PRO A 27 ème Journée : SIG - Orléans

DNA du 24 avril 2008

Heath remercié

Heath coupé, Smith blessé, c'est une équipe orléanaise en apparence diminuée qui se présentera samedi au Rhenus. Méfiance toutefois car ce groupe vient de mater avec autorité Chalon/Saône.
HEATH. - En difficulté dans le collectif orléanais et écarté avant la venue de Chalon/Saône samedi dernier, Brandon Heath, le talentueux mais inconstant arrière de l'Entente, a été coupé hier après-midi. « Après quelques jours de réflexion, le staff technique et les dirigeants de l'Entente ont choisi de ne pas le réintégrer », a fait savoir l'EO 45 dans un communiqué. « C'était un garçon en difficulté sportivement ces dernières semaines, note Philippe Hervé, le coach orléanais. Il n'est pas responsable des mauvais résultats, mais l'équipe a mieux joué sans lui qu'avec lui ». Sorti de l'Université de San Diego l'an dernier, Heath, à qui il a été reproché son entêtement sur le terrain, tournait à 12 pts, 3 rbs et 2 passes pour sa première saison en Europe.
SMITH. - Déjà absent le week-end dernier, l'ailier-fort orléanais Theron Smith manquera toujours à l'appel pour le déplacement à Strasbourg. Souffrant d'une tendinite récurrente au genou, l'ancien cireur de banc des Memphis Grizzlies et des Charlotte Bobcats, qui vaut 7 pts et 5 rbds de moyenne cette année, est arrêté jusqu'au 11 mai. Smith out, Heath poussé vers la sortie, Orléans reconduira samedi le groupe victorieux (66-48) de l'Élan Chalon, avec Dewar et Salisbury pour seuls Américains.
GIFFA. - Victime d'une entorse de la cheville gauche jeudi dernier, qui l'avait consigné sur le banc à Toulon, Sacha Giffa n'est pas assuré de pouvoir reprendre contre Orléans. Lundi, la cheville du « Shaker » était toujours enflée et douloureuse. Pierrick Ortscheit, le kiné de la SIG, s'attelle à remettre l'ailier-fort sur pied, mais un gros point d'interrogation demeure. Nicolas Sarbacher, le médecin référent du club, doit revoir le joueur ce soir.
BOBOS. - Petit bobo et rhume ont émaillé le quotidien des Strasbourgeois cette semaine. Touché à la clavicule gauche dans le Var, Gauthier Darrigand va mieux et sera opérationnel pour la venue de l'Entente. Placé sous anti-inflammatoires en raison d'un état grippal et laissé au repos mardi, John McCord a repris avec le groupe hier et sera aussi d'attaque samedi. Absent lors des trois dernières rencontres, Kevin Houston retrouve pour sa part le chemin des parquets. L'ailier US avait à nouveau ressenti de violents maux de ventre mercredi dernier, mais son état n'inspire aujourd'hui plus d'inquiétude. Houston a bénéficié d'un programme personnalisé pour retrouver la forme.

Pour revoir l'improbable shoot réussi par Eddie Shannon à Chalon

ON LINE. - Pour revoir l'improbable shoot réussi du milieu de terrain par Eddie Shannon à Chalon, un panier « Avé Maria » qui avait permis à la SIG d'arracher une 2e prolongation, un clic sur www.lnb.tv, rubrique Top 10 du mois de mars.
NOCTURNE. - La SIG s'associe à la 14e Nocturne du basket qui se déroulera le 29 avril, à partir de 19 h, à la Halle des Sports de l'Esplanade à Strasbourg. Tournoi 3x3, concours de dunks et de tirs à trois points sont au programme. Des billets pour le match entre la SIG et Le Mans, le 6 mai au Rhenus, seront à gagner.

R. Sch.


L'Alsace du 24 avril 2008

Basket-ball La SIG en chantier

La saison de la SIG est d’ores et déjà une déception. La qualification pour les play-offs est de plus en plus hypothétique et l’élimination en Coupe de France par Nanterre (Pro B) a déjà « plié » tous les espoirs d’Olivier Weissler de diriger le groupe pro l’an prochain. Le manager sportif Jérôme Rosenstiehl avoue « quelques contacts avec des profils intéressants. On est dans une phase d’écoute, et on essaye de ne pas se tromper. »
Évidemment, le nouveau coach (Sarre ? Toupane ?) composera son équipe, mais il devra faire avec Elson Mendy et Derrick Obasohan, les deux seuls joueurs de l’année disposant encore d’une année de contrat. L’année supplémentaire d’Afik Nissim est conditionnée par une qualification européenne. Dirk Mädrich fera également son retour des Artland Dragons (1^re division allemande). Mais ses statistiques (5 pts et 2,7 rbd en 14’) ne plaident guère en sa faveur et il devrait être prié de se trouver un autre club malgré un physique dissuasif (2,12 m).
On s’avance donc vers un nouveau grand chantier, et les négociations avec les joueurs actuels n’ont pas encore débuté. « On attend d’avoir le nom de l’entraîneur, précise Rosensthiel. Même si un joueur comme Sacha Giffa pourrait être prolongé d’office. Après, il n’est pas exclu que plusieurs joueurs restent. » Ce sera peut-être le cas du capitaine John McCord, seul élément réellement constant de la saison.

