PRO A 6ème journée : Besançon 74- Strasbourg IG 72 ....

Damned! Voilà notre 1ère défaite à l'extérieur.
La 2ème MT (surtout le 3ème QT) a été catastrophique.

3ème défaites et 3ème dans le money-time, ça commence à faire mal.

FIn du match : 74-72, soit 14-17 sur le quart. Les Sigmen payent un rebond déficitaire (35-30), un manque d'agressivité offensive (7 lancers tirés contre 18 aux Bisontins) et le très bon pourcentage à 3 pts de ses hôtes (7/16).

Defaite 74 A 72

Simon seulement 2 pts en 2e mi temps je crois

sacrée journée:dijon a battu lemans avec sanders,roanne a du aller en prolongation pour battre le havre, pau s'est encore enfoncé a domicile contre vichy, et nancy qui menait de 14pts dans le 3ème quart a failli se faire remonter par cholet avec un séaphin qui a confirmé avec 17pts à 100% et 7rbds.

et Rush n'a joué "que" 25 minutes
j'espère qu'il est pas blessé

1ere défaite du Mans aussi de 2pts contre Dijon

McCord 16pts a100% a 2pts & 3pts 2sur3 aux lf 14rebs 3int 5pd 1c en 40 min

N°13 a écrit:et Rush n'a joué "que" 25 minutes
j'espère qu'il est pas blessé

1ere défaite du Mans aussi de 2pts contre Dijon

Rush a été sorti du match par ses fautes.

moi a écrit:

N°13 a écrit:et Rush n'a joué "que" 25 minutes
j'espère qu'il est pas blessé

1ere défaite du Mans aussi de 2pts contre Dijon

Rush a été sorti du match par ses fautes.

ah ouais, j'avais pas fais gaffe, autant pour moi merci

DNA du 09 novembre 2008

Basket-ball / La SIG s'incline à Besançon (74-72)

Rageant !

A l'issue d'un combat épique, d'un final haletant et d'un ultime contre de John Ford sur Sacha Giffa, Besançon a maté la SIG (74-72). Les Strasbourgeois, qui pouvaient penser avoir fait le plus dur avant la pause, ont concédé dans le Doubs leur premier revers de la saison à l'extérieur.
De notre envoyé spécial à Besançon
A la question de savoir s'il avait échafaudé un plan anti-Rush, meilleur marqueur de Pro A avant cette 6e journée, Alain Thinet, le coach bisontin, a répondu par une boutade avant le coup d'envoi : « Le seul plan qu'on ait, c'est de l'enfermer à clef dans le vestiaire... ». Le stratège franc-comtois s'est finalement bien gardé de recourir à ce genre de manoeuvre, parfaitement répréhensible d'ailleurs.

« On fait de la périphérie, on n'avance plus »

En revanche, l'application défensive de ses troupes a grandement contribué, hier soir, à bâillonner l'atout offensif n°1 de la SIG, du moins à diminuer son rendement. S'il ne doute visiblement jamais, comme en attestent ces deux coups de poignet derrière l'arc qui ont donné quatre longueurs d'avance aux Strasbourgeois (62-66) à l'entame du money-time, l'arrière US, très vite handicapé par les fautes, a fini la rencontre avec 12 petits points au compteur, à 33% d'adresse seulement, très en deçà de sa moyenne (25,4) jusque-là.
« C'était l'une des clefs du match, confie Alain Thinet après le coup de sifflet final et l'ultime contre de John Ford sur Sacha Giffa. Plus largement, c'est notre impact défensif en seconde période qui a fait la différence. On a été plus compact, plus appliqué et on ne leur a pas donné de paniers faciles. Les joueurs ont fait le job, y ont mis tout leur coeur ». Deuxième attaque de la ligue avant ce déplacement, la SIG est resté scotchée à 72 unités dans le palais des sports bisontin.
Fred Sarre, lui, peut regretter « une multitude de choses ». « C'est la deuxième de nos trois défaites où on termine avec une évaluation supérieure à notre adversaire (83 à 80 hier, ndlr). Ça me fait un peu "caguer" ce genre de truc. On fait une bonne prestation, il nous manque seulement deux ou trois choses pour faire basculer le match en notre faveur ». Comme ce manque d'agressivité et de percussion après la pause (4 fautes provoquées seulement en seconde période, 12 au global). « On fait de la périphérie, on n'avance plus, appuie le coach strasbourgeois. Et on passe au travers au niveau du scoring ».
Bien entrés dans la partie, avec un Simon dominateur au poste et un Obasohan très en jambes, les Strasbourgeois peuvent aussi s'en vouloir de ne pas avoir su conserver une avance de dix points (34-44, 18e') qui devait alors beaucoup à la belle activité de Darrigand et à un Mendy extrêmement rentable (5 pts, une passe, un rebond en 5'15"). « C'est là qu'il faut qu'on contrôle pour rentrer aux vestiaires avec un matelas plus confortable, regrette le Limougeaud. Si on cumule la fin du deuxième quart-temps et le début du troisième, le déficit est cher ».

