ProA, 10e j. : Clermont (3-7) - SIG (4-6): 83-85 !

Maintement on gagne le match de coupe et on essaye de faire un huld up au mans ALLEZ LA SIG on es tous deriere vous

BOB a écrit:chose assez etrange, malgré notre début de saison pourrie, on n'est qu'à 2 petites victoires de la 4eme place...

On peut garder espoir !

ON DOIT GARDER ESPOIR, car, on a malheureusement également le même nombre de points que le 3è relégable en pro B et ... on se rend au Mans le we prochain, aie !

ON DOIT GARDER ESPOIR, car, on a malheureusement également le même nombre de points que le 3è relégable en pro B et ... on se rend au Mans le we prochain, aie !

Ok mais la saison ne se joue pas sur ce match, reste zen...

et puis le mans aura joue olympiacos jeudi soir et on les prend samedi soir apres avoir joue en uleb mardi soir.
je pense qu'on peut aller gagner là bas. ils devraient etre épuises, merci la ligue.........

Avant la venue des Lettons de Ventspils, demain soir en coupe ULEB, la SIG s'est donné de l'air à Clermont-Ferrand (83-85). Pas une raison pour se tromper sur son statut actuel. Éric Girard le premier modère les discours initiaux, tout en restant ambitieux.

« Nous venons de vivre une belle semaine. » Dans la voix d'Éric Girard, le soulagement se mêle à la satisfaction. « Après la défaite face au Havre, on pouvait être inquiet. On abordait quatre déplacements en cinq matches. Les deux premiers sont passés, avec des victoires au bout. » Ce qui, pour celle de samedi, n'était de loin pas garanti, après les trois jours à bourlinguer sur des chemins de traverse pour aller regonfler le moral - puisque la coupe d'Europe peut aussi servir à cela - au fin fond de la Pologne.

Et la SIG, dans ce paysage reconstitué ?

Ainsi, la SIG a-t-elle échappé à la charrette menant chaque fin de semaine à l'échafaud dans un championnat déroutant, renversant, où c'est la révolution tous les week-ends. Outre Pau, auteur d'un coup de force face au champion d'Europe moscovite, puis corrigé chez lui par une Chorale roannaise désormais isolée en haut de l'affiche, Nancy, le seul ténor que l'on pensait à l'abri, est cette fois passé sous la guillotine d'un promu orléanais qui se refait une santé.
C'est acquis, aucun grand n'échappe à la règle. Aucun grand n'est à l'abri de soi-disant sans-grades, de ces sans-culottes sans complexe emmenés par leur armada d'Américains venus mettre toutes les équipes à niveau.
Et la SIG, dans ce paysage reconstitué ? Fait-elle toujours partie des grands ? La confirmation du statut que lui confèrent les deux saisons écoulées n'est-elle qu'une question de temps ou relève-t-elle d'un désir en inadéquation avec la réalité ?

« On ne peut plus nous mettre dans le même panier »

Éric Girard ne se pose plus la question. « On s'est trop vite enflammé après le titre, puis une année d'Euroligue avec un gros budget et dix pros dans l'effectif (NDLR : 6e ou 7e budget cette saison). Même si ce n'est le cas, Pau, Le Mans, qui ont parfaitement rééquilibré leur effectif, et Nancy devraient planer sur la ProA. Nous, on ne peut plus nous mettre dans le même panier. »
On est loin des discours émis à l'orée de la saison, par le président Jérôme Christ ou le coach lui-même : « Pas question d'être une équipe quelconque ». Encore que, le constat établi et intégré n'interdit pas à l'entraîneur de croire en son équipe et en sa montée en puissance.

La SIG a besoin du vrai Cooper et de sa doublure

Sauf que celle-ci tarde en même temps que la mainmise des meneurs de jeu sur l'équipe. Car le mal est bien là. Il est localisé. Reste à le combattre.
Ceux sur si on compte semblent lancés, sauf eux. Nissim artilleur, Eidson scoreur et pourvoyeur, McCord et Sanders nettoyeurs, Marquis déménageur, mais Cooper et Darrigand ailleurs.
Que la hausse de Smith soit déréglée, même s'il doit sortir de l'impasse, que Mädrich alterne le bon et le passable est moins grave. Leurs rôles sont assumés par ailleurs. Mais la SIG a impérativement besoin du vrai Cooper et de sa doublure.
« Depuis Le Havre, Gauthier a connu une semaine difficile. Il doit absolument se remettre dans le sens de la marche. » Une perspective dont Éric Girard ne semble pas douter. Concernant l'ex-Palois, par contre, l'expectative domine.
Stoppé par sa blessure, il manque de foncier. Mais comment rattraper le retard avec un match tous les trois jours ? Le coach et le préparateur Franck Kuhn hésitent. Continuer ainsi ou imposer au bonhomme des séances physiques de rab, quitte à le payer momentanément en match ? « Est-il capable mentalement de se dire que ce serait un mal pour un bien ? » s'interroge Girard.
En attendant de trancher, le groupe a rassuré son entraîneur et même plus ce week-end. « Les gars étaient sous pression. Or, je les ai trouvés très sereins dans l'approche du match à Clermont. Ils sont réactifs, ne se dérobent pas. » Le groupe est soudé et vit bien. Un environnement sain qui doit permettre aux hommes à la baguette de sortir de l'ornière.

Rémy Sauer

(www.dna.fr)

philippe a écrit:et puis le mans aura joue olympiacos jeudi soir et on les prend samedi soir apres avoir joue en uleb mardi soir.
je pense qu'on peut aller gagner là bas. ils devraient etre épuises, merci la ligue.........

+1 sur ce coup-là merci la Ligue. Bien sûr ça nous arrange mais la ligue devrait quand même réfléchir à protéger ses clubs européens....

Je vous renvoie à des commentaires des clermontois, qui s'intéressent à leur équipe, mais également aux joueurs de la SIG:

http://www.basketinforum.com/viewtopic.php?t=21245&start=255