Pro A, 13e j.: Bourg (5-8) 66 - 70 SIG (6-7): Victoire !!!

Il faut combien de temps généralement pour ce type de blessure?

Victoire importantissime pour la SIG !!!

Mais disons-le net : les défaites de Chalon à Orleans, de nancy à Paris et de Roanne contre Dijon ne nous arrangent pas du tout. Les trois éauipes victorieuses doivent êter considérées comme des concurrents directs et elles ont pris un gros bonus ce soir.
Du coup, on reste hors du top 8.

David67350 a écrit:Le probleme que la SIG rencontre maintenant c'est la sucession des blessures: Eidson, Sanders et maintenant Darrigand, qui vont provoquées la fatigue des "rescapés" (parce que avec 2 matchs par semaine et une moyenne de 30 a 35min par match ca use rapidement...). Vivement la trève de Noel pour soufflé un peu!

Oui, je suis d'accord.
Déjà ce soir : Marquis, Smith, McCord : 32 minutes. Cooper: 35 min. Pas bon, ça, d'autant que ce ne sont pas des jeunots, pour la plupart.

Comme des chefs
Privés de leur leader, les Strasbourgeois ont réagi comme des grands. Soudés en défense, conquérants et disciplinés en attaque, ils se sont donné la marge nécessaire pour éviter le retour de leur adversaire dans un antre où rien n'est jamais joué.
Dans cette salle de la JL Bourg d'un autre temps, la nouvelle a vite fait le tour. Tandis que ses coéquipiers s'échauffaient, Chuck Eidson rongeait bien son frein sur le banc alsacien. La faute à une cheville enflée et multicolore.
« It's horrible. » Inutile de traduire les sentiments d'impuissance et de frustration de celui qui a le basket dans la peau, à une demi-heure du coup d'envoi. Un crève-coeur. Mais ses coéquipiers l'ont vite rassuré, s'installant dans la partie avec engagement et sérénité, repoussant les assauts conjugués des Swift, Owens et Wilson.


Ceux dont on espérait
un surplus d'activité


« Je ne savais pas comment les gars allaient réagir en l'absence de celui qui est leur leader sur beaucoup de points, a avoué Éric Girard. Ils se sont montrés concentrés, disciplinés et à nouveau d'un bon niveau en défense. »
De quoi calmer dans un premier temps les ardeurs d'une salle où l'on bat des records de décibels, puis de s'offrir une belle marge. « Heureusement, car on sait ce qu'il advient ici d'un match qui se joue à un ou deux points », a soupiré le coach.
L'intérêt, c'est qu'à ce stade de la partie, en sus d'une défense de zone cousue main contrariant méchamment les shooteurs extérieurs adverses, ce sont ceux dont on espérait un surplus d'activité, pour compenser les pépins, qui ont fait le boulot, Mädrich et Smith en tête.
C'est que le chapitre des tuiles ne s'est pas résumé à l'absence de Chuck Eidson. Gauthier Darrigand s'est très vite donné une entorse à l'épaule. Aerick Sanders a quasiment été privé de seconde mi-temps par la patrouille.


« Physiquement, c'est
une belle performance »


Alors même si, comme à Clermont, il a fallu trembler dans les derniers instants, la SIG a tenu bon, grâce à cette marge qui lui a longtemps manquée et dont elle bénéficie désormais avec le regain de forme confirmé de Lonnie Cooper.
« Ce soir, on tient à sept joueurs malgré notre rythme de deux matches par semaine, se félicite Éric Girard. Physiquement, c'est une belle performance. » D'autant plus que Bourg-en-Bresse n'a pas manqué de répondant pour une formation qui vient à peine d'intégrer trois nouveaux joueurs.
« Nous obtenons ici une sorte de bonus, termine le technicien strasbourgeois. D'ici peu, cette équipe battra des équipes de notre calibre. » Autrement dit, des adversaires directs. Ce ne serait pas de refus, car vu le retard emmagasiné, la SIG a encore du chemin à faire pour rejoindre les cimes d'une Pro A qui n'en fini plus d'affoler les pronostiqueurs.
La SIG pouvait réussir hier soir un joli rapproché. La chute conjuguée des trois leaders, lâchant autant de points face à des formations de milieu de tableau, a quelque peu atténué la bonne affaire mathématique. Mais les Strasbourgeois ne pouvaient faire plus que remplir leur mission. Pas question de bouder son plaisir.



