6e journée: JDA (4-2)- SIG (2-4): 85-86 Victoire!!!!!!!

Vincent a écrit:

mtjb a écrit:Wahou, quel hold up! Je n'y croyais vraiment plus a -7 et a peine plus d'une minute a jouer.

C'est une victoire à la grecque !
Avec Loonie "Diamantidis" Cooper !

Tout à fait Vincent, à la seule différence que ce coup-ci, on n'en fera pas des cauchemars, bien au contraire...

je viens de rentrer de mon entrainement et pr le suspens j'ai caché le titre et je vous ai lu...
incroyable!!!
vivement de lire demain le résumé du match pr bien voir la fin du match! le retour de cooper nous fait fou c'est indéniable!
vivement samedi soir en tt cas!!!

Au niveau de la fin de match, selon un Dijonnais, ça a ressemblé à ça:

Sciarra rate un lancer, rebond Eidson. Pour éviter le 3pts, Eidson subit la faute et met les deux (85-83). Puis, Bouziane part à l'aventure et perd le ballon, intercepté par Eidson qui trouve Cooper à 3Pts (85-86). Derrière, temps mort dijonnais, et Bouziane part s'empaler dans les intérieurs strasbourgeois. Son tir est raté et c'est la victoire pour la SIG. En gros, c'est clairement Bouziane qui fait de très mauvais choix côté Dijon.

allez voir ici pour des réactions des supporters de dijon.... il y a le choix entre mauvais arbitre, hold up, girard le magouilleur...
http://www.jdaoff.com/component/option,com_punbo/Itemid,40/task,viewtopic/id,564/

ouf ! je viens de voir le résultat...et ca fait du bien !!!!
Maintenant faut enchainer pour vraiment reprendre confiance...


Afik à 8 minutes ? Bléssé ou "sanction" ?

bibi a écrit:allez voir ici pour des réactions des supporters de dijon.... il y a le choix entre mauvais arbitre, hold up, girard le magouilleur...
http://www.jdaoff.com/component/option,com_punbo/Itemid,40/task,viewtopic/id,564/

Ne caricaturons pas. je n'ai vu qu'un seul forumeur incriminer arbitrage et "magouilles".

Basket-ball / La SIG s'impose sur le fil à Dijon

L'incroyable dénouement !

Menée de sept longueurs à l'entame de la dernière minute, la SIG est parvenue à inverser la tendance pour s'offrir sa deuxième victoire de la saison, hier soir à Dijon (85-86). Le revenant Lonnie Cooper a inscrit le panier primé victorieux à 6" du terme.



Une minute plus tôt, « Super Mario » Bennett était débout sur sa chaise, dansant à l'unisson du bruyant public dijonnais. A six secondes du coup de sifflet final, c'est Lonnie Cooper qui sautait comme un cabri en revenant vers sa moitié de terrain.
Le meneur de jeu strasbourgeois venait d'inscrire le panier primé qui offrait la victoire à la SIG (85-86). Et en ces temps de commémoration jordanesque, on parlera volontiers de « The Shot » aussi pour l'ex-Palois. Sa blessure à la cheville n'était plus qu'un mauvais souvenir. « Lonnie avait les pieds dans le ciment », relève en connaisseur Jacques Monclar. La SIG l'emportait après avoir compté sept longueurs de retard à l'entame de la dernière minute !
Un incroyable dénouement qui faisait la joie d'Éric Girard. « Je savais qu'au complet, on pouvait faire de grandes choses. Mais gagner ici, face à un groupe dijonnais en pleine bourre et avec notre manque de confiance présumée, c'est le plus beau cadeau qu'on pouvait avoir. C'est encore plus beau que si on avait gagné de dix ou douze points ».

Ça bougonne en Bourgogne

Son homologue dijonnais avait le timbre encore plus rocailleux que d'habitude. Forcément déçu de la tournure qu'avait prise cette rencontre dans sa dernière ligne droite. « On prend un panier par naïveté en descendant à deux sur McCord au lieu de rester sur Smith, fulmine Jacques Monclar. On fait faute sur Eidson alors qu'on a quatre points d'avance. Et sur la remise en jeu, on redonne le ballon à l'adversaire parce qu'on n'applique pas les consignes sur la zone press ! Faire une passe transversale, c'est dangereux. En fin de match, c'est suicidaire ! ». Ça bougonne en Bourgogne.
Les événements venaient de donner raison à Éric Girard qui n'avait eu de cesse ces temps-ci de rappeler l'importance de Lonnie Cooper, notamment dans les fins de matches au couteau qui, par deux fois (Roanne et Nancy), avaient souri aux adversaires des Alsaciens. Cette fois, l'entraîneur de la SIG tenait son clutch player. « Avec un vrai meneur, on savait qu'on pouvait emporter le money-time. La fin du match se résume d'ailleurs à un combat de meneurs avec un Sciarra énorme ».

