Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
+14
remember david harris
World B. Free
philippe
Coach Kira
Duss
simbad88
Theseus
p'tit louis
frederic
fil
thrill
Titeuf 67
le FILS DE HAKKENATON
RAMBO
18 participants
Page 1 sur 3
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
Alsatic TV.com a écrit:Top Sports vous emmène à la SIG avant le départ des basketteurs strasbourgeois pour la Semaine des As. Avec le coach Frédéric Sarre et Steeve Essart, on aborde ce premier objectif de la saison. Focus également sur le centre de formation de la SIG.
http://www.alsatic.com/visio.php?emission=20&date=16/02/2009
Sacha Giffa était également l'invité de "La Quotidienne" du 16 février 2009 vers la fin de l'émission.
http://www.alsatic.com/visio.php?emission=16
rocky- Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
DNA du 19 février 2009
Basket-ball / Semaine des As : avant Orléans - SIG, demain (18h)
« Des moments d'homme »
Accélérateur d'émotions, la Semaine des As a déjà souri à Frédéric Sarre. Vainqueur avec Pau en 2003, finaliste avec Bourg-en-Bresse en 2006, le coach strasbourgeois se replonge, avec gourmandise, dans ses souvenirs.
A l'évocation de la Semaine des As, l'oeil de Frédéric Sarre brille d'un éclat particulier. La lueur qu'il renvoie ne trompe pas : le coach de la SIG entretient avec cette épreuve une relation forte et privilégiée. « Globalement, ce sont plutôt de bons souvenirs », confesse-t-il, avec toute la retenue qui caractérise le personnage.
Fred Sarre a inscrit son nom au palmarès de la première édition. C'était en 2003, avec et à Pau. « L'épreuve venait de naître, elle se passait à la maison. Il fallait y mettre notre empreinte », se souvient le technicien, qui n'a rien oublié des jours grisants précédant la compétition. « Trois mecs (Diaw, les frères Piétrus ndlr) étaient susceptibles d'être draftés. De nombreux scouts étaient attendus. J'ai rarement vu des entraînements aussi intenses ».
« Les mecs qui avaient envie d'aller se la chercher »
En ces temps pas si reculés, l'Élan Béarnais est encore affilié à la caste des puissants. « Dans une bonne dynamique en championnat », le club cher à Pierre Seillant écarte successivement le Paris Basket Racing, Chalon et le Havre pour brandir le trophée devant son public. « On avait les mecs qui avaient envie d'aller se la chercher », rapporte Fred Sarre, dont l'équipe signera, cette année-là, un triplé historique.
Changement de décor trois ans plus tard. Le Limougeaud est, cette fois, sur le banc de Bourg, auteur d'un début de saison inespéré et qualifié pour le grand huit organisé à Dijon. Le club bressan fait spécialement floquer des maillots avec des numéros dorés « pour marquer le coup et fédérer un peu plus les mecs ». « On est le petit sur la ligne de départ, se remémore l'entraîneur de la SIG. Mais il va se passer quelque chose au sein de ce groupe qui vivait déjà très bien ensemble ». Quelque chose qui va propulser les gens de peu sur le devant de la scène.
En quart de finale, le lutin burgien défie l'ogre palois, une semaine après avoir perdu contre ce même adversaire en championnat. « Ça nous avait permis de bosser sur deux ou trois aspects de leur jeu, confie coach Sarre. Et tout s'est super bien passé. On a su les contenir dans les secteurs où on avait "mangé" à Pau et on les a perturbés avec notre défense ». Branko Sindjelic allume à trois points, Slobodan Savovic « joue son meilleur basket depuis qu'il est en France » et Bourg crée la sensation après prolongation. « Chaque mec a été dans le truc où on l'attendait ».
La demi-finale est tout aussi épique. « On refait le même cinéma, mais avec deux prolongations cette fois », reprend Frédéric Sarre. Au bout du suspense, au bout de leurs forces aussi, Jérôme Schmitt et ses coéquipiers se paient Nancy ! L'exploit ne se répétera pas. Face au Mans, le lendemain, « on n'avait plus de gaz et ils nous ont démontés ». L'ampleur de la défaite (78-60) laisse bien des regrets à Fred Sarre, indéfectible serviteur de la cause orange. « Quand tu joues une finale, tu n'as pas envie de la perdre de dix-huit points. Ce n'est pas comme ça que tu l'imagines. Et pour le basket français, ça aurait pu être mieux... ».
« Le sport collectif reprend tout son sens dans ces moments-là »
L'aventure vécue cette année-là reste gravée de manière indélébile. « Les mecs l'ont vécue comme une Coupe du Monde. Chaque match gagné était aussi une victoire sur eux-mêmes ». Ces trois jours ont été un formidable concentré d'émotions. Et ce que Fred Sarre appelle « des moments d'homme » subsistent longtemps après. « Les images sont là pour rappeler les gestes techniques. Mais dans les têtes, ce sont les instants de partage, de solidarité qui demeurent. Le sport collectif reprend alors tout son sens, retrouve sa vraie nature dans ces moments-là ».
Et si, après 2003 et 2006, 2009 venait à lui offrir pareils frissons ?
Régis Schneider
Gauthier Darrigand
« Tout peut arriver »
Vainqueur de la Semaine des As en 2003, Gauthier Darrigand verrait bien la SIG créer la surprise cette année.
Son palmarès mentionne une Semaine des As. Mais Gauthier Darrigand n'était que le troisième meneur de Pau - derrière Dragan Lukovski et Freddy Fauthoux - lorsque l'Élan s'est adjugé le trophée en 2003. Et il n'était pas entré en jeu.
Avec la SIG, il y a deux ans, le Dacquois est allé au tapis dès les quarts de finale. L'épreuve n'en continue pas moins d'exercer son très fort pouvoir d'attraction. « Tu retrouves l'intensité des play-offs, tout le monde se regarde les yeux dans les yeux. Et puis, c'est l'occasion de gagner un titre à mi-saison ».
