Le Deal du moment : -45%
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go ...
Voir le deal
1099.99 €

Les filles de la SIG

+5
Eddie
bouli
kent1
Namele
buzzard
9 participants

Page 2 sur 2 Précédent  1, 2

Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  françois Lun 20 Juil - 18:03

Titeuf 67 a écrit:yop yep yop yep Aline Fischbach et Darline Nsoki de la SIG sont championnes d'Europe avec l'EDF - 20 ans. Elles ont battu l'Espagne en Finale 74 - 52 yop yep yop yep

diable le basket féminin se porte très bien, et nos moins de 20 ans messieurs sont très bien partis dans leur EURO.espérons que les pros auront le même succès yep
françois
françois

Age : 35
Localisation : strasbourg
Date d'inscription : 25/09/2007

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  rocky Mer 22 Juil - 5:53

DNA du 22 juillet 2009

Basket-ball / Les Bleuettes championnes d'Europe

Aline au pays des merveilles

Partie depuis le 1er juin avec la sélection française, l'aillière de la SIG, Aline Fischbach, 20 ans, est revenue lundi soir de l'Euro une médaille d'or autour du cou. Une expérience unique, riche en émotions, dont elle garde d'ores et déjà un souvenir féerique.
C'est presque un conte de fée pour l'Alsacienne originaire d'Hattmatt. Rien ne prédestinait Aline Fischbach, blessée en début de saison, à participer aux championnats d'Europe, qui se sont déroulés du 9 au 19 juillet à Gdynia en Pologne, près de Gdansk.
Handicapée par une fracture du sésamoïde (de petits os sous le pied), l'aillière illkirchoise a été frappée d'une mononucléose. « Ça m'a terrassé », affirme-t-elle. Ce n'est que fin octobre, après avoir raté la préparation et les premiers matches de championnat, qu'elle reprend l'entraînement.

Sa mère, son premier coach

Sa mère, elle, y a toujours cru : « J'ai parcouru les stats et tu as de bonnes chances d'intégrer l'équipe de France », lui a-t-elle confié en début de saison. « Je n'y croyais pas une seule seconde, raconte Aline, mais ça a vraiment été la grosse surprise que d'être sélectionnée ! » Sa mère, c'est à la fois son premier coach et son premier supporter, celle qui la pousse vers le basket, même dans les moments les plus difficiles.
Retenue parmi les 12 meilleures joueuses françaises de moins de 20 ans, Aline a découvert une nouvelle façon d'entraîner sous le managérat d'Alain Jardel. Celui qui a mené l'équipe senior féminine au titre continental en 2001.

En route pour l'Euro

Pour préparer l'Euro, les Bleuettes ont aligné trois tournois à partir du 1er juin. A Bourg-en-Bresse, les Françaises s'imposent. Aline est élue dans le cinq majeur et termine meilleure marqueuse.
En Pologne, les basketteuses se retrouvent au bord de la mer Baltique. « C'était petit footing le matin sur la plage et eau de mer le soir, pour détendre les muscles des jambes », s'amuse l'aillière.
Les Bleuettes font un parcours sans faute, ne concédant aucune défaite. Versée dans la même poule que la Biélorussie, la Suède et la Russie (championne d'Europe 2008), la France avait fait des Russes son premier objectif. « C'était le match référence. On a gagné de 30 points, ce qui était très étonnant. C'est là que le groupe français est né », souligne la jeune fille.

Des équipes redoutées

En quart de finale, l'Alsacienne redoutait la Turquie : « On avait gagné sur le fil en tournoi de préparation à Istanbul, j'appréhendais, mais mon coach était serein ». La détermination des Tricolores les pousse jusqu'en finale, face à l'Espagne. « C'est l'équipe que tout le monde craignait. Trois joueuses de l'équipe senior étaient venues en renfort, Torrens, Nicholls et Abalde », rapporte-t-elle.
Alain Jardel demande à ses protégées de faire abstraction de ces trois noms et d'étouffer la défense espagnole. Résultat, la France triomphe avec 22 points d'écart (74-52) et s'octroie l'or. « A sept secondes de la fin, les Espagnoles ont arrêté de jouer, on avait déjà envahi le terrain, on pleurait de joie », se souvient Aline Fischbach, sacrée dimanche au côté de sa coéquipière de la SIG, Darline Nsoki.