DNA du 25 avril 2008

Entente et mésententes

Entre Philippe Hervé, le coach orléanais, et son président, le courant ne passe plus guère. Pas encore assurée de se maintenir, l'Entente avance à tâtons ces temps-ci. Toute ressemblance avec son adversaire strasbourgeois est évidemment purement fortuite.
Les petits psychodrames et autres tiraillements plus ou moins larvés ne sont pas le seul apanage de la SIG cette année. Ailleurs, aussi, des tensions se font jour, des affinités se fissurent, des consensus se lézardent. Orléans n'y coupe pas. L'Entente a affiché ces temps-ci ses mésententes et sort d'une semaine passablement agitée, au moins en coulisses.

« On nous voit toujours plus beaux et plus riches que nous ne le sommes »

Si les tenants et les aboutissants divergent, selon que l'on se trouve en Alsace ou dans le Loiret, la toile de fond est la même, à savoir une saison bien fade, bien plus terne en tout cas que la précédente. Longtemps en position de disputer les play-offs l'an dernier, Ben Dewar et ses coéquipiers n'ont cette fois pas encore mathématiquement assuré leur maintien. Et il ne leur reste que quatre journées pour le faire. Philippe Hervé ne cède pas à l'affolement. « On nous voit toujours plus beaux et plus riches que nous ne le sommes. On n'a que le 13e budget de Pro A après tout. Alors oui, la deuxième année est toujours plus difficile surtout lorsque la première a été bonne pour un promu. Mais il n'y a rien de dramatique et nous sommes pour l'heure conforme aux objectifs fixés », tempère le coach orléanais. Pour prolonger son bail avec l'élite, l'EO 45 a quand même jugé plus utile de se séparer, avant-hier, de son arrière Brandon Heath (DNA d'hier). « Il avait souvent tendance à vouloir trouver par lui-même les solutions alors qu'il n'avait pas toujours les compétences pour cela, explique Philippe Hervé. En plus d'être inconstant, il était impacté psychologiquement depuis quelque temps. Compte tenu de la pression qui va être la nôtre, j'ai préféré renforcer la cohésion du groupe et responsabiliser d'autres garçons ». La cohésion à Orléans n'est en tout cas plus incarnée par le binôme président - entraîneur. Attiré dans le Loiret par le projet et le charisme de Christophe Guérin, un chef d'entreprise volontariste, Philippe Hervé, l'homme de la montée, ne se reconnaît pas dans la politique de son successeur, Jean-Michel Pellé, installé dans le fauteuil présidentiel l'été dernier. Et entre les deux hommes, le courant ne passe plus guère. « Ce n'est pas un conflit de personnes, dédramatise le coach. Mais j'ai toujours considéré un projet de club comme un projet d'hommes. J'ai besoin de bien connaître les gens qui sont au-dessus de moi. Or, le président lui-même s'interrogeait, ne savait pas s'il avait envie de s'inscrire dans la durée. Je me suis donc moi aussi interrogé et je l'ai fait savoir ». La nomination, il y a quelques jours, d'un nouveau directeur exécutif est venue un peu plus chambouler l'organigramme du club. Organisateur de l'Open de tennis d'Orléans, Didier Gérard remplace Pascal Devynck, l'indispensable homme de l'ombre depuis cinq ans. « Il y a une complémentarité nouvelle à trouver », dit le coach.

« Je n'ai pas eu le moindre contact avec Strasbourg »

Sous contrat jusqu'en 2010, Philippe Hervé sera-t-il tenté d'aller voir ailleurs à la fin du présent exercice ? De mettre par exemple le cap sur l'Est, comme la rumeur l'y pousse ? « Je ne suis pas au courant et... ma femme non plus, assure l'entraîneur. Je n'ai en tout cas pas eu le moindre contact avec Strasbourg et il faudrait de toute façon déjà demander au président s'il souhaite me libérer ». Le discours a le mérite de ne fermer aucune porte. Comme quoi celles-ci ne font pas que claquer cette saison.