La SIG a perdu un match dur et dingue

Car non content d'avoir gommé une partie de ce débours avant les citrons, les coéquipiers d'un Darnauzan teigneux à souhait ont renversé la tendance grâce à un Hawkins pas forcément attendu à pareille fête à longue distance (3/4 à trois points pour celui qui tournait à 8/26 dans cet exercice avant la rencontre). A 74-72 à 13" du terme, après le seul échec de Gunn aux lancers en neuf tentatives, la SIG a été une dernière fois en droit d'y croire.
Dans une atmosphère devenue irrespirable, Darrigand, par ailleurs exemplaire, n'est toutefois pas parvenu à conclure en pénétration. La balle rendue au Dacquois, ligne de fond à 2" du gong, n'a plus rien changé. Dommage. Dans le Doubs, la SIG a perdu un match dur et dingue. Elle avait sans aucun doute les moyens de le gagner.

Régis Schneider

Repères - LE FILM DU MATCH

BESANÇON 74 - SIG 72

Palais des Sports. 3000 spectateurs. Arbitres : MM. Chambon et Bretagne, Mme Julien. Quart-temps : 24-25, 16-19 (mi-temps : 40-44), 20-11 (60-55), 14-17 (74-72).
- BESANÇON : 26 paniers sur 60 tirs (43 %), dont 7 sur 16 à trois points (44 %), 15 LF sur 18 (83 %), 36 rebonds (Hawkins 9) dont 9 offensifs, 14 passes décisives (Darnauzan et Ford 4), 4 interceptions, 15 balles perdues, 12 fautes. Darnauzan 5, Gunn 22, Hawkins 15, Doellman 14, Ford 9, puis Schmieder 4, Fellah 3, Diene, Hoard 2.
- SIG : 31 paniers sur 65 tirs (48 %), dont 7 sur 21 à trois points (33 %), 3 LF sur 7 (43 %), 32 rebonds (Lewin 9) dont 8 offensifs, 14 passes décisives (Rush 3), 10 interceptions, 12 balles perdues, 20 fautes (Rush, 38e', éliminé). Essart, Rush 12, Obasohan 12, Giffa 9, Simon 12, puis Darrigand 9, Mendy 5, Allen 12, Lewin 1, Gentil.
Simon veille au grain au rebond, Giffa allume derrière l'arc et la SIG s'enfuit à 0-5 après 35". Puis les débats s'équilibrent (19-18, 7e') et donnent lieu à un sacré duel à distance entre la paire Gunn - Doellmann, créditée de 18 points à la fin du 1er acte, et le tandem Simon - Obasohan, qui totalise 20 points. Rush, lesté de deux fautes, a dû regagner le banc dès la 7e'.
Fin du 1er quart : 24-25.
Les Strasbourgeois haussent le ton en défense. Sur les ailes d'Allen, la SIG inflige un 0-9 aux Doubiens (26-34, 14e'). Darnauzan sonne la révolte franc-comtoise, mais la SIG accélère une deuxième fois grâce à Mendy et Darrigand (34-44, 18e').
Mi-temps : 40-44.
Hawkins sort de sa boîte avec cinq points de rang (45-46, 22e'), les locaux prennent la tête (50-48, 23e'). Les défenses deviennent étouffantes. Rush (un panier en première période, deux dans ce quart) permet à la SIG de rester au contact (54-53, 27e', puis 57-55, 29e'), mais le dernier mot revient à Fellah qui score à 6,25 m au buzzer.
Fin du 3e quart : 60-55.
La bataille devient épique. Après six échecs successifs, Rush griffe par deux fois à trois points (62-66, 35e'), mais écope de deux fautes dans la foulée. Gunn convertit ses trois lancers (68-66, 36e'). Rush prend sa 5e faute, Gunn ne tremble toujours pas sur la ligne de réparation (72-70, 38e'). A 40" du dénouement, Allen entretient le suspense (73-72). A 74-72, la SIG a le ballon pour une remise en jeu ligne de fond. Giffa hérite de la gonfle, mais la grosse paluche de Ford vient ruiner les espoirs d'égalisation strasbourgeoise...
Fin du match : 74-72.

R. Sch.


L'Alsace du 09 novembre 2008

Basket-ball La SIG rate le coche

Les basketteurs strasbourgeois se sont inclinés sur le fil, hier soir à Besançon, à l’issue d’une rencontre âprement disputée (74-72).

Il reste 13 secondes avant le coup de sifflet final. Les joueurs de la SIG ont deux longueurs de retard (74-72). Lorsqu’ils retournent sur le terrain après le temps mort demandé par leur entraîneur, Gauthier Darrigand se précipite vers le panier, tire, mais rate sa cible. Le corps arbitral siffle alors un un-contre-un et les protégés de Frédéric Sarre récupèrent la balle. Gauthier Darrigand passe alors la balle à Sacha Giffa qui lui non plus ne parvient pas à marquer. Les Alsaciens, partis dans le Doubs pour tenter d’empocher une troisième victoire consécutive après celles enregistrées à Dijon et face à Cholet, rentrent chez eux sans avoir confirmé ces résultats prometteurs. David Simon et les siens ont sans doute perdu la rencontre dès le second quart temps. Eux qui avaient compté 10 longueurs d’avance (34-44 à la 18e, écart maximal de la partie), perdent progressivement du terrain. Ils avaient pourtant réussi à réciter leur jeu face à des Bisontins bien imprécis dans leurs passes et surtout bien tendres en défense, constamment à la traîne. Et ce, malgré un Simon Darnauzan qui remplissait parfaitement son contrat alors qu’Ahmed Fellah, de retour de blessure, restait plus longtemps que de coutume sur le banc de touche. Les Bas-Rhinois, crédités d’un 65% de réussite au cours des dix premières minutes, semblaient donc bien partis pour continuer à mener les débats, d’autant qu’ils plantaient alors quelques shoots à trois points du plus bel effet.

Manque d’agressivité

Mais en face, les Francs-Comtois, toujours privés de Raphaël Desroses, montaient en puissance et resserraient les rangs en défense. Ils donnaient l’impression de prendre peu à peu l’ascendant face à des Strasbourgeois en légère perte de vitesse qui n’avaient plus que quatre modestes points de plus que les locaux au moment de rejoindre les vestiaires (40-44). Les joueurs de la SIG auraient cependant sans doute pu repartir de l’avant à l’entame du troisième quart temps. Encore aurait-il fallu qu’ils fassent preuve de davantage d’agressivité et de percussion, ce qui est alors loin d’être le cas. Ils n’imposent pas le rythme, ils le subissent. Face à des adversaires qui se battent sur toutes les balles et ne lâchent rien, Brion Rush, en-deçà de ses prestations habituelles, et ses partenaires ne contrôlent plus la situation. Face à la défense toujours aussi imperméable des Bisontins, ils manquent d’organisation et lâchent du lest. Le verdict est sans appel : ils vont perdre la main au cours de ces dix minutes si cruciales, concédant onze points durant ce laps de temps (20-9).
Les Alsaciens continuent dans l’ensemble à cafouiller leur basket durant le dernier acte, même s’ils sont à deux doigts de repasser devant. Mais ils ne parviennent pas à tenir la distance face à des vis-à-vis blessés dans leur orgueil, qui tenaient à faire oublier leurs trois défaites consécutives. Les joueurs de la SIG, qui ont tout de même terminé la rencontre avec la meilleure évaluation d’équipe (83 contre 80), peuvent avoir bien des regrets. Il ne leur a vraiment pas manqué grand-chose pour avoir le dernier mot.

Sandrine Pays


L'Alsace du 09 novembre 2008

Basket-ball Le BBCD héroïque

Une équipe de Besançon accrocheuse comme jamais face à une bonne équipe de Strasbourg a montré les valeurs du groupe pour s’imposer hier soir à Besançon.

Ahmed Fellah se remettant doucement de sa blessure de début de semaine, c’est Simon Darnauzan qui commença le match à la mène. Et le BBCD mené par Darnauzan rivalisait bien avec la SIG qui avait pris un départ canon, 0-5 dans la première minute. Justin Doellman dans un grand soir alignait panier sur panier permettant au BBCD de recoller au score. Par contre, un joueur était méconnaissable, John Ford. Incapable de trouver ses marques et ses prises de balles, le pivot Bisontin perdit deux balles importantes et surtout ne rentra qu’un panier sur quatre tentatives. Le BBCD sauvait les meubles, 24-25 au premier quart.
Mais Strasbourg avait décidé de hausser le ton et par John Allen, les Alsaciens mirent un 9-0 en trois minutes que le BBCD eu du mal à digérer. L’adresse à longue distance des visiteurs creusa l’écart jusqu’à 10 longueurs 34-44 (18e). Une révolte du BBCD en défense qui bloqua les attaquants Alsaciens qui ne mirent plus un point dans les 2 dernières minutes alors que Ford, Hawkins et surtout un coast to coast de Gunn qui fini par un dunk rageur ramena le BBCD à 4 points à la mi-temps. Le BBCD venait de passer près de la correctionnelle. Les consignes de la mi-temps étaient évidentes, arrêter le jeu facile style « All Star Game » et se concentrer sur un jeu simple, mais sérieux et surtout agressif en défense.

Valeureux Bisontins

Justin Hawkins qui depuis trois rencontre connaissait les pires difficultés au shoot et sur sa défense trouvait de nouveau le chemin des paniers. On sentait chez lui une sensation différente et une présence nettement plus marquée sur le terrain. Tant et si bien qu’en deux minutes, il passa un panier en pénétration et deux paniers primés faisant repasser le BBCD devant 50-48 (24e). Le public se faisait de plus en plus entendre, il faut dire bien chauffé par son équipe qui enfin produisait du jeu spectaculaire. Un dernier panier primé au buzzer d’Ahmed Fellah donna 5 points d’avance à Besançon, 60-55.
Dix minutes pour décider de la victoire. Durant cinq minutes le jeu se débrida totalement avec beaucoup de fautes non sifflées qui permit à Strasbourg de repasser devant sur deux paniers primés de Rush. Mais Besançon ne voulait pas baisser les bras, et recolla au score 70-70 (38e).
Il reste deux minutes et Besançon produisit un jeu hyper agressif qui poussa la SIG à la faute et à la sortie de son joueur vedette Brion Rush. Mais perdant deux fois de suite la balle, le BBCD se fait remonter 73-72 à 30 secondes de la fin. Faute sur Gunn qui rata l’un de ses lancers francs, 74-72 à 13’’ de la fin. Dernière possession de balle de la SIG, mais Besançon réussit sa défense et engrange sa 3e victoire. Héroïques Bisontins qui jusqu’au bout ne lâchèrent rien. Ils méritèrent grandement cette victoire.

Hervé Jeannin

[



J'aimerai simplement savoir si oui ou non simon et lewin se ressentaient de leur blessure ! les deux sigmen n'ont joué chacun que 21 minutes!! or la sig a été dominée aux rebonds...Pas un mot à ce sujet dans les commentaires des dna..

françois a écrit:sacrée journée : [...] et nancy qui menait de 14pts dans le 3ème quart a failli se faire remonter par cholet avec un séaphin qui a confirmé avec 17pts à 100% et 7rbds.

19 pts même dans le 4ème QT

mick a écrit:« On fait de la périphérie, on n'avance plus, appuie le coach strasbourgeois. Et on passe au travers au niveau du scoring ».

Ces propos démontrent encore une fois qu'il nous manque bel et bien un intérieur capable d'apporter offensivement.

Pour info il y a Marcus Slaughter qui vient d'être libéré par son club de Bremerhaven en Allemagne malgré le fait qu'il était 1er à l'éval. (20,6), 4ème au pts (17,3), 2ème aux rbds (9,7), 3ème aux contres (1,3), 3ème aux interceptions (2,3).
La raison de son licenciement est du au fait que 40 minutes avant le dernier matche à domicile le joueur a mangé une Currywurst mit Pommes ce qui a rendu fou de rage son coach.

John White a écrit:
Pour info il y a Marcus Slaughter qui vient d'être libéré par son club de Bremerhaven en Allemagne malgré le fait qu'il était 1er à l'éval. (20,6), 4ème au pts (17,3), 2ème aux rbds (9,7), 3ème aux contres (1,3), 3ème aux interceptions (2,3).
La raison de son licenciement est du au fait que 40 minutes avant le dernier matche à domicile le joueur a mangé une Currywurst mit Pommes ce qui a rendu fou de rage son coach.

C'est quoi cette blague ???

de la spéculation

M.Slaughter a donc été viré de deux clubs en deux saisons, pour des faits "extra basket" apparement (la première fois avec l'Hapoel Jérusalem, à Strasbourg même d'ailleurs je crois )
Un caractère un peu hors norme ?

World B. Free a écrit:

John White a écrit:
Pour info il y a Marcus Slaughter qui vient d'être libéré par son club de Bremerhaven en Allemagne malgré le fait qu'il était 1er à l'éval. (20,6), 4ème au pts (17,3), 2ème aux rbds (9,7), 3ème aux contres (1,3), 3ème aux interceptions (2,3).
La raison de son licenciement est du au fait que 40 minutes avant le dernier matche à domicile le joueur a mangé une Currywurst mit Pommes ce qui a rendu fou de rage son coach.

C'est quoi cette blague ???

C'est un forumeur d'Interbasket qui a balancé cette info tiré d'un journal local et pour finir Slaughter fait certes statistiquement une bonne saison mais son club est dernier avec 1 victoire pour 7 défaites.

John White a écrit:

mick a écrit:« On fait de la périphérie, on n'avance plus, appuie le coach strasbourgeois. Et on passe au travers au niveau du scoring ».

Ces propos démontrent encore une fois qu'il nous manque bel et bien un intérieur capable d'apporter offensivement.Pour info il y a Marcus Slaughter qui vient d'être libéré par son club de Bremerhaven en Allemagne malgré le fait qu'il était 1er à l'éval. (20,6), 4ème au pts (17,3), 2ème aux rbds (9,7), 3ème aux contres (1,3), 3ème aux interceptions (2,3).
La raison de son licenciement est du au fait que 40 minutes avant le dernier matche à domicile le joueur a mangé une Currywurst mit Pommes ce qui a rendu fou de rage son coach.

c'est purement de la logique:on a aujourd'hui un seul intérieur qui peut scorer, simon et 2 mecs réputés pour faire le sale boulot défensif, et meme si giffa peut apporter des points il ne peut pas le faire tout le temps, et je trouve qu'il jouait plus libéré quand il avait un back-up derrière lui(en l'occurence john).j'ai l'impression que comme il est le seul poste4 de l'équipe il s'est mis trop de pression et donc il n'est pas au niveau où on l'attend.
donc il y a un déséquilibre et il manque un poste 4 scoreur.c'est pas derrick ou elson qui vont jouer à ce poste.en basket selon moi c'est pratiquement obligé de jouer avec 4 intérieurs pour avoir un bon équilibre et parer aux nombreuses fautes dont ils sont victimes.on peut jouer avec 3 extérieurs car on a nos meneurs qui peuvent dépanner et les joueurs extérieurs prennent généralement moins de fautes.

françois a écrit:

John White a écrit:

mick a écrit:« On fait de la périphérie, on n'avance plus, appuie le coach strasbourgeois. Et on passe au travers au niveau du scoring ».

Ces propos démontrent encore une fois qu'il nous manque bel et bien un intérieur capable d'apporter offensivement.Pour info il y a Marcus Slaughter qui vient d'être libéré par son club de Bremerhaven en Allemagne malgré le fait qu'il était 1er à l'éval. (20,6), 4ème au pts (17,3), 2ème aux rbds (9,7), 3ème aux contres (1,3), 3ème aux interceptions (2,3).
La raison de son licenciement est du au fait que 40 minutes avant le dernier matche à domicile le joueur a mangé une Currywurst mit Pommes ce qui a rendu fou de rage son coach.

c'est purement de la logique:on a aujourd'hui un seul intérieur qui peut scorer, simon et 2 mecs réputés pour faire le sale boulot défensif, et meme si giffa peut apporter des points il ne peut pas le faire tout le temps, et je trouve qu'il jouait plus libéré quand il avait un back-up derrière lui(en l'occurence john).j'ai l'impression que comme il est le seul poste4 de l'équipe il s'est mis trop de pression et donc il n'est pas au niveau où on l'attend.
donc il y a un déséquilibre et il manque un poste 4 scoreur.c'est pas derrick ou elson qui vont jouer à ce poste.en basket selon moi c'est pratiquement obligé de jouer avec 4 intérieurs pour avoir un bon équilibre et parer aux nombreuses fautes dont ils sont victimes.on peut jouer avec 3 extérieurs car on a nos meneurs qui peuvent dépanner et les joueurs extérieurs prennent généralement moins de fautes.

Peut-on espérer qu'en "haut lieu' ils aient enfin compris ? Il faut agir le plus vite possible sinon gare aux désillusions...

C'est clair! Il n'y a pas un match ou ce manque d'un intérieur capable d'apporter un peu de scoring ne c'est pas fait sentir (ou peut-être juste à Vichy).
Il n'y a que keith pour penser encore qu'il ne s'agit que d'un problème défensif....
Allen est certes un bon joueur mais pas autant qu'il a pu le laisser penser pendant les matchs de préparation... Mais il est clair que la préparation et le championnat sont 2 situations complètement différentes.

Hoop a écrit:Il n'y a que keith pour penser encore qu'il ne s'agit que d'un problème défensif....

T'as vraiment un problème contre moi ou quoi
On sait clairement d'ou vient le mal de la sig, c'est un joueur qui manque au poste 4. Et ce n'est pas une question d'attaque, loin de la, mais de remplacement.
Ne compter que sur Simon, ce n'est pas bon en dessous. En même temps, si Giffa avait son rendement des dernières saisons, on ne se poserait pas la question, du coup, il manque, 2,4,6 points d'un poste 4, et également d'un replacement défensif à ce poste. Pcq Lewin, c'est bien en dessous, mais pas sur un intérieur mobile, vu que Giffa ne peut pas jouer 40 min.
ENfin bon, si Hoop a toutes les solutions, on peut avoir ... de l'espoir...

DNA du 10 novembre 2008

Basket-ball / Après la défaite de la SIG à Besançon (74-72)

Constante inconstance

La SIG a laissé passer une belle occasion de lorgner vers le haut du classement en s'inclinant, samedi, à Besançon (74-72). Encore trop cyclothymiques dans leur engagement, les Strasbourgeois ne se sont aussi présentés qu'à sept reprises sur la ligne des lancers-francs avant-hier, pour quatre échecs. Une statistique rédhibitoire.
Il avait été convenu que le ballon lui revienne. Le système avait été défini par Frédéric Sarre lors du dernier temps-mort pris à 13" du terme, alors que Tommy Gunn venait de donner deux longueurs d'avance aux siens (74-72). « On avait opté pour un pick'n'roll tête de raquette et choisi de percuter derrière si les mecs d'en face restaient sur nos shooteurs », raconte le technicien strasbourgeois.
Sur la remise en jeu ligne médiane, Gauthier Darrigand est donc allé s'enfoncer dans la défense doubienne. Mais l'épilogue de ce raid en territoire hostile n'a pas été à l'avenant, la tentative de lay-up du Dacquois manquant par trop de conviction. « Il a hésité entre le tir et la passe pour David (Simon), constate son entraîneur. Et du coup, il y est allé un peu trop frileux ».

« On n'arrive pas à avoir ce truc en percussion »

A créditer d'une partie consistante au cours de laquelle il a exercé une belle pression sur ses opposants directs, grand artisan également du plus large écart de la rencontre (34-44, 18e'), le meneur de la SIG n'est en aucun cas à blâmer. « Tout le monde rate des tirs. Dommage qu'il y ait eu cette petite hésitation. Mais je ne veux pas retenir que cette seule dernière action car, dans l'ensemble, il a été vraiment présent », apprécie son coach.
La possession a au demeurant été rendue au n°7 strasbourgeois à deux secondes de la sirène de fin. Récipiendaire du ballon de la dernière chance, Sacha Giffa est parti en drive dans la peinture avant de déclencher son shoot. Mais la « mimine » de John Ford est venue s'interposer entre la gonfle et le cercle et la SIG a abandonné, avant-hier, ses premiers points loin de ses bases.
Cette défaite contre des Bisontins remontés comme des coucous - ce qui, soit dit en passant, ne doit rien à leur sponsor, un célèbre horloger, mais davantage aux trois revers consécutifs qu'ils venaient d'essuyer - ne saurait se réduire à ces deux instantanés. Le manque d'agressivité, voilà le travers qui a, précisément, fait déglutir Fred Sarre de travers. « J'avais déjà pointé ce souci face au Mans. Contre une équipe conquérante, on n'arrive pas à avoir ce petit truc en percussion ».
Si les Strasbourgeois ont affiché un pourcentage plutôt ronflant dans les tirs intérieurs (20/34, soit 59% de réussite), c'est bien leur impuissance à percuter pour provoquer des fautes à bon escient qui a causé leur perte. Samedi, la SIG n'a tiré que... sept lancers-francs, gâchant de surcroît quatre de ses tentatives. Rapportée à un match se jouant sur une marge infime, la stat fait évidemment désordre. En face, Besançon s'est présenté 18 fois sur la ligne, pour 15 réussites (à 83%). La différence s'est aussi faite à ce niveau-là...

« C'est encore trop cyclique. J'ai besoin de permanence... »

Certes sanctionnée par quelques coups de sifflet un peu lestes, ceux ayant visé Brion Rush notamment, la SIG, enfin, n'est pas parvenue à faire preuve de constance pendant quarante minutes. Une rengaine déjà entendue. « On a encore trop de moments de flottement, concède Fred Sarre. On a une équipe qui a des possibilités, mais qui n'a pas toujours la continuité dans le temps. C'est encore trop cyclique. Or, j'ai besoin de permanence... ».
Au soir de cette sixième journée, les Alsaciens ont donc concédé une défaite d'autant plus frustrante qu'ils avaient posé leur emprise sur le match en première période. La SIG aurait pu aborder la venue de l'ASVEL bien calée dans le haut du tableau, elle en est encore à chercher le moyen d'être avenante durant toute une rencontre.

Régis Schneider


Un contrôle qui s'éternise

RUSH. - Ce n'était vraiment pas son soir. En plus d'avoir été parfaitement contenu par des Bisontins qui ne l'ont jamais laissé prendre les intervalles et l'ont limité à 12 points, Brion Rush a éprouvé toutes les peines du monde à... satisfaire au contrôle antidopage. Ce ne fut chose faite qu'à 23h15, une heure et demie après le coup de sifflet final. L'arrière US a alors pu rejoindre ses coéquipiers à l'hôtel pour dîner. Veni, vidi, vessie en somme...
OUTSIDER ? - Alain Thinet, le coach doubien, a souligné à maintes reprises, lors de la conférence de presse d'après-match, l'importance de ce succès face à « un outsider du championnat ». Le qualificatif a fait tiquer Fred Sarre. « A l'heure actuelle et avec le bilan qu'on a, on n'est pas un outsider. J'espère qu'on le deviendra. Mais pour cela, il faut commencer par gagner des matches comme celui-là », a rétorqué l'entraîneur strasbourgeois.
ESPOIRS. - Les espoirs de la SIG sont, eux, parvenus à décrocher la prolongation qui s'est refusée à leurs aînés, grâce à un panier de Dominique Gentil au buzzer. La troupe de Frank Kuhn a fait bon usage de ce temps additionnel et a signé son 3e succès de la saison (78-83) pour ainsi équilibrer son bilan.
RETROUVAILLES. - Frédéric Sarre a retrouvé samedi soir Gérald Simon, son ancien assistant à Bourg-en-Bresse et aujourd'hui l'adjoint d'Alain Thinet sur le banc du BBCD


L'Alsace du 10 novembre 2008

Basket-ball « Nous n’avons pas le parcours d’un outsider »

Les joueurs de la SIG, qui restaient sur deux victoires consécutives, ont marqué le pas samedi à Besançon en concédant leur premier revers de la saison à l’extérieur. Et en laissant certaines équipes accentuer leur avance en tête de la Pro A.

Alain Thinet, l’entraîneur des Bisontins, ne cachait pas sa satisfaction à l’issue de la victoire enregistrée par ses protégés, qui venaient de concéder trois défaites consécutives, samedi soir face à la SIG (74-72) : « Elle nous donne une bouffée d’oxygène. Elle est vraiment très importante pour nous. D’autant qu’elle a été enlevée face à l’un des outsiders du championnat. »
À côté de lui, Frédéric Sarre, le coach des Strasbourgeois, n’était pas tout à fait du même avis… à propos de son équipe : « Pour le moment, nous n’avons pas le parcours d’un outsider. Nous avons perdu à domicile à deux reprises, face à Orléans et Le Mans, et maintenant nous perdons à Besançon. Nos prestations ne sont pour l’instant pas à la hauteur de nos ambitions, qui sont de prendre part à la Semaine des As. »
L’entraîneur bas-rhinois, d’autant plus dépité que ces trois revers ont tous été concédés sur un écart inférieur à six points, fait donc grise mine lorsqu’il consulte le classement de la Pro A, lorsqu’il constate que cinq de ses adversaires - Orléans, Le Mans, Gravelines, Nancy et Roanne - comptent déjà cinq succès à leur actif alors que Villeurbanne, de son côté, en est à quatre. « Il aurait fallu commencer par gagner à Besançon, puis enchaîner avec un nouveau succès face à l’ASVEL, le week-end prochain, pour avoir la sensation de faire partie des outsiders ! J’espère que nous y arriverons un jour. Encore faudrait-il que nous soyons capables de nous imposer face à des équipes du même niveau que nous et aussi d’un niveau supérieur. »

« Manque d’agressivité »

Frédéric Sarre est d’autant plus mécontent qu’il sait parfaitement qu’il n’a pas manqué grand-chose à sa formation pour avoir le dernier mot en terre franc-comtoise. Il évoque « un ensemble de petites choses », en l’occurrence un sensible manque d’agressivité, notamment offensive. « Nous avons été trop timorés », résume-il, « alors même qu’au final, nous sommes crédités d’une meilleure évaluation que celle des Bisontins (83 contre 80). »
D’autres chiffres énervent quelque peu le coach de la SIG. Notamment ces sept malheureux lancers francs (contre 18 pour le BBCD), « démonstration assez parfaite de ce fameux manque d’agressivité », ou encore ce maigre 33 % de réussite à trois points (7 sur 21 contre 7 sur 16 à 44 % pour le BBCD). « Nous aurions eu besoin d’une réussite plus importante dans les tirs extérieurs », lâche-t-il sobrement tout en reconnaissant la qualité de l’adversaire bisontin, notamment de Tommy Gunn (22 points, 6 rebonds, 3 passes décisives) ou encore Justin Hawkins qui, une fois n’est pas coutume, s’est illustré à trois points (15 points dont 3 sur 4 à trois points, 5 rebonds). « Dans cette équipe, les uns et les autres ont tous quelque chose à prouver et font preuve d’une réelle motivation collective, avec une alternance du jeu intérieur et extérieur plutôt cohérente. »
Les Bisontins ont ainsi réussi à limiter un Brion Rush, meilleur marqueur de la Pro A avant cette rencontre et désormais dépassé par l’arrière US de Pau-Orthez Andre Emmett, à 12 points - tout comme John Allen, Derrick Obasohan et David Simon - avec un taux de réussite de 33 %. Mais Frédéric Sarre estime à juste titre que le faible rendement de son Américain n’est pas l’unique cause de l’échec de ce week-end. « Nous ne pouvons pas nous reposer sur un seul joueur. Ce n’est d’ailleurs pas le cas. Nous avons les moyens de faire face à l’adversité même si Rush n’est pas en état de grâce. Et même si nous devons encore améliorer un certain nombre de choses. »

Sandrine Pays


L'Alsace du 10 novembre 2008


Basket BBCD: plaisir retrouvé

Une leçon de défense, voilà ce que Besançon a montré à son public pour décrocher son 3e succès de la saison devant Strasbourg

La joie se lisait dans les yeux des joueurs à la fin de la rencontre samedi soir. Les Bisontins ne venaient pas de commettre un hold-up, ils venaient de battre à la régulière Strasbourg avec toutes ses armes.
Besançon était toujours privé de son ailier Raphaël Desroses qui trépigne d’impatience et devrait être aligné contre Rouen dans quinze jours, mais aussi en partie de son meneur Ahmed Fellah. Mais Besançon compte sur deux meneurs de qualité et Simon Darnauzan qui était un peu en retrait depuis le début de la saison, profita de cette opportunité pour montrer tout son talent.

La défense a parlé

« Je compte deux excellents meneurs français et c’est un avantage, quand l’un est blessé ou moins en forme » confie Alain Thinet, « Cette victoire est importante face à un outsider. Nous avions fait une mauvaise fin de second quart contre Roanne, là, nous sommes revenus de -10 à -4 et cela nous a remis sur les rails ».
Ce que confirme Frédéric Sarre l’entraîneur Strasbourgeois « Nous avons perdu le match à ce moment. Nous avons remis les Bisontins en confiance et en jeu par un manque de pression défensive. Besançon est une bonne équipe avec un jeu cohérent. Nous ne souhaitions pas avoir un jeu trop rapide pour rentrer dans celui du BBCD qui peut enflammer une rencontre. Mais notre relâchement nous fait perdre pied dans le 3e quart (20-9), ce qui cumulé avec la fin de première mi-temps nous fait prendre un 26-9. C’est notre 2e défaite alors que nous avons une évaluation collective meilleure que l’adversaire. Nous allons devoir retravailler. »
« Si nous voulions gagner, il fallait laisser Strasbourg à 70 points. Nous étions partis sur un 88 points après la première mi-temps, j’ai donc demandé aux joueurs de beaucoup plus insister en défense. Nous avons laissé le meilleur marqueur du championnat (Rush 26 points de moyenne) à douze points. La SIG n’a marqué que 28 points en seconde période, c’est tout à l’honneur des joueurs. C’est la victoire du cœur » conclut Alain Thinet.
Les extérieurs bisontins qui avaient été largement dominés par leurs adversaires sur les trois dernières rencontres, ont su relever la tête devant leur public. Éric Schmieder a été très efficace sur Rush, même s’il refuse encore de prendre des tirs. Justin Hawkins avec seize points dont un 3/4 à trois points ressort la tête de l’eau et ses neuf rebonds montre que l’ailier était partout sur le terrain. Il a même tenté deux dunk au milieu de la défense strasbourgeoise, même s’il s’est fait contrer, cela montre la confiance dans laquelle il se sent.

L’expérience de Gunn

Tommy Gunn lui a montré qu’il savait adapter son jeu. Comme les tirs lointains ne passaient pas, il a décidé d’attaquer dans la raquette provoquant ainsi 4 fautes, prenant 6 rebonds, cumulant 3 passes, une interception et inscrivant 22 points. Pour la première fois de la saison (en dehors du match d’ouverture), les ailiers marquèrent plus que les intérieurs (49-25).
John Ford a une nouvelle fois connu des problèmes qui sont purement de confiance en se faisant dominer dans la raquette. Il aura l’occasion samedi contre son ancienne équipe de montrer le contraire.
Par contre, ce qui inquiète est l’absence totale de Diene qui n’a passé que trois minutes sur le terrain avant d’être remplacé suite à deux tirs manqués et une balle perdue. L’ancien Roannais est totalement transparent. On se demande à quel point Alain Thinet ne devrait pas faire rentrer le jeune Curti quand Ford est sur le banc.
Le BBCD est parfaitement dans sa ligne de marche, même mieux ce qui va permettre un déplacement à Chalon sans aucune pression.

Hervé Jeannin

je ne sais toujours pas pkoi rob et david ont été limité à 21 mn de jeu chacun alors que l'équipe avait diantrement besoin des deux en même temps!!

p'tit louis a écrit:je ne sais toujours pas pkoi rob et david ont été limité à 21 mn de jeu chacun alors que l'équipe avait diantrement besoin des deux en même temps!!

Je pense que c'est parce qu'aucun des deux ne joue en 4 et qu'ils se succèdent donc sur le même poste. Lewin a un jeu beaucoup trop proche du panier pour qu'il ne marche pas sur les pieds de Simon.

Le coup des twin towers que Girard tentait parfois (avec, de son propre aveu, de sérieux inconvénients à côté) ne tente pas trop Fred Sarre, apparemment.