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Pro A : 17ème journée : SIG - ASVEL

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Message  rocky Jeu 28 Jan - 7:55

DNA du 28 janvier 2010

Pro A : avant SIG - ASVEL, samedi (20h)

Des Verts enfin tranchants ?

Éliminée en Euroligue, seulement 10e en championnat, l'ASVEL reste toutefois sur un carton face à Roanne (88-57). Les Verts ont-ils repris du poil de la bête ? Ou ne s'agit-il là que d'un succès en trompe-l'oeil contre une équipe à la peine ?
VRAI RÉVEIL... - Cette ASVEL-là n'en finit pas de déconcerter. On la pensait moribonde, éprouvée par son élimination en Euroligue et le revers qui a suivi en championnat sur le parquet de Vichy, le neuvième déjà depuis le début de la saison.
Les hommes de Vincent Collet ont prouvé, samedi dernier lors du derby face à Roanne, qu'ils avaient de la ressource en bâillonnant la Chorale (88-57), après avoir compté près de 40 longueurs d'avance (86-49, 37e'). Les 15 points et 7 rebonds d'Ali Traoré et les 16 points de Ben Dewar, à 4 sur 6 à trois points, ont permis aux Verts de retrouver quelques couleurs.

« On ne va pas se gargariser » (Vincent Collet)

... OU SIMPLE SURSAUT ? - Il serait cependant prématuré d'affirmer que les Villeurbannais font à nouveau figure de terreurs à la faveur de leur large succès contre une formation roannaise en grande difficulté depuis un mois (six défaites en huit matches). Le champion de France en titre reste convalescent. « On ne va pas se gargariser, a d'ailleurs temporisé Vincent Collet après cette victoire. Il faut confirmer, au moins dans les intentions ».
DÉCEPTION. - « Si on n'est pas champions, je m'engage à m'autoflageller sur la place publique », avait écrit le toujours savoureux Ali Traoré sur son blog avant les trois coups de la saison. Avec son budget de 6,4 millions d'euros, la « Vieille Dame » postulait à une place dans le Top-16 continental et pouvait envisager de dominer la concurrence en France. Il n'en a rien été.
Battue à Zagreb (73-71) dans un match à quitte ou double pour avoir le droit de jouer dans la cour des grands, la « Green team » pointe à la 10e place de Pro A, très loin donc des enivrants sommets escomptés, et ne doit sa présence à la Semaine des As - du 18 au 21 février - qu'à son seul statut de club organisateur !
DIXON. - S'il en est un qui a cristallisé tous les griefs ces derniers temps, c'est bien Bobby Dixon. Pas franchement convaincant depuis son arrivée dans le Rhône, le meneur américain a multiplié les mauvais choix lors du couac enregistré sur le parquet du Cibona. Des voix se sont faites entendre pour réclamer la tête de l'ancien Manceau, recruté pour deux ans cet été.
Pierre Grall n'a pas souhaité aller aussi vite en besogne. « L'an dernier, si on avait écouté ce qui se disait, on aurait dû couper JR Reynolds tous les jours. Ma responsabilité, ce n'est pas d'aller dans le sens du vent, même si on n'est pas aveugle », a confié le directeur exécutif villeurbannais au Progrès.

« Donnez-moi Dixon et je l'accueille avec plaisir » (Jean-Denys Choulet)

Jean-Denys Choulet, qui a pu se plaindre récemment du rendement de Marco Pellin, est en tout cas sur les rangs. « Donnez-moi Dixon, qui est critiqué ici à l'ASVEL, et je l'accueille avec plaisir », a déclaré le truculent coach roannais dans les colonnes de l'Équipe après la sortie de route de sa troupe à l'Astroballe.
INFIRMERIE. - La séance d'entraînement de mardi a laissé quelques traces dans les rangs strasbourgeois. Wen Mukubu (lumbago) et Steeve Essart (béquille à la hanche droite) ont été laissés au repos hier et pourraient être ménagés avant la réception des coéquipiers d'Aymeric Jeanneau.

R. Sch.


20 Minutes du 28 janvier 2010

« Je n'ai pas vécu avec le rêve NBA, contrairement aux Jeunes »

Avant d'affronter la SIG (11e), samedi à 20 h, pour la 17e journée de Pro A, le capitaine villeurbannais évoque sa situation à l'Asvel (10e) et chez les Bleus.

Comment jugez-vous cette première partie de saison ?
C'est la plus difficile que j'ai jamais vécue. Nous sommes dans le dur, mais le potentiel est là. Il ne nous manque pas grand-chose. De toute façon, avec l'équipe que nous avons, nous ne pouvons pas nous permettre de ne pas disputer les play-offs.

Vous arrivez en fin de contrat à l'Asvel. Comment y voyez-vous votre avenir ?
C'est encore trop tôt pour le dire. Nous n'avons pas encore évoqué le sujet avec la direction. J'ai encore envie d'évoluer sous le maillot vert car l'Asvel est le club, en France, où il faut être.

Comment vous positionnez-vous par rapport aux Bleus, qui participeront au Mondial en Turquie, cet été ?
J'ai entendu que Tony Parker envisageait de déclarer forfait. Si je devais privilégier ma carrière, je n'irais pas. Je vais avoir 32 ans et ça va commencer à peser dans la balance. Mais ça reste l'équipe de France et c'est difficile de refuser d'y aller.

Parmi les jeunes meneurs français actuels, dans lequel vous reconnaissez-vous ?
Des meneurs à l'ancienne, gestionnaires, qui ont cette envie de partager le ballon, il y en a de moins en moins. J'ai fait ma carrière ainsi, sans penser à mes stats. Je n'ai pas vécu avec le rêve NBA, contrairement aux jeunes. Cela change probablement leur approche du jeu.

Que pensez-vous de Thomas Heurtel, prêté par l'Asvel à la SIG, que vous allez affronter samedi ?
C'est un jeune joueur pétri de talent. Mais je ne veux pas en dire plus à son sujet.