Le groupe y a cru, même au plus fort de la tempête

Mais ramener ce succès à la seule -grosse- prestation de Cooper serait faire injure à un groupe qui ne s'est jamais désuni, même pénalisé par les fautes (trois intérieurs à trois fautes à la 21e'), à un groupe qui y a cru même au plus fort de la tempête, lorsque Johnson nettoyait le filet à chacun de ses shoots. « Je tire un grand coup de chapeau à chacun de mes joueurs, dit Girard. Gauthier, par exemple, en entrant et en sortant, a offert des moments de repos à Cooper ».
« La roue finira par tourner », disait l'entraîneur de la SIG à la veille du match. Hier soir, la roue a peut-être enfin tourné.

Régis Schneider

Les joueurs à la loupe

Cooper et gagne

Lonnie Cooper est de retour. Et c'est la SIG qui se remet à gagner. Une SIG qui aura aussi pu compter sur le formidable abattage de Chuck Eidson.

COOPER. - 30'15" de temps de jeu ; 18 pts ; 7/13 aux tirs (54%) dont 2/4 à trois points, 2 rebonds, 3 passes décisives, 3 balles perdues, 4 fautes personnelles. Évaluation : 14.
Lonnie Cooper avait, si l'on peut dire, l'envie de bien faire chevillée au corps. Le meneur de jeu strasbourgeois mordait dans la partie comme un mort de faim, inscrivant neuf points (à 4/5 aux tirs) dans le premier quart. Son panier primé à six secondes du terme en faisait surtout le héros de la soirée.

DARRIGAND. - 9'45" de tps de jeu ; 7 pts ; 1/3 aux tirs (33%) dont 0/1 à 3 pts, 2 pd, 2 ftes. Eval : 7.
Éric Girard en parle volontiers comme de l'un des tournants du match. A 7" de la fin du troisième quart, Darrigand provoque la 4e faute de TJ Lux. Le Dijonnais regardera une bonne partie du quatrième sur le banc. Le Daxois, lui, transformait trois lancers qui faisaient un bien fou à la SIG. Discret, mais essentiel.

MARQUIS. - 24'45" de tps de jeu ; 6 pts ; 3/4 aux tirs (75%), 5 rbds, 1 pd, 2 bp, 5 ftes (éliminé 39e'). Eval : 7.
Souverain contre Nancy, il aurait pu être sacré duc de Bourgogne, sur la lancée d'un début de match hargneux (quatre des huit premiers points de son équipe). Mais il sera vite rappelé sur le banc. Quelques erreurs dans le money-time ne sauraient entacher un match sérieux.

SANDERS. - 26'15" de tps de jeu ; 8 pts ; 4/7 aux tirs (57%), 5 rbds, 3 bp, 4 ftes. Eval : 7.
Cela aurait pu être une mauvaise soirée pour le bondissant Sanders. Méconnaissable durant les trois quarts de la rencontre, le filiforme intérieur inscrivait six points de rang dans les quatre dernières minutes. C'est encore lui qui boxait le dernier ballon, après deux échecs de Bouziane et NDoye près du cercle. Comme le symbole d'une SIG ballottée, mais qui ne voulait pas mourir.

SMITH. - 33' de tps de jeu ; 19 pts ; 6/11 aux tirs (55%) dont 4/7 à 3 pts, 6 rbds, 2 pd, 2 bp, 2 ftes. Eval : 19.
En retrait ces temps-ci au shoot, la gâchette américaine avait retrouvé toutes ses sensations en première période (10 pts). Sa main ne tremblait pas au moment d'inscrire le panier longue distance qui permettait aux Strasbourgeois d'y croire encore (82-78 à 58" du buzzer). Un impact jamais démenti (six fautes provoquées).

NISSIM. - 8' de tps de jeu ; 0 pt ; 0/2 aux tirs dont 0/1 à 3 pts, 1 pd, 1 bp. Eval : -2.
Il n'avait été que l'ombre de lui-même dimanche au Rhenus. Hier soir, il n'a toujours pas retrouvé la lumière, finissant une nouvelle fois avec une évaluation négative.