La formule de ces quatre jours, succession de rencontres à quitte ou double, n'est pas pour lui déplaire. « Sur un match, tout peut arriver. C'est une compétition très ouverte. Chaque année, une équipe crée la surprise. Alors, pourquoi pas nous ? On s'est tellement investi pour se qualifier qu'on a envie d'y faire quelque chose de bien ».
Versée dans la partie de tableau la plus relevée, la SIG aurait toutefois pu espérer un tirage plus favorable. Orléans, demain (18h) en quart, c'est un très gros morceau. Gauthier Darrigand en convient. « C'est l'équipe la mieux organisée défensivement et qui dispose, en plus, de joueurs de qualité en attaque ». Pas une raison, selon lui, pour baisser les bras. « Une nouvelle fois, tout le monde peut battre tout le monde. A nous de jouer sans complexe ».
R. Sch.
Un petit tour...
Si la Semaine des As a réservé quelques moments inoubliables à Frédéric Sarre, elle n'a jamais réussi à la SIG, battue dès son entrée en lice lors de ses trois participations. En 2005 et 2006, c'est Nancy qui a empoché le derby programmé en quart de finale (82-73 a.p. et 81-72). En 2007, les Alsaciens ont subi la loi du Mans (91-76).
L'Alsace du 19 février 2009
Basket-ball Une Semaine des As taillée pour Strasbourg ?
La Semaine des As de basket est devenue, en six ans, une épreuve aussi déroutante qu’imprévisible qui part à la recherche de son septième vainqueur en autant d’éditions à partir de ce soir au Havre.
Une chose est sûre : Cholet, non qualifié après un très mauvais début de saison, ne deviendra pas la première équipe à réaliser le doublé. Pour le reste c’est l’incertitude la plus totale. Car s’il y a une compétition où les favoris ne sont pas à l’abri, c’est bien la Semaine des As qui réunit tous les ans les huit meilleures équipes de France à la mi-championnat.
Un coup d’œil sur le palmarès le confirme : depuis la création du tournoi en 2003 sur le modèle de la Coupe des Rois espagnole, il y a eu six éditions dans six villes différentes avec six vainqueurs différents. Anarchie et surprises dominent. Aucune équipe n’a encore remporté le tournoi à deux reprises. L’équipe organisatrice, hormis Pau en 2003, s’écroule année après année. Il y a toujours une énorme surprise en finale, voire deux comme l’année dernière. Et les favoris n’ont qu’à bien se tenir.
Ainsi Villeurbanne. Objectivement, l’Asvel est le grand favori du week-end. Tout plaide en sa faveur. Un contexte positif avec l’arrivée de Tony Parker dans l’équipe dirigeante. Une dynamique excellente avec une seule défaite sur ses quatorze derniers matches de championnat. Une répétition générale réussie samedi au… Havre face à l’équipe locale. Mais voilà, le doute est permis.
D’abord parce que les hommes de Vincent Collet rencontreront Nancy vendredi dans le grand choc des quarts de finale. Mais aussi parce que l’Asvel, pourtant de toutes les éditions, n’a encore jamais dépassé les demi-finales.
Une équipe comme Strasbourg correspond en revanche au profil type du vainqueur des As : pas trop attendu mais ambitieux à souhait. Orléans, son premier adversaire, est prévenu. Le Havre a, sur le papier, encore moins de munitions que Strasbourg. Mais Le Mans, qui rencontre les Havrais vendredi, ferait mieux de se méfier, surtout lorsqu’on se rappelle que les Manceaux ont chuté en Normandie en championnat.
Gravelines et Roanne se livreront eux un duel indécis en quart de finale. Le vainqueur sera un candidat brûlant à la victoire finale et la qualification pour l’EuroChallenge, la troisième Coupe européenne, qui va avec.
Basket-ball / Semaine des As : avant Orléans - SIG, demain (18h)
« Des moments d'homme »
Accélérateur d'émotions, la Semaine des As a déjà souri à Frédéric Sarre. Vainqueur avec Pau en 2003, finaliste avec Bourg-en-Bresse en 2006, le coach strasbourgeois se replonge, avec gourmandise, dans ses souvenirs.
A l'évocation de la Semaine des As, l'oeil de Frédéric Sarre brille d'un éclat particulier. La lueur qu'il renvoie ne trompe pas : le coach de la SIG entretient avec cette épreuve une relation forte et privilégiée. « Globalement, ce sont plutôt de bons souvenirs », confesse-t-il, avec toute la retenue qui caractérise le personnage.
Fred Sarre a inscrit son nom au palmarès de la première édition. C'était en 2003, avec et à Pau. « L'épreuve venait de naître, elle se passait à la maison. Il fallait y mettre notre empreinte », se souvient le technicien, qui n'a rien oublié des jours grisants précédant la compétition. « Trois mecs (Diaw, les frères Piétrus ndlr) étaient susceptibles d'être draftés. De nombreux scouts étaient attendus. J'ai rarement vu des entraînements aussi intenses ».
« Les mecs qui avaient envie d'aller se la chercher »
En ces temps pas si reculés, l'Élan Béarnais est encore affilié à la caste des puissants. « Dans une bonne dynamique en championnat », le club cher à Pierre Seillant écarte successivement le Paris Basket Racing, Chalon et le Havre pour brandir le trophée devant son public. « On avait les mecs qui avaient envie d'aller se la chercher », rapporte Fred Sarre, dont l'équipe signera, cette année-là, un triplé historique.
Changement de décor trois ans plus tard. Le Limougeaud est, cette fois, sur le banc de Bourg, auteur d'un début de saison inespéré et qualifié pour le grand huit organisé à Dijon. Le club bressan fait spécialement floquer des maillots avec des numéros dorés « pour marquer le coup et fédérer un peu plus les mecs ». « On est le petit sur la ligne de départ, se remémore l'entraîneur de la SIG. Mais il va se passer quelque chose au sein de ce groupe qui vivait déjà très bien ensemble ». Quelque chose qui va propulser les gens de peu sur le devant de la scène.
En quart de finale, le lutin burgien défie l'ogre palois, une semaine après avoir perdu contre ce même adversaire en championnat. « Ça nous avait permis de bosser sur deux ou trois aspects de leur jeu, confie coach Sarre. Et tout s'est super bien passé. On a su les contenir dans les secteurs où on avait "mangé" à Pau et on les a perturbés avec notre défense ». Branko Sindjelic allume à trois points, Slobodan Savovic « joue son meilleur basket depuis qu'il est en France » et Bourg crée la sensation après prolongation. « Chaque mec a été dans le truc où on l'attendait ».
La demi-finale est tout aussi épique. « On refait le même cinéma, mais avec deux prolongations cette fois », reprend Frédéric Sarre. Au bout du suspense, au bout de leurs forces aussi, Jérôme Schmitt et ses coéquipiers se paient Nancy ! L'exploit ne se répétera pas. Face au Mans, le lendemain, « on n'avait plus de gaz et ils nous ont démontés ». L'ampleur de la défaite (78-60) laisse bien des regrets à Fred Sarre, indéfectible serviteur de la cause orange. « Quand tu joues une finale, tu n'as pas envie de la perdre de dix-huit points. Ce n'est pas comme ça que tu l'imagines. Et pour le basket français, ça aurait pu être mieux... ».
« Le sport collectif reprend tout son sens dans ces moments-là »
L'aventure vécue cette année-là reste gravée de manière indélébile. « Les mecs l'ont vécue comme une Coupe du Monde. Chaque match gagné était aussi une victoire sur eux-mêmes ». Ces trois jours ont été un formidable concentré d'émotions. Et ce que Fred Sarre appelle « des moments d'homme » subsistent longtemps après. « Les images sont là pour rappeler les gestes techniques. Mais dans les têtes, ce sont les instants de partage, de solidarité qui demeurent. Le sport collectif reprend alors tout son sens, retrouve sa vraie nature dans ces moments-là ».
Et si, après 2003 et 2006, 2009 venait à lui offrir pareils frissons ?
Régis Schneider
Gauthier Darrigand
« Tout peut arriver »
Vainqueur de la Semaine des As en 2003, Gauthier Darrigand verrait bien la SIG créer la surprise cette année.
Son palmarès mentionne une Semaine des As. Mais Gauthier Darrigand n'était que le troisième meneur de Pau - derrière Dragan Lukovski et Freddy Fauthoux - lorsque l'Élan s'est adjugé le trophée en 2003. Et il n'était pas entré en jeu.
Avec la SIG, il y a deux ans, le Dacquois est allé au tapis dès les quarts de finale. L'épreuve n'en continue pas moins d'exercer son très fort pouvoir d'attraction. « Tu retrouves l'intensité des play-offs, tout le monde se regarde les yeux dans les yeux. Et puis, c'est l'occasion de gagner un titre à mi-saison ».
La formule de ces quatre jours, succession de rencontres à quitte ou double, n'est pas pour lui déplaire. « Sur un match, tout peut arriver. C'est une compétition très ouverte. Chaque année, une équipe crée la surprise. Alors, pourquoi pas nous ? On s'est tellement investi pour se qualifier qu'on a envie d'y faire quelque chose de bien ».
Versée dans la partie de tableau la plus relevée, la SIG aurait toutefois pu espérer un tirage plus favorable. Orléans, demain (18h) en quart, c'est un très gros morceau. Gauthier Darrigand en convient. « C'est l'équipe la mieux organisée défensivement et qui dispose, en plus, de joueurs de qualité en attaque ». Pas une raison, selon lui, pour baisser les bras. « Une nouvelle fois, tout le monde peut battre tout le monde. A nous de jouer sans complexe ».
R. Sch.
Un petit tour...
Si la Semaine des As a réservé quelques moments inoubliables à Frédéric Sarre, elle n'a jamais réussi à la SIG, battue dès son entrée en lice lors de ses trois participations. En 2005 et 2006, c'est Nancy qui a empoché le derby programmé en quart de finale (82-73 a.p. et 81-72). En 2007, les Alsaciens ont subi la loi du Mans (91-76).
L'Alsace du 19 février 2009
Basket-ball Une Semaine des As taillée pour Strasbourg ?
La Semaine des As de basket est devenue, en six ans, une épreuve aussi déroutante qu’imprévisible qui part à la recherche de son septième vainqueur en autant d’éditions à partir de ce soir au Havre.
Une chose est sûre : Cholet, non qualifié après un très mauvais début de saison, ne deviendra pas la première équipe à réaliser le doublé. Pour le reste c’est l’incertitude la plus totale. Car s’il y a une compétition où les favoris ne sont pas à l’abri, c’est bien la Semaine des As qui réunit tous les ans les huit meilleures équipes de France à la mi-championnat.
Un coup d’œil sur le palmarès le confirme : depuis la création du tournoi en 2003 sur le modèle de la Coupe des Rois espagnole, il y a eu six éditions dans six villes différentes avec six vainqueurs différents. Anarchie et surprises dominent. Aucune équipe n’a encore remporté le tournoi à deux reprises. L’équipe organisatrice, hormis Pau en 2003, s’écroule année après année. Il y a toujours une énorme surprise en finale, voire deux comme l’année dernière. Et les favoris n’ont qu’à bien se tenir.