Régis Schneider

20 Minutes du 25 avril 2008

La SIG au pied du mur

Une chute à enrayer. Vainqueur d'un seul de ses sept derniers matchs de championnat, Strasbourg a grillé tous ses jokers dans la course aux play-offs. Demain soir (20 h) au Rhenus Sport contre Orléans (11e), la SIG (9e) aura l'obligation de gagner pour espérer se qualifier pour la phase finale. Problème : les hommes d'Oliver Weissler - dont l'intérim après l'éviction d'Eric Girard ne se prolongera pas la saison prochaine - n'ont plus leur destin entre leurs mains. Sur les quatre dernières rencontres de Pro A, ils devront en gagner deux de plus que Hyères-Toulon (8e), actuel possesseur du dernier billet pour les play-offs. C'est loin d'être gagné, surtout quand on jette un coup d'oeil au calendrier des Strasbourgeois : ils doivent encore se déplacer au Havre (5e) et à Villeurbanne (2e), pour la seule réception du Mans (1er).

J. S. - ©2008 20 minutes

DNA du 26 avril 2008

Dureté exigée

Distancée par Toulon dans la course au Top-8, la SIG n'a d'autre alternative que de l'emporter, ce soir contre Orléans, pour conserver une infinitésimale chance de disputer les play-offs. Il va impérativement falloir se retrousser les manches.
Égéries de Fred Coppula, Narcis Bosch ou encore Stan Lubrick pour ne citer que ces trois tâcherons du X, Oksana, Nomi, Estelle Desanges et leurs copines sont à Strasbourg. Hardeuses toujours en activité ou ex-stars du genre, elles sont les marraines du mega salon « Erotica Dream » qui a ouvert ses portes hier après-midi au Wacken, à un jet de pierre donc du Rhenus Sport.

Ce grivois voisinage suffira-t-il ?

Ce grivois voisinage suffira-t-il à la SIG, engoncée dans le ventre mou du classement, pour retrouver le « mojo » évanoui depuis plusieurs semaines ? Olivier Weissler, le coach strasbourgeois, maintient en tout cas une confiance qu'il serait tentant de qualifier d'inébranlable à ses joueurs. « Je ne sens pas ce groupe lâcher ». Défaite dans le Var vendredi dernier, la SIG se retrouve aujourd'hui décramponnée par Toulon dans la course aux play-offs. Et les coéquipiers de John McCord sont quasiment condamnés à un sans faute jusqu'à la fin de la saison pour décrocher leur place dans le grand huit du mois de mai. « Les quatre derniers matches doivent être joués comme quatre finales, enjoint Olivier Weissler. Et les notions de surpassement et de rébellion, on doit les retrouver en priorité lors des deux rencontres à domicile ». Première de ces deux empoignades domestiques, et sans conteste la plus abordable des quatre échéances encore inscrites au calendrier des Alsaciens, la réception d'Orléans, ce soir, ne s'annonce pas comme une partie de plaisir, n'en déplaise à la très coquine promiscuité déjà évoquée. « Je me méfie terriblement de ce genre de confrontation contre des équipes où la hiérarchie a été redistribuée. Orléans est sans doute l'équipe la plus imprévisible à ce moment-là du championnat », ajoute le coach. Smith sur le flanc, Heath coupé, l'Entente s'appuie désormais sur un Dewar « on fire » (18,5 pts/moyenne lors des six derniers matches) et un efficace Anagonye (26 d'évaluation à Paris encore). « C'est une équipe atypique avec un fort scoreur et des joueurs capables à tout moment de prendre confiance. Leur grosse organisation défensive les autorise à livrer d'âpres batailles ». La formation du Loiret vient d'ailleurs de mater autoritairement Chalon/Saône, en contenant l'escouade de Greg Beugnot à 48 points ! « Cette victoire de qualité laisse présager beaucoup d'euphorie et de confiance de leur part », redoute le technicien alsacien qui pourrait devoir se passer de Sacha Giffa. Toujours en délicatesse avec sa cheville gauche, le « Shaker » ne s'est pas entraîné de la semaine et effectuera un essai ce matin. « Mais la tendance voudrait qu'il ne joue pas », regrette son entraîneur.

« Il faut qu'on le gagne par tous les moyens »

Qu'importe, au demeurant, ces aléas. « Ce match-là, il faut qu'on l'aborde avec le même état d'esprit que celui contre Gravelines et qu'on le gagne par tous les moyens », martèle Olivier Weissler. Le redressement strasbourgeois passera donc par « beaucoup de dureté ». Les voisines apprécieront.

Régis Schneider


L'Alsace du 26 avril 2008

Basket-ball Le cœur des hommes

S’ils veulent encore croire aux play-offs, les Strasbourgeois n’ont plus le droit à l’erreur. Avec deux victoires de retard sur Toulon et seulement quatre matches à jouer, la SIG (9e) va devoir lâcher les chevaux dès ce soir (20 h) face à Orléans (11e).