McCORD. - 28' de tps de jeu ; 7 pts ; 3/4 aux tirs (75%), 6 rbds, 2 pd, 1 fte. Eval : 15.
Le capitaine strasbourgeois, propulsé dans le cinq de départ, a abattu comme à son habitude un boulot énorme sous les paniers (cinq rebonds à la pause). Indispensable y compris lorsqu'il s'agit de rassembler ses troupes pour les galvaniser.

EIDSON. - 35'15" de tps de jeu ; 21 pts ; 7/13 aux tirs (54%) dont 0/3 à 3 pts, 7 rbds, 2 pd, 1 bp, 3 ftes. Eval : 23.
Un panier et une interception en à peine une minute. Du Chuck Eidson tout craché. En retrait depuis deux matches, le polyvalent ailier américain a brillé, répondant du tac au tac à Johnson lorsqu'il le fallait, pour finir meilleur marqueur et meilleur rebondeur de la SIG !

MADRICH. - 4'45" de tps de jeu ; 0 pt ; 1 rbd, 3 ftes. Eval : 1.
Le grand Dirk n'avait fait qu'une brève apparition contre Nancy. Hier soir, le pivot allemand est rentré plus vite que prévu, après la deuxième faute de Marquis dès la 5e'. Mais il ne fut guère plus heureux, en récoltant trois fautes en à peine quatre minutes sur le parquet.

R. Sch.

DIJON 85 SIG 86

Palais des Sports. 3850 spectateurs. Quart-temps : 20-20 ; 22-17 (42-37), 18-22, 25-27. Arbitres : MM. Graffin, Maestre et Gros.
DIJON : 27 paniers sur 60 tirs (45%), dont 12 sur 28 à 3 pts (43%), 19 LF sur 28 (68%). 26 rebonds (Bennett 12), dont 9 offensifs. 19 passes (Sciarra 9). 6 interceptions. 8 balles perdues. 22 fautes (Lux éliminé 40e').
Sciarra 19, Bouziane 5, Ndoye 8, Lux 16, Bennett 7 ; puis M'Baye, Johnson 24, Natsvlishvili 6.
SIG : 31 paniers sur 57 tirs (54%), dont 6 sur 16 à 3 pts (38%). 18 LF sur 24 (75%). 36 rebonds (Eidson 7), dont 11 offensifs. 13 passes (Cooper 3). 3 interceptions. 12 balles perdues. 24 fautes (Marquis éliminé 39e').
Cooper 18, Eidson 21, McCord 7, Sanders 8, Marquis 6 ; puis Darrigand 7, Smith 19, Nissim, Mädrich.
Marquis (4 pts) écope de sa deuxième faute à la 5e' ; Mädrich le remplace. En pénétration ou derrière l'arc, Cooper en est déjà à neuf points (14-17, 8e'). Le dernier tir de McCord ricoche sur l'arceau. (Fin du 1er quart : 20-20).
Mädrich rejoint le banc avec trois fautes (17e'), Sanders l'imite deux minutes plus tard. Un missile de Sciarra donne quatre longueurs d'avance à la JDA (36-32, 18e'). Cerné par trois Strasbourgeois, le même Sciarra parvient tout de même à servir MBaye pour un panier primé au buzzer ! (Mi-temps : 42-37).
Johnson, encore, offre huit longueurs d'avance à la JDA (45-37, 22e'). Jacques Monclar écope d'une technique, ce dont profitent Cooper, aux lancers, et Marquis, d'une claquette (50-47,25e'). Johnson inscrit son troisième panier primé en quatre tentatives (60-56, 29e'). A 7" du buzzer, Darrigand provoque la 4e faute de TJ Lux et marque ses trois lancers. La SIG est relancée. (Fin du 3e quart : 60-59).
Cooper fait faute sur le meneur dijonnais au-delà de la ligne à trois points. Une aubaine pour Sciarra (77-69, 36e'). Sanders inscrit six points de rang (80-75). Smith dégaine à trois points à 58" du terme. Eidson convertit ses lancers (85-83) à 18" du coup de sifflet. Sur la remise en jeu, Bouziane perd la balle. Cooper marque à trois points à 6" de la fin. La SIG tient sa deuxième victoire ! (Fin du match : 85-86).

Édition du Jeu 19 oct. 2006

(www.dna.fr)

6ème journée Pro A 06/07

JDA Dijon Basket 85 - Strasbourg IG 86

Compte-rendu

Hold up ?

