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Pro A 5e journée : Strasbourg IG (2-2) - Cholet Basket (2-2)

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Message  simbad88 Dim 2 Nov - 2:08

On finit avec la meilleure eval' collective du week end! 121!
Pas mal!

simbad88

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Date d'inscription : 20/06/2008

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Pro A 5e journée : Strasbourg IG (2-2) - Cholet Basket (2-2) - Page 2 Empty Re: Pro A 5e journée : Strasbourg IG (2-2) - Cholet Basket (2-2)

Message  rocky Dim 2 Nov - 9:05

DNA du 02 novembre 2008

Basket-ball / La SIG domine Cholet (102-87)

Ballottée une mi-temps durant, la SIG a forcé la décision dans le dernier acte en infligeant, en six minutes, un rédhibitoire 18-2 à son adversaire choletais. Dans le sillage d'une doublette Rush - Obasohan performante, les Strasbourgeois se sont offerts, avec la manière en prime (102-87), leur premier succès de la saison au Rhenus.
John Allen a soufflé ses 26 bougies hier. Et en guise de cadeau d'anniversaire, l'ailier US a pu s'offrir un tour d'honneur pour célébrer la première victoire à domicile de la SIG face à Cholet (102-87). Son coéquipier Brion Rush savoure à juste titre.
« C'était un grand match, lâche l'arrière strasbourgeois, une nouvelle fois irrésistible (29 points, 11 fautes provoquées, 33 d'évaluation). On était bien sur la route jusqu'à présent, mais il nous manquait un succès référence à la maison. Cette victoire peut constituer un nouveau départ ».

« Il y a eu un phénomène de crispation »

Les Strasbourgeois ont pourtant patiné en première période. « Il y a eu un phénomène de crispation et le fait de vouloir à tout prix décrocher cette première victoire a eu une incidence sur notre entame », observe Frédéric Sarre. La SIG tricote en attaque, se fait manger au rebond et délaisse son repli défensif. « On avait l'impression d'avoir pris deux somnifères », poursuit le coach strasbourgeois.
Cholet, diminué, est pourtant bon à prendre. Le club des Mauges doit faire face à une véritable hécatombe puisque Lee (entorse du genou) et Marquis (hématome intercostal) ne sont pas du déplacement en Alsace. La SIG a donc grandement intérêt à pilonner la raquette peau de chagrin choletaise.
Mais à la pause, c'est le monde à l'envers. Simon et Lewin sont nantis de deux fautes et le pivot strasbourgeois passe complètement au travers (-5 d'évaluation en 4'15"). En face, le jeune Seraphin, entré au relais de Falker, signe la meilleure évaluation choletaise (10) et compile 8 points et 4 rebonds. Le monde à l'envers, on l'a dit. Et il a fallu un bon passage d'Essart pour sauver les meubles avant le repos.
La seconde période est d'un tout autre tonneau. La SIG met enfin la balle dans la peinture. Simon (14 points en deuxième période) et Giffa peuvent sortir de leur torpeur.
« On a eu plus de continuité, plus de courses et on a trouvé le secteur intérieur », remarque Frédéric Sarre. « On a été dans le match jusqu'à la 25e', mais après, défensivement, on n'y est plus du tout », observe Erman Kunter. C'est le moins que l'on puisse dire, la SIG passant 63 points à son adversaire en vingt minutes.
Irréprochables aux lancers-francs - 23/24 sur la ligne de réparation après les citrons -, les « Sigmen » vont aussi trouver en Derrick Obasohan un précieux dynamiteur. « Défensivement, il a bien contenu Grier sur deux ou trois situations, reprend son entraîneur. Et en attaque, on l'a trouvé sur des post-up et de la course. Il a apporté de l'agressivité, de la percussion ».

« Un petit relâchement lorsque l'écart a été fait »

Auteur de neuf points lors des six premières minutes du quatrième quart-temps, le Nigérian est l'un des grands artisans du rédhibitoire 18-2 infligée par la SIG à son hôte durant ce même laps de temps (de 70-69, 31e', à 88-71, 36e'). Le reste est anecdotique. Darrigand permet aux Alsaciens d'atteindre les 100 points, Mendy se joint à la fête. Tout juste Fred Sarre regrette-il « un petit relâchement lorsque l'écart a été fait ».
Un anniversaire et une première levée à domicile : l'after, on l'espère, a été à l'avenant pour John Allen et ses partenaires.

Régis Schneider


La mayonnaise prend

Comme toujours, il y a Rush. Mais pas seulement. Ou plutôt plus seulement. Individuellement, et par là même collectivement, la SIG monte en régime. A l'image d'Obasohan ou de Simon.
RUSH. - 40' de temps de jeu ; 29 pts ; 8/13 aux tirs (62 %), dont 3/6 à 3 pts ; 10 LF sur 10, 3 rebonds, 7 passes décisives, 5 balles perdues, 4 interceptions, 1 faute. Évaluation : 33.
Avec lui, on ne sait plus par quoi commencer. A chaque fois, on a droit à la totale. Alors, outre les chiffres, qui parlent d'eux-mêmes, on évoquera ce qui se voit moins mais qui, pour le coup, s'est révélé décisif : ses 11 fautes provoquées, dont les 3e et 4e de Mokongo, mis hors d'état de nuire à l'heure où rien n'était fait (23e'). Auparavant, il était pour beaucoup dans le retour de la SIG avant le repos.
DARRIGAND. - 15'15" de tps de jeu ; 2 pts ; 2 LF sur 2, 2 rbd, 5 pd, 4 bp, 2 int, 3 ftes. Éval : 7.
Aligné dès le départ comme à Dijon, il n'a guère pesé sur les 5 minutes initiales. Il n'est réapparu qu'à l'entame du 4e acte, au relais d'un Essart encore précieux, pour ne plus quitter le parquet. Et pour cause. Il a contribué cette fois à porter l'estocade en mettant du rythme et délivrant 4 passes.
MENDY. - 7'15" de tps de jeu ; 3 pts ; 1/1 aux tirs ; 1 LF sur 2, 1 bp, 2 ftes. Éval : 1.
Quatre grosses minutes sur le paquet en première période sans trace de son passage. A l'inverse, en toute fin de match, il connaîtra le bonheur d'inscrire 3 points, dont un bijou de panier.
ESSART. - 24'45" de tps de jeu ; 13 pts ; 3/4 aux tirs (75 %) dont 2/2 à 3 pts ; 5 LF sur 5, 3 rbd, 4 pd, 1 bp, 1 fte. Éval : 18.
Un tir primé pour son entrée en jeu à la 6e', puis plusieurs minutes de tâtonnement avant de sortir de sa boîte avec fracas pour sauver la SIG du naufrage avant la pause (8 pts à 100 % et 2 passes en 4 minutes). Rush prenant ensuite les rênes, Essart n'avait plus qu'à assurer l'ordinaire avec justesse.
ALLEN. - 21' de tps de jeu ; 9 pts ; 3/7 aux tirs (43 %) dont 1/1 à 3 pts ; 2 LF sur 2, 3 rbd, 2 pd, 1 int, 2 ftes. Éval : 11.
Finalement le plus en dedans de la troupe comparé à ce qu'on attend de lui. Très présent néanmoins juste après la mi-temps au moment où la partie se jouait sur le fil du rasoir.
GIFFA. - 21'30" de tps de jeu ; 6 pts ; 2/4 aux tirs (50 %) dont 1/2 à 3 pts ; 1 LF sur 2, 2 rbd, 4 pd, 1 int, 3 ftes. Éval : 10.
Le "shaker" est sur la bonne voie. Il l'a notamment prouvé juste après le repos, l'espace de trois minutes. Durant ce laps de temps, on a vu celui qui secoue l'adversaire, comme son surnom l'indique, attaque le cercle et écarte les jambes pour planter à 3 points.
OBASOHAN. - 21' de tps de jeu ; 17 pts ; 7/9 aux tirs (78 %) ; 3 LF sur 3, 1 rbd, 4 ftes. Éval : 16.
Promu dans le cinq de départ, notamment pour s'occuper du cas De Colo, il a en fait plus brillé offensivement que défensivement au cours du premier quart-temps. Il a ensuite confirmé son agressivité offensive, jusqu'à exploser dans le money-time (9 pts dans le 4e acte). Après plus d'un an, enfin le vrai Obasohan ?
SIMON. - 21'15" de tps de jeu ; 16 pts ; 6/9 aux tirs (67 %) ; 4 LF sur 9, 2 rbd, 1 bp, 2 int, 4 ftes. Éval : 11.
Pataud en début de match, il a entamé son oeuvre de destruction avec 3 fautes provoquées en 3 minutes (de la 9e' à la 11e'), hélas gâchées par un terrible 0/5 aux lancers. Il a remis l'ouvrage sur le métier après la pause, imposant son physique et se gavant des caviars de Giffa, Essart et Rush. Sans oublier un 4/4, cette fois, aux lancers.
LEWIN. - 28' de tps de jeu ; 7 pts ; 1/3 aux tirs (33 %) ; 5 LF sur 6, 6 rbd, 1 pd, 3 contres, 3 ftes. Éval : 14.
Sur la lancée de Dijon, on a eu peur qu'il veuille trop en faire. Ce qu'il ne sait pas. Puis il a remis le costume du travailleur dévoué qui lui sied si bien pour finir notamment par mettre dans sa poche le pauvre Folker, bâché par deux fois à la 33e' et sorti du match. A un moment donné, il a fait la décision.

R.Sa.

Repères - Le film du match

Rhenus Sport. 4950 spectateurs. Arbitres : MM. Bissang, Boué et Machabert. Quart-temps : 21-24, 18-17 (mi-temps : 39-41), 31-25 (70-66), 32-21 (102-87).
- SIG : 31 paniers sur 50 tirs (62 %), dont 7 sur 11 à trois points (64 %), 33 LF sur 41 (80 %), 22 rebonds (Lewin 6) dont 5 offensifs, 23 passes décisives (Rush 7), 10 interceptions, 12 balles perdues, 23 fautes. Darrigand 2, Rush 29, Obasohan 17, Giffa 6, Lewin 7, puis Mendy 3, Essart 13, Allen 9, Simon 16.
- CHOLET : 32 paniers sur 59 tirs (54 %), dont 6 sur 16 à trois points (38 %), 17 LF sur 27 (63 %), 29 rebonds (Wiggins 6) dont 13 offensifs, 14 passes décisives (Grier 6), 4 interceptions, 16 balles perdues, 32 fautes (Wiggins, 38e', et De Colo, 39e', éliminés. Mokongo 10, De Colo 12, Grier 15, Wiggins 16, Falker 5, puis Larrouquis 2, Beaubois 9, Seraphin 12, Leonard 4, Ho You Fat 2.
Wiggins et De Colo sévissent derrière l'arc, Mokongo les imite (8-13, 5e'). De Colo passe pour la deuxième fois la défense alsacienne en revue (11-20, 8e'). Rush rapproche la SIG qui se décide enfin à solliciter ses intérieurs. A une minute de la sirène, Falker écope coup sur coup de deux fautes. Pas négligeable peut-on alors penser car les solutions de rechange ne sont pas légion dans la peinture choletaise...
Fin du 1er quart : 21-24.
Seraphin fait mentir les mauvaises langues. Entré au relais de Falker, le jeune intérieur se montre à la hauteur (6 pts, 2 rbds en 2'50") et Cholet creuse l'écart (21-32, 13e'). Entre-temps, Simon a raté deux nouveaux lancers-francs et affiche, alors, un fâcheux 0/5 dans cet exercice. « CB » maintient son avance après un 2+1 de Wiggins (26-37, 16e'). La SIG tergiverse en attaque et s'en remet à des exploits individuels de Rush ou d'Essart pour revenir (32-37, 17e'). Essart - 8 pts à suivre - relance à lui seul son équipe (37-39, 19e').
Mi-temps : 39-41.
Simon égalise dès la reprise (41-41, 21e'). Giffa se réveille à son tour et un primé d'Allen replace la SIG aux commandes (49-48, 23e'). Kunter écope d'une technique, Mokongo prend sa 4e faute dans la foulée et les Strasbourgeois en profitent pour faire fructifier leur petit pécule (53-48, 23e'). Falker rétablit bien la parité (55-55, 26e'), mais Rush remet les gaz (62-55, 27e'). Au buzzer, Beaubois trouve le cercle à 7 m...
Fin du 3e quart : 70-66.
De Colo griffe dans le corner pour le dernier rapproché choletais (70-69, 31e'). La SIG se détache alors irrésistiblement. Lewin bâche par deux fois Falker et Obasohan provoque à bon escient (79-69, 34e'). Aux lancers, Lewin parachève un 18-2 pour la SIG (88-71, 36e') ! Avec un Rush éblouissant, la troupe de Fred Sarre pousse à 95-76 (38e'). La barre des 100 pts est franchie par Darrigand aux lancers et la SIG décroche, avec la manière, son premier succès domestique...
Score final : 102-87

R. Sch.


Ouest France du 02 novembre 2008

Basket-ball : Un quart-temps de trop pour Cholet

Strasbourg - Cholet : 102-87. Privé de Marquis, avec Falker diminué et surtout plombé par les fautes, Cholet n'a pu tenir la distance. Dommage : malgré ses handicaps, CB a fait plutôt bonne figure.

STRASBOURG (de notre envoyé spécial). Strasbourg courrait après son premier succès à domicile, Cholet après sa première victoire à l'extérieur. Le dernier mot est donc revenu aux Alsaciens hier soir. Il aurait tout aussi bien pu être à l'actif des joueurs du Maine-et-Loire, malgré Marquis resté dans les Mauges, et Falker qui jouait sur une jambe. CB avait en effet la place de passer, mais il dut faire face à une véritable douche de fautes, qui lui interdit d'espérer meilleur sort au final.

De fait, il n'y eut même pas de 4e quart-temps (18-3 pour Strasbourg entre la 30' et la 37'). Plombé par les fautes au cours d'un match où une partie du corps arbitral s'arrogea le rôle principal, Cholet arriva dans le dernier acte pieds et poings liés. Quelques chiffres étonnent d'ailleurs à la lecture de la feuille de stats, comme les 41 (!) lancers accordés aux Alsaciens, où encore la seule faute sifflée à Rush contre... 11 provoquées par le même joueur. A première vue, l'Américain, bien que très à l'aise sur un parquet, n'a pourtant rien d'un extra-terrestre... Et puis il y eut cette 23e minute de désolation pour Cholet où s'enchaînèrent la 3e faute de Wiggins, une faute technique contre Erman Kunter, la 4e faute de Mokongo et le passage de la SIG aux commandes du match (44-46, 22' puis 53-48, 23'). Elles ne les quitta plus.

Tout avait pourtant si bien commencé pour Cholet.

20 minutes d'espoir

Malgré son handicap initial dans la raquette, Cholet mit les Strasbourgeois sous pression, sans tarder. Il est vrai que l'équipe des Mauges asseyait alors sa domination au tableau d'affichage (8-13, 5') depuis la périphérie. En allumant la mèche derrière l'arc par Wiggins, De Colo et Mokongo, Cholet mettait ainsi le feu aux poudres. Strasbourg était sous le choc, incapable d'afficher ne serait-ce qu'un semblant de défense pour stopper la marche avant de ses visiteurs. Ce diable de De Colo profitait d'ailleurs de la moindre occasion pour placer une accélération et attaquer le panier alsacien. Dans cette course à sens unique, Cholet s'appuya bientôt sur un matelas confortable (11-20, 8'). Si douillet que la SIG faillit bien l'y endormir : en provoquant sans cesse la défense des Mauges, Strasbourg revint subrepticement dans le coup depuis la ligne des lancers (21-24, 10').

Séraphin assuma alors pleinement ses responsabilités. A l'origine du 6-0 choletais à l'entame du second quart, il imposa son physique dans la peinture alsacienne (21-30, 12') et Wiggins, encore, enfonçait le clou (26-37, 16'). C'est alors qu'Essart se rappela au bon souvenir de son ancien club pour recoller les Alsaciens aux basques choletaises (39-41 au repos).

20 autres de calvaire

Vint ensuite cette fameuse 23' minute. Elle inversa la dynamique de la rencontre où, pendant que Strasbourg montait en intensité défensive, Cholet suivait une courbe inverse. « Les joueurs commençaient à avoir peur de s'investir défensivement, sous peine d'être immédiatement sanctionnés, » souffla en substance Erman Kunter. Au buzzer du 3e quart, Beaubois, sur primé, laissait toutefois la porte ouverte à un exploit choletais (70-66, 30'). La 4e faute de Falker puis les 5es de Wiggins et De Colo ôtaient finalement tout espoir à Cholet. Hormis quelques relâchements défensifs, il n'a pourtant pas grand chose à se reprocher. Lui.

Christophe MAZOYER.

Strasbourg - Cholet : 102-87 (21-24, 18-17, 31-25, 32-21). Arbitre : MM. Bissang, Boué et Machabert. 4 950 spectateurs.

STRASBOURG : 31/50 aux tirs (62%) dont 7/11 à 3 points (64%), 33/41 aux lancers (80%), 22 rebonds, 23 passes décisives, 10 interceptions, 3 contres, 12 balles perdues, 23 fautes.

La marque : Rush, 29 points ; Darrigand, 2 ; Giffa, 6 ; Obasohan, 17 ; Lewin, 7 puis Mendy, 3 ; Essart, 13 ; Allen, 9 ; Simon, 16.

CHOLET : 32/59 aux tirs (54%) dont 6/16 à 3 points (38%), 17/27 aux lancers (63%), 29 rebonds, 14 passes, 4 interceptions, 0 contre, 16 balles perdues, 32 fautes.

La marque : Grier, 15 points ; Mokongo, 10 ; De Colo, 12 ; Falker, 5 ; Wiggins, 16 puis Larrouquis, 2 ; Beaubois, 9 ; Séraphin, 12 ; Léonard, 4 ; Ho You Fat, 2.

Ouest-France
rocky
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Message  françois Dim 2 Nov - 12:34

p'tit louis a écrit:On a pu lire il y a peu que la venue d'un renfort était conditionnée à une défaite ce soir contre cholet!! j'étais au rhénus ce soir,l'équipe avec un simon inexistant en 1ère mi-temps, a bcp souffert face à une équipe très handicapée... l'équipe a gagné,dans ces conditions là, je m'adresse à ceux qui ont vu la sig ballotée pdt 18mn,pensez vous vraiment qu'elle aurait fait de même devant cholet au complet ?
je frémis à l'idée d'une blessure d'un joueur majeur... et pourtant la Sig a les moyens de s'offrir un renfort,puisqu'elle envisageait un autre élément en cas de défaite...certes elle dispose d'un assez bon groupe,mais cela sera-t-il suffisant pour décrocher une place pour l'europe ? Je ne le crois pas!

si on continue avec ce groupe et donc 3 intérieurs on jouera au mieux le top7 mais pas plus haut.si on part du principe que mendy n'est qu'une rotation d'appoint(et c'est pas avec ce que j'ai vu soir qui va me faire changer d'avis),notre secteur intérieur est trop juste,il suffit que giffa ait par exemple 2 fautes rapides et on est obligé de jouer avec nos 2 pivots et c'est le poste4 de l'équipe adverse qui flambe..malheuresment notre cher tandem JR/JC ne l'entend pas de cette oreille...
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Message  rocky Dim 2 Nov - 18:57

Le résumé du match contre Cholet et les interviews sont en ligne.

http://www.alsatic.com/visio.php?emission=24&date=02/11/2008
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Message  rocky Lun 3 Nov - 8:30

DNA du 03 novembre 2008

Essart tient bon la barre

Son expérience avait été salutaire pour gérer la fin de match à Dijon. Contre Cholet, avant-hier, Steeve Essart a joué le rôle d'energizer au moment où la SIG piochait en attaque. Le Guyanais vient de donner à voir deux facettes aussi précieuses que complémentaires de sa panoplie.
Il n'a qu'un regret. Celui de ne pas avoir retrouvé son ami et « compatriote ». Blessé, Claude Marquis est en effet resté dans les Mauges ce week-end pour se refaire une santé. « J'aurais aimé le revoir, dit Steeve Essart. Et je suis vraiment désolé de ce qui lui arrive en ce moment. Mais bon, en même temps, ça a profité à Strasbourg... ». S'ajoutant à celle de Lee, l'absence de « Claudius » a forcément pesé, samedi, à l'heure des comptes (102-87).

« J'ai seulement essayé d'être un détonateur pour l'équipe »

Ce qui a, de même, pesé dans la balance avant-hier, c'est la capacité de Steeve Essart à remettre son équipe sur les rails lorsque celle-ci était malmenée. A 8-14 (5e'), le Guyanais, sitôt entré en jeu, plantait à 6,25 m pour éviter à la SIG d'être distancée. Juste avant la pause, il enquillait huit points de rang qui permettaient à la phalange alsacienne d'effacer une bonne partie de son retard.
Si le meneur de jeu strasbourgeois a ainsi pris ses responsabilités, c'est avant tout pour ôter un peu du poids qui pesait sur les épaules de ses partenaires, sur celles de Rush notamment. « Je voulais que Brion se sente aidé, explique Steeve Essart. En plus de monter la balle et de défendre dur, il fallait que j'ai un apport offensif pour le libérer ensuite. J'ai seulement essayé d'être un détonateur pour l'équipe ». La suite est venue valider cet effort et « Speedy » a pu laisser Gauthier Darrigand terminer le travail. « On est très complémentaires. Il a fait un gros boulot défensivement et délivré de bonnes passes pour finir le match ».
Avec 13 points en 24', trois rebonds, quatre passes et seulement une perte de balle « sur un drive », Steeve Essart a réussi son match le plus consistant de la saison, égalant sa meilleure évaluation de la saison dernière (18) au soir de cette cinquième journée. « Je suis venu avec beaucoup d'ambitions et d'envie de bien faire à Strasbourg, reprend le natif de Cayenne. Dès lors, je fais en sorte d'être en accord avec moi-même et de répondre aux attentes de Fred (Sarre) et du staff ».
A une semaine d'intervalle, l'ancien... Choletais - lors de la saison 2005/06 - a donc été doublement précieux. A Dijon, dans un tout autre contexte puisque la SIG avait alors déjà creusé l'écart, le métier d'Essart a permis d'éteindre les dernières flammèches bourguignonnes. Une nouvelle fois, l'intéressé refuse de tirer la couverture à lui. « C'est tellement plus simple de gérer un match quand tous les joueurs se sentent concernés. J'essaie seulement d'instaurer la sérénité nécessaire ».

« C'est facile de faire passer des messages, car ils sont tous à l'écoute »

Au sein d'un groupe très jeune, Steeve Essart, au même titre que Sacha Giffa, le compère des grandes heures de Levallois, fait presque figure d'ancien. A 30 ans, le « Cardiac Kid » a bien grandi et fait désormais profiter ses partenaires de son expérience. « C'est facile de faire passer des messages, car ils sont tous à l'écoute », rapporte celui qui, à l'aube de sa carrière, a recueilli les recommandations d'un monstre sacré, un certain Mous Sonko. « J'ai tenté de suivre ses conseils, à défaut de marcher dans ses traces sportives ».
Avec ce Steeve Essart-là à la barre, la SIG peut en tout cas espérer retrouver cette année des rivages à nouveau accueillants.

Régis Schneider


« Pas équilibré »

Un différentiel de neuf fautes à l'arrivée, 41 lancers-francs en faveur de la SIG contre 27 seulement pour Cholet, une pluie de coups de sifflet au début du troisième acte (3e faute de Wiggins, technique pour le coach, 4e de Mokongo) qui a pu concourir à faire basculer la rencontre en faveur des Alsaciens : la lecture de ces chiffres a mis Erman Kunter en colère samedi soir.
Et le technicien turc a fait part de son courroux lorsqu'il lui a fallu répondre aux sollicitations des médias. « Ce n'était pas un match très équilibré par rapport à l'arbitrage. Je ne me suis jamais plaint de ça en six ans en France et je ne me cacherai pas derrière ça. Mais tout de même, il y a des décisions qui, pour moi, n'ont pas été justes. On n'a pas fait un bon match, mais ce n'est pas non plus un match référence pour les arbitres ».

Le chiffre: 12

Comme le nombre de points inscrits par Nando De Colo avant-hier. Bien tenue par la défense alsacienne, la gâchette choletaise a terminé nettement en deçà de sa moyenne depuis le début de la saison (18,5 avant cette rencontre). Alors que les arrières adverses avaient eu tendance jusqu'alors à briller contre la SIG - 30 points pour Banks, 22 pour Spencer, 21 pour M'Baye -, les Strasbourgeois se sont bien relayés sur le MVP 2007/08 qui s'est éteint après un premier quart-temps correct (7 pts).

R. Sch.


20 Minutes du 03 novembre 2008

Victoire référence de la SIG

Grand sourire sur les visages strasbourgeois après la victoire face à Cholet (102-87), samedi soir au Rhénus. Une première à domicile, malgré un début de match poussif. « Notre réaction a été intéressante, avec de l'agressivité et de la percussion », note Frédéric Sarre, l'entraîneur strasbourgeois. Brion Rush, l'arrière américain, en a profité pour épater la galerie avec 29 points. « C'est une victoire référence. On a un beau collectif, lui a l'intelligence de jouer avec les autres », savoure Steeve Essart. Résultat, 13 points pour le meneur de la SIG, 17 points pour Obasohan et 16 pour Simon. Ce troisième succès permet au club strasbourgeois, 6e, de présenter un bilan positif après cinq journées de pro A.

D. F. - ©️2008 20 minutes


L'Alsace du 03 novembre 2008

Basket-ball La SIG à cent à l’heure

Malgré un début de match raté, les Strasbourgeois ont accéléré en deuxième mi-temps pour remporter leur première victoire de la saison au Rhénus, samedi soir contre Cholet (102-87). Enfin, la SIG confirme ses bonnes dispositions à domicile.

« Une victoire référence qui va vraiment nous faire du bien. Après une entame de match difficile, nous avons su revenir et rester concentrés pour tenir le rythme jusqu’à la fin » résume Steve Essart, le meneur du jeu strasbourgeois à l’issue de la première victoire à domicile de la SIG samedi soir face à Cholet. Pourtant, comme à Dijon la semaine passée, les Strasbourgeois ont réalisé un mauvais début de rencontre. Brouillonne, maladroite, stressée par l’enjeu, la SIG compte jusqu’à 11 points de retard au cœur du deuxième quart-temps (21-32, 13’). « En début de match, nous avons été étrangement absents. Sans agressivité, nous avons été mangés au rebond et dans le repli défensif, comme si mes joueurs avaient pris des somnifères » explique Frédéric Sarre, le coach alsacien. Mais après le repos, la rencontre change complètement de visage. Sous l’impulsion du capitaine Sacha Giffa (5 points en moins d’une minute) et de David Simon (10 points dans le 3e quart-temps), les Strasbourgeois passent devant à la marque après 22 minutes de jeu (49-48). « Nous pouvons avoir beaucoup de regrets car nous avons dominé pendant 25 minutes. Puis, nous avons manqué d’agressivité et de lucidité pour les empêcher de prendre le large » précise Rodrigue Beaubois, l’arrière choletais.

Obasohan incisif

Car Strasbourg prend le large grâce à un Brion Rush (29 points et 11 fautes provoquées) encore une fois impérial. Surtout, la SIG retrouve un jeu flamboyant. « Tout n’a pas été parfait dans ce match mais la réaction en seconde mi-temps est vraiment très intéressante. On a eu plus d’impact, d’agressivité, de jeu rapide et surtout on a pu trouver le secteur intérieur » souligne Frédéric Sarre. Dans le dernier quart-temps, la SIG trouve surtout un Derrick Obasohan en grande forme, auteur de 9 points en moins de 5 minutes (17 points en tout) qui a grandement contribué au 18-2 décisif infligé aux visiteurs. « Il a été capable de contenir Grier sur quelques situations, puis en attaque il a vraiment été décisif grâce à son agressivité et sa percussion » ajoute le coach. Les Strasbourgeois ont prouvé que leur collectif peut également être très performant. Samedi, tous les Alsaciens ont inscrit des points et quatre d’entre eux (Rush, Simon, Essart et Obasohan) sont passés au-dessus des 13 points. « Avant tout, c’est une victoire collective. Nous avons à cœur de prouver que nous ne sommes pas dépendants de Brion Rush et que tout le monde peut apporter le danger » explique Steve Essart, dont l’équipe a inscrit la bagatelle de 63 points en vingt minutes. Même si Frédéric Sarre regrette « un petit relâchement en fin de match », son équipe a livré une copie encourageante. Dorénavant sixième du classement, avec un bilan enfin positif de trois victoires pour deux défaites, la SIG semble bien lancée dans ce championnat. Mais la route qui mène aux play-offs est encore longue.

Olivier Arnal
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