Strasbourg et Orléans ont peut-être un point d’écart en championnat mais cette confrontation représente autant pour les deux clubs. Car si la SIG doit gagner deux fois plus que Hyères-Toulon à cause d’un panier-average défavorable face aux Varois, les Orléanais s’étaient, eux, imposés de 5 points face au HTV lors de la phase aller. L’Entente Orléanaise Loiret a donc théoriquement deux victoires de retard, en attendant un match retour qui promet d’être tendu. Toulon, qui reçoit Gravelines, doit avoir les oreilles qui sifflent.
Orléans, qui vient de taper Chalon 66-48, se présente avec un regain de confiance et la carotte des play-offs en ligne de mire. Alors, prudence. Olivier Weissler se « méfie terriblement de ce genre d’équipe avec une hiérarchie redistribuée. C’est une équipe atypique, avec un gros scoreur (Dewar) et des joueurs capables de prendre confiance rapidement comme Cope ou Anagonye. » Avec une organisation défensive bien en place depuis quelques rencontres, malgré la blessure de Theron Smith et le départ de Brandon Heath, les Loiretains « sont prêts à livrer des batailles âpres. »

Le couteau entre les dents

Alors bien sûr, les Strasbourgeois devront répondre à l’engagement et à l’intensité proposée par l’EOL. Weissler confirme qu’il faudra « être dans le même état d’esprit qu’avant Gravelines ». C’est-à-dire le couteau entre les dents. Le point positif, c’est que l’entraîneur alsacien n’a pas « senti de démission du groupe. Je ne les vois pas lâcher ».
Les quatre matches qu’il reste à jouer s’apparentent à un parcours de coupe. Quatre matches couperet. Quatre victoires à aller chercher « par tous les moyens. Si on doit avoir des notions de vaillance et de surpassement, c’est surtout à domicile qu’il faut les montrer, et ça commence par Orléans », martèle encore Weissler.
Le gros souci de la soirée est la probable absence de Sacha Giffa. Le « shaker » ne s’est pas entraîné de la semaine, la faute à une entorse tenace de la cheville gauche. Et l’on connaît l’importance de l’international dans le jeu défensif strasbourgeois. « Il y a beaucoup de réflexion sur cette réorganisation défensive, poursuit Weissler. Mais tout le monde peut prendre le leadership. John (McCord) a un rôle stabilisateur mais avoir un seul leader, ce n’est pas suffisant. C’est peut-être à d’autres de prendre du leadership dans le jeu, sans forcément élever la voix. » Ce sera peut-être le rôle d’un Kevin Houston de retour, mais dont on doute encore « de l’intensité qu’il pourra mettre. Il n’a plus de problèmes gastriques, mais il est diminué physiquement. »
Face à des Benjamin Dewar (12,7pts, 2,3pd), Zeb Cope (9pts, 4,3 rbs) ou Aloysius Anagonye (9pts, 5,2rbs), la SIG devra faire preuve d’un collectif à toute épreuve et d’une agressivité de tous les instants. Olivier Weissler regrettait l’investissement trop alternatif de ses troupes ces derniers temps. Pour rêver aux play-offs, les Strasbourgeois n’ont plus le choix. Il faudra y mettre du cœur.

SIG : 4. Pettway, 5. Darrigand, 6. Mendy, 7. Houston, 8. Soumahoro, 9. Gentil, 10. Giffa, 11. Nissim, 12. McCord, 13. Obasohan, 14. Shannon, 15. Lewin. Entraîneur : Olivier Weissler.
EOL : 4. Fellah, 5. Anagonye, 7. Adjiwanou, 9. Salisbery, 10. Curty, 11. Cope, 12. Dewar, 13. Louves. Entraîneur : Philippe Hervé.

Sébastien Ruffet

Le match SIG - Orléans sera diffusé sur ALSATIC TV
Dimanche à 20h et Lundi à 13h

Pour les expatriés ORLEANS TV le diffusera aussi dimanche à 20h, chaine disponible sur internet
http://www.orleanstv.fr/?id=910

Nouvelle défaite... On pensait que Shannon nous avait mis à l'abri à 4" de la fin mais Orléans marque au buzzer et l'emporte 66-67.

L'événement de la soirée ? Le retour de KARIIIIIIIIIM !

Vivement la fin.

Bien vu Coach Kira

Super Karim avec un exercice ou il tourne avec sa chaise!!!!
JC lui pendant ce temps était assis sur sa chaise.............
Et Giffa donnant les conseils au coach...............;
Le monde à l'envers.
BON 6 MOIS DE VACANCES POUR LES SUPPORTEURS!

ya q'une phrase à dire aujourd'hui:VIVEMENT LA SAISON PROCHAINE!

un match serré jusqu'au bout et un panier de salisbruy pour nous tuer...
niveau joueurs,mention à rob,john et eddie.darrigand n'a rien fait hormis sa séquence steal-3points(ah si un magnifique retour en zone sur remise en jeu),derrick pareil hormis en fin de match(pas la première fois, remember vichy),kevin seulement dans le 3ème quart,afik a fait gamèle plusieures fois et j'ai pas compris pourquoi arron n'a pas plus joué parce que c'était pas trop mal jusque là.

Eric revient, ils sont devenus chèvres...................

Après le Gilbert revient de la meinau, voici venu le temps du Eric revient au Rhénus !

Vivement la saison prochaine !

ali traoré(le havre):13 sur 15 aux tirs,27 points et 6 rebonds 31 d'évaluation.ça promet pour la semaine prochaine.
un prétendant pour l'edf?

KEITH9 a écrit:Eric revient, ils sont devenus chèvres...................

J'ai un peu la même impression.
Le match débute et 3-12, je me dis "Les salauds ils veulent virer OW"

Maintenant il n'y a plus que Shannon qui conserve la balle 20 secondes mais aussi Afik et Houston.
Sinon 1ère période où le moins mauvais finit devant. Bonne 2ème mi-tps de la SIG mais cela est brouillon, les bonnes actions se comptent sur les doigts d'une main. Chacun y va de son action personnel.
Les rebonds offensifs laissés à l'adversaire, les paniers tout fait, loupés, les balles perdues sur étourderie, maladresse mais ils sont devenus chèvres... John a d'ailleur dit que sur le tir d'Orléans au buzzer il y avait eu une erreur de marquage. (Ils étaient pas concentrés à 4 secondes de la fin ??? )
De l'envie de l'engagement mais ça se coordonne pas. (Je voudrais pas accablé OW mais ses systèmes je les vois pas, à un moment c'est même Shannon qui donnait ses instructions )

Orléans est très faible aussi, peut-être même plus que nous actuellement.

A la fin du match John a présenté ses excuses au nom de l'équipe pour cette saison ratée.
Sinon pour la plupart que j'ai vu à la fin du match joueurs, entraineurs et bien j'avais l'impression qu'on avait gagné.

Gravelines, Chalon et Paris ont perdus et c'est bien la seule satisfaction de la soirée.

On vient de perdre contre tous ceux qui était derrière nous en deux mois. On a viré E. Girard (l'homme dont venait tous les problèmes ) mais il est où le choc psychologique JR ????????

KEITH9 a écrit:Eric revient, ils sont devenus chèvres...................

Toi, décidément, tu fais du mauvais esprit.

Tu n'as décidément pas compris que Girard est le premier responsable de cette défaite. Les joueurs ne voulaient plus de lui, la caissière le détestait, Bissang avait dit qu'il ferait gagner le BCM s'il voyait encore une fois Eric sur le banc de touche, même Karim devenait malade dès qu'il le voyait et le public a diminué de 700 %. (il se murmure d'ailleurs que certaines blessures de sigmen ne seraient pas sans lien avec d'étranges fumées noires sortant de la maison de l'Innommable...)

Depuis qu'il est parti, le club va mieux. On a retrouvé un fond de jeu, les joueurs et les coachs se donnent à 100%, on se passe bien la balle, on a retrouvé notre adresse extérieure, tout le monde est libéré. Et le club gagne même de l'argent en économisant les primes qui ne sont pas versées !

C'est juste pas de chance que les équipes d'en face fassent le match de leur vie à chaque fois qu'elles nous rencontrent.

hallucinant, ce soir on perd a cause du coaching !
Deux très grosses faute de OW ! Notamment sur la dernière possession qui nous coûte le matche !!Juste au passage, c'est Giffa qui a du faire le coaching, c'est lui qui disait a OW quoi faire et quel système !

Je ne sais plus qui (je crois Jenn) a dit que certains joueurs étaient au bord de pleurer après Nanterre, je ne t'ai pas cru au début mais ce soir c'est vrai j'ai vu le Captain et le shaker au bord des larmes et le shaker très énervé, mais ne me dis pas que c'est le cas de tous les joueurs, car quand je vois Obasohan rentrer au vestiaire en se grattant les couilles et en rigolant, ça m'énerve !!

L'inconnu a écrit:hallucinant, ce soir on perd a cause du coaching !
Deux très grosses faute de OW ! Notamment sur la dernière possession qui nous coûte le matche !!Juste au passage, c'est Giffa qui a du faire le coaching, c'est lui qui disait a OW quoi faire et quel système !

Je ne sais plus qui (je crois Jenn) a dit que certains joueurs étaient au bord de pleurer après Nanterre, je ne t'ai pas cru au début mais ce soir c'est vrai j'ai vu le Captain et le shaker au bord des larmes et le shaker très énervé, mais ne me dis pas que c'est le cas de tous les joueurs, car quand je vois Obasohan rentrer au vestiaire en se grattant les couilles et en rigolant, ça m'énerve !!