À Lyon, Stéphane Marteau


Dernière édition par mick le Jeu 4 Fév - 8:10, édité 2 fois
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Message  rocky Ven 29 Jan - 8:12

DNA du 29 janvier 2010

Avant SIG - ASVEL, demain (20h)

« Une machine à gagner »

Promu meneur titulaire de l'ASVEL depuis le début de l'année, Aymeric Jeanneau évoque la rencontre face à la SIG, demain soir au Rhenus.
La victoire contre Roanne (88-57) a fait du bien au moral des Villeurbannais. « Roanne pouvait nous "redémarrer", confie Aymeric Jeanneau qui a établi, face à la Chorale, son record de passes décisives de la saison (9). On doit continuer dans cette voie-là ».
Pour l'heure, la saison de la « Vieille Dame » manque singulièrement de lustre. « Le manque de confiance s'est installé au début et c'est terrible à faire passer. A un moment donné, la flamme n'était pas bien grande », dit le Vendéen, intronisé meneur titulaire depuis trois matches en lieu et place d'un décevant Bobby Dixon.
Le double champion de France prend la défense de son alter ego US. « Il donne tout ce qu'il peut, fait des efforts. Le jeu de Vincent (Collet), c'est du haut niveau et certains étrangers ne sont pas habitués à une telle exigence. C'est un bon joueur, à nous de nous servir de ses points forts. »
A Strasbourg, la « Green team » est fermement décidée à poursuivre son redressement. « L'ASVEL ne peut pas se contenter d'être dixième, ce n'est pas sa place même si elle est méritée à ce jour. On doit redevenir une machine à gagner. »
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Message  rocky Sam 30 Jan - 9:41

DNA du 30 janvier 2010

Pro A : la SIG reçoit l'ASVEL, ce soir (20h)

La dureté, atout majeur

Si elle veut imiter Cholet et Vichy, derniers tombeurs de l'ASVEL, et rafler la mise, ce soir au Rhenus, la SIG n'a d'autre choix que de se retrousser les manches. Nul besoin de tirer les cartes pour prédire que sans dureté, il n'y aura point de salut.
La SIG n'y coupe pas. Le Texas hold'em a conquis l'Hexagone et les basketteurs strasbourgeois ne sont pas les derniers à battre les cartes, en déplacement notamment, pour des parties de poker endiablées. « J'aurais aimé qu'ils préfèrent le tarot, glisse, au détour de la conversation, Frédéric Sarre. Le poker, c'est chacun pour soi, on mise et on peut perdre beaucoup. Le tarot suppose un peu plus de réflexion et permet d'appeler à l'aide quand on joue à cinq ».

« Une équipe bipolaire, cyclique et suicidaire, sans garantie, ni certitude »

Le coach ne dit pas ça sans raison, ce n'est pas le genre du bonhomme. Les récents événements donnent d'ailleurs du crédit à sa démonstration. A Nancy, le week-end dernier, les Alsaciens sont retombés dans leurs travers après une première période plutôt bien maîtrisée. Et la faute en incombe à ce « cumul de situations où les gens pensent qu'ils vont individuellement sauver l'équipe ».
A Gentilly, comme précédemment face à Gravelines ou à Orléans, la SIG a « implosé » et s'est retrouvée au tapis. Ce flop sur le parquet lorrain (95-77) est aussi venu rappeler que la vérité d'un jour, d'un match, d'un quart-temps même n'est pas celle du suivant. « On est une équipe bipolaire, cyclique et suicidaire, sans garantie, ni certitude, poursuit le technicien en chef. Il y a eu deux ou trois choses vraiment très bien à la reprise, mais elles ont été trop courtes ».

« Des finales à jouer toutes les semaines » (Vincent Collet)

Dans ce contexte, et au sortir d'une semaine perturbée par une cascade de pépins certes mineurs, mais de pépins quand même (lire ci-dessous), Thomas Heurtel et ses coéquipiers ne font pas vraiment figure de favoris à l'heure de recevoir le champion en titre. Fred Sarre ne s'y trompe pas : « C'est un match difficile qui nous attend. Contre Roanne, Villeurbanne a développé un jeu assez intéressant avec une vraie continuité ». Les 27 passes décisives rhodaniennes, pour seulement quatre balles perdues, l'attestent.
Les récentes turpitudes de la « Green team », toujours privée de Laurent Foirest, n'émeuvent pas plus que ça le Limougeaud. « Je pense que c'est une bonne équipe. Elle va s'améliorer parce qu'elle va pouvoir re-travailler, elle va évoluer aussi et changer son jeu. Avec la fin de l'Euroligue, Vincent (Collet) va sans doute revenir vers des formes de jeu plus en rapport avec le championnat. »
Toujours engoncée dans le ventre mou de la Pro A, la « Vieille Dame » n'a plus de temps à perdre si elle veut accrocher les play-offs. A Strasbourg, elle entend confirmer le début d'embellie observé face à la Chorale et se remettre d'équerre afin de sauter dans le grand huit de fin d'année. « On a peu de droit à l'erreur et des finales à jouer toutes les semaines », lâche d'ailleurs, tout de go, Vincent Collet.
Si la SIG veut tirer son épingle du jeu ce samedi, il lui faudra nécessairement relever le défi physique, s'opposer dans l'engagement. « C'est dans ce registre-là qu'il faut jouer cette équipe, estime coach Sarre. Si ses adversaires sont capables de la faire douter, elle peut céder. C'est dans ces moments-là qu'elle a montré des fragilités ».

« S'il n'y a pas de sacrifice, de solidarité, on ne peut pas envisager de gagner »

Cholet, puis Vichy y sont parvenus de la sorte dans un passé proche. Aux Strasbourgeois de se faire violence dans ce domaine. « Il faudra les contraindre dans la dureté et l'intensité, les agresser et tenir dans l'agression. Il faudra les repousser, casser leur timing de passes, les contenir sur les sorties d'écran, tenir les duels », égrène Fred Sarre. Et la liste n'est évidemment pas exhaustive.
A l'inverse, conclut l'entraîneur, « s'il n'y a pas de notions de sacrifice, de solidarité, d'intensité, et sauf à avoir des pourcentages de folie, on ne peut pas envisager de gagner ». Ça ne fait pas un pli.

R. Sch.


Indiscrétions

« Une semaine pour rien »

Depuis deux mois, et la réception de Nicosie en Eurochallenge le 24 novembre, la SIG n'avait plus disposé d'une pleine semaine pour préparer la rencontre suivante. Elle n'a malheureusement pas profité de cette opportunité. Tour à tour, Steeve Essart (béquille, puis migraine ophtalmique), Wen Mukubu (lumbago), David Simon (entorse bénigne d'un doigt), Sacha Giffa (dos bloqué) et Anthony Roberson (rage de dent) ont été rattrapés par la douleur et ménagés à des degrés divers. « C'est une semaine qui n'aura servi à rien », regrette Fred Sarre.


L'Alsace du 30 janvier 2010

SIG : faire tomber le champion

Une semaine après sa défaite dans le derby de l’Est à Nancy, les hommes de Frédéric Sarre disputent un nouveau choc, ce soir (20 h) au Rhénus, avec la réception de l’ASVEL Lyon-Villeurbanne, le champion de France en titre.
Pour la première fois depuis leur entrée en lice en EuroChallenge le 24 novembre dernier face à l’Apoel Nicosie, les Strasbourgeois bénéficiaient d’une semaine de travail complète pour préparer la visite du champion de France villeurbannais ce soir (20 h) au Rhénus. Pourtant, rien ne s’est vraiment passé comme prévu pour Frédéric Sarre et sa troupe. La semaine alsacienne a été complètement perturbée par les pépins et les absences : Steeve Essart (béquille à la hanche) ne s’est pas entraîné de mardi à jeudi soir, Wen Mukubu (Lumbago depuis mardi également) n’a fait son retour que hier, au contraire de Sacha Giffa (dos bloqué) qui n’a pu participer à la séance de vendredi matin. David Simon (doigt retourné) et Anthony Roberson (dent cassé) ont également connu quelques soucis.