La passion du basket

Et l'ambiance est restée à la fête. « Le soir même, on a arrosé le coach avec des bouteilles d'eau ! On a chanté la Marseillaise sur le chemin du retour dans le bus », sourit la championne.
La tendinite, qu'elle traîne depuis décembre devrait la forcer au repos dans les quelques jours à venir. « Je disais à mon père que j'irais aux sélections, même en rampant s'il le fallait ! »
Déterminée, la joueuse de la SIG l'est assurément et passionnée, sans l'ombre d'un doute. « Les deux premières semaines d'août, je serai animatrice au stage de basket d'Alsace, à Haguenau, celui que je faisais quand j'étais plus jeune ».
Pour sa première et dernière apparition en équipe de France des moins de 20 ans, Aline ne pouvait pas rêver mieux. Reste à savoir, si la magie opérera à nouveau à l'échelle internationale, avec les A. « Si on me propose, j'irai ! », répond-elle sans équivoque.

Elé.B
rocky
rocky

Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  rocky Sam 15 Aoû - 20:17

L'Alsace du 15 août 2009

Disparition Le SABC arrête

Recalé par la commission de contrôle de gestion de la Fédération, le club féminin de Strasbourg, 8 e de NF1 la saison passée, met la clef sous la porte.
Les dirigeants du Racing omnisport, qui avaient l’an passé mis un terme aux dérives financières de leur section basket en lui demandant de quitter son giron, doivent se féliciter de leur décision. Un an plus tard, ce qu’ils avaient prédit s’est vérifié : le Strasbourg ABC, émanation de ce qu’il convient désormais d’appeler feue la section féminine, a mis la clef sous la porte voici une quinzaine de jours.
Fin juin, la commission de contrôle de gestion de la Fédération française avait refusé de le réengager en NF1 (Ndlr : José Ruiz et son équipe venaient de terminer 8 es). Dès lors, le club paraissait condamné, même si son président, Marc Bouté, avait interjeté appel de la décision fédérale.
Un mois plus tard, M. Bouté et son équipe ont dû se rendre à l’évidence et dissoudre leur club, douze mois après l’avoir porté sur les fonts baptismaux. Alors que la Ville de Strasbourg attend toujours qu’on lui communique les comptes de la saison 2008-2009, le président du club disparu maintient encore que son dossier était viable. « Je parlerai plutôt à froid qu’à chaud. Mais la Fédération française n’est pas blanche dans cette histoire. Certains choix ont été guidés par des luttes intestines. Notre éviction par exemple. Alors, nous préférons tout arrêter de notre propre chef. Nous sommes un peu écœurés. Nous l’avons officialisé il y a deux semaines, alors que nous sommes à jour financièrement. Nous avons payé nos charges. Nous attendons juste la subvention de 31 000 euros de la CUS pour payer les derniers salaires. Nous avons fait en sorte que les joueuses puissent rebondir. Je suis amer. »

Oehler veut « un grand club communautaire »

Il y a trois semaines, le club strasbourgeois avait pourtant sollicité de la Ville la mise à disposition du hall Tivoli pour la 2 e saison consécutive. « J’avais accepté », dit Serge Oehler, l’adjoint aux sports, pas encore officiellement informé de l’arrêt du SABC. « Le club disparaît ? Les dirigeants ne nous ont jamais mis au courant de quoi que ce soit. Sur l’état de leurs finances, tout ce que nous avions était le fruit de rumeurs ou d’informations données par la Fédération. J’avais pour projet de bâtir un grand club communautaire en réunissant la SIG et le SABC. Ils n’ont pas réussi à s’entendre. Aujourd’hui, Strasbourg arrête. Je vais relancer l’idée, que j’estime très bonne, de ce grand club communautaire. Sachant que la ville de Strasbourg ne peut subventionner le club d’une autre ville (Ndlr : la SIG est basée à Illkirch) , il faut voir ce que légalement, nous pouvons faire, peut-être par l’intermédiaire de la CUS. Il faut que dans ce dossier se dégage enfin un véritable esprit communautaire. »

S.G.