Je pense que s'il y a bien deux joueurs dont on ne peut mettre en doute le dévouement, l'engagement et le sens du sacrifice, ce sont bien ces deux-là ! Alors, oui, eux, je pense qu'ils sont très concernés. D'autres, par contre...

Rob, John, Sacha sont irréprochables, pour le reste...sans commentaires,
vivement le nom du futur coach pour savoir où va la SIG.

Il est clair que les joueurs sont revenus avec les tripes dans ce match, perdu au buzzer sue cette impardonnable erreur de maequage! Laisser un des pointeurs d'orleans seul en face du panier à 1sec47 de la fin , c'était carrément suicidaire!

Complètement d'accord avec Vincent sur cette histoire.
Je suis désolé mais je demande maintenant la démission d'E.Girard et de J.Navier ! Ca ne peut plus continuer comme ça...
C'est très certainement de leur faute si on "passe de la 5° place à la 8° place en un mois [et que la 8° place aurait été une très belle chose maintenant]", comme le dit si bien J.Rosenstiehl
Mais bon, heureusement que les joueurs se sentent concernés par ce qui se passe, sinon on pourrait croire qu'il y aurait encore 3 ou 4 défaites au programme

"We believe in you"!

DNA du 27 avril 2008

Des vacances au goût amer

La SIG poursuit sa catastrophique série d'échecs. Celui enregistré face à Orléans, hier, au Rhenus, anéantit ses derniers espoirs de play-offs. La fin de saison s'annonce bien longue.
Y aurait-il quelque chose de pourri dans ce millésime de la SIG qui n'en finit pas de décevoir ? Hier, les hommes d'Olivier Weissler ont encore dégringolé de quelques échelons sur l'échelle de la considération. Face à l'Entente orléanaise, en pleine crise de croissance, qui n'a rien d'un foudre de guerre, ils ont été incapables d'édulcorer la funeste série en cours. Elle s'établit ce matin à sept défaites en huit matches, si l'on exclut généreusement la gifle encaissée en coupe de France à Nanterre. Plus grave, le tir de Salisbury déclenché à deux secondes de la fin donne un goût passablement rance à sa fin de saison, celui du beurre. Il reste trois matches à disputer jusqu'à la longue intersaison, qui imposera une révolution, de la cave au plafond. Mais ils n'auront d'autre intérêt que d'identifier, peut-être, un MVP ou le favori pour le titre de fin de saison ou un MVP de fin de saison. Il ne s'agira ni de la SIG, ni d'un joueur de ses rangs. Il faudra regarder du côté des adversaires.

Absent des play-offs pour la première fois depuis 2002

Assurés du maintien, ce qui est la moindre des choses, les Strasbourgeois sont promis au ventre mou de la pro A. Les play-offs se dérouleront sans eux, pour la première fois depuis 2002 et la période agitée qui avait correspondu à un changement d'entraîneur, de salle et même de président. L'entame du match n'a laissé envisager rien qui vaille. Un panier en cinq minutes, deux fautes tombées sur le plastron d'Eddie Shannon ou de son fantôme, des possessions poussées jusqu'au bout de l'horloge sans qu'aucune solution ne s'esquisse : les hommes d'Olivier Weissler ont d'abord eu bien du mal à construire quoi que ce soit de bien cohérent. Après cinq minutes presque pathétiques, le retard accumulé a atteint les neuf points (3-12) et la suite de la première période s'est apparentée à une course poursuite pour reprendre l'avantage. Il a fallu un improbable panier à trois points de Darrigand, à deux secondes du buzzer, tandis que Shannon lui a transmis le ballon comme une patate chaude, pour que la SIG reprenne une bouffée d'oxygène devant (17-16). Mais les bases de la remontée, trop incertaines, ainsi que la mordante défense du Loiret, ont rendu l'avance fort éphémère. Salisbury, Curti et Anagonye ont rappelé la proximité des deux équipes au classement - une victoire d'écart au coup d'envoi. Alors que la SIG n'a pu que compter sur son capitaine, McCord, juste avant la pause, l'Entente orléanaise a pu reprendre ses aises (26-30). Une ruade de Houston a semblé initier un changement de tendance (35-33). Un effort collectif, marqué notamment par une interception suivie d'un panier à trois points de Darrigand, a laissé espérer l'issue favorable indispensable puisqu'il a contribué à un 7-0 (de 42-42 à 49-42). Le retour de manivelle s'est révélé d'autant plus douloureux. « Je n'ai pas grand-chose à reprocher aux joueurs, a néanmoins indiqué l'entraîneur strasbourgeois, à l'heure des commentaires, avant de constater tout de même : il y a eu tout de même beaucoup d'approximation dans les décisions. On peut notamment reprocher d'avoir laissé Orléans dans le match à la fin du 3e quart temps. » Ils ont notamment laissé Cope enquiller son shoot longue distance, alors qu'il demeurait sur une série à 0 sur 21 à trois points. A ce moment, incroyablement fébrile, extrêmement docile en défense, la SIG a montré ses limites de manière criante. Sans être une équipe, elle n'a pas pu compter sur un ou des hommes forts, tandis que Curti, à la périphérie, et Anagonye, dans la peinture, ont imposé leur loi. Et les Strasbourgeois se sont retrouvés dans de beaux draps (57-62). L'énergie alsacienne du désespoir a pu apparaître salvatrice puisque deux lancers francs de Shannon, à moins de cinq secondes, ont permis de repasser devant (66-64). Mais il y a eu donc ce tir de Salisbery qui a tout changé. Jamais maîtresse de son sujet, la SIG, au final, ne l'a peut-être pas volé.

