PRO A 7ème Journée : Strasbourg IG 81- ASVEL 86....

de retour du rhénus, énervé comme toujours...
en 1ère mi-temps:un festival:
_des arbitres(marchers,fautes,portés de balles oubliés...)
_de foirest dans tous les ens du terme(il excelle autant dans l'art du shoot que dans celui du trucage)
_de allen(je sais pas si c'est sa nouvelle coupe) mais il nous a porté comme jamais.malheuresment en seconde il a eu droit à un traitement de faveur qui l'a rendu inexistant
en seconde mi-temps,c'est serré puis en début de 4ème quart l'asvel fait le trou.malgré tout on revient avec un giffa tout retrouvé(en attaque, en défense,il s'est battu comme un mort de faim),et j'ai cru qu'on les aurait,surtout quand rush a mis son unique 3pts qui a fait lever le rhénus,mais quand sy a mis son 3pts à 34sec j'ai compris que c'était terminé.
sinon essart n'a rien à envier à jeanneau mais darrigand je prefère pas en parler.rob s'est battu comme toujours,simon était pas mal dans le 3ème quart puis il a perdu quelques ballons précieux(il a un peu subit physiquement),rush était dereglé(des shoots ouverts comme difficile).

sinon j'ai pas compris pourquoi cambell est sortit sur civière à moment donné.

Jack a écrit:Encore une défaite avec une "éval" meilleure que celle de nos adversaires ?!

Pas tout à fait non :
- ASVEL => 102
- SIG => 92

Moi je suis énormément par Simon qui, je trouve à beaucoup de mal à sauter...
Giffa était pas mal, mais je penses qu'il faudrait quand même un autre 4, sinon le reste de la saison va être long...

simbad88 a écrit:Moi je suis énormément par Simon qui, je trouve à beaucoup de mal à sauter...
Giffa était pas mal, mais je penses qu'il faudrait quand même un autre 4, sinon le reste de la saison va être long...

Rob Lewin a fait un bon match contre nous et puis plus rien. Et Simon pas terrible alors ?

Le soir au Rush est moins bien, vous avez du mal, c'est assez logique.

J'aurais aimé que vous tapiez l'asvel.... dommage !!

De retour aussi, et franchement si l'ASVEL est encore en vie à la fin du 3 ème 1/4 temps, c'est grâce aux arbitres (Foirest peut courir sur le terrain la balle dans le slip, personne ne sifflera marché incroyable.

A la fin du 1er 1/4 tps, déjà ils étaient conspués (Le Rhénus mou mou était déjà réveillé, c'est dire), et quand je vois l'arbitre "crâne rasé" sortir du terrain à la mi-temps et narquant le public qui le conspuait d'un large sourire provoquateur, je me dis, lui et ses compères il va nous enterré (Mission réussie).

Le 3ème se pousuit sur le même rythme
Dans le 4ème l'ASVEL n'a plus eu besoin d'eux (un peu quand même), après sur le match, Rush passe au travers, l'ASVEL met des énormes shoots mais dans l'ensemble c'est très positif, Giffa, Allen, Obasohan, reste qu' encore une fois on se enfler dans le money-time à cause de mauvais choix, eux rentrent leurs shoots et c'est basta.

baloncesto a écrit:

simbad88 a écrit:Moi je suis énormément par Simon qui, je trouve à beaucoup de mal à sauter...
Giffa était pas mal, mais je penses qu'il faudrait quand même un autre 4, sinon le reste de la saison va être long...

Rob Lewin a fait un bon match contre nous et puis plus rien. Et Simon pas terrible alors ?

Le soir au Rush est moins bien, vous avez du mal, c'est assez logique.

J'aurais aimé que vous tapiez l'asvel.... dommage !!

Disons plutôt que Rob a joué le match de sa saison contre vous. Pour le reste, il joue à son niveau avec, en gros 6 pts et 8 rbds à chaque rencontre. Le plus préoccupant, c'est que Simon n'est pas assez dominant.

moi a écrit:

baloncesto a écrit:

simbad88 a écrit:Moi je suis énormément par Simon qui, je trouve à beaucoup de mal à sauter...
Giffa était pas mal, mais je penses qu'il faudrait quand même un autre 4, sinon le reste de la saison va être long...

Rob Lewin a fait un bon match contre nous et puis plus rien. Et Simon pas terrible alors ?

Le soir au Rush est moins bien, vous avez du mal, c'est assez logique.

J'aurais aimé que vous tapiez l'asvel.... dommage !!

Disons plutôt que Rob a joué le match de sa saison contre vous. Pour le reste, il joue à son niveau avec, en gros 6 pts et 8 rbds à chaque rencontre. Le plus préoccupant, c'est que Simon n'est pas assez dominant.

Simon est pas un pivot dominant, vous auriez du nous le demander. Je plaisante car nous cette année il va falloir faire avec Zeb Cope en 5 car on a pris Sanders pour remplacer Oden (notre fantomatique 5).

Tout ça pour dire si tu as la chance d'avoir suivi parce que mon message tient pas vraiment la route qu'on a laissé partir Simon jugé trop léger pour se retrouver avec un problème identique l'année suivante...

Contre nous, des joueurs font des cartons le dernier en date Nichols.

Quant à vous, vous avez quand même Rush, vous pouvez espérer les playoffs, nous, il faudrait un petit miracle !

J'ai l'impression que depuis deux matchs, les défenses adverses savent mieux prendre Rush et s'en méfient beaucoup plus...
A mon avis il faudra que le danger vienne d'autre part, parce que Rush va être de mieux en mieux muselé...

Je propose Marcus Slaughter...qui serait une véritable 3è menace offensive. Quel physique et quelle envie en plus. Car à part Rush et Allen, je ne vois pas qui pourrait passer les 20 points(Simon met vraiment du temps à s'affirmer...)... Nissim...soupir...

Et pour remplacer Darrigand, je verrais bien Brion Rush ou John Allen remonter le ballon par séquence. Outre le fait que cela ne me dérange aucunement de voir Essart passer 30 minutes sur le terrain. Il est sobre et sérieux, vraiment une bonne surprise ce gars.

DNA du 16 novembre 2008

La SIG s'incline face à l'ASVEL (81-86)

Des flèches assassines

Au coude à coude avec l'ASVEL à l'entame de la dernière minute (76-76), la SIG a été crucifiée par un énième panier primé, signé Amara Sy. Hier soir au Rhenus, les Villeurbannais ont forgé leur succès sur leur insolente réussite au-delà des 6,25 m, à l'image d'un Ben Dewar ressuscité dans cet exercice.
John Allen a changé de tête. S'il ne donne pas encore dans les excentricités capillaires d'un Marc Salyers, l'ailier américain de la SIG arbore à présent une crête du plus bel effet. Mais ni son nouveau look iroquois, ni ses 17 points en première période n'ont suffi, hier soir, à la SIG pour s'offrir le scalp de l'ASVEL.
Au coude à coude avec les Villeurbannais à l'entame de la dernière minute (76-76), les Strasbourgeois ont été transpercés par une énième flèche primée décochée derrière l'arc par Amara Sy. « L'Amiral » s'est d'ailleurs occupé de tout en fin de match, scorant dans le corner à 34" du gong final (76-79), avant de contrer Brion Rush sur la possession suivante et de convertir ses deux lancers.

« Ce qui nous tue, c'est la performance de leurs shooteurs »

En plus de museler l'arrière strasbourgeois, crédité de 12 points seulement à 4/20 aux shoots, l'ailier de la « Green Team » a donc forcé la décision. « Ce soir, ça a été moi, contre Roanne vendredi prochain, ce sera peut-être quelqu'un d'autre. Si c'est encore moi, tant mieux, mais cette équipe a été construite pour que tout le monde puisse faire la différence », souligne l'intéressé.
Le panier primé décisif inscrit par le Franco-Malien est en tout cas symbolique de l'insolente adresse des Verts à trois points ce samedi, à l'image d'un Ben Dewar retrouvé