Budget 2009 / 2010 : Baisse envisageable : 3.5 Millions !!!

françois a écrit:

Theseus a écrit:

Jack a écrit:Julian à la SIG, je ne crois pas que ca fasse rêver beaucoup de monde ici... Surtout avec la saison qu'il vient de faire, blessé une fois sur deux.

Légende urbaine...

Faut que vous revoyiez vos chiffres les gars (ça vaut aussi pour philippe). Julian a joué 21 des 21 premières journées de championnat (17 min en moyenne), 8 des 10 matches d'EL (24 min en moyenne), et s'est ensuite claqué en Coupe de France contre Poitiers. Ce qui l'a rendu indisponible 1 mois, l'empêchant ainsi de participer aux rencontres de championnat entre la journée 22 et 25.

sur ce dernier point theseus n'a pas tort,c'était le seul nancéein à ne pas être ridicule en EL ainsi que lors du match aller contre la SIG.avec l'âge c'est normal que les blessures se multiplient,et c'est d'ailleurs pourquoi je le mettrais pas dans le 5 majeur à chaque match,mais en back-up de luxe derrière akingbla c'est quand même le pîed,et il vous sera très
utile en PO...

philippe a écrit:il est cher le back up, hein Theseus!

Theseus a écrit:

philippe a écrit:il est cher le back up, hein Theseus!

Pas tant que ça, si tu savais

l'équipe.fr a écrit:Basket - Pro A - «Les clubs sont trop optimistes»

A la veille de la dernière journée de la saison régulière en Pro A, le président de la LNB, René Le Goff, fait le tour des sujets chauds concernant la Pro A : attrait du Championnat, nombres de joueurs étrangers, places en Euroligue, évolution des budgets. Sur ce dernier point, «à part quelques uns, les clubs disent "tout va bien", (or) on pense que les clubs sont trop optimistes», explique-t-il. Même scepticisme sur le passage de deux à trois équipes en Euroligue. Une seule évitant le passage après un tour préliminaire, on «pourait passer de six à cinq clubs français engagés en Euroligue et en Eurocoupe.»

«René Le Goff, vous devez être ravi que la dernière journée fournisse un duel décisif pour la première place entre l'ASVEL et Nancy...
C'est extraordinaire mais ce n'est pas un hasard non plus puisque c'était l'affiche du match des champions (le champion sortant contre le tenant de la Coupe de France) qui faisait l'ouverture. Ce sont les deux équipes qu'on pouvait attendre à ce niveau-là.

Comment réagissez vous en revanche à la relégation de Pau-Lacq-Orthez ?
On a assisté avec une très grande tristesse aux difficultés de Pau durant toute la saison. Ce club représente plusieurs symboles puisqu'il est reconnu en Europe avec la plus grande salle disponible en France derrière Bercy. Mon projet "Nouvelle ligue" permettait de réguler ce type de scénario en évitant des drames avec une saison ratée. Avec ce projet, qui imposait une taille de salle et des structures minimum, on avait la possibilité d'avoir un ou deux clubs invités ou repêchés chaque année. En février 2006, Jean-François Lamour, alors ministre des Sports, a publié un décret qui empêchait ce type de régulation. Ce qui m'embête le plus, c'est que j'avais anticipé la descente de clubs comme Paris ou Pau. On attend maintenant la future loi Laporte, qui se met en place avec la crise et qui devrait permettre de revenir aux fondamentaux, donc au développement des salles et au désengagement des collectivités locales.

Depuis cinq ans, on a chaque année un champion différent. Même chose pour les joueurs MVP et les entraîneurs récompensés. Cela ne pose-t-il pas un problème d'identification pour le grand public ?
Tout à fait. Il est vrai que le grand public, qui se réfère à des clubs de grande notoriété, est un peu perdu. Mais on avait fait une démarche où Ineum (cabinet de conseil en stratégie) nous avait conseillé d'offrir plus d'incertitude. On a effectué une évolution réglementaire (de deux à quatre Américains, la finale jouée sur un match) qui a parfaitement réussi, même s'il y a une continuité avec un club comme Nancy qui s'est affirmé. De nombreux clubs ont pu disputer des Coupes d'Europe et ont appris en regardant ce qui faisait ailleurs en Europe. Maintenant, on a la volonté d'affirmer l'enracinement local des joueurs.

D'où la décision de passer de six à cinq étrangers en 2010-2011, mais avec la possibilité de recruter cinq Américains.
On ne veut plus parler de nationalités car ça enfreint les lois. On s'est précipé sur une nouvelle notion lancée par Michel Platini (président de l'UEFA) qui permet de protéger la formation en offrant un privilège à ceux qui s'engagent dedans. On va passer de six à cinq étrangers mais ce n'est qu'une première phase. Cela pourrait descendre à quatre. Alors bien sûr, des excès sont possibles. On verra. Mais on croit à notre démarche et à la possibilité de conserver les joueurs qu'on forme. Pour cela, il faut un développement économique. Sinon, regardez De Colo, Beaubois... (qui devraient quitter Cholet cet été). Remarquez quand même que certains, comme Zianveni ou Diarra, reviennent parce que l'herbe n'est pas plus verte ailleurs.