Les chiffres du match
Rhenus Sport. 4300 spectateurs. Arbitres : MM. Bichon, Koog et Karaquillo. Quart-temps : 13-14, 17-19 (mi-temps : 30-33), 19-14 (49-47), 17-20 (66-67). - SIG : 23 paniers sur 52 tirs (44 %), dont 6 sur 24 à trois points (25 %), 14 LF sur 18 (78 %), 32 rebonds (Lewin 9) dont 15 offensifs, 10 passes décisives (Shannon 3), 4 interceptions, 13 balles perdues, 18 fautes. Shannon 9, Nissim 6, Obasohan 9, McCord 10, Lewin 10, puis Pettway 6, Darrigand 5, Houston 11. - ORLÉANS : 23 paniers sur 57 tirs (40 %), dont 8 sur 19 à trois points (42 %), 13 LF sur 16 (81 %), 35 rebonds (Anagonye 11) dont 17 offensifs, 8 passes décisives (Dewar 5), 3 interceptions, 14 balles perdues, 19 fautes. Curti 15, Fellah, Dewar 9, Cope 13, Anagonye 13, puis Adjiwanou 2, Salisbery 15, Louves, Boungou-Colo.

François Namur


L'Alsace du 27 avril 2008

Basket-ball SIG : plus d’espoir

Au bout du suspense, Orléans a fait plier une équipe strasbourgeoise bien terne (66-67). Dans un match sans grand relief, la SIG a perdu tout espoir d’aller accrocher une qualification en play-offs.

C’était peut-être l’une des minutes les plus importantes de la saison. Pour continuer à regarder les play-offs à la longue-vue, les deux équipes entament les 54 dernières secondes sur un score de parité (62-62). Eddie Shannon vient de réussir deux lancers francs d’une importance ultime. Les mains deviennent fébriles, et c’est souvent dans ces cas-là qu’il se passe des événements curieux. Salisbery, omniprésent, passe en force mais le panier est accordé. En face, Lewin assure ses deux lancers. Retour dans la raquette strasbourgeoise. Un ballon âprement disputé échoue sur le bout des phalanges de Salisbery qui ne parvient pas à la contrôler et rend une dernière – on le pense – possession aux Alsaciens. Shannon fait le travail, assure deux nouveaux lancers, et donne deux points d’avance à la SIG avec moins de 5 secondes à jouer. Le Rhénus est debout. Reste un ballon. Salisbery, encore lui, perfore et joue la gagne. Les Strasbourgeois ne parviennent pas à faire la faute. Tir primé. La messe est dite.

Au coude à coude

Dans un match à couteaux tirés, aucune des deux équipes n’a réellement pris le large, hormis une entame de nouveau hésitante des joueurs d’Olivier Weissler, avec un 3-12 dans la musette. Dans les deux premiers quarts, l’écart se stabilise (13-14, 30-33), et il faut attendre le retour de la mi-temps pour trouver un moment d’euphorie. Houston, sur un nuage, enquille 7 points pour donner le premier avantage à la SIG (35-33), vite imité par Shannon à trois points. L’avance strasbourgeoise culmine à +7 (49-42), et « c’est là qu’on peut s’en vouloir, selon l’entraîneur strasbourgeois. On laisse Orléans revenir alors que ça tourne plutôt bien pour nous. Il y a eu des moments clés dans ce match qu’on n’a pas su saisir. »
Darrigand ajuste la mire, mais la défense strasbourgeoise se montre une nouvelle fois trop passive dans cette fin de quart. Curti à trois points et Anagonye au buzzer ramènent Orléans de manière inespérée (49-47). Le match reprend alors son rythme tranquille, les uns répondant aux autres, Shannon composant impeccablement avec ses 4 fautes (acquises dès le début de la deuxième mi-temps). À 5 minutes de la fin, le meneur orléanais, Ahmed Fellah, se tord irrémédiablement la cheville, et la SIG a alors les cartes en main pour faire une vraie différence (57-56).
Quelques secondes plus tard, Anagonye sort de sous le panier pour venir bâcher Nissim derrière la ligne et partir au dunk (57-62). Obasohan à longue distance lui répond dans la foulée (60-62). Shannon met ensuite deux lancers francs. La suite, on la connaît. Il aura manqué un souffle. Salisbery l’aura apporté à l’EOL. Quoi de plus logique ?