Ainsi Villeurbanne. Objectivement, l’Asvel est le grand favori du week-end. Tout plaide en sa faveur. Un contexte positif avec l’arrivée de Tony Parker dans l’équipe dirigeante. Une dynamique excellente avec une seule défaite sur ses quatorze derniers matches de championnat. Une répétition générale réussie samedi au… Havre face à l’équipe locale. Mais voilà, le doute est permis.
D’abord parce que les hommes de Vincent Collet rencontreront Nancy vendredi dans le grand choc des quarts de finale. Mais aussi parce que l’Asvel, pourtant de toutes les éditions, n’a encore jamais dépassé les demi-finales.
Une équipe comme Strasbourg correspond en revanche au profil type du vainqueur des As : pas trop attendu mais ambitieux à souhait. Orléans, son premier adversaire, est prévenu. Le Havre a, sur le papier, encore moins de munitions que Strasbourg. Mais Le Mans, qui rencontre les Havrais vendredi, ferait mieux de se méfier, surtout lorsqu’on se rappelle que les Manceaux ont chuté en Normandie en championnat.
Gravelines et Roanne se livreront eux un duel indécis en quart de finale. Le vainqueur sera un candidat brûlant à la victoire finale et la qualification pour l’EuroChallenge, la troisième Coupe européenne, qui va avec.
rocky- Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
L'équipe du 19 février 2009
rocky- Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
Au fait, il y aura quelques supporters Strasbourgeois demain dans la salle? Parce que ce soir, c'est pas folichon l'ambiance...
simbad88- Age : 35
Date d'inscription : 20/06/2008
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
victoire de Roanne dans le premier match contre le BCM: +2, 63-61.
Harper sauve la chorale en fin de match.......je les voyais mal embarqués apres les sorties pour 5 fautes de Nwonsu, Sumpter et Monroe.....
Harper sauve la chorale en fin de match.......je les voyais mal embarqués apres les sorties pour 5 fautes de Nwonsu, Sumpter et Monroe.....
philippe- Age : 65
Date d'inscription : 18/05/2006
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
philippe a écrit:victoire de Roanne dans le premier match contre le BCM: +2, 63-61.
Harper sauve la chorale en fin de match.......je les voyais mal embarqués apres les sorties pour 5 fautes de Nwonsu, Sumpter et Monroe.....
C"est quoi cet arbitrage de misereux... il vaut mieux ne pas leurs accrocher des micros...
RAMBO- Age : 44
Date d'inscription : 07/12/2008
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
pour ceux qui en ont marre du live de la LNB, je propose celui sur Basketnews avec thomas berjoan qui est sur place.
http://www.basketnews.net/asp.net/main.news/details.aspx?id=1936
http://www.basketnews.net/asp.net/main.news/details.aspx?id=1936
françois- Age : 35
Localisation : strasbourg
Date d'inscription : 25/09/2007
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
DNA du 20 février 2009
Basket-ball / Semaine des As (1/4 de finale) : Orléans - SIG, aujourd'hui (18h)
A l'épreuve du leader
Pour ses retrouvailles avec l'épreuve reine de la mi-saison, la SIG défie Orléans, le leader de Pro A, ce soir (18h) aux Docks havraises. Pour espérer franchir, pour la première fois de son histoire, le cap des quarts de finale de la Semaine des As, le club strasbourgeois devra ni plus, ni moins que se sublimer.
De notre envoyé spécial au Havre
Ils sont tous là. Amara Sy, Dee Spencer, Cyril Julian, Laurent Sciarra, les joueurs emblématiques des écuries qualifiées pour les As, font la une du magazine édité récemment par la LNB pour l'événement. Tous ? Pas tout à fait. En y regardant de plus près, il ne sont que sept. Il manque-là l'ambassadeur strasbourgeois, convié à la partie havraise... hors des délais de bouclage de la plaquette, après ce match à rejouer à Chalon. Frédéric Sarre n'a pas oublié. « On est celui qui a pris la dernière chaise après un événement un peu particulier ».
« C'est une grosse armada dans l'organisation défensive et dans le combat »
Après avoir manqué l'édition 2008, la SIG fait donc son grand retour dans une épreuve où elle n'a jamais spécialement brillé. Trois participations, trois défaites en quarts et un retour illico à la maison : le club alsacien s'est jusqu'à présent contenté de faire de la figuration. Le rendez-vous fixé aux Docks Océane lui permettra-t-il de faire oublier ces éliminations expresses ? Rien n'est moins sûr. Versés dans la partie la plus relevée d'un tableau particulièrement sélect, Steeve Essart et ses potes doivent se farcir Orléans, ce soir, pour leur entrée en lice.
Solides leaders de Pro A, les Ducs paraissent au-dessus de la mêlée, bien à l'abri d'une mauvaise surprise dans leur citadelle. Fred Sarre mesure d'ailleurs bien toute l'ampleur de la tâche qui attend son équipe. « Si l'on se réfère à ce qu'ils ont fait, au niveau des résultats et de la consistance, ils sont favoris. Tous leurs clignotants sont au vert. C'est une grosse équipe qui a de grandes choses à faire cette saison et elle ne va pas galvauder cette compétition. Ce n'est pas l'habitude du chef (Philippe Hervé, ndlr) de toute façon ».
Le portrait est flatteur. « C'est une équipe très cadrée, qui exécute très bien les choses, avec beaucoup de dureté, poursuit le coach strasbourgeois. C'est une grosse armada dans l'organisation défensive et dans le combat ». Meilleure défense du championnat - 68 pts encaissés en moyenne -, agressive sur l'homme - 12 interceptions par match -, la formation du Loiret n'a, qu'à deux reprises, abandonné 80 points ou plus à son adversaire. Un véritable cadenas.
De l'autre côté du terrain, c'est carrément orgiaque. « Ils ont la batterie d'options offensives certainement la plus importante du championnat ». Le scoring est bien réparti entre les cinq Américains chargés d'alimenter la machine. Si « personne n'est à sous-estimer », certains sont toutefois à surveiller encore plus que les autres, à commencer par le gunner Cédrick Banks, 17,3 pts de moyenne et des pointes à 30 comme au Rhenus début octobre.