Rémy Sauer
Édition du Dim 3 déc. 2006


Le joker Mädrich crève l'écran

Un Claude Marquis longtemps énorme a mis la SIG, orchestrée par Cooper, sur orbite. Dirk Mädrich, avec une copie immaculée, a remarquablement relayé un Aerick Sanders criblé de fautes pour creuser un écart que les nerfs d'Afik Nissim ont su préserver.

COOPER. - 34'45" de temps de jeu ; 5 pts ; 2/8 aux tirs (25 %) dont 1/5 à trois points ; 5 rebonds, 8 passes décisives, 3 balles perdues, 2 interceptions, 1 fautes. Évaluation : 11.
Le meneur strasbourgeois n'a pas connu la réussite au tir, mais il a fait son boulot. A savoir mettre l'équipe dans le droit chemin, gâter ses hommes (8 passes) et ne pas rechigner à la tâche (8 passes, 2 interceptions et sa part de travail en défense, du début à la fin).

DARRIGAND. - 1'45" de tps de jeu ;1 pd, 1 bp, 1 int. Eval : 1.
Une épaule récalcitrante a mis le pauvre Gauthier hors combat après moins de deux minutes à cheval sur les deux premiers quart-temps. Le temps néanmoins de gagner une balle, dans la lignée de sa prestation combative devant le Besiktas, et d'offrir un caviar, avec la petite cuillère en argent, à Mädrich.

MARQUIS. - 33'15" de tps de jeu ; 17 pts ; 8/10 aux tirs (80 %) ; 1 LF sur 2, 4 rbds, 1 pd, 6 bp, 2 ftes. Eval : 16.
« Énorme, avec beaucoup de réalisme », a lâché Girard, qui ferme volontiers les yeux sur les 6 ballons égarés par son pivot. Avec un 13 d'évaluation dans le premier quart, certes parfaitement alimenté par les siens, il a posé les fondations du succès à venir.

SANDERS. - 20'30" de tps de jeu ; 3 pts ; 1/1 aux tirs (100 %) ; 1 LF sur 1, 4 rbds, 1 pd, 2 bp, 4 ftes. Eval : 6.
Pas de séquelle de l'hyperextension du coude subie la veille à l'entraînement. Dès lors, le guerrier de la SIG, version jeune, s'est jeté dans la bataille comme à son habitude, faisant un bien fou en défense. Enfin, tant que le corps arbitral l'a bien voulu.

SMITH. - 32' de tps de jeu ; 8 pts ; 3/7 aux tirs (43 %) dont 1/5 à 3 pts ; 1 LF sur 1, 7 rbds, 1 pd, 3 bp, 1 int, 2 ftes. Eval : 10.
« Les tirs qui se présentent, il doit les prendre, dit de lui Girard. S'il n'est pas en réussite mais assume sa part de travail, pourquoi le sortirais-je ? » Et voilà tout un match en résumé. Smith n'a de loin pas été parfait en attaque, mais ses 7 rebonds et son abattage en défense font de lui un homme indispensable.

NISSIM. - 26' de tps de jeu ; 16 pts ; 4/11 aux tirs (36 %) dont 2/6 à 3 pts ; 6 LF sur 7, 1 rbds, 1 pd, 2 bp, 2 ftes. Eval : 8.
Comme le plus souvent, il a connu des hauts et des bas offensivement. Mais il a enfoncé le clou à trois points dans le 3e quart puis, comme à Clermont, c'est lui qu'on a mis en situation pour planter, sans trembler, les lancers de la gagne. Enfin, c'est désormais établi, il défend au même titre que les autres.

McCORD. - 32'30" de tps de jeu ; 8 pts ; 4/7 aux tirs (57 %) ; 5 rbds, 2 bp, 2 int, 1 fte. Eval : 10.
« Il a fait du McCord en étant utilisé à toutes les sauces », admire Girard. Et, en effet, que ce soit à l'aile, au poste 4 ou en pivot, selon les besoins de l'équipe, McCord est égal à lui-même, sans concession, ne lâchant pas une miette, avec deux dunks au passage, pour le plaisir.

MADRICH. - 17'30" de tps de jeu ; 13 pts ; 5/5 aux tirs (100 %) dont 1/1 à 3 pts ; 2 LF sur 2, 3 rbds, 2 pd, 0 bp, 2 int, 5 ftes. Eval : 20.
Vu les circonstances, la SIG avait besoin de lui. Il a sacrément répondu présent en infligeant toute la panoplie au public burgien, enclin au départ à chahuter le « grand » de service. La SIG lui doit la marge qu'elle s'est offerte pour se mettre à l'abri, le tout à 100 % et sans la moindre balle perdue. Respect !

MENDY. - 1'45" de tps de jeu.
Un bref passage à la fin du 3e quart-temps après la 4e faute infligée à Sanders.



R.Sa.
Édition du Dim 3 déc. 2006

Chalon a fait un non-match et les orleanais en ont profitès bien joué votre victoire a Bourg.

Ca nous fait du bien. On est à présent 9e avec un bilan de 6-7. Notre prochain match sera au Rhénus face à Reims, le dernier. En conservant le même sérieux, on devrait être en mesure d'équilibrer notre bilan. Parmi nos concurrents, il y aura un Dijon-Paris, un Nancy-Pau, un Le Havre-Orléans ainsi qu'un Gravelines-Bourg, dont les résultats pourraient nous intéresser. Le top 8 est envisageable la semaine prochaine.

Vincent a écrit:Victoire importantissime pour la SIG !!!

Mais disons-le net : les défaites de Chalon à Orleans, de nancy à Paris et de Roanne contre Dijon ne nous arrangent pas du tout. Les trois éauipes victorieuses doivent êter considérées comme des concurrents directs et elles ont pris un gros bonus ce soir.
Du coup, on reste hors du top 8.

Mais non El Professor, faut pas dire ça. Effectivement le classement se nivèle un peu sans qu'il y est de gros changements mais.... c'est pas grave, les surprises vont continuer, et si on reste serieux on va revenir sur le groupe de tete.


Greg

Honnètement ce qui me préoccupe le plus actuellement... ce sont les durées d'indisponibilité pour Eidson, et Darrigand... en espérant que Sanders se porte bien en sachant qu'il n'est pas a 100%... cb de temps on pourra tenir ???? Y a t-il un medecin dans la salle ???

Tom a écrit:Honnètement ce qui me préoccupe le plus actuellement... ce sont les durées d'indisponibilité pour Eidson, et Darrigand... en espérant que Sanders se porte bien en sachant qu'il n'est pas a 100%... cb de temps on pourra tenir ???? Y a t-il un medecin dans la salle ???

Y'en a plusieurs, et ce qui fait la difference avec les petits clubs de pro A, c'est qu'ils sont la tous les jours en permanence. Pas de soucis de ce coté la... Eidson jouera certainement la semaine prochaine pour Darrigan c'est peut etre encore un peu plus complex. Sanders n'a joué que 17 minutes hier, donc ca devrait lui aussi lui permettre de souffler. En fait on a de la chance de ne rien avoir de grave a gerer!

Greg

Eidson a quand même une entorse à la cheville, je traîne la mienne depuis 1 mois à peu près (c'est le minimum pour que le ligament cicatrise)

Tout depend de ce que tu entends par entorse, cela peut aussi etre une grosse foulure et dans ce cas dure bien moins longtemps.
La tienne devait etre assez sympa j'imagine =p

Oue mais toi tu as pas eu le droit aux infiltrations et tout et tout

Xim a écrit:Tout depend de ce que tu entends par entorse, cela peut aussi etre une grosse foulure et dans ce cas dure bien moins longtemps.
La tienne devait etre assez sympa j'imagine =p

C'est en retombant d'un dunk 360 que Namele s'est fait mal

Jack a écrit:

Xim a écrit:Tout depend de ce que tu entends par entorse, cela peut aussi etre une grosse foulure et dans ce cas dure bien moins longtemps.
La tienne devait etre assez sympa j'imagine =p

C'est en retombant d'un dunk 360 que Namele s'est fait mal

Nan nan, les entorses du pouce sur PS2 ca compte pas

"Entorse" en soi ne veut rien dire. L'indisponibilité peut se compter en jour comme en semaine en fonction de la gravité.