Basket-ball : des Illkirchoises sur leurs gardes

Après son exceptionnelle première saison en Nationale 1 (3 e de la phase régulière, 4 e après le final four), la SIG féminine, dont l’effectif a été largement remanié cet été, n’ignore pas que la 2 e année est toujours la plus difficile

C’était samedi dernier. Deux mois après la fin d’une superbe saison 2008-2009, les joueuses de la SIG retrouvaient le chemin de l’entraînement. Sans appréhension, mais avec prudence. Après leur titre de championnes de France de N 2 en 2008 (assorti d’un sacre en Trophée Coupe de France), leur première année en NF1 a dépassé leurs espérances : une 3 e place en saison régulière, puis une 4 e au final four où il ne leur a pas manqué grand-chose, malgré une évidente lassitude psychologique.
Cet été, les joueuses de Philippe Breitenbucher ont rechargé les batteries. Enfin, pas toutes. Aline Fischbach et Darline Nsoki sont devenues le 19 juillet championnes d’Europe des moins de 20 ans avec l’équipe de France à Riga (Lettonie). Du coup, Philippe Breitenbucher a préféré les laisser au repos cette semaine. « Elles sont affûtées. Elles ont juste besoin de souffler. »
Cinq joueuses (Audrey Kopp, Claire Nussbaumer, Aminata Konate, Allison Vernerey et Jessica de Amorim) ont quitté l’effectif. Pour les remplacer, P. Breitenbucher en a recruté quatre : l’ailière lituanienne de Calais Lina Brazdeikyte, déjà vue au Racing, le pivot espoir de l’Union Hainaut Bettina Kadila, la jeune arrière-ailière du Centre fédéral Chloé Westelynck et la meneuse du Strasbourg ABC, Charline Servage, arrivée sur le tard après la disparition du club strasbourgeois (voir ci-contre). Le technicien, qui reçoit le renfort de François Lepeltier (Vendenheim) au poste d’adjoint, a aussi intégré Héloïse Boissinot et la jeune Célia Mauler.
Fidèle à son image, il se garde bien de pérorer. « Ce n’est pas un leurre de dire que la 2 e année est souvent la plus difficile. Il y a beaucoup de changements dans l’effectif et j’attends d’en prendre la température. Dire en ce début de saison que nous allons jouer les premières places serait prétentieux. »

« Une bonne saison si nous terminons dans les huit »

D’autant qu’à ses yeux, un autre paramètre entre en ligne de compte : « Nous ne bénéficierons plus de l’effet de surprise. Nous allons être attendus partout. Pour la majorité des équipes, nous ferons figure de favoris. Nous ne devrons surtout pas nous relâcher après notre bonne saison. Il va falloir gérer ça. »
Les Illkirchoises vont aussi devoir gérer « l’après Allison Vernerey », comme le reconnaît son désormais ex-entraîneur : « Les autres départs sont importants aussi. Mais Allison est un catalyseur, une joueuse qui a tiré tout le groupe vers le haut. Je ne ressens pas d’angoisse, mais quand tu abordes une compétition aussi dense, aussi longue, tu n’es sûr de rien. Je suis content des recrues. Les postes sont équilibrés. Maintenant, il faut trouver le liant sur le terrain. Ça va être dur, car hormis Caroline (Nestor, qui revient après avoir été blessée pratiquement toute la saison passée) , Céline (Sendner) et Lina, le groupe est jeune. Entre les deux clubs de Ligue rétrogradés administrativement, Union Hainaut et Reims, et ceux qui se sont bien renforcés, comme Charleville, qui a des ambitions depuis plusieurs années et a récupéré Djené Diawara (meilleure joueuse de NF1 2008-2009 avec le SABC) et Sarra Ouerghi (Reims) , notre mission s’annonce difficile. Si nous nous maintenons en terminant dans les huit premiers, nous aurons fait une bonne saison. Si nous faisons mieux, notre saison aura été très bonne. »

S.G.