« Il nous faut montrer un vrai et beau visage »
De quoi donner le vertige. « Il y a tellement d'options qu'il faudrait trois semaines pour préparer ce match. Là, on n'a eu que trois jours », synthétise Fred Sarre. Dans ces conditions, « la base de tout sera de s'opposer physiquement et mentalement. Mais le plan ne peut passer que par un engagement de tous les instants. Si on a le moindre relâchement, on va leur offrir des paniers faciles dont ils n'ont déjà pas besoin. Il nous faudra faire preuve de beaucoup beaucoup beaucoup (il répète le terme une bonne dizaine de fois, ndlr) d'intensité et de dureté et être focalisé sur le repli défensif », enjoint le technicien.
Au-delà du résultat, Frédéric Sarre sera aussi attentif à la manière. « Quel que soit le score, il nous faut montrer un vrai et beau visage du basket strasbourgeois. On doit faire honneur à notre qualification, montrer qu'on mérite d'y être ». Et, au passage, prouver à l'imprimeur de la LNB que la SIG avait également sa place en couverture.
Régis Schneider
Sciarra jouera
Laurent Sciarra sera à la baguette ce soir. Victime d'un coup de coude involontaire du Rouennais Cheikhou Thioune, à 26" de la fin du match remporté par Orléans samedi dernier (68-70), le meneur de l'Entente, entaillé au niveau de la lèvre, avait même brièvement perdu connaissance. Hospitalisé pour la nuit au CHU de Rouen, « Lolo » Sciarra avait regagné le Loiret dimanche après-midi seulement. Rassuré par le résultat des deux scanners qu'il a passés depuis, le médaillé d'argent de Sydney a repris l'entraînement mercredi soir et tiendra sa place, sans protection faciale.
20 Minutes du 20 février 2009
La sig va tenter Un coup de poker à la semaine des as
Dernier qualifié pour la compétition, la SIG part avec le plus petit crédit à la Semaine des As, au Havre. D'autant plus qu'elle affronte en quart de finale le leader de la Pro A Orléans. « Si on se réfère à leur début de saison, les Orléanais doivent valider l'ensemble de leurs bons résultats par quelque chose », explique Frédéric Sarre. Pour l'entraîneur strasbourgeois, c'est le « favori » pour rafler la mise : le premier trophée mis en jeu de la saison et la qualification européenne qui va avec.
Les atouts orléanais sont nombreux. Ils sont aussi bien collectifs avec la meilleure défense de Pro A ou leur jeu rapide qu'individuels avec « un maître à jouer » (Laurent Sciarra), un dynamiteur (Cedrick Banks), un tireur longue distance (Brian Greene), etc. « C'est impossible de travailler (tactiquement) contre Orléans. Ils ont trop d'options. Il faudrait trois semaines, reconnaît le technicien. C'est un gros morceau. »
En Normandie, terre de fameux casinos, les Strasbourgeois ont l'intention de jouer leur va-tout. « On peut contrarier Orléans si on joue avec beaucoup de dureté défensive et d'intensité, détaille Frédéric Sarre, vainqueur de la Semaine des As en 2003 avec Pau. Mais quelque soit le résultat, on doit montrer un beau visage du basket strasbourgeois. » Avec une victoire face à Orléans, la SIG version 2009 ferait mieux que ses devancières éliminées à chaque fois dès leur entrée en lice. F. H.
L'Alsace du 20 février 2009
Basket-ball La SIG veut faire un coup
En fin d’après-midi (18 h) au Havre, la SIG se frotte à Orléans, coleader du championnat, pour les quarts de finale de la Semaine des As. Une mission difficile mais les Strasbourgeois, derniers qualifiés pour la compétition, n’ont rien à perdre.
« On est les petits, on va jouer ce premier match sans prétention et on verra bien ce qui se passera », lance Frédéric Sarre hier avant le départ de ses troupes pour les As. Le coach de la SIG le martèle depuis le début de la saison : la compétition havraise, qui réunit les sept meilleures équipes à mi-saison plus Le Havre, est intéressante à jouer mais ne constitue pas un objectif prioritaire pour les basketteurs strasbourgeois. Mais, en arrachant leur qualification au dernier moment après une double bagarre face à Chalon-sur-Saône, les coéquipiers de Brion Rush n’ont sûrement pas envie de faire de la figuration. « On se doit de montrer un beau visage du basket strasbourgeois. Pour cela, on va devoir mettre de l’intensité dans notre jeu et surtout ne pas se relâcher. C’est une belle compétition qui met en avant tout le basket français, alors on veut montrer qu’on mérite notre qualification », souligne le coach strasbourgeois qui a remporté les As en 2003 avec Pau-Orthez.
Un tirage au sort pas tendre
Mais, le tirage au sort n’a pas été tendre avec la SIG : un quart de finale face à Orléans, coleader du championnat de France, puis le vainqueur du match entre l’autre coleader, Villeurbanne et Nancy, le champion de France en titre, en cas de qualification pour la demi-finale de samedi. Autant dire qu’une victoire finale strasbourgeoise serait un coup énorme.
En attendant, les Strasbourgeois devront d’abord en découdre avec l’Entente Orléanaise Loiret, l’équipe surprise de la saison, en fin d’après-midi aux Docks Océane. Pour le premier match de la saison, les Orléanais étaient venus s’imposer au Rhénus (75-80) grâce à une grande performance de Cedrick Banks, 30 points et 7/11 derrière la ligne à 6m25. Aujourd’hui 6e marqueur de Pro A avec 17,2 points en moyenne, l’arrière US est surtout à la tête de la meilleure défense du championnat avec seulement 68,1 points encaissés par match. « Collectivement, Orléans défend avec beaucoup de discipline et de dureté. Ce n’est pas facile de trouver des solutions. Mais cette équipe possède aussi la palette d’options offensives la plus importante de France », analyse Fred Sarre, conscient du danger que peut constituer Banks mais aussi Green, Covile, Dials ou Dobbins. « En fait, ils sont très complets à tous les postes, il n’y a personne à sous-estimer dans cette équipe », ajoute le technicien bas-rhinois.