Si tout le monde sera sur le terrain ce soir pour ce duel face au plus gros budget de Pro A (6,4 M€), cette cascade de blessures a tout de même sérieusement contrarié la préparation strasbourgeoise : « Cette semaine a été l’une des plus mauvaises alors qu’elle devait nous permettre de travailler. Au lieu de ça, elle n’a servi à rien dans le sens où elle ne nous a rien amené de plus. En ce moment, on est dans une forme de mauvaise dynamique, tout est amplifié et les maux ressortent », souligne Fred Sarre.

« On est fragile sans arrêt »

Pourtant, avant la défaite en terre lorraine (95-77) samedi dernier, la SIG restait sur une série de quatre victoires de rang dont deux belles performances dans le contenu et la manière face à Paris-Levallois et Poitiers. « La bonne période a été beaucoup trop courte à mon goût. Ça avait déjà commencé à ne plus aller lors de notre succès à Brest en coupe de France. On est fragile sans arrêt », poursuit le coach. Forcément, la venue d’une « Green Team », toujours dans le doute (voir encadré), ne rassure pas le technicien alsacien. « Ça va être un match difficile. Je n’ai toujours aucune garantie, ni certitude. Moi, je connais la méthode pour battre l’ASVEL mais c’est surtout aux joueurs de la mettre en place. »

A l’image de ses défaites à Vichy (75-63) et Cholet (82-84) courant janvier, Lyon-Villeurbanne, toujours privé de son shooteur Laurent Foirest, a parfois du mal à développer son jeu collectif face à des adversaires très agressifs. « Il faut jouer cette équipe dans l’intensité défensive. Le problème est que nous sommes une des pires défense du championnat alors que pour battre l’ASVEL, il faut être à fond là dedans. »

Pour gagner cette rencontre, et se donner un bon bol d’air avant un mois de février capital avec des duels face à des adversaires directs (Le Havre, Rouen et Chalon), la SIG devra être capable de muscler son jeu pendant quarante minutes. La victoire est à ce prix.

Olivier Arnal


Le Progrès du 30 janvier 2010

Ne pas rater la cible

Les deux équipes les plus adroites du championnat joueront gros, ce soir, au «Rhénus»...où elles doivent s'imposer

Au match aller, ses vingt-trois points (7/11 aux tirs et 6/8 à trois points) n'avaient pas permis à son équipe d'éviter le naufrage (66-90) dans une Astroballe qui vit, ce jour-là (17 octobre), le visage du Bobby Dixon annoncé et espéré (20 points, 5 passes pour 1 balle perdue).

Ce soir, Alain Digbeu, opéré de l'épaule à la fin du mois de novembre et appelé à rester à l'infirmerie durant encore un bon mois, sera dans les tribunes du «Rhénus» pour assister à un «retour» qui vaudra très cher, Villeurbannais et Alsaciens n'ayant plus le droit à l'erreur après avoir grillé quasiment tous leurs jokers.

«Nous en sommes là et c'est de notre faute. Désormais, tous les matches sont pour nous des finales» souligne ainsi Vincent Collet tandis que Frédéric Sarre, lui, ne veut pas trop rêver. «Les play offs? Essayons déjà d'abord de nous sauver. N'oublions pas, en effet, que nous sommes plus près du premier relégable (4-12 pour Rouen) que du Top 8 (9-7 pour Vichy)» avance le coach d'une «Sig» (6-10) qui vient de faire trembler Nancy à «Gentilly« (47-39 à la pause pour le «Villeurbannais» Thomas Heurtel et ses partenaires, 58-63 à la fin du troisième quart-temps, 77-95 au final).

«Le problème, c'est que nous manquons de consistance sur la durée d'un match. Et si nous jouons très bien en attaque (meilleur pourcentage de réussite aux tirs devant...l'Asvel, numéro 1 à trois points, sixième à l'évaluation) nos statistiques défensives sont beaucoup moins bonnes (avant-dernière défense avec 83,9 points encaissés), avec notamment un trop grand déficit au rebond (treizième, l'Asvel quinzième). Il est clair que l'équipe est déséquilibrée.»

Une donnée que les Villeurbannais, malheureusement toujours privés de Laurent Foirest, attendu vendredi prochain contre Orléans, tenteront d'exploiter, pour confirmer l'excellente impression laissée face à la Chorale de Roanne (13/34 à trois points, 4 balles perdues pour 27 passes décisives!), se rapprocher du Top 8, aujourd'hui à deux longueurs devant eux, et valider une semaine d'entraînement intéressante.

«L'élimination de l'Euroligue nous a faits mal mais il est évident que nous allons en retirer des effets positifs dans quelques semaines. En attendant, il nous faut remporter des victoires pour améliorer notre situation» souligne Collet, qui se méfie de la «Sig» et notamment d'un Anthony Roberson qui est aujourd'hui le deuxième marqueur du championnat derrière Derrick Obasohan (19,9 points à 63% de réussite à deux points et 42% à trois points).

«Et comme Darden, Heurtel et Simon sont eux aussi très talentueux il va falloir que nous fassions preuve d'intensité, de cohésion défensive, de dureté, de solidarité et d'un bon contrôle du rythme pour les freiner» ajoute Collet, qui attendra de ses hommes qu'ils ne laissent pas Strasbourg enflammer un «Rhénus» toujours difficile à conquérir...et d'où ils pourront difficilement se permettre de rentrer bredouilles.

Luc Paganon


Bangaly Fofana à pas de géant

Ce garçon est étonnant. Arrivé très tard sur les parquets Bangaly Fofana a progressé à pas de géant, ce qui est logique pour un joueur de 2,11m, mais n'était pas acquis, chacun sachant que les «grands» connaissent régulièrement une maturation plus lente.

Mais le Parisien, passé professionnel au début de cette saison 2009-2010, aime travailler, atout considérable qui a très vite conquis son coach et ses coéquipiers.

«Il évolue bien!» se réjouit ainsi Vincent Collet, qui n'a pas hésité à faire confiance, à son arrivée à Villeurbanne, à un espoir qui fut élu «MVP» du «Trophée du Futur» en juin dernier (victoire des joueurs de Fabrice Serrano et Skeeter Jackson dans cette épreuve qui s'apparente à la Semaine des As chez les pros) et a saisi sa chance après la grave blessure à la main de Curtis Borchardt.

«Je ne m'attendais pas à jouer autant (1)» avoue ainsi ce pivot qui monte les marches deux par deux depuis plusieurs mois, au point d'être devenu une «rotation» très précieuse à l'intérieur, tant en Pro A qu'en Euroligue.

«Maintenant, il ne faut pas que je m'arrête là. Si j'ai prouvé que je pouvais beaucoup apporter en défense il faut que je progresse offensivement» ajoute Bangaly, qui a été impressionné par Boniface Ndong (2,13m, encore 15 points et 12 rebonds jeudi avec Barcelone face à Maroussi) et Benjamin Eze (2,08m, 11-5 avec Sienne contre le Maccabi Tel Aviv) et rêve d'un doublé Pro A-espoirs en fin de saison.

En attendant, il a rejoint hier, avec les champions de France, Strasbourg où il espère bien que l'Asvel confirmera ce soir sa belle sortie face à Roanne et une semaine d'entraînement prometteuse.

«L'élimination en Euroligue a été très frustrante, d'autant que Kaunas et Zagreb sont tombés dans des poules très abordables. Nous pensons que nous avions notre place dans le Top 16. Maintenant, elle peut être un mal pour un bien dans la mesure où nous allons pouvoir bien travailler et nous reconcentrer sur la Pro A pour bien aborder les play-offs. Parce que nous n'imaginons pas ne pas y être!» sourit Bangaly, convaincu, a priori avec ses équipiers, que l'Asvel peut même viser la quatrième place de la saison régulière et avoir l'avantage du terrain lors d'un éventuel quart de finale.

«Il vous a dit ça? Je vais lui dire que je ne suis pas d'accord. Ce serait totalement présomptueux de penser dès aujourd'hui au Top 4» a souligné Collet après avoir appris les propos de son prometteur élève.

Malgré ses 2,11m Bangaly, doté d'une envergure et d'une détente impressionnantes, n'a pas fini de grandir!

L.P

(1): 7 minutes en Pro A (1,6 d'évaluation), 10 minutes en Euroligue (0,9 d'évaluation).
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Message  Vincent Sam 30 Jan - 22:11

Ce match nous a permis de remporter au moins un titre :

c'est officiel, nous sommes ce soir la plus mauvaise défense de ProA (84,9 pts encaissés, on vient de passer Dijon) ! cheers big smile
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Message  françois Sam 30 Jan - 22:22

je rentre du rhénus, dépité
j'ai même pas envie de commenter notre prestation tellement on a été ridicule de bout en bout: pertes de balles les plus stupides les unes que les autres, on arrive à se géner quand on prend un rbd,en attaque je citerais juste une action témoignant de notre nullité offensive: giffa a le ballon sur la gauche il essaie de filer la gonfle à simon à l'intérieur qui tente, je dis bien TENTE, de prendre la position et comme forcément son vis-à-vis ne s'en laisse pas compter il n'est pas en place et giffa va pourtant attendre près de 10 sec pour finalement se raviser et donner la patate chaude à robertson...bref aucune imgination....
en face ça a déroulé tranquillement,système sur système,on a remis en scelle marshall,bref.....

j'allais oublier une scène bien sympatique:le speaker a annoncé à la mi-temps la présence des frères greer et leur famille, ainsi que tchicamboud et slaughter.
résultat attroupement général autour des frangins, prises de photos par jeunes et moins jeunes, pour 2 mecs qui n'ont passé que 2 ans au club c'est bien ya des fans qui ont pas oublié....
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Message  p'tit louis Sam 30 Jan - 22:32

Vincent a écrit:Ce match nous a permis de remporter au moins un titre :

c'est officiel, nous sommes ce soir la plus mauvaise défense de ProA (84,9 pts encaissés, on vient de passer Dijon) ! cheers big smile


autre record,le delta d'évaluation:133-59 soit 74 d'écart!!
je reviens du rhenus,désabusé et en pétard!un non-match absolu de la sig qui s'est faite manger completement! nervosité inhabituelle de roberson,de darden,heurtel totalement absent du match,pas du tout concerné,était-il vexé de ne pas etre dans le cinq du départ?coaching incompréhensible de sarre qui s'est "privé" la plus grande partie du match de simon,9mn de temps de jeu,sacha :15mn,Heurtel 10mn!!incroyable et de plus il ne fait jouer roberson que 24mn-20pts malgré sa maladresse!je sais bien qu'il ne veut pas que la sig ne soit pas roberson-dépendante mais qui va marquer des points quand heurtel,sacha,simon cirent le banc? ben ,darden et steve font ce qu'ils peuvent,le probleme est que c'est tres insuffisant!Donc excellent entrainement pour l' asvel de plus tres adroite:16/29!!

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Message  KEITH9 Sam 30 Jan - 22:39

Pitoyable et indigne, fallait mieux être à Souffel...
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http://www.supportersig.com

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Message  rocky Sam 30 Jan - 22:42

Ce soir au Rhénus c'était "Le convoi de l'extrème", -35, -40 la température était polaire.
En ce qui concerne le match....le match....quel match ???? Pour qu'il y ai match, il faut 2 équipes sur le terrain !!!!

Je retiendrai juste l'image super sympa des 2 frères Greer venus avec leurs familles voir Samnick et Parker mais également faire visiter la magnifique ville de Strasbourg à Dickens et Slaughter, de quoi les changer de leur quotidien geek
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Message  rocky Sam 30 Jan - 22:46

françois a écrit:j'allais oublier une scène bien sympatique:le speaker a annoncé à la mi-temps la présence des frères greer et leur famille, ainsi que tchicamboud et slaughter.
résultat attroupement général autour des frangins, prises de photos par jeunes et moins jeunes, pour 2 mecs qui n'ont passé que 2 ans au club c'est bien ya des fans qui ont pas oublié....

Ah bah Tchicamboud était là aussi, cela commence à faire pas mal de monde, j'espère qu'ils ont payé au moins albino
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Message  fredo67 Sam 30 Jan - 23:00

Ca faisait certainement un an que je n'étais pas allé voir la SIG jouer (car très déçu par la politique de m...) alors qu'avant je ne ratais pas un seul match. Comme tout le monde je me suis ennuyé à un point tel que j'avais presque envie de partir à la mi-temps.
Je pense avoir rarement vu un match de basket aussi fade. L'ASVEL n'a vraiment pas eu a forcer et il n'y a vraiment pas de quoi être fier de venir battre une équipe comme la notre, enfin si on peut appeler cela une équipe.
Ce qui m'a le plus choqué c'est l'ambiance, la seule attraction étant les frères Greer assis dans la même rangée que moi. Déja lorsque je venais régulièrement il n'y en avait pas beaucoup, mais là il n'y en a carrément plus. Sans les VIP petits fours il ne resterait plus grand monde. D'accord l'équipe ne donne pas le meilleur de soi-même. Mais ce n'est pas en refusant de soutenir son équipe qu'on va l'aider à donner le meilleur de soi-même. L'équipe a besoin d'un public qui se donne à fond et vice-versa, sinon ça ne marchera pas. Ou est passé le bon vieux temps ????

fredo67

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Message  Fabrice Sam 30 Jan - 23:24

fredo67 a écrit:Ca faisait certainement un an que je n'étais pas allé voir la SIG jouer (car très déçu par la politique de m...) alors qu'avant je ne ratais pas un seul match. Comme tout le monde je me suis ennuyé à un point tel que j'avais presque envie de partir à la mi-temps.
Je pense avoir rarement vu un match de basket aussi fade. L'ASVEL n'a vraiment pas eu a forcer et il n'y a vraiment pas de quoi être fier de venir battre une équipe comme la notre, enfin si on peut appeler cela une équipe.
Ce qui m'a le plus choqué c'est l'ambiance, la seule attraction étant les frères Greer assis dans la même rangée que moi. Déja lorsque je venais régulièrement il n'y en avait pas beaucoup, mais là il n'y en a carrément plus. Sans les VIP petits fours il ne resterait plus grand monde. D'accord l'équipe ne donne pas le meilleur de soi-même. Mais ce n'est pas en refusant de soutenir son équipe qu'on va l'aider à donner le meilleur de soi-même. L'équipe a besoin d'un public qui se donne à fond et vice-versa, sinon ça ne marchera pas. Ou est passé le bon vieux temps ????

La réponse est dans ton commentaire : le bon vieux temps a disparu avec la politique de m... des dirigeants actuels. La SIG est passée d'un titre de champion à une équipe anonyme visant le maintien...

Fabrice

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Pro A : 17ème journée : SIG - ASVEL Empty Re: Pro A : 17ème journée : SIG - ASVEL

Message  rocky Dim 31 Jan - 8:22

DNA du 31 janvier 2010

Pro A: la SIG fessée par l'ASVEL au Rhenus (64-100)

En mode fantôme

Sans âme, sans réaction et, plus problématique, sans envie, la bande à Sarre a été pathétique, hier, face à un champion en souffrance. Avant un mois de février angoissant, le naufrage guette une SIG qui a perdu de vue toute attention collective. Hier, l'ASVEL s'est bien amusée dans l'antre d'une équipe qui voit resurgir la menace de Pro B.
Les encouragements des Greer juniors, porteurs de drapeau aux couleurs strasbourgeoises, n'y ont rien fait. En visite avec toute leur smala dans les travées du Rhenus, les frangins dominicains, qui portent aujourd'hui le maillot nancéien, n'ont assurément pas nourri d'angoisses démesurées après le match auxquels ils ont assisté.
L'ASVEL se qualifiera peut-être pour les play-offs en fin de saison, mais elle n'a pas non plus ébloui par son basket. Et, franchement, Jeff et Ricardo ont dû s'ennuyer et verser une petite larme sur l'oeuvre, composée avec McCord, Palmer et quelques autres, aujourd'hui foulée au pied. En ce Rhenus, ils ont dominé l'Hexagone voilà cinq ans. En ce Rhenus, ils auront vu leurs héritiers renier les valeurs auxquelles ils se sont consacrés : la combativité, la solidarité et l'envie.
Hier, au final, la SIG a développé un néant de basket. Dans le coup pendant à peu près... sept minutes (13-13), elle a volé au premier souffle de vent. Dewar, Traore et Dixon se sont alors rendus compte qu'en face, il n'y avait pas grand-chose de solide. Ils ont un peu durci l'étreinte, ils ont un peu monté en intensité et, illusion d'équipe, la bande à Sarre a ressemblé à une ribambelle d'étourneaux en panique à l'arrivée du chat.
Elle ne s'est jamais remise d'aplomb et le seul intérêt de la soirée a été de mesurer l'ampleur de la défaite. Au regard de l'écart, on n'a pas été loin du désastre. « On ne s'attend jamais à ce que cela soit aussi facile », a expliqué Vincent Collet, le coach des Verts, à l'heure de commenter la leçon donnée. Avec un -36 au buzzer, la SIG a fait finalement aussi mal que face à Hyères-Toulon. C'était le 21 novembre et, à l'époque, Harris n'avait pas encore été remplacé par Roberson.
L'arrière américain n'a pas été le plus mauvais hier. Mais dans le fond, dans le camp strasbourgeois, il n'y a pas eu de plus mauvais hier. Ils ont été tous mauvais. Et les quarante minutes ou presque du week-end ont ressemblé à la suite naturelle des quinze dernières livrées à Nancy. Chez un gros bras du championnat, une absence peut s'excuser. Face à un gros budget en souffrance - « à la 17e journée, nous ne sommes pas encore dans le top 8 », a d'ailleurs relevé Collet -, à domicile, la pilule a plus de mal à passer.

« On doit faire gaffe à nos fesses »

« Le résultat est là, dur, net et sans bavure », a noté Frédéric Sarre, déçu devant une rechute inquiétante qui se confirme. « Dans des matches comme ça, il n'y qu'une solution, c'est de jouer dur, a souligné Sacha Giffa. Mais il y a dans notre équipe des conceptions différentes du basket ». Parfois, cela donne un vilain gloubiboulga, le légendaire plat préféré de Casimir concoctés avec des aliments, type moutarde, cornichon, banane et chocolat dans un mélange improbable.
Entre des solistes aux airs de cantatrice vite éplorée (Heurtel, Roberson et Simon, transparent hier), des athlètes s'enferrant dans des impasses (Darden, Mukubu) et des besogneux esseulés dans leurs efforts (Giffa, Essart et Mendy), la SIG a fait un digne candidat à la défaite du basket. En tout cas dans le cadre de la Pro A. « La stratégie, face à l'ASVEL, c'est de fighter, a encore expliqué Sarre. Le talent sans cohérence, ça ne donne rien ». Sa phrase a pu faire resurgir quelques fantômes.
On se souvient que le dernier changement de président avait correspondu à une saison que la SIG avait terminé bonne dernière de l'élite. A l'heure où les coulisses bruissent de changement de direction, le bis repetita est-il envisageable ? « Autant l'ASVEL peut regarder vers le haut, autant nous, on doit faire gaffe à nos fesses », a conclu Sarre. Et l'idée d'un naufrage a germé le soir où quelques derniers (Rouen, vainqueur à Dijon, et Chalon, tombeur de Poitiers) ont gagné. Assurément, février sera un tournant.