Arrivées : Lina Brazdeikyte (ailière forte, Calais, LFB, Lituanie), Bettina Kadila (pivot, Union Hainaut espoirs, NF2), Charline Servage (meneuse, Strasbourg ABC, NF1), Chloé Westelynck (arrière-ailière, Centre fédéral, NF1).
Départs : Audrey Kopp (arrêt, équipe 2), Claire Nussbaumer (Sandhausen, D 2 allemande), Aminata Konate (Basket Landes), Allison Vernerey (Université américaine de Duke), Jessica de Amorim (Albertville, N 2).
Le programme d’avant-saison. Dimanche 23 août à 15 h au hall de la SIG, SIG – Novia Munalux (D 1 belge). Mercredi 26 août à 20 h au hall de la SIG, SIG – Furdenheim (N 2). Dimanche 30 août à 17 h 30 à Hattmatt, SIG – Furdenheim. Samedi 5 et dimanche 6 septembre au hall de la SIG, tournoi du Crédit Mutuel à Illkirch. Ouverture en NF1 le samedi 12 septembre à Saint-Paul Rezé.
rocky
rocky

Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  rocky Sam 22 Aoû - 6:58

DNA du 22 août 2009

Basket-ball / Les Nationaux avant la reprise : la SIG (NF1)

Grandir sans Allison

Au sortir d'une saison exceptionnelle pour un promu, récompensée par une place au Final Four de NF1, la SIG va devoir apprendre à vivre sans Allison Vernerey, partie aux États-Unis. Les Illkirchoises parviendront-elles à jouer à nouveau les premiers rôles ?
L'EFFECTIF. - Un seul être vous manque... Allison Vernerey s'en est allée à Duke, aux États-Unis, poursuivre une carrière qui s'annonce brillante. Et la SIG a perdu l'un des plus beaux prospects du basket hexagonal. Le club illkirchois n'a toutefois pas été pris au dépourvu. « Ce n'est pas une surprise, on savait qu'elle n'allait rester qu'un an », rappelle le coach Philippe Breitenbucher.
Un seul être vous manque, mais la SIG, donc, a su se repeupler. Avec Lina Brazdeikyte, première joueuse pro de son histoire, Charline Servage, Bettina Kadila et Chloé Westelynck, la formation du président Pfister porte beau. « On savait qu'on n'allait pas trouver d'équivalent à Allison, alors on a réparti les forces différemment, précise l'entraîneur. C'est un groupe plus équilibré au niveau taille. On gagne en envergure et on pourra avoir des mouvements offensifs plus variés ».

« On peut être une équipe pénible à jouer »

Avec encore Darline Nsoki et Aline Fischbach, championnes d'Europe, cet été, avec les Bleuettes, la SIG a des arguments à faire valoir. « Le danger pourra venir de partout. Si on arrive à avoir un esprit d'équipe suffisamment costaud et qu'on utilise à bon escient toutes les filles, sur un match, on peut être une équipe pénible à jouer », ajoute Philippe Breitenbucher, qui pourra compter sur « un mix intéressant entre la maturité et le devenir ».
LES OBJECTIFS. - Révélation du dernier exercice, 3e de la saison régulière et qualifiée pour le Final Four, la SIG a réussi un parcours épatant pour un promu ; le club a même été sollicité par la Fédération pour accéder en Ligue, mais a dû décliner l'invitation, faute de pouvoir compter sur les subsides suffisants. Les Illkirchoises parviendront-elles à rééditer leur superbe saison écoulée ? « L'effet de surprise ne jouera plus, annonce le coach. On fait d'ailleurs office de favoris aux yeux de nombreuses équipes, même si ce n'est pas justifié ».
L'autre écueil s'appelle décompression. « Il va nous falloir être encore plus vigilants. Est-ce que tu n'as pas tendance à te relâcher après une telle année ?, interroge Philippe Breitenbucher, qui vise une place dans la première moitié du tableau. Le championnat s'annonce long et dense et ce serait prétentieux de dire qu'on va jouer les premières places. Si on se classe dans les huit premiers, on aura fait une bonne saison. Et si on peut faire mieux, on ne va pas se priver ». Ses protégées l'ont si bien fait dans un passé récent.

R. Sch.
rocky
rocky

Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  rocky Sam 6 Fév - 8:38

L'Alsace du 06 février 2010

Une refonte qui coule mal

La Fédération projette de remodeler la Nationale 1 féminine et de supprimer la poule unique de 16 contre deux poules de 12. La pilule reste en travers de la gorge des clubs.
L’affaire fait grand bruit dans le landerneau du basket féminin. Un peu après la mi-janvier, les dirigeants de clubs ont reçu un courrier de Jean-Pierre Siutat, vice-président de la Fédération, en forme de consultation sur une prochaine refonte des championnats féminins. Si son sommet - la LFB - n’est pas concerné, la pyramide est susceptible d’être bouleversée en profondeur et, selon les présidents mécontents, fragilisée.