« Un engagement de tous les instants »
Pour se qualifier, les Strasbourgeois vont devoir sortir le grand jeu. A l’image de Vichy qui a imposé son rythme (80-77) à Orléans il y a 15 jours en mettant en place une défense agressive derrière un David Teague en feu (30 points à 7/9 à trois points). L’exemple à suivre ? « Oui, s’opposer physiquement, c’est la base avant toute chose. Il faudra avoir un engagement de tous les instants car si on lâche un peu de lest, on va le sentir passer », répond Fred Sarre, conscient que son équipe va devoir sortir le match parfait pour espérer poursuivre l’aventure havraise.
SIG : 4.Rush 5.Darrigand 6.Mendy 7.Essart 9.Allen 10.Giffa 13.Obasohan 14.Simon 15.Lewin 17.Gentil 18.Soumahoro. Ent : Frédéric Sarre.
Orléans : 4.Banks 5.Covile 6.Hervé 8.Boungou-Colo 9.Casseus 10.Curti 11.Green 13.Louves 15.Moerman 16.Sciarra 17.Dobbins 18.Dials. Ent : Philippe Hervé.
Olivier Arnal
L'équipe du 20 février 2009
Basket-ball / Semaine des As (1/4 de finale) : Orléans - SIG, aujourd'hui (18h)
A l'épreuve du leader
Pour ses retrouvailles avec l'épreuve reine de la mi-saison, la SIG défie Orléans, le leader de Pro A, ce soir (18h) aux Docks havraises. Pour espérer franchir, pour la première fois de son histoire, le cap des quarts de finale de la Semaine des As, le club strasbourgeois devra ni plus, ni moins que se sublimer.
De notre envoyé spécial au Havre
Ils sont tous là. Amara Sy, Dee Spencer, Cyril Julian, Laurent Sciarra, les joueurs emblématiques des écuries qualifiées pour les As, font la une du magazine édité récemment par la LNB pour l'événement. Tous ? Pas tout à fait. En y regardant de plus près, il ne sont que sept. Il manque-là l'ambassadeur strasbourgeois, convié à la partie havraise... hors des délais de bouclage de la plaquette, après ce match à rejouer à Chalon. Frédéric Sarre n'a pas oublié. « On est celui qui a pris la dernière chaise après un événement un peu particulier ».
« C'est une grosse armada dans l'organisation défensive et dans le combat »
Après avoir manqué l'édition 2008, la SIG fait donc son grand retour dans une épreuve où elle n'a jamais spécialement brillé. Trois participations, trois défaites en quarts et un retour illico à la maison : le club alsacien s'est jusqu'à présent contenté de faire de la figuration. Le rendez-vous fixé aux Docks Océane lui permettra-t-il de faire oublier ces éliminations expresses ? Rien n'est moins sûr. Versés dans la partie la plus relevée d'un tableau particulièrement sélect, Steeve Essart et ses potes doivent se farcir Orléans, ce soir, pour leur entrée en lice.
Solides leaders de Pro A, les Ducs paraissent au-dessus de la mêlée, bien à l'abri d'une mauvaise surprise dans leur citadelle. Fred Sarre mesure d'ailleurs bien toute l'ampleur de la tâche qui attend son équipe. « Si l'on se réfère à ce qu'ils ont fait, au niveau des résultats et de la consistance, ils sont favoris. Tous leurs clignotants sont au vert. C'est une grosse équipe qui a de grandes choses à faire cette saison et elle ne va pas galvauder cette compétition. Ce n'est pas l'habitude du chef (Philippe Hervé, ndlr) de toute façon ».
Le portrait est flatteur. « C'est une équipe très cadrée, qui exécute très bien les choses, avec beaucoup de dureté, poursuit le coach strasbourgeois. C'est une grosse armada dans l'organisation défensive et dans le combat ». Meilleure défense du championnat - 68 pts encaissés en moyenne -, agressive sur l'homme - 12 interceptions par match -, la formation du Loiret n'a, qu'à deux reprises, abandonné 80 points ou plus à son adversaire. Un véritable cadenas.
De l'autre côté du terrain, c'est carrément orgiaque. « Ils ont la batterie d'options offensives certainement la plus importante du championnat ». Le scoring est bien réparti entre les cinq Américains chargés d'alimenter la machine. Si « personne n'est à sous-estimer », certains sont toutefois à surveiller encore plus que les autres, à commencer par le gunner Cédrick Banks, 17,3 pts de moyenne et des pointes à 30 comme au Rhenus début octobre.
« Il nous faut montrer un vrai et beau visage »
De quoi donner le vertige. « Il y a tellement d'options qu'il faudrait trois semaines pour préparer ce match. Là, on n'a eu que trois jours », synthétise Fred Sarre. Dans ces conditions, « la base de tout sera de s'opposer physiquement et mentalement. Mais le plan ne peut passer que par un engagement de tous les instants. Si on a le moindre relâchement, on va leur offrir des paniers faciles dont ils n'ont déjà pas besoin. Il nous faudra faire preuve de beaucoup beaucoup beaucoup (il répète le terme une bonne dizaine de fois, ndlr) d'intensité et de dureté et être focalisé sur le repli défensif », enjoint le technicien.