A comparer la fin de match avec le score final, on serait tenté de croire au hold up. A compter les lancers ratés (6/13) à la pause (les cercles avaient été réglés dans la journée, changeant les repères des joueurs), à compter les gamelles sur les shoots à 3 points de Maleye N’Doye, Terrance Johnson et Abdoulaye M’Baye, on imagine le gâchis. A déduire les 4 points concédés sur une technique donnée à l’entraîneur dijonnais, on se fait mal. A compter le nombre d’errements, de concertations, d’hésitations et de changements d’avis du corps arbitral le doute s’instaure. A voir la dernière balle perdue d’Ali à destination d’on ne serait qui, plus de doute, Dijon s’est tiré une balle dans le pied et Strasbourg est parti avec la caisse. Pourtant les affaires Dijonnaises n’allaient pas mal. Après un début difficile, le 3 points baptismal de Bouziane cachant mal la diète offensive, la JDA avait su se mettre en route. En place défensivement, les hommes d’Eric Girard gênaient considérablement le jeu de passe de la Jeanne. Mais celle-ci n’était pas sans répondre. Marquis et Sanders sortent de l’étau mais la défense bourguignonne tient la barque. Menés 4-8 à la 3ème, la JDA va redresser la situation : 11-10 (5ème). Pour autant, rien n’est facile et si Maleye trouve l’ouverture, Cooper pose d’énormes problèmes à son vis à vis et apporte énormément à Strasbourg : 9 points dans les dix premières minutes. TJ et Mario se battent, Marquis en fait les frais, sanctionné de 2 fautes à la 6ème. Johnson fait son entrée en fin de période pour un trois points de bon augure : 20-20.
Strasbourg va tout tenter. Passage en zone ou homme à homme, Girard adapte sa défense. Dijon ne s’en laisse pas compter pour autant. Engagés dans la protection de leur arceau, les coéquipiers de Maleye ne lâchent vraiment rien. Pour autant, Smith trouve quelques ouvertures de loin. En difficulté à l’intérieur, Dijon trouve une solution avec les shoots extérieurs de Sciarra. Les deux équipes se tiennent (37-37 à 45 secondes du terme) mais entre un panier inspiré de Vato et un trois points au buzzer de Maleye, la JDA créé le plus gros écart du match : 42-37.


Cet avantage fraîchement acquis, la Jeanne reprend le chemin du parquet avec une volonté énorme. Bouziane laissé sur le banc (2 fautes) Johnson prend le relais et avec quel brio ! longtemps dans le doute et sans réussite, Terrance Johnson va prendre ses responsabilités, pour le meilleur : 11 points dans les 10 minutes, 3 sur quatre de loin. Ces banderilles ne restent pas pour autant lettre morte. Dijon qui possède un temps 7 points d’avance (50-43 ; 13ème) balle en main, se retrouve rattrapé par les paniers de Smith ou Eidson (54-52 ; 28ème). Le tout petit avantage dijonnais va devenir insignifiant quand sur une faute (la 4ème) de TJ, Darrigand se retrouve 3 fois aux lancers : 60-59.
Dans la dernière manche, la Jeanne va maîtriser longtemps son sujet. Sciarra main de fer , de maître, maestro est impeccable. La SIG, sans être aux abois, est en grande difficulté. Zone ou homme à homme, la défense Strasbourgeoise gêne mais la Jeanne passe outre. Côté alsacien, Marquis mange la feuille en début de période : balle perdue et 0/2 aux lancers. Dijon est à + 7 : 74-67. Balle en main, Mario va faire un numéro idiot dans un coin et perdre la balle. Laurent Sciarra aux lancers rajoute 3 points, Dijon est à +8 : 77-69 (36ème). Les choses prennent bonne tournure car revenant un temps (77-73), la SIG oublie Maleye sur la phase qui suit et celui ci se fait un malin plaisir de mettre 3 points.. jusque là tout va bien. Eh puis, le basket étant ce qu’il est, Strasbourg fait faute, Dijon (Sciarra) shoote et marque. Re-faute avant la mise en jeu, etc.. +5, +4, Sciarra en manque 1, +2 18 secondes balle à Dijon et Ali bouziane, d’une façon inexplicable qui fait encore bondir son coach, balance la balle pour personne sinon pour la SIG ou Cooper enfile le 3 points de la gagne à 6 secondes de la fin : 85-86. Vous avez dit hold up ?

(www.jdadijon.com)

juste pour info, lu sur yahoo ( source l'Equipe ) :

Basket - Pro A Monclar s'en prend aux arbitres
jeu 19 oct, 11h31

L'entraîneur de Dijon, Jacques Monclar , s'en est violemment pris aux arbitres de la rencontre qui a opposé, à domicile, son club à Strasbourg, mercredi dans le cadre de la sixième journée de ProA, et qui a vu la victoire sur le fil des Alsaciens 85-86.

«Ce soir (ndlr: mercredi soir), l'arbitrage a été indigne du niveau professionnel» , a-t-il déclaré avant d'adresser plus particulièrement ses reproches à Patrick Gros, l'un des trois arbitres de la rencontre .«Je crois que M. Gros devrait prendre sa retraite , a tout simplement considéré le coach bourguignon. Je le dis sans hésiter, et tant pis pour moi si je dois passer devant la commission de discipline. Il n'est pas malhonnête, il est seulement incompétent. Il n'a pas le niveau pour arbitrer à ce niveau.»

Les accusations de Jacques Monclar se sont même faites plus précises. «Il a accordé des paniers à trois points alors que le joueur avait le pied sur la ligne , a-t-il affirmé. Je l'ai signalé à chaque fois aux autres arbitres, qui m'ont dit que j'avais raison... sans pour autant changer quoi que ce soit. Cela en dit long sur la solidarité du corps arbitral. M. Gros a prouvé ses limites. Lors de ce match, il a été complètement dépassé».

On peut voir une partie de la conférence de presse donnée par Monclar:

http://www.dijonpremiere.com

Monclar y parle arbitrage, certes. Mais il évoque également le bon match de la SIG, les erreurs de ses joueurs et une question matérielle: les paniers ont été réajustés avant le match, sur demande d'Eric, car iles cercles étaient relevés. Résultat: les joueurs dijonnais ont perdu les repères acquis durant la semaine, et ont été longs sur les lancers en première mi-temps (6/13). Visiblement, l'ami Monclar était passablement énervé.

video du match sur france 3 Bourgogne

http://bourgogne-franche-comte.france3.fr/videojt/ (5 minutes)

Ca fait plaisir de gagner à l'arraché comme ça, surtout que Dijon n'était pas mauvais en face ! (mais je crois qu'ils ont raison, ils nous offre le match)...
Maintenant, Cholet arrive !

D'ailleurs, selon les Dijonnais, la JDA a sans doute réalisé l'un de ses meilleurs matchs de la saison, ce qui réhausse encore la perf de nos sigmen.

Après la conférence de presse, http://www.dijonpremiere.com/ propose un résumé de la renccontre.

On constate que la SIG défend beaucoup en zone. La raquette est relativement bien verrouillée, mais ça ouvre des positions ouvertes. Sur quelques shoots dijonnais, on est clairement en retard.

En attaque, on voit Smith inscrire des shoots difficiles, et la SIG inscrire des lancers. Eidson est incisif sur une de ses actions. On voit peu le secteur intérieur en revanche.

Moi j'aime bien comme le président de Dijon balance Bouziane !!!!

Sa doit etre cool l'ambiance....

Oué moi aussi ca m'a un peu choqué...Il y va pas de mains mortes !

avec ou sans citron ? a écrit:Moi j'aime bien comme le président de Dijon balance Bouziane !!!!

Sa doit etre cool l'ambiance....

Clair, que ça doit plomber l'ambiance. ça doit déjà etre très dur pour lui, mais si en plus on te casse comme ça.....

Et puis c'est vrai qu'on peut lui en vouloir, mais à mon avis il a fait d'autres choses dans le match que 2 balles perdues...
Sur la dernière minute ok, mais il ne faut pas le casser comme ça (il a bien aidé Dijon l'année dernière...)

C'est peut ètre aussi le coach qui le rentre en fin de match alors qu'il n'avait pas beaucoup joué en 2ème mi temps. C'est peut ètre aussi le joueur qui lui fait une passe alors qu'à mon avis, c'était à Sciarra qu'il fallait la donner. C'est peut ètre le joueur qui auparavantfait faute trop rapidement. C'est paut ètre le joueur qui ne défend pas surCooper au moment du dernier tir. C'est peut ètre .....il y a surement 100 autres coupables. C'est trop facile de balancer un et un seul joueur alors qu'il y avait plein d'erreurs faites auparavant. A ce stade du match, c'est pile ou face