Moi on m'a dit 4 semaines alors qu'il n'y a ni fracture ni problème avec le ligament...
Bob pas mal
Mais j'ai kiné 2 fois/semaine, avec pas mal de choses speciales (lampes "rouge", electro...), donc faut voir ce qu'il a effectivement
Mmm dunk 360....oui presque:geek:

Namele a écrit:Moi on m'a dit 4 semaines alors qu'il n'y a ni fracture ni problème avec le ligament...
Bob pas mal
Mais j'ai kiné 2 fois/semaine, avec pas mal de choses speciales (lampes "rouge", electro...), donc faut voir ce qu'il a effectivement
Mmm dunk 360....oui presque:geek:

lampe rouge c'est du laser non ?
ça permet de traiter un peu plus directement je crois ...

Je pense qu'il va jouer samedi prochain contre Reims, la sig va surment ne pas prendre de risque mardi.

Moi j'avais plusieurs fois des entorses aux chevilles et j'avais à chaque foi 2 semaines sans sport mais avec les médecins et les kinés ça devait aller plus vite pour Chuck. En plus je l'ai vu à Bourg hier et il ne boittait pas c'est déjà un bon signe...

En plus la rencontre de mardi est loin d'être capitale !

Si on gagne ce sera un gros bonus, et bon pour le moral...Dans le cas contraire, il faudra penser au match de samedi, bien plus important sur le plan comptable !

Il était au bord de la cacophonie. Pourtant, il connaît la musique. En huit jours, Lonnie Cooper a fait siennes la baguette et les partitions. Pour (re)devenir le chef d'orchestre respecté qu'il doit être, il a su se remettre en cause. Mais pas que lui.



En trois sorties, Lonnie Cooper a réduit les critiques au silence. Trois prestations au cours desquelles il a imprimé le tempo nécessaire. Une de régulation devant Gravelines, une de gala face au Besiktas et une en serrant les rangs à Bourg où les circonstances le dictaient.
Voici dix jours encore, on en était à scruter les tribunes du Rhenus Sport, au cas où son remplaçant éventuel s'y fondait. Il se disait que le président Jérôme Christ avait depuis un moment perdu patience.
Cooper coupé, comme le veut bizarrement le jargon ? Une sérieuse mise au point a évité ce scénario dommageable et perturbant qui rebutait le staff strasbourgeois, dans la nuit suivant une énième fade composition à Belgrade,

« On me demandait d'être le leader. Je veux bien, mais... »

« Je n'ai jamais rencontré le président, témoigne l'ex-Palois à propos de cette phase de turbulence. Mais j'ai longuement discuté avec le manager Jérôme Rosenstiehl et surtout Éric Girard. Les entrevues avec le coach ont été très enrichissantes. J'ai changé des choses. Lui aussi. On a gagné deux matches de 20 points. Ce n'est pas un hasard. »
Pour l'Américain, les torts étaient partagés. « On me demande d'être le leader, je veux bien. Mais si le ballon ne passe pas par le leader ? Le souci était tactique. Physiquement, j'étais bien depuis deux semaines au moins. »
Chacun a revu ses notes. Les violons ont été accordés. Et voilà que la SIG, dans son ensemble, joue juste. Plus un trio ou un quartette, mais l'orchestre, avec la ferme intention d'achever ses symphonies.
Certes, Cooper ne flambe pas forcément sous les projecteurs. Mais on ne lui en demande pas tant. En Chuck Eidson, la SIG dispose de son homme-orchestre, capable de tout faire dans tous les domaines.
Certes, le bruit sourd de l'anneau, plutôt que la douce caresse du panier accompagne encore trop ses tentatives (2/8 dans l'Ain). Mais c'est le maestro plus que le soliste dont la SIG a besoin. Un chef d'orchestre qui donne le "la", tantôt avec la rigueur du métronome, tantôt avec virtuosité, à l'image de ses passes laser qui avaient quitté son registre ou de ce service en aveugle pour Marquis, à Bourg.
Éric Girard allait dans ce sens en jaugeant sa prestation samedi. « Il donne huit passes, prend cinq rebonds et termine avec 11 d'évaluation. Lorsqu'il est au-dessus de 10 (16 et 14 pour les deux fois d'avant), nous gagnons. » C'est qu'il a fait joué les autres, en harmonie.

« Délicat de lire que l'équipe perd à cause de vous »

Aujourd'hui, Cooper est soulagé. « C'était difficile mentalement. C'est toujours délicat de lire dans la presse que l'équipe perd à cause de vous. Mais je ne suis pas du genre à baisser la tête. »
Non, il préfère voir devant, loin devant. « La saison est longue. Croyez-moi, ceux qui sont devant maintenant ne le seront pas forcément à la fin. Nous avons toujours nos chances. Nous avons appris de nos défaites. Cela nous servira. »
A la faveur d'une victoire à Bourg, il se voyait à une longueur de la 5e place et se rapprocher de cette Semaine des As qui, pour Éric Girard, reste à ce stade accessoire. « Pour nous les joueurs, c'est un objectif. On peut, on veut y être. De la manière dont nous avons battu Gravelines et le Besiktas, je nous sens capables de tout, y compris de gagner à Villeurbanne avant la trêve. »
Et c'est vrai, parti comme c'est, pour être à Nancy mi-février, il faudra peut-être signer un 4/4 d'ici la fin du cycle aller. Mais désormais, plus rien ne fait peur à Lonnie Cooper. En place, maestro !

Rémy Sauer

(www.dna.fr)

Bien qu'amoindris à Bourg, les Strasbourgeois ont su enchaîner une deuxième victoire d'affilée en Pro A (66-70). La 2e depuis le début de saison à l'extérieur. La SIG se rapproche d'un bilan équilibré (6 victoires, 7 défaites). Avec la belle production face au Besiktas Istanbul (91-72) dans l'intervalle en Coupe Uleb, elle confirme ainsi sa montée en régime.

« Le point positif, c'est que l'on a été constant, se réjouit le coach, Eric Girard, dont l'équipe a fait la course en tête en 2e période. Les joueurs ont été très concentrés en défense. Même si on a perdu un peu trop de ballons [19], ceux à qui on a fait appel ont répondu à nos attentes. » On relèvera parmi les individualités mises en lumière un Dirk Mädrich remarquable, avec 13 points à 100 % en moins de vingt minutes pour une évaluation de 20, tandis que Cooper, Marquis et McCord se révélaient solides au poste.

Toujours 10e au classement, la SIG peut néanmoins s'inquiéter de l'état de son infirmerie. L'ailier Chuck Eidson, victime d'une grosse entorse à la cheville, n'a pas joué samedi et sera ménagé au moins jusqu'au prochain week-end. Le cas de Gauthier Darrigand est plus embêtant. Le meneur, peut-être touché au ligament ou au bourrelet de l'épaule, pourrait devoir se soigner pendant de longues semaines.
Fr. N.


©2006 20 minutes

Si Darrigand est absent pour qq semaines peut être pourra-t-on revoir Stanley Jackson...

Fort possible...

Nissim pourrait se décaler en 1, et Stanley irait occuper le poste 2 avec Smith. Pour moi, ca se tient, il faudrait juste que l'absence de Darrigand soit d'au moins 3 semaines...

Jack a écrit:Fort possible...

Nissim pourrait se décaler en 1, et Stanley irait occuper le poste 2 avec Smith. Pour moi, ca se tient, il faudrait juste que l'absence de Darrigand soit d'au moins 3 semaines...

J'y crois pas une seconde! Autant j'adorais Stanley la saison dernière, autant je me dis que si on a pas le fric pour signer Dirk a long terme je vois pas comment on peut prendre Stanley en joker médical meme avec le fric de l'assurance.

En plus la solution Nissim en 1 ne me convient pas! Il va falloir faire avec, c'est sur, mais bon en deux c'est pas la ou ca manque le plus de monde!

Je vois pas trop l'interet d'essayer d'intégrer Stanley a ce groupe pour quoi... 3 semaines?

Greg