Au-delà du résultat, Frédéric Sarre sera aussi attentif à la manière. « Quel que soit le score, il nous faut montrer un vrai et beau visage du basket strasbourgeois. On doit faire honneur à notre qualification, montrer qu'on mérite d'y être ». Et, au passage, prouver à l'imprimeur de la LNB que la SIG avait également sa place en couverture.
Régis Schneider
Sciarra jouera
Laurent Sciarra sera à la baguette ce soir. Victime d'un coup de coude involontaire du Rouennais Cheikhou Thioune, à 26" de la fin du match remporté par Orléans samedi dernier (68-70), le meneur de l'Entente, entaillé au niveau de la lèvre, avait même brièvement perdu connaissance. Hospitalisé pour la nuit au CHU de Rouen, « Lolo » Sciarra avait regagné le Loiret dimanche après-midi seulement. Rassuré par le résultat des deux scanners qu'il a passés depuis, le médaillé d'argent de Sydney a repris l'entraînement mercredi soir et tiendra sa place, sans protection faciale.
20 Minutes du 20 février 2009
La sig va tenter Un coup de poker à la semaine des as
Dernier qualifié pour la compétition, la SIG part avec le plus petit crédit à la Semaine des As, au Havre. D'autant plus qu'elle affronte en quart de finale le leader de la Pro A Orléans. « Si on se réfère à leur début de saison, les Orléanais doivent valider l'ensemble de leurs bons résultats par quelque chose », explique Frédéric Sarre. Pour l'entraîneur strasbourgeois, c'est le « favori » pour rafler la mise : le premier trophée mis en jeu de la saison et la qualification européenne qui va avec.
Les atouts orléanais sont nombreux. Ils sont aussi bien collectifs avec la meilleure défense de Pro A ou leur jeu rapide qu'individuels avec « un maître à jouer » (Laurent Sciarra), un dynamiteur (Cedrick Banks), un tireur longue distance (Brian Greene), etc. « C'est impossible de travailler (tactiquement) contre Orléans. Ils ont trop d'options. Il faudrait trois semaines, reconnaît le technicien. C'est un gros morceau. »
En Normandie, terre de fameux casinos, les Strasbourgeois ont l'intention de jouer leur va-tout. « On peut contrarier Orléans si on joue avec beaucoup de dureté défensive et d'intensité, détaille Frédéric Sarre, vainqueur de la Semaine des As en 2003 avec Pau. Mais quelque soit le résultat, on doit montrer un beau visage du basket strasbourgeois. » Avec une victoire face à Orléans, la SIG version 2009 ferait mieux que ses devancières éliminées à chaque fois dès leur entrée en lice. F. H.
L'Alsace du 20 février 2009
Basket-ball La SIG veut faire un coup
En fin d’après-midi (18 h) au Havre, la SIG se frotte à Orléans, coleader du championnat, pour les quarts de finale de la Semaine des As. Une mission difficile mais les Strasbourgeois, derniers qualifiés pour la compétition, n’ont rien à perdre.
« On est les petits, on va jouer ce premier match sans prétention et on verra bien ce qui se passera », lance Frédéric Sarre hier avant le départ de ses troupes pour les As. Le coach de la SIG le martèle depuis le début de la saison : la compétition havraise, qui réunit les sept meilleures équipes à mi-saison plus Le Havre, est intéressante à jouer mais ne constitue pas un objectif prioritaire pour les basketteurs strasbourgeois. Mais, en arrachant leur qualification au dernier moment après une double bagarre face à Chalon-sur-Saône, les coéquipiers de Brion Rush n’ont sûrement pas envie de faire de la figuration. « On se doit de montrer un beau visage du basket strasbourgeois. Pour cela, on va devoir mettre de l’intensité dans notre jeu et surtout ne pas se relâcher. C’est une belle compétition qui met en avant tout le basket français, alors on veut montrer qu’on mérite notre qualification », souligne le coach strasbourgeois qui a remporté les As en 2003 avec Pau-Orthez.
Un tirage au sort pas tendre
Mais, le tirage au sort n’a pas été tendre avec la SIG : un quart de finale face à Orléans, coleader du championnat de France, puis le vainqueur du match entre l’autre coleader, Villeurbanne et Nancy, le champion de France en titre, en cas de qualification pour la demi-finale de samedi. Autant dire qu’une victoire finale strasbourgeoise serait un coup énorme.
En attendant, les Strasbourgeois devront d’abord en découdre avec l’Entente Orléanaise Loiret, l’équipe surprise de la saison, en fin d’après-midi aux Docks Océane. Pour le premier match de la saison, les Orléanais étaient venus s’imposer au Rhénus (75-80) grâce à une grande performance de Cedrick Banks, 30 points et 7/11 derrière la ligne à 6m25. Aujourd’hui 6e marqueur de Pro A avec 17,2 points en moyenne, l’arrière US est surtout à la tête de la meilleure défense du championnat avec seulement 68,1 points encaissés par match. « Collectivement, Orléans défend avec beaucoup de discipline et de dureté. Ce n’est pas facile de trouver des solutions. Mais cette équipe possède aussi la palette d’options offensives la plus importante de France », analyse Fred Sarre, conscient du danger que peut constituer Banks mais aussi Green, Covile, Dials ou Dobbins. « En fait, ils sont très complets à tous les postes, il n’y a personne à sous-estimer dans cette équipe », ajoute le technicien bas-rhinois.
« Un engagement de tous les instants »
Pour se qualifier, les Strasbourgeois vont devoir sortir le grand jeu. A l’image de Vichy qui a imposé son rythme (80-77) à Orléans il y a 15 jours en mettant en place une défense agressive derrière un David Teague en feu (30 points à 7/9 à trois points). L’exemple à suivre ? « Oui, s’opposer physiquement, c’est la base avant toute chose. Il faudra avoir un engagement de tous les instants car si on lâche un peu de lest, on va le sentir passer », répond Fred Sarre, conscient que son équipe va devoir sortir le match parfait pour espérer poursuivre l’aventure havraise.