François Namur


Le film du match

SIG 64 - ASVEL 100

Rhenus Sport. - 3 700 spectateurs. Arbitres : MM. Chambon, Gasperin, Pierre. Quart-temps : 13-27, 20-21 (Mi-temps : 33-48), 16-27 (49-75), 15-25 (64-100).
SIG : 23 paniers sur 61 tirs (38 %), dont 7 sur 20 à trois points (35 %), 11 LF sur 12 (92 %), 27 rebonds (Mc Cauley Cool dont 10 offensifs, 14 passes décisives (Mc Cauley et Darden 4), 9 interceptions, 19 balles perdues, 13 fautes.
Essart 8 points, Roberson 20, Darden 11, Giffa 4, Simon 2 puis Mc Cauley 9, Heurtel 3, Mukubu 3, Mendy 4
ASVEL : 37 paniers sur 60 tirs (62 %), dont 16 sur 29 à trois points (55 %), 10 LF sur 14 (71 %), 36 rebonds (Samnick, Kangur, Traore 5) dont 8 offensifs, 25 passes décisives (Lukauskis 7), 12 interceptions, 17 balles perdues, 20 fautes.
Jeanneau 8, Marshall 14, Lukauskis 9, Campbell 3, Samnick 15 puis Traore 10, Dixon 19, Dewar 8, Kangur 9, Parker 3, Fofana 2, Lacombe.
Samnick initie une première tendance visiteuse, mais la SIG se défend en installant les barbelés autour de sa raquette pour confier à Roberson son salut offensif. L'arrière dégaine de loin pour égaliser (9-9), Giffa inscrit les lancers pour rester au contact. Mais orchestré par un Heurtel complètement à côté de la plaque, la SIG lâche prise, fait n'importe quoi en attaque et encaisse un 14-0 en quatre minutes.
Fin du 1er quart : 13-27

Roberson, d'un lay-up, met fin au désert offensif. Maladroit, Mukubu se décarcasse pour récupérer la gonfle et servir un Mc Cauley plus inspiré. L'imprécision se fait contagieuse. En dépit des paniers longue distance de Dewar et Roberson, le jeu ne décolle pas vraiment. En manque de liant, la SIG s'en remet à quelques paniers arrachés pour exister. Jeanneau a réglé la mire et contribue à maintenir l'avance villeurbannaise qui ne passe jamais sous la barre des dix points.
Mi-temps : 33-48

La pause ne change en rien le visage strasbourgeois. Comme l'ASVEL peut s'appuyer sur quelques arguments, avec un Marshall enfin entré dans son match, le match tourne à l'humiliation. L'arrière des Verts lance un 9-0 qui règle le verdict du match. L'ASVEL flirte avec les 30 points d'avance sur une nouvelle ruade. La SIG fait peine à voir. Les éclairs de Roberson relèvent plus du numéro de cirque que d'une idée de basket.
Fin du 3e quart : 49-75

L'ultime quart s'apparente à un entraînement ouvert au public. Kangur, de loin, envoie la bande à Collet (49-79) vers un succès assuré que Dixon, d'une petite séquence perso, enjolive. Le coach Collet peut soigner ses relations diplomatiques avec le meneur de l'équipe nationale, Tony Parker, en envoyant le frangin TJ sur le parquet. La fin de match s'avère logiquement sans intérêt. En fait, un peu comme toute la soirée.
Fin du match : 64-100

Fr.N.


L'Alsace du 31 janvier 2010

SIG : un jour cent

Trop vite dépassés par une fringante équipe de l’ASVEL et incapables ensuite d’avoir la moindre réaction, les Strasbourgeois ont concédé une très large défaite (64-100) hier soir au Rhénus face au champion de France en titre.
Il faut toujours se méfier d’un champion blessé. La SIG l’a appris à ses dépens hier soir en subissant une sérieuse déroute (64-100, -36) sur son parquet du Rhénus face à l’impressionnante armada villeurbannaise. Seulement dixième en Pro A avant la rencontre et éliminée en Euroligue aux portes du Top 16, l’ASVEL semble avoir repris des couleurs en laminant des Strasbourgeois qui subissent leur 11 e défaite (la 5 e à la maison) de la saison en 17 journées.

Comme l’ensemble de son équipe, Frédéric Sarre, la mine des mauvais soirs, a vécu une soirée cauchemardesque, l’une des pires depuis le début de la saison. « Le résultat est net et sans bavure. À aucun moment, on a eu la volonté de stopper Villeurbanne en ayant une attitude dure et on n’a eu aucune clairvoyance sous sa pression défensive. C’est révélateur de la différence entre une formation qui a un objectif commun et une qui n’en a pas. On ne peut lutter face à ce genre d’équipe qu’en s’investissant collectivement et ça n’a pas été le cas », explique le coach strasbourgeois.

Pour la SIG, ce match face au champion de France en titre n’aura duré que sept petites minutes. Peu avant la fin du premier quart temps, les Strasbourgeois sont en effet encore dans les clous (13-13, à la 7 e). Plus pour longtemps puisque grâce à ses rotations, l’ASVEL va rapidement prendre le dessus. En perdant trop de ballons d’attaque suite à des passes approximatives et en laissant beaucoup trop d’espaces en défense, la formation de Fred Sarre va alors subir un de ses trop nombreux « trous noirs » en encaissant un 14-0 en l’espace de trois minutes (13-27, 10 e). Le collectif de la « Green Team » de Vincent Collet se met alors en route (21-36, à la 13 e) et l’adresse extérieure de Bobby Dixon (2/2 à la pause) et de l’ancien Strasbourgeois Aymeric Jeanneau (2/2 également) fait le reste. Malgré un léger mieux et un certain courage (31-40, à la 17 e), à l’image d’un Mc Cauley combatif (7 pts, 5 rbds et 2 contres), la SIG se retrouve déjà hors de course à mi-parcours (33-48).

« Aucune volonté de stopper »

Les affaires d’une SIG en manque de rythme, d’agressivité et de vitesse ne vont pas du tout s’arranger par la suite. Maladroits (5/16 aux tirs dans le 3 e quart), les Strasbourgeois ne parviennent pas à contrer le séduisant rouleau compresseur rhodanien (39-58, à la 24 e). Peu en vue jusque-là (2 pts à la mi-temps), Rawle Marshall va alors entrer en scène. En inscrivant 12 points dans le troisième quart temps, l’ailier américain de l’ASVEL assomme complètement Anthony Roberson et ses partenaires (de 46-75, à la 29 e à 61-98, à la 36 e). Le calvaire strasbourgeois va alors se poursuivre jusqu’au dernier coup de sirène.

En subissant l’une de ses plus larges défaites de la saison et encaissant encore une fois au moins 100 points (pour la 3 e fois de l’année), la SIG a bien mal préparé un mois de février (déplacement au Havre et Chalon et réception de Rouen) qui s’annonce d’ores et déjà primordial pour son avenir. « Notre championnat commence maintenant. Si février se passe mal, ça va être plus que chaud pour nous. Il va falloir faire bien attention à nos fesses, si nous continuons à avoir des attitudes comme ce soir (ndlr : hier soir). »

Olivier Arnal


Le Progrès du 31 janvier 2010

L'Asvel punit la Sig

Intenses en défense et fluides en attaque, les Villeurbannais se sont promenés en Alsace

De notre envoyé spécial à Strasbourg

Restant sur trois victoires au « Rhénus » (saison régulière en 2007-2008 et 2008-2009 et quart de finale des play offs en 2006-2007), l'Asvel se devait de s'y imposer de nouveau, sous les yeux des frères Greer, anciens de la maison, pour confirmer sa belle sortie face à Roanne, se prouver qu'elle est capable de braver quelques tempêtes hors de ses bases et, surtout, se rapprocher du Top 8.

Avec un excellent Samnick (neuf des treize premiers points de l'Asvel et trois rebonds en six minutes, 9-13 pour les Villeurbannais) Aymeric Jeanneau et ses partenaires démarrèrent en « zone » et sur un très bon tempo, tant défensif qu'offensif. La Sig ne pouvait pas suivre et, poussée à la faute par le champion de France (six balles perdues en dix minutes), traversait un terrible trou d'air dans les trois dernières minutes d'un premier quart-temps que l'Asvel, très séduisante (six passes décisives, deux balles perdues), concluait avec quatorze longueurs d'avance (13-27).

En optant à son tour pour une défense de zone, Strasbourg espéra stopper l'hémorragie. Mais si trois balles perdues en trente secondes poussèrent Vincent Collet à prendre un temps mort (25-36), la réussite à trois points (7/15 en première période) et le jeu bien léché des Villeurbannais (12 passes à mi-parcours, 25 au final) repoussèrent rapidement une équipe strasbourgeoise pour le moins à la peine et assurément ébranlée, collectivement, par les prises d'initiative d'un Roberson dangereux pour l'adversaire… mais aussi pour l'équilibre d'un effectif (6/16 aux tirs, aucune passe…).

Avec quinze longueurs d'avance à la pause (33-48), l'Asvel avait posé sa patte sur cette rencontre. Indigente, sa rivale, en perdition (-1 d'évaluation et seulement 9'30'' de jeu pour un Thomas Heurtel apparu perdu sur le parquet…), ne put jamais sortir la tête de l'eau, encaissant au mileu du troisième acte un 11-0 qui scella définitivement le sort de cette rencontre à sens unique (39-65), les Villeurbannais ayant tourné à… 85 % de réussite (11/13, 5/16 pour Sacha Giffa et ses partenaires) lors de ce troisième acte qui tourna à la punition.

Restait à l'Asvel (134 d'évaluation !) à gérer et à ne pas tomber dans la facilité, ce qu'elle parvint à faire sans trop de souci, bien aidée par la médiocrité d'une Sig qui court à la catastrophe si elle ne rectifie pas, très vite, le tir et ne retrouve pas un collectif digne de ce nom. A chacun ses soucis !

Luc Paganon


« Encourageant »

> VINCENT COLLET
« Nous ne nous attendions évidemment pas à un tel match. Nous savions que cette équipe strasbourgeoise avait, comme nous, des hauts et des bas mais, depuis le début du mois de janvier, elle avait plutôt montré du mieux. Nous nous attendions à un match difficile mais il fallait que nous le gagnions. Je voulais de l'intensité défensive et du partage et, défensivement, nous avons mis beaucoup de pression. Nous nous sommes un peu relâchés dans le deuxième quart-temps mais nous avons très bien attaqué le troisième et, ensuite, nous n'avons jamais desserré notre étreinte et comme nous avons été servis par une grande adresse cela nous a facilité la tâche. C'est encourageant, j'espère que nous allons continuer à progresser et que nous allons faire un bon match, vendredi prochain, contre Orléans. Mais si nous continuons comme cela, il est clair que nous ne serons plus la même équipe. Si nous avions été à ce niveau-là depuis le début nous n'en serions pas là. »

« L'équipe manque d'âme »

> FREDERIC SARRE
« Nous nous sommes fait marcher dessus et n'avons eu que très rarement une réelle volonté de stopper ce qui se passait. Nous avons manqué de clairvoyance et avons eu beaucoup trop d'absences. Au niveau des individualités et de l'âme de l'équipe. Le résultat est là, net, sans bavure, dur. Par rapport au futur, autant Villeurbanne a la capacité de voir vers le haut autant, pour notre part, il faut absolument que nous fassions très attention si nous continuons à avoir une telle attitude… »

Recueilli par L.P.


Les espoirs en leaders

Auteurs d'un début de rencontre tonitruant (26-9 et 35-0 à l'évaluation à l'issue du premier quart-temps) les espoirs de l'Asvel (21 points, 6 rebonds, 6 passes, 2 balles perdues et 34 d'évaluation pour Lacombe ; 15 points à 6/7, 5 rebonds et 25 d'évaluation pour Fofana) se sont facilement imposés à Strasbourg (89-67) avec, pour finir, un panier inscrit à… quinze mètres par Jérôme Sanchez. Les joueurs de Fabrice Serrano (19 points et 9 rebonds pour Octavio Da Silveira) comptent un point d'avance au classement sur Cholet et deux sur Le Havre et Dijon, la JDA ayant été battue hier dans sa salle par Rouen.
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Message  John White Dim 31 Jan - 13:56

Tout a été dit perdre contre l'ASVEL n'est pas honteux mais la manière est quant à elle inquiétante aucune motivation, aucune révolte bien au contraire, aucun jeu collectif, de nouveau les systèmes qui ne fonctionne pas avec ces double écrans et un jeu le long des 3pts, aucune défense.

Individuellement:

Essart: Comme d'habitude présent en défense ce battant comme il le peut mais invisible offensivement.

Heurtel: Le fait de ne pas commencer le matche comme les derniers (depuis Paris) ou il a fait énormément de progrès a-t-il joué ou seulement le fait que ce soit l'ASVEL? En tout cas niveau motivation, balle perdue et mauvais choix c'est son pire matche de la saison.

Roberson: Ok il a beaucoup shooter mais c'était le seul qui prenait ses responsabilité offensivement et qui était capable de le faire mais n'importe rien dans les autres secteurs, bien pris par la défense de l'ASVEL et surtout Marshall qui lui a fait la misère.

Darden: Présent dans tout les secteurs, un vrai impact physique, beaucoup d'intensité et un des seuls qui c'est battu.

Wukubu: Une présence en défense et physiquement de la bonne volonté mais offensivement c'est encore pire que Lewin.

Giffa: Présent dans un aucun secteur spécialement, faisant de mauvais choix offensivement.

Mendy: Quand on le voit jouer de par son impact et ses erreurs de placement et de jugements on dirait qu'il est encore espoir.

McCauley: C'est fait dominer physiquement par Traoré qui lui marquait sur la tête plusieurs fois a montré lors de ce matche une fois de plus que c'est plutôt un 4 qu'un 5.

Simon: Aussi motivé qu'un dépressif chronique et mou qu'un chewing-gum passé au micro-ondes.

Pour les choix de Sarre j'en parlerait dans le topic concernant ce dernier.
John White
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Message  rocky Lun 1 Fév - 8:04

DNA du 01 février 2010

Pro A: après la lourde défaite de la SIG face à l'ASVEL (64-100)

C'est grave docteur ?