Le passage de deux à quatre Américains avait été justifié par la volonté de renforcer la compétitivité des clubs français sur la scène européenne. Mais cela n'a pas été le cas.
Au même moment, l'Euroligue avait décidé l'abandon total du critère de nationalité sur une demande du CSKA Moscou. A la ligue et à l'UCPB (union des clubs professionnels), Pierre Seillant a été le moteur de cette évolution. Résultat... il n'y a pas eu de miracle. On l'a encore vu récemment, ceux qui gagnent l'Euroligue sont ceux qui ont les grands joueurs européens. Les clubs doivent regarder ce qui se fait ailleurs et tirer vers le haut. En recrutant de grands pivots européens par exemple.

Mais cela coûte très cher. Or il semble que la tendance soit à la baisse des masses salariales pour la saison prochaine. Les budgets prévisionnels rendus fin avril le confirment-ils ?
C'est plutôt le contraire. Le problème, c'est qu'on n'y croit pas. D'après les premières analyses de la DNCG, on pense que les clubs sont trop optimistes. A part quelques-uns, les clubs disent : «tout va bien». Certes, on est dans des logiques de développement, mais je suis un peu sceptique. Il est un peu trop tôt pour annoncer qu'on va signer des partenariats. Il y aura des nouvelles réunions la semaine prochaine.

Comment a-t-il été possible d'obtenir l'engagement de trois clubs français en Euroligue ?
(Il coupe) En fait on a perdu une place. En effet, si les deux clubs qui disputeront le tour préliminaire de l'Euroligue sont éliminés d'entrée, ils prendront la place d'autres clubs français en Eurocoupe. Donc on pourait passer de six à cinq clubs français dans ces deux compétitions, dont une wild-card (pour l'ASVEL). L'Euroligue telle qu'elle est faite aujourd'hui ne permet pas des compétitions équilibrées. Elle favorise les clubs à gros budget, souvent par le mécénat, et les grandes ligues, mais je me bats pour qu'on prenne aussi en compte la mobilisation des spectateurs. En fait, on se dirige vers une situation figée, presque fermée, qui ne correspond pas à la philosophie européenne. Dans ce cas-là, mieux vaut laisser la NBA s'installer. Je pense que la situation actuelle va être mal vécue.»

Propos recueillis par Xavier COLOMBANI

mick a écrit:« Notre budget va descendre en dessous des 4 millions d’euros (contre 4,5 cette saison), confie Jérôme Christ, le président de la SIG (basket-ball). C’est la tendance, même s’il peut y avoir des opportunités intéressantes avec des gros partenaires et une compétition européenne qui pourrait le doper ».

John White a écrit:

mick a écrit:« Notre budget va descendre en dessous des 4 millions d’euros (contre 4,5 cette saison), confie Jérôme Christ, le président de la SIG (basket-ball). C’est la tendance, même s’il peut y avoir des opportunités intéressantes avec des gros partenaires et une compétition européenne qui pourrait le doper ».

Comme gros partenaires il y a Festina qui pourrait (très) prochainement ce désengager de Besançon qui redescend en Pro B cette saison et n'arrête pas de faire le yo-yo.

mick a écrit:
« Nous connaissons également quelques soucis, enchaîne Jérôme Christ, président de la SIG (basket-ball). La fréquentation du Rhénus est en baisse et le nombre d’abonnés stagne. Nous ne sommes donc pas dans les objectifs fixés dans le cadre du budget. »
Les apports financiers des partenaires sont également en deçà des espérances. « Même si les entreprises ont respecté les parties fixes des contrats, certaines ont réduit les parties mobiles. Il nous manquera encore de 40 000 à 60 000 €. »

Hoop a écrit:

mick a écrit:
« Nous connaissons également quelques soucis, enchaîne Jérôme Christ, président de la SIG (basket-ball). La fréquentation du Rhénus est en baisse et le nombre d’abonnés stagne. Nous ne sommes donc pas dans les objectifs fixés dans le cadre du budget. »
Les apports financiers des partenaires sont également en deçà des espérances. « Même si les entreprises ont respecté les parties fixes des contrats, certaines ont réduit les parties mobiles. Il nous manquera encore de 40 000 à 60 000 €. »

C'est bien JC vient de se rendre compte qu'il n'y avait plus personne au rhénus... On dirait presque qu'il s'en étonne et que ça n'était pas prévisible!!!
C'est dommage qu'il n'explique pas quel en est la cause selon lui!

L'équipe va être à nouveau renouvelée du sol au plafond donc j'espère qu'il ne s'imagine pas que ça va en être autrement l'année prochaine... Enfin s'il prenait la peine de venir voir ce qu'il se dit ici, il aurait un début de réponse. Enfin avec le prochain recrutement, on verra bien s'il apprennent de leurs erreurs. Enfin j'ai quelques doutes...