Dans le panel de réformes dont certaines recueillent l’assentiment des acteurs du basket féminin, deux déchaînent leur ire : un, la nouvelle dénomination attribuée à la NF1, qui s’appellerait désormais « Ligue Féminine de Développement » ; deux, le passage d’une poule unique de 16 à deux poules de 12, avec des répercussions en cascade sur les divisions inférieures.

Le président de la SIG, Luc Pfister, n’a pas été le dernier à réagir défavorablement à ce projet. Et pour cause ! « Jean-Pierre Siutat l’a élaboré et présenté en commission restreinte à laquelle seuls les coaches de Voiron et Charleville, le président de Versailles et moi assistions. Ensuite, tout le monde l’a reçu. Le document ressemble à une concertation. Mais dans les faits, nous avons tous l’impression que le projet est déjà avalisé. Tel qu’on nous le soumet, il paraît acquis. On nous demande notre avis, mais nous craignons que nos doléances ne soient pas prises en compte. Or, non seulement ce projet ne suscite pas l’enthousiasme, mais il engendre un rejet unanime des présidents de clubs. Passer en force, ce serait antidémocratique au possible. »

Loin de rejeter tous les aménagements en bloc, Luc Pfister estime même que certains d’entre eux vont dans le sens de la démarche entreprise ces dernières années par son club. « L’aspect sportif qui touche à la formation des jeunes et à la restriction du nombre d’étrangères (Ndlr : un minimum de quatre joueuses de 23 ans sur les feuilles de matches, avec seulement deux étrangères) cadre avec notre philosophie. Il emporte notre adhésion et celle de la majorité des présidents de NF1. »

« Un retour en arrière »

Mais sur les deux propositions évoquées ci-dessus (changement de dénomination et division de la NF1 en deux poules), le patron de la SIG reste inflexible, arguments à l’appui. « Ligue Féminine de Développement : il y a dans cette nouvelle appellation une sous-évaluation et une dévalorisation du niveau actuel de la NF1 en lesquelles les partenaires, privés ou institutionnels, ne peuvent pas avoir confiance. Quant à la répartition en deux poules, elle s’apparenterait à un retour en arrière et irait à l’encontre de ce que nous souhaitons : suivre le modèle de la Ligue 2 de foot et avoir véritablement l’étiquette du haut niveau. Les dirigeants de la Fédé ont sûrement de bonnes intentions, mais ces intentions ne sont pas en adéquation avec la volonté des principaux intéressés. Sans compter que si cette nouvelle formule est mise en place comme demandé dès 2010-2011, le règlement de la saison en cours deviendra caduc. Comment, dès lors, les partenaires pourraient-ils s’y retrouver ? »

Son entraîneur, Philippe Breitenbucher, qui, avec son équipe, a connu une accession au sein d’une N1B à deux poules (en 1995-1996), est sur la même longueur d’ondes : « Pourquoi casser quelque chose qui marche bien ? Avant que nous ne montions en NF1, j’avais, de l’extérieur, l’impression que le championnat était intéressant. De l’intérieur, il est carrément passionnant. Tout le monde peut battre tout le monde. On assiste à des matches pleins, dans des salles bien garnies. La NF1 est une belle promotion pour le basket féminin. L’émulation est là et le niveau, de plus en plus relevé. En créant deux poules de 12, ce niveau sera dilué. Sans parler du risque financier lié au plus grand nombre d’équipes, alors que la Fédé fait tout pour éviter les dérives budgétaires depuis quelques années. Dans chaque poule, les 4 premiers seront concernés par les play-off, les 4 derniers, par les play-out. Et les quatre autres ? »

Aussi Luc Pfister et ses collègues présidents ont-ils la ferme intention de combattre un remodelage qu’ils jugent préjudiciable. « Nous sommes aujourd’hui l’antichambre du basket féminin français », pointe le président illkirchois, « Dans la nouvelle pyramide, ce mot antichambre n’aurait plus de raisons d’être. »

Stéphane Godin
rocky
rocky

Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  rocky Dim 14 Nov - 18:57

La SIG féminine discute avec Martial Bellon pour organiser leur rencontre de coupe de france face à Bourges en levé de rideau du match SIG - ASVEL du 29 janvier prochain. yop
rocky
rocky

Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  solarya Dim 14 Nov - 19:56

C'est une bonne initiative pour promouvoir le basket féminin

solarya

Date d'inscription : 28/05/2007

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  Titeuf 67 Dim 14 Nov - 20:00

rocky a écrit:La SIG féminine discute avec Martial Bellon pour organiser leur rencontre de coupe de france face à Bourges en levé de rideau du match SIG - ASVEL du 29 janvier prochain. yop

Super idée yop yep ces filles la méritent d'être vues

Titeuf 67

Localisation : Strasbourg
Date d'inscription : 18/05/2006

https://www.facebook.com/profile.php?id=100001438254686

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  rocky Mar 14 Déc - 5:46

20 Minutes du 14 décembre 2010

SIG-Bourges se jouera au Rhenus

Deux matchs pour le prix d'un. C'est ce que va proposer la SIG, le 29 janvier prochain. Sur le parquet du Rhenus, filles et garçons du club vont se succéder. A 17 h 45, les coéquipières de Céline Schmitt-Sendner (Ligue 2) défieront Bourges (LFB) en 16e de finale de la Coupe de France. Puis Aymeric Jeanneau et sa troupe prendront le relais à 20 h 30 pour batailler contre l'Asvel lors de la 16e journée de Pro A. « Sauf un improbable veto de la Fédération ou de la Ligue nationale de basket, tout est calé », se réjouit Luc Pfister, le président de la section amateur de la SIG.
Plein d'enthousiasme, il poursuit : « Ce sera la première fois que les équipes féminine et masculine d'un même club jouent l'une après l'autre dans deux compétitions si importantes. » A cette occasion, l'ailier de la Sig Alain Digbeu croisera sa sœur cadette Jennifer, intérieure de Bourges.

F. H.
rocky
rocky

Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  rocky Jeu 6 Jan - 8:48

20 Minutes du 06 janvier 2011

La SIG féminine reçoit les honneurs de la fédération

Club formateur élite. Voici le label dont peut se targuer la SIG féminine (Ligue 2) depuis septembre. Samedi avant la rencontre face à Reims, c'est le président de la Fédération française, Jean-Pierre Siutat, qui remettra ce label au club illkirchois. Ce dont n'est pas peu fier son président, Luc Pfister. « Nous sommes le seul club de l'Est de la France à le recevoir. »
Jusqu'à présent les clubs qui n'évoluaient pas en Pro A ou en LFB ne pouvaient utiliser la dénomination “ centre de formation ” alors la Fédération a créé ce label. « C'est la reconnaissance des efforts fournis pour former des jeunes filles. ça leur permet de jouer à haut niveau et de rester dans la région », explique Pfister. Il cite la présence des équipes minime et cadette de la SIG en championnat de France, les nombreuses joueuses du club sélectionnées en équipe de France jeunes (Vernerey, Nsoki, Fischbach, Westelynck...).
Le président de la SIG amateur ne cache pas qu'à terme une accession en LFB est envisagée. « Un jour peut-être. Mais d'ici là, la formation nous permet d'avoir recours le moins possible à des “ mercenaires ”. Aujourd'hui la moitié de l'effectif est originaire d'Alsace. En formant localement, on fait un pari sur l'avenir. » F. H.
rocky
rocky

Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  rocky Ven 7 Jan - 13:58

La SIG brille par la qualité de sa formation

http://alsace.france3.fr/info/la-sig-brille-par-la-qualite-de-sa-formation-66702942.html?onglet=videos
rocky
rocky

Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  rocky Jeu 17 Mar - 8:04

L'Alsace du 17 mars 2011

La SIG compte sur ses supporters… et sur ceux des pros

Les Illkirchoises, dont le maintien est loin d’être assuré, espèrent un soutien massif, samedi (20 h) face aux Bretonnes de Pleyber-Christ, grâce à une opération menée de concert avec la section pro du club.
« Notre situation au classement est très délicate. L’opération maintien est entamée. Nos filles auront besoin de vous pour les soutenir », résume Luc Pfister, président de la SIG Amateur, en évoquant le classement des Illkirchoises, 11 es de LF2 à sept journées de la fin du championnat (voir ci-contre), et en faisant référence à l’opération organisée en partenariat avec la section pro du club : les spectateurs présents au match du week-end passé entre la SIG et Hyères-Toulon, ainsi que les abonnés habitués du Rhénus, auront droit à un tarif préférentiel (1€ au lieu de 5) pour assister à la rencontre samedi (20 h) à Illkirch.
« Une initiative de ce genre fait toujours plaisir et incitera peut-être davantage de monde à venir nous encourager », constate Philippe Breitenbucher, l’entraîneur des Alsaciennes, qui espère que le Hall de la SIG fera le plein. « Nous attirons en moyenne 500 personnes, sachant que la salle peut en accueillir le double… Les supporters, c’est important, ils peuvent vraiment nous pousser vers la victoire. Les nôtres sont toujours là pour nous soutenir, à s’enthousiasmer et à mettre la pression sur nos adversaires, même si ce n’est pas la folie furieuse dans les tribunes. »
Les joueuses de la SIG auront besoin de tous les coups de main possibles et imaginables dans les prochains temps afin de faire pencher la balance en leur faveur et de sauver leur peau en LF2 à l’issue d’une saison encore délicate à gérer puisque les quatre dernières équipes - exception faite du Centre fédéral qui, lui, reste à ce niveau quels que soient ses résultats - tomberont à l’échelon inférieur. Ce qui ne sera plus le cas dès l’exercice 2011-2012 en raison de la réforme des championnats féminins : la LF2 passera de 16 à 14 équipes et seules deux d’entre elles seront condamnées.
« Nous en sommes à notre troisième saison en LF2, nous aimerions bien en ajouter une quatrième », souligne Philippe Breitenbucher.

« Regarder devant nous »

« Nous savions que ce ne serait pas facile, parce que nous n’avons pas pu remplacer tous les départs, que nous avons besoin d’une rotation supplémentaire à l’aile, que nous avons fait confiance aux jeunes - sept des dix joueuses ont entre 16 et 22 ans - qui ne possèdent pas encore l’expérience et la maturité requises à ce niveau. Mais il ne nous manque pas grand-chose. Nous avons perdu quelques matches d’un ou deux points seulement, sur des détails, ce qui est rageant… Si nous pouvons bénéficier, dès samedi, de l’aide d’un public conséquent, nous trouverons peut-être les ressources nécessaires, dans les moments cruciaux, si les débats sont serrés, pour ne pas lâcher prise et avoir le dernier mot. »
Les Illkirchoises n’ont plus de temps à perdre. Leur situation, si elle n’est pas dramatique, est préoccupante, et elles doivent réagir au plus vite. « Il faut regarder devant nous et arrêter de regarder derrière nous. Nous avons encore sept matches à disputer, dont quatre à la maison, qu’il faudra impérativement gagner pour avoir une chance de nous maintenir. Je fais confiance aux filles, et aux supporters, pour y arriver. Nous en avons les moyens, j’en suis convaincu, et je sais que beaucoup de monde, finalement, s’est pris au jeu et veut voir notre équipe réussir », conclut Philippe Breitenbucher. « Il y a un engouement autour de nous, à nous d’en profiter au maximum. »

La 11 e place, celle de la SIG nantie, comme Rennes (10 e), de 32 points, n’est pas synonyme de relégation. Mais Dunkerque et Le Havre, respectivement 13 e et 14 e avec 31 points, doivent encore s’affronter dans un match en retard de la quinzième journée de championnat, la dernière du cycle aller, le 30 mars. L’équipe qui l’emportera passera donc forcément devant la formation illkirchoise.
rocky
rocky

Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  françois Jeu 26 Avr - 12:03

pour ceux qui ont les DNA du jour, très bel article sur l'emblématique Caroline Nestor qui met fin à sa carrière sportive après le match de samedi yop :

http://www.dna.fr/sport-local/2012/04/26/ciao-caro

http://www.dna.fr/sport-local/2012/04/26/avec-elle-l-emotion-est-aussi-un-moteur

http://www.dna.fr/sport-local/2012/04/26/celine-deja-orpheline

françois
françois

Age : 35
Localisation : strasbourg
Date d'inscription : 25/09/2007

Revenir en haut Aller en bas

Les filles de la SIG - Page 2 Empty Re: Les filles de la SIG

Message  Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Page 2 sur 2 Précédent  1, 2

Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum