dans les bas que dans les hauts »

Le basket qui plaît tant au nouvel homme fort de la SIG, c’est celui de Vincent Collet (lire par ailleurs). La collaboration entre les deux hommes a donné de probants résultats par le passé et la perspective de rejoindre, en Alsace, celui qui l’a cornaqué dans le Rhône a évidemment compté dans sa décision.

« Je sors de moments plutôt difficiles dans ma carrière, j’étais plus dans les bas que dans les hauts, et je me suis demandé : “Avec qui ai-je eu le plus de succès ? Avec Vincent”. Ça s’était très bien passé, aussi, avec Bozidar Maljkovic en Russie (à Kuban, ndlr) , mais j’étais dans l’optique de revenir en Pro A et je me suis dit que ce serait une bonne chose de rejouer sous ses ordres. »

Avec Strasbourg, la cour aura duré une longue année et, comme toute cour qui se respecte, elle aura été marquée par un certain nombre de rendez-vous manqués. « Ça a été un chassé-croisé incessant », sourit la recrue XXL.

L’été dernier, Ali Traoré était déjà sur les tablettes de la SIG, lorsqu’Alexis Ajinça était pressenti ailleurs, mais la visite médicale n’avait pas été concluante. « Je n’étais pas suffisamment remis de ma blessure au genou. »

En janvier, le costaud, tout juste coupé par Nanterre, est à nouveau pisté par le staff alsacien après le départ, effectif cette fois, d’Alexis Ajinça pour la NBA. « Nos intérêts convergeaient, mais les règlements de la LNB m’interdisaient de signer dans un autre club français. » Enfin, en mai, la SIG se tourne à nouveau vers le natif d’Abidjan pour pallier l’indisponibilité de Romain Duport, mais le double All-Star de la Ligue disputait alors les play-offs… au Liban, avec son club d’Amchit.

Les deux parties ont fini par tomber dans les bras l’une de l’autre il y a dix jours. « À la quatrième tentative, s’esclaffe Ali Traoré. Ce n’est pas commun quand même. » Entre le pivot et son nouveau club, le coup de foudre n’était donc pas passager et l’envie de travailler ensemble bien réelle. « J’ai eu d’autres pistes cet été, y compris à l’étranger, mais je privilégiais vraiment celle-là parce que je me disais que pour retrouver les sommets, Strasbourg était le meilleur endroit pour moi. »

L’intérieur passé par la Virtus Rome et l’Alba Berlin sort en effet de deux années compliquées, entre pépins physiques et « choix malheureux ». « C’était assez pénible à vivre », souffle le gaillard, décidé à retrouver son niveau d’avant, déterminé à « redevenir l’Ali de 2011-12 ». « Venir ici, c’est une deuxième chance d’atteindre mes objectifs et je compte bien la saisir. Je sais aussi que je n’atteindrai mes objectifs individuels que si la réussite collective est au bout. »

“Mandrake” sort de son chapeau un discours ambitieux

Alors, à l’orée de la saison, “Mandrake” – l’un de ses surnoms, copyright Jacques Monclar – sort de son chapeau un discours ambitieux. « Je pense que, sans fanfaronner, on peut viser un titre cette année. À court terme, on va aussi jouer à fond la qualification en Euroligue. Personne ne sera prêt à ce moment-là (le tournoi qualificatif se dispute du 23 au 26 septembre à Ostende) , mais on aura l’avantage d’avoir quelques certitudes au niveau collectif, puisque l’ossature a été conservée. Ça peut passer et si ça ne passe pas, on aura un beau lot de consolation avec l’Eurocoupe. »

Le champion de France 2009 n’arrive pas non plus en terrain inconnu. Sur les bords de l’Ill, outre Vincent Collet, il fera équipe avec Paul Lacombe, qu’il a côtoyé à l’Asvel, et Romain Duport, son coéquipier au Havre entre 2006 et 2008.

« Ce sont mes “petits”, glisse le géant. Je leur ai tout appris, sur le plan du basket… et en dehors. » Et ces affinités ont également pesé dans la balance. « Une bonne entente, c’est primordial dans les résultats d’une équipe. Je sais que l’ambiance sera bonne et ça ne pourra que se ressentir sur le parquet. Non, vraiment, toutes les conditions sont réunies. Si je ne réussis pas, ça ne pourra être que de ma faute ! »

À 29 ans, Ali Traoré est un homme « serein ». « Il y a encore quelques mois, j’étais surtout animé par un sentiment de revanche (par rapport à son passage à Nanterre) , mais je me suis dit que ce serait contre-productif. Là, j’ai envie de prouver de façon positive. »

Serein donc, et… « excité ». « Je suis un passionné. Pour être performant, j’ai besoin de kiffer ! Ce sera le cas ici. On a fait deux ou trois exercices lundi, des “picks”, des trucs tout bêtes, et j’étais en extase… » Et il n’y a rien de gênant à ça.

Par RS

Et aussi :


Avec Vincent Collet, Un duo qui gagne


Ali Traoré et Vincent Collet, période villeurbannaise.




À Strasbourg, Ali Traoré va retrouver Vincent Collet. Le binôme a été titré avec l’Asvel il y a cinq ans.

Le tandem Vincent Collet – Ali Traoré a déjà récolté quelques lauriers, que ce soit en club ou en équipe de France. Les deux hommes ont été sacrés champions de France en 2009 avec l’Asvel et c’est sous les ordres de Vincent Collet qu’Ali Traoré a décroché, un an plus tard, le trophée de MVP français de Pro A. En 2011, en Lituanie, l’argent est venu récompenser leur campagne internationale commune.

« Au début, c’était tout de même un peu compliqué. Il m’a fallu désapprendre ce que j’avais appris pour apprendre la façon de jouer de Vincent, sourit l’intérieur formé à Villeurbanne. Mais ensuite, tu ne peux qu’adhérer. C’est un basket de mouvement, un basket où les cinq joueurs sur le terrain sont impliqués. Ça me plaît… et ça m’a manqué de jouer ainsi. »

Pour Ali Traoré, la reprise au Rhenus, avant-hier, s’est faite sans le coach, mais avec son adjoint Pierre Tavano, l’homme qui lui a mis le pied à l’étrier. « Il a été mon découvreur. Il avait participé à une détection en région parisienne, à Courbevoie et m’avait signé au centre de formation de l’Asvel… juste avant de se barrer au Mans ! »

Et encore :

Très social sur les réseaux





Les « gênant », qui ponctuent certains de ses tweets , sont devenus cultes. Une marque de fabrique en quelque sorte. Avec Ali Traoré, la SIG tient l’un des “twittos” les plus truculents et les plus prolifiques de la sphère basket. Il est évidemment question de grosse balle orange sur son compte – qui retrace ses péripéties sportives aux quatre coins de la France et de l’Europe –, mais pas uniquement.

Les jeux vidéo vintage , The Voice, Game of Thrones, pour citer quelques-uns de ses thèmes de prédilection, mais aussi Mister Bean, les bouchons sur les autoroutes des vacances ou Bernard-Henri Levy – la liste est très loin d’être exhaustive –, Ali Traoré gazouille à tout va, dans le sillage et l’esprit de l’excellent blog qu’il a tenu il y a quelques années sur le site basketsession.

« Ce qui est marrant, c’est qu’à la base, je ne voulais absolument pas aller sur Twitter, sourit le pivot de la SIG. J’avais peur de moi-même, de ce que je pouvais dire. Mais maintenant, je maîtrise parfaitement l’outil et c’est, pour moi, le meilleur vecteur de communication actuel. Tu peux communiquer sur ton actualité et suivre celle qui t’intéresse. Je pourrais presque y passer ma journée. »

Ali Traoré ouvre également grand les portes de son univers privé et ses 17 569 followers (abonnés, ndlr) n’ignorent rien des aventures de sa famille. À l’image de sa photo de profil, qui le représente assis sur une balançoire bien trop petite pour lui, @bomaye12 sait faire preuve d’autodérision. « Ce que vous voyez sur Twitter, c’est moi. Il n’y a pas d’ajout, pas de filtre. Parfois, je m’approche de la limite, mais je veille à ne pas la dépasser. La limite, elle réside dans le fait de ne blesser personne. J’aime bien “chambrer”, mais je ne veux pas que quelqu’un se trouve vexé ou insulté. »

S’interdit-il d’aborder certains sujets sur les réseaux sociaux ? « Je parle un peu de politique, mais vite fait. Je lance un hameçon et je disparais en courant, comme le gamin qui a jeté un pétard (sourire). Cela étant, oui, il y a des réflexions que je garde pour moi, comme celles qui concernent le conflit israélo-palestinien. J’ai mon avis là-dessus, mais j’évite de rentrer dans les débats parce que ça peut vite devenir compliqué. »

La meilleure arme d’Ali, de toute façon, reste l’humour. L’une de ses dernières saillies, si l’on ose dire, vieille d’à peine 48 heures ? « Ça va me manquer d’écouter “Lahaie, l’amour et vous” sur le trajet de l’entraînement… #RMCenAlsace. »

R. SCH.

Et enfin :

Le Liban

« Dans la peau de l’étranger »

Durant cinq mois, de février à juin, Ali Traoré a joué au Liban, à Amchit. Une destination pour le moins exotique et une expérience pas banale. Souvenirs…

« J’ai découvert un pays et des gens formidables, très loin de l’image qu’en donnent parfois les journaux. J’ai découvert un autre basket aussi, même si le niveau n’était pas “dingue”. Il y a deux ou trois bonnes équipes, qui sont l’équivalent du milieu de tableau de Pro A (…). Ça m’a en tout cas permis d’être dans un rôle que je n’avais pas forcément eu jusque-là dans ma carrière. J’étais un mec qui jouait vingt, vingt-cinq minutes par match, qui aimait bien sortir du banc, et là, je me retrouvais dans la peau de l’étranger qui doit “performer” direct. Je jouais trente-cinq minutes, je commençais et terminais les rencontres, je devais être un leader.

Au final, je pense que ça a été un bon échauffement pour cette saison. Je ne tournerai peut-être pas à vingt points (sourire) , mais ces quelques mois m’ont préparé à avoir des responsabilités. Vincent (Collet) souhaite que je sois un leader sur et en dehors du terrain et je compte bien assumer ce statut.

Dans L'Alsace il est indiqué :

SIG : reprise collective le 13 août


Sans son meneur Antoine Diot et son entraîneur-sélectionneur national Vincent Collet, actuellement en stage avec l’équipe de France, la SIG (Pro A) se ...retrouvera le 13 août ...

Suis pas abonné donc j'ai pas accès à la suite de l'article.

Si quelqu'un peut nous partager l'info, cela sera avec plaisir   

Cela veut-il dire qu'il faudra encore attendre jusqu'au 13 ou plus pour enfin connaître la composition du roster   

Si un 4 scoreur est recherché, les joueurs de l'est peuvent être de bons choix, et alors là, il y en a des tonnes, grands et bons au shoot. Les réserves que certains avaient sur ce type de joueurs concernaient plus les profils de type 4-5.

van_pet a écrit:

Stéph a écrit:Si un 4 scoreur est recherché, les joueurs de l'est peuvent être de bons choix, et alors là, il y en a des tonnes, grands et bons au shoot. Les réserves que certains avaient sur ce type de joueurs concernaient plus les profils de type 4-5.

Je suis d'accord, en terme de shoot on fait difficilement mieux qu'a l'Est.

C'est plus dans la peinture que j'ai des doutes face aux qualités physiques et athlétiques des postes 5 du championnat

Au fait Usche y fait quoi ? (tjrs blessé ?)
c'est juste une question,pas une piste ok ! (à moins qu'on parte encore sur 2 recrues + pigiste ce que je ne crois pas  mais ça aurait le mérite de densifier la raquette et d'avoir de belles rotations dessous).

van_pet a écrit:Uche il fait rien, mais il paraissait bien cramé l'an dernier. Il va partir sur ses 37 ans la saison prochaine quand meme...   

une sorte de Steve Payne !   
Ok, c'était juste pour savoir.

van_pet a écrit:Uche il fait rien, mais il paraissait bien cramé l'an dernier. Il va partir sur ses 37 ans la saison prochaine quand meme...   

Et il avait la réputation de ne pas avoir l'esprit team, alors bye bye Usche.