Incapable de proposer la moindre idée de basket, la SIG est retombée dans d'insupportables travers depuis une dizaine de jours. Samedi, face à l'ASVEL, elle a frisé la caricature pathétique d'un individualisme forcené. Et, de derrière, les mal lotis reviennent.
La défaite face à l'ASVEL aurait donné du travail à certains. Le responsable du Rhenus en aurait été quitte pour changer quelques néons dans le vestiaire strasbourgeois dont le mobilier aurait été soumis à quelques colères. Une débauche d'énergie sur du matériel... la belle affaire.
L'humiliation enregistrée au Rhenus permet à la SIG de réapparaître en tête de tristes statistiques. L'ASVEL a égalé la plus large victoire décrochée à l'extérieur de la saison, rejoignant Hyères-Toulon, vainqueur... sur le même parquet strasbourgeois avec 36 points d'avance. La « doudoune » a mis en lumière les déficits en matière de collectif, le défaut de fierté et, comparé à la machine rhodanienne, les lacunes en termes de talent.

La bande strasbourgeoise est en manque d'idée

« Frédéric Sarre fait le maximum pour nous monter, mais, après, il y a des gens sur le terrain, explique Sacha Giffa. La question de la volonté se pose ». Si, a priori, comme à Nancy, une défaite face au champion de France n'apparaît pas nécessairement problématique pour reprendre l'expression utilisée par l'entraîneur dans les couloirs de la salle lorraine, les proportions interpellent.
Soumise à une première « pression » décrétée par Vincent Collet, la SIG a fait naufrage. Une farandole de ballons en tribune, de tirs forcés et de choix ininspirés a tardé à être sanctionnée, l'ASVEL « remettant au deuxième quart-temps les mains en haut du guidon », comme l'a expliqué le sélectionneur national.
La deuxième mi-temps a ainsi correspondu à une logique punition. « On a plein d'absents, relève l'entraîneur de la SIG, à propos de joueurs pourtant sur le terrain. On a vu la différence entre une équipe qui se cherche et une autre qui a un objectif collectif ». La bande strasbourgeoise est en manque d'idée. C'est un peu comme si elle ne savait pas trop ce qu'elle faisait ensemble.
Il y a pourtant un objectif tout trouvé pour agrémenter sa fin de saison. De l'arrière, la réaction s'est réorganisée. Rouen, vainqueur à Dijon, et Chalon, qui a dominé sur le parquet de Poitiers, ne sont plus des relégués en puissance, avec les arrivées de Sanders, Chatfield et Rogers pour le SPOR, d'Everett et Gray pour l'Élan.

« La mission, c'est de se sauver le cul en jouant ensemble durablement »

Dans ce cadre, février s'annonce meurtrier. En déplacement au Havre et à Chalon et en accueillant Rouen, la SIG en saura plus sur son degré de médiocrité au terme de ce mois de tous les dangers. « Ça va être plus que chaud, anticipe Frédéric Sarre. On se retrouvera avec des équipes de notre championnat. La mission maintenant, c'est de se sauver le cul en jouant ensemble durablement ».
Le budget réparation de la SIG s'en porterait un peu mieux.

Fr.N.


L'Alsace du 01 février 2010

SIG : retrouver d’urgence une âme collective

Ecrasés dans les grandes largeurs par l’ASVEL samedi au Rhénus, les Strasbourgeois inquiètent et doivent absolument se ressaisir avant d’aborder un mois de février crucial. Premier objectif : remettre en place un véritable collectif.
Le visage fermé, Sacha Giffa n’a pas cherché à fuir ses responsabilités après la terrible gifle reçue (64-100) samedi soir par la SIG face au champion de France qui ne comptait pourtant qu’une seule victoire de plus au compteur avant la rencontre. Terriblement déçu, l’intérieur strasbourgeois ne s’attendait vraiment pas à une telle déroute. « C’est compliqué parce que jeudi, on a fait un vrai entraînement, on s’est mis dessus, on a bien défendu. Je me suis dit que les progrès étaient là et qu’il fallait répéter les mêmes efforts car on sait que la seule façon d’exister, c’est de jouer dur. Alors, je ne sais pas… il y a des personnes dans cette équipe qui n’ont pas le même point de vue du basket. »

En pointant du doigt le problème numéro un de son équipe cette saison - un manque de dureté et de constance collective sur la durée -, Sacha Giffa met le groupe alsacien devant ses responsabilités. « C’est bien beau de faire les efforts à l’entraînement pour ne pas les répéter en match. Le coach fait son maximum pour nous montrer ce qu’il faut faire, ensuite c’est une question de volonté », explique avec justesse le numéro 13 strasbourgeois. Sans véritable intention commune ni envie, la SIG a subi le jeu sans réaction devant une formation villeurbannaise qui n’a pas eu à forcer son talent.

« Le coach fait son maximum »

« On a eu plein d’absents sur le terrain. Des absences individuelles mais aussi une absence d’âme d’équipe. Sans cohérence, le talent ne sert à rien. La seule chose qui peut nous sauver c’est d’avoir un objectif collectif avec de l’engagement. À l’heure actuelle, on ne l’a pas. On n’est pas non plus dans l’intensité et la dureté », confirme le coach alsacien, Frédéric Sarre. Avant de rentrer de plain-pied dans ce mois de février qui va la voir affronter des adversaires directs (Le Havre (12 e), Rouen (14 e) et Chalon-sur-Saône (15 e), la SIG doit retrouver un niveau qu’elle a déjà — trop peu — atteint cette saison — à l’image des performances à Paris-Levallois et Poitiers — sous peine de se mettre dans une situation précaire. Fred Sarre a bien conscience de l’urgence de la situation. « La solution m’appartient en partie mais elle appartient surtout aux joueurs. Ce sont eux qui doivent faire les efforts pour aller dans le bon sens. Notre championnat, il commence réellement maintenant. Si ça se passe mal en février, ça va être plus que chaud pour nous. »

« Sans cohérence, le talent ne sert à rien »

Surtout qu’avec seulement deux victoires de plus que Chalon-sur-Saône et Dijon, les deux relégables, les Strasbourgeois (11 e) sont désormais obligés de regarder vers le bas du classement. « L’ambition de l’équipe, ce n’est pas les play-offs mais plutôt de se sauver et de se mettre dans une situation plus confortable. Pour y arriver, il faut être tous ensemble dans la durée », précise le technicien.

La conclusion est signée Sacha Giffa : « Ça m’attriste de montrer ce visage avant que notre vrai championnat ne commence. J’espère que tout le monde va retenir quelque chose de ce match et qu’on va aller au combat, il n’y a que ça qui gagne. » Février s’annonce assurément comme un mois clé de la saison.

Olivier Arnal
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Message  rocky Mar 2 Fév - 9:07

Résumé du match et interviews

http://www.alsace20.fr/video.php?id=609
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