Sébastien Ruffet

L'inconnu a écrit: quand je vois Obasohan rentrer au vestiaire en se grattant les couilles et en rigolant, ça m'énerve !!

Mais sache que beaucoup de gens viennent pour ne voir QUE ça et donnerait cher pour être à la palce de la main

sur la dernière action double erreur de OW:d'une part il laisse nissim en défense sur salisbury alors qu'il y avait darrigand qui aurait pu faire le job.
de plus onaurait du faire faute tout de suite sur salisbury quitte à aller en prolongations plutot que de le laisser tirer.

sinon sur ce match ce qui m'a frappé c'est la pauvreté du jeu:nos systèmes semblaient téléphonés et on savait à l'vance qui aurait la balle,il a fallu de temps en temps la créativité de nissim ou eddie pour bouger tout ça.
sinon derrick ne sert à rien(ça va etre un boulet avec son contrat celui ci.)il s'est fait balladé par dewar pendant le match(excellent ce joueur avec une passe dans le dos sur pick and roll)

C'est sur que quand viendra le temps d'elire le joueur de l'année, ce sera Rob ou John. Sacha est aussi très bon dans son esprit, mais il a quand meme connu de sacrés trous d'airs sur le parquet notament en 2008.

Ces trois là sont à garder. Nissim aussi dans son role de dynamiteur.

Tous les autres DEHORS

A commencer par Shannon et Houston. Les deux pires. Puis Gauthier, grande gueule mais sur le parquet il vaut une équipe comme Clermont en effet mais pas la SIG. Je prefere 100 fois un Fellah ou un Curti.

Puis Aaron. Il aurait pu etre enormissime cette année mais il a été bien trop irrégulier. Puis Elson. Qu'on le laisse enfin jouer en Pro B et qu'il puisse avoir une carrière honnete. On a voulu penser pouvoir enfin sortir un Boloko ou un Amagou du centre de formation mais à 22 ans, il ne sera jamais un joueur de Pro A.

Puis on dégage Derrick. De 25 points avec le HTV en deuxieme partie de saison, il passe à 6 points par match en n'apportant rien. Un buyout serait souhaitable..

E.Shannon le pire ?
Je suis désolé de m'opposer à cette idée là, mais je trouve que même s'il fait une saison assez décevante (par rapport à son CV bien sûr), mais il a je trouve des circonstances atténuantes :

- Le meneur est un des poste les plus durs à intégrer. Quand on a une équipe avec des blessés, des joueurs qui changent etc... Ce n'est pas spécialement facile.
- "Il garde la balle 20 secondes en attaque", ok. Mais regardez un peu les solutions que ses coéquipiers lui proposent. Regardez bien parce que si vous en voyez, faites moi signe. Autant qu'il la garde plutôt que de faire une passe hasardeuse et de perdre la balle
- Il n'a pas toujours un pourcentage sympathique, mais combien de ballons il a eu à la fin d'un possession "tiens, on a rien crée, il te reste 4 secondes, fais quelque chose". Un gros paquet, ça on peut le dire.

Alors c'est vrai qu'il n'a pas fait la saison que l'on pouvait attendre de lui (et qu'il a peut être un salaire assez impressionant au vu de cette saison, mais ce salaire on ne le connait pas), mais quand même

Coach Kira a écrit:C'est sur que quand viendra le temps d'elire le joueur de l'année, ce sera Rob ou John. Sacha est aussi très bon dans son esprit, mais il a quand meme connu de sacrés trous d'airs sur le parquet notament en 2008.

Ces trois là sont à garder. Nissim aussi dans son role de dynamiteur.

On garde cette bonne base que le futur coach saura associer aux joueurs qu'il ramènera. Un Fellah ou un Essart à la place d'un Darrigand. Un Grier ou un Dewar à la place d'Obasohan. Bref des mecs qui en veulent!

boon a écrit:

Coach Kira a écrit:C'est sur que quand viendra le temps d'elire le joueur de l'année, ce sera Rob ou John. Sacha est aussi très bon dans son esprit, mais il a quand meme connu de sacrés trous d'airs sur le parquet notament en 2008.

Ces trois là sont à garder. Nissim aussi dans son role de dynamiteur.

On garde cette bonne base que le futur coach saura associer aux joueurs qu'il ramènera. Un Fellah ou un Essart à la place d'un Darrigand. Un Grier ou un Dewar à la place d'Obasohan. Bref des mecs qui en veulent!

D'accord avec toi. Mais pas sûr que Rob, John, Sacha et Afik aient envie de continuer dans ces conditions...