SIG : 4.Rush 5.Darrigand 6.Mendy 7.Essart 9.Allen 10.Giffa 13.Obasohan 14.Simon 15.Lewin 17.Gentil 18.Soumahoro. Ent : Frédéric Sarre.
Orléans : 4.Banks 5.Covile 6.Hervé 8.Boungou-Colo 9.Casseus 10.Curti 11.Green 13.Louves 15.Moerman 16.Sciarra 17.Dobbins 18.Dials. Ent : Philippe Hervé.
Olivier Arnal
L'équipe du 20 février 2009
rocky- Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
Concernat le match BCM/Roanne arbitré d'etrange maniére hier soir, je vous invite à aller sur le site officiel du BCM...y voir un commentaire qui résume tout.
www.bcmbasket.com
www.bcmbasket.com
le FILS DE HAKKENATON- Date d'inscription : 03/07/2007
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
le FILS DE HAKKENATON a écrit:Concernat le match BCM/Roanne arbitré d'etrange maniére hier soir, je vous invite à aller sur le site officiel du BCM...y voir un commentaire qui résume tout.
www.bcmbasket.com
Perso, j'ai trouvé que les hommes en gris ont offert ce match à Roanne. Car siffler un "marché" sur un rebond défensif à 7 secondes de la fin du match
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
Titeuf 67 a écrit:le FILS DE HAKKENATON a écrit:Concernat le match BCM/Roanne arbitré d'etrange maniére hier soir, je vous invite à aller sur le site officiel du BCM...y voir un commentaire qui résume tout.
www.bcmbasket.com
Perso, j'ai trouvé que les hommes en gris ont offert ce match à Roanne. Car siffler un "marché" sur un rebond défensif à 7 secondes de la fin du match
C'est clair, j'ai trouvé aussi que c'était abusé.
http://video.lequipe.fr/video/iLyROoafJ06z.html
rocky- Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
Merci sport + ...
thrill- Age : 34
Date d'inscription : 20/02/2009
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
SUPER MATCH COUPE PAR UN MATCH DE TENNIS
frederic- Age : 48
Localisation : eschau
Date d'inscription : 26/10/2006
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
thrill a écrit:Merci sport + ...
LA HONTE POUR SPORT +
frederic- Age : 48
Localisation : eschau
Date d'inscription : 26/10/2006
Tennis !!!
Prévu sur sport + en direct, le match est supplanté par le match de Tsonga!! La solution pour le direst, le lve de LNB et le commentaire en direct sur france bleue orléans! apres 10 mn,la sig est menée 23-13 ! dont 10 pts de coville,la sig fait le dos rond!
p'tit louis- Date d'inscription : 25/05/2006
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
c une honte de coupe un evenement comme la semaine des as qui a lieu une fois par an par du tennis je ne vous dit pas merci canal+ & canalsat
frederic- Age : 48
Localisation : eschau
Date d'inscription : 26/10/2006
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
p'tit louis a écrit:Prévu sur sport + en direct, le match est supplanté par le match de Tsonga!! La solution pour le direst, le lve de LNB et le commentaire en direct sur france bleue orléans! apres 10 mn,la sig est menée 23-13 ! dont 10 pts de coville,la sig fait le dos rond!
Mi- temps 38-36 pour orleans! Largement dominée au rebond 24-15 et aus 6,25m 2/10 contre 6/18,la sig fait front ,rush 7/8 aux lancers et 6ftes prov; et 12 points au total fait de la resistance avec rob et derrick à 7 pts et david à 8 pts,on va assister à une belle 2ème mi-temps et qui sait ? une decouverte à orleans:coville!
p'tit louis- Date d'inscription : 25/05/2006
Sport+
Sport + ne répond même pas au tél à leur siège.
Quel honte!!!!!!!!!!
C'est sur qu'il ne vont pas louper une goutte de leurs associés de l'Asvel et ne passera l'autre match de tennis avec Gilles Simon(mieux classé que Tsonga) comme cela!!!!
Quelle honte et mépris pour le leader du championnat de France Orléans!
Quel honte!!!!!!!!!!
C'est sur qu'il ne vont pas louper une goutte de leurs associés de l'Asvel et ne passera l'autre match de tennis avec Gilles Simon(mieux classé que Tsonga) comme cela!!!!
Quelle honte et mépris pour le leader du championnat de France Orléans!
fil- Date d'inscription : 03/06/2006
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
Sinon pour reparler du match, ça à l'air assez serré, j'aime pas trop ça moi, en général ça nous retombe dessus...
simbad88- Age : 35
Date d'inscription : 20/06/2008
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
Simon toujours aussi bon offensivement à 5/5 mais alors question rebonds, seulement 3 et c'est sûrement dans ce compartiment du jeu que la SIG va laisser échapper la victoire.
Orléans : 28 rebonds (dont 12 off.)
SIG : 19 rebonds (dont 7 off.)
Orléans : 28 rebonds (dont 12 off.)
SIG : 19 rebonds (dont 7 off.)
Theseus- Age : 115
Date d'inscription : 25/08/2007
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
Ouai je pense aussi... Trop de 2e chance pour Orléans...
simbad88- Age : 35
Date d'inscription : 20/06/2008
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
Mendy ... 6pts en 5min 2 rbs 2 interception 1 pd
Duss- Age : 34
Localisation : colmar
Date d'inscription : 02/03/2007
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
Il a mangé quoi, Mendy ???
Vincent- Localisation : Entre Paris et Strasbourg
Date d'inscription : 18/05/2006
Re: Semaine des AS : 1/4 de finales : SIG - Orléans
pourquoi sortir mendy ??? Il fait un super match !
Duss- Age : 34
Localisation : colmar
Date d'inscription : 02/03/2007
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Page 1 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|