PRO A : 13 ème Journée : Orléans - SIG

je ne connais pas beaucoup Zig est ce que quelqu'un a des anciennes stats de ce joueur?

Thierry Zig est un 2 voire un 2/1 pas un 2/3 comme beaucoup l'ont déja dit.

John White a écrit:Thierry Zig est un 2 voire un 2/1 pas un 2/3 comme beaucoup l'ont déja dit.

C'est bien un 2/1 comme le dit John White et plus shooteur que slasher.

boon a écrit:

John White a écrit:Thierry Zig est un 2 voire un 2/1 pas un 2/3 comme beaucoup l'ont déja dit.

C'est bien un 2/1 comme le dit John White et plus shooteur que slasher.

Ah c'est ce que je me disais aussi que c'était plutôt un arrière shooter, vu sa taille et comme je me rappelais avoir lu qu'il prenait plus de 70% de ses shoots derrière la ligne des trois points, du temps où il était Paris. Mais comme ici on en parlait comme d'un 2-3 je pensais que je m'étais mal souvenu.
En tous cas s'il était signé, il partagerait le poste 2 avec Nissim, ce qui aurait comme conséquence qu'Obasohan évoluerait en 3 et pourrait même dépanner en 4 si McCord est trop diminué (au lieu de l'utiliser en 2-3 comme maintenant). On pourrait même voir par séquences, des 5 de petites tailles comme Girard en fait quasiment à chaque matchs et dans cette configuration on aurait Zig en poste 3.

DNA du 07 janvier 2008

A deux pas du bonheur
Victorieuse dans le Loiret, la SIG termine son cycle aller en boulet de canon. Elle a deux matchs pour valider son ticket pour la Semaine des As.
Depuis maintenant deux bons siècles, un lièvre ne peut pas croiser une tortue sans baisser les oreilles et se sentir tout penaud. La faute à Jean de la Fontaine et à sa cultissime fable érigeant la ponctualité en mère de toutes les vertus.
Cette année, le lièvre tient peut-être enfin sa revanche, grâce à une équipe strasbourgeoise lancée sur un rythme effréné pour tenter de rallier Hyères-Toulon le 6 février, au nez et à la barbe de Roanne, du Havre ou plus probablement encore de Cholet.

La SIG affiche enfin un solde excédentaire

Au ralenti en début de championnat, la SIG a trouvé son rythme de croisière dans le dernier mois avant la trêve, en remportant les quatre matchs avant Noël. A Orléans, elle en a ajouté un cinquième de rang, grillant au passage la priorité à une Entente qui songeait elle aussi à aller se faire dorer la pilule sur la Côte à la fin de l'hiver.
Et pour la première fois de la saison, Strasbourg affiche un solde excédentaire : sept victoires pour six défaites. C'est mieux, mais pas encore suffisant.
Mathématiquement, six équipes restent en course pour cinq places. Mais Vichy n'a besoin que d'un succès pour composter son ticket, voire de deux défaites sur des scores raisonnables (*). Avec l'ASVEL et Nancy, déjà qualifiés, cela fait déjà trois tortues - ou plutôt lièvres équipés de réveils - arrivées à bon port. Et on ne parle pas du HTV, qualifié d'office en tant que club organisateur.
A une victoire des Auvergnats, Le Havre et Roanne sont à peine moins bien lotis. Vainqueurs respectifs de Chalon et Clermont samedi soir, ces deux formations ont leur destin entre leurs mains. Un succès lors de leurs deux dernières rencontres aller et elles joueront la Semaine des As. Le Mans est dans le même cas de figure mais la défaite concédée hier contre le PBR pourrait laisser des traces. Enfin Cholet et la SIG n'ont pas dit leur dernier mot.
Les joueurs des Mauges, pour l'heure septièmes et derniers qualifiés, ont pourtant grillé un joker à l'occasion de cette 15e journée en perdant face à Vichy. Résultat, les Choletais sont rejoints par la SIG et ne devancent les Alsaciens que de 14 points au point average.
En déplacement à Nancy samedi prochain avant de recevoir Clermont, Cholet est en danger.

L'équipe alsacienne jouera sa qualification au Mans

Pas autant tout de même que cette SIG confrontée à une pente de plus en plus ardue. Vainqueur à Dijon, Gravelines puis Orléans, Strasbourg devra d'abord éviter le faux-pas, samedi contre le Havre, puis réussir un nouvel exploit.
Selon toute vraisemblance, c'est à Antarès, face au Mans, que les Alsaciens joueront leur «qualif». Au pays des rillettes, tous les lièvres seront alors derrière eux.

Cyril Tromson
(*) En cas d'égalité, les équipes sont départagées par le coefficient points marqués sur points encaissés.

20 Minutes du 07 janvier 2008

Des remous à la SIG

Vainqueurs pour la 5e fois d'affilée en championnat, samedi à Orléans (69-74), les coéquipiers d'Afik Nissim con­servent intactes leurs chances de qualification pour la Se­maine des As. Après 13 journées de Pro A, leur 8e place leur autorise tous les espoirs. Pourtant, les déclarations, hier matin dans les DNA, de l'intérieur Sacha Giffa (« Si on continue à ce rythme avec deux matchs par semaine, on va finir à quatre sur le terrain ») et de l'entraîneur Eric Girard (« On est au bout de la corde »), déplo­rant le non-remplacement de Kevin Hou­ston (blessé) dans l'effectif, font jaser. « Je trouve ça déplorable, lâche le directeur sportif Jérôme Rosenstiehl. Le 31 décembre, on a eu une réunion avec Giffa, McCord, le staff et les dirigeants pour évoquer l'avenir à court terme. On a décidé d'attendre une dizaine de jours et d'en savoir plus sur les pronostics de reprise de Houston avant de décider ou non du recrutement d'un pigiste médical. Si certains ne sont plus sur la même longueur d'ondes, qu'ils me le disent. »

J. S. - ©2008 20 minutes

L'Alsace du 07 janvier 2008

Pro A SIG : de la friture sur la victoire

Pas loin de correspondre au succès le plus probant de la SIG cette saison, la sortie des hommes d’Eric Girard à Orléans ce week-end et les commentaires qui ont suivi ont provoqué de criants grincements de dents.

A la veille du beau succès décroché par les Strasbourgeois à Orléans (69-74), on avait entendu les habituelles craintes manifestées par le staff sportif devant la maigreur de l’effectif de la SIG. L’absence de Gauthier Darrigand, malade pour l’échéance, risquait une nouvelle fois de révéler la dangerosité de l’exercice d’équilibriste auquel joueurs et entraîneurs se consacrent depuis le départ de Bernard King, le pigiste médical en échec chargé de remplacer Kevin Houston. Comme souvent, du côté des dirigeants, on s’était consacré au traditionnel jeu de la sourde oreille.
Mais quand l’appel à un renfort exprimé par Eric Girard après la cinquième victoire d’affilée par la SIG a été relayé par Sacha Giffa, soulignant « l’exploit réalisé avec un groupe restreint », la pression verbale du pôle sportif est visiblement apparue insupportable. « Il n’est pas tolérable de faire passer les dirigeants du club pour des négriers ou des esclavagistes », a tonné le directeur sportif, Jérôme Rosenstiehl, en charge de mettre en phase les positions présidentielles avec les exigences sportives. « Les joueurs sont payés pour jouer, l’entraîneur pour entraîner et moi pour gérer le tout. Il est bien mieux que chacun reste dans sa paroisse ».

« Une mauvaise image du club »
Au programme dans les heures à venir, d’incontournables mises au point sont susceptibles d’éclaircir la situation, de rendre plus limpide le message et de redéfinir les rôles. Car en l’état, on n’est pas loin de croire que les joueurs et le staff technique évoluent sous la houlette de dirigeants coupables de faire bien peu de cas de leurs efforts. Le directeur sportif strasbourgeois se refuse, en tout cas, de rester les bras ballants devant des propos qui ne sont pas loin de correspondre au franchissement d’une ligne jaune. « Tout d’abord, ces déclarations donnent une très mauvaise image du club », a poursuivi Jérôme Rosenstiehl. « Ensuite, ils ne respectent pas ce qui a été décidé voilà quelques jours. Une réunion est intervenue à la reprise avec le président, Eric Girard, Jérôme Navier (ndlr : son adjoint), John McCord, Sacha Giffa et moi-même. On a décidé de se laisser dix jours pour voir s’il fallait engager quelqu’un, dans l’attente, d’une part, d’évaluer la forme du groupe à son retour de vacances, de l’autre, de juger de l’avancée de Kevin Houston dans sa convalescence. On est loin de l’échéance qu’on s’est fixée alors ».
Les récriminations sportives peuvent également apparaître déplacées au regard des productions de Rob Lewin et d’Afik Nissim samedi, leur plus convaincante dans une configuration collective qui n’a jamais été aussi limitée. Mais, du haut de ses 34 ans, John McCord, touché au mollet, n’a jamais autant joué. Et le rythme bihebdomadaire des rencontres n’est pas loin de susciter les interrogations, alors que la SIG a été fessée à quatre reprises dans les grandes largeurs depuis le début de la saison, dont trois fois en Coupe ULEB. L’opposition face à l’un de ses bourreaux, Zgorzelec, mardi, pour la revanche, ne sera pas loin de correspondre à une source d’enseignements quant à l’efficacité de l’explication de texte prévue dans les prochaines heures.

François Namur

Attention sacha,cul cul pan pan ! Ah non mais qui c'est le chef ? Fouchtra ,quel coup de sang! On a bien compris qu'il faudra que les gars soient sur les genoux ou à l'infirmerie pour avoir du renfort! Cela dépendra-t-il de la hauteur de la déculottée qui s'annonce demain soir ??
A la limite l'uleb ne sera plus qu'un rêve dans cette configuration,mais les joueurs qui étaient susceptible de resigner vont peut-être y réfléchir à deux fois...

N'oubliez pas ce soir, rediffusion du match sur Alsatic TV à 20h15

Vous êtes sûr pour Zig ? je dois confondre avec un autre joueur alors

Britton Johnsen qui lui est un 3/4 est actuellement libre.

John White a écrit:Britton Johnsen qui lui est un 3/4 est actuellement libre.

Mais c'est davantage un 4 qu'un 3. De plus, quoique extrêmement doué, il est très soliste. Ce joueur me ferait peur.

Non, je pense qu'on a besoin d'un vrai 3, puisqu'il y a ce qu'il faut à l'intérieur (McCord ne semble pas blessé, juste au repos) avec 4 joueurs dans la raquette et ce qu'il faut aux lignes arrières : Shannon, Darrigand, Nissim et Obasohan qui peut jouer 2.

C'est bien au poste 3 que ca coince, et c'est en raison de ce manque que McCord doit jouer aussi à ce poste, multipliant ainsi son temps de jeu avec les conséquences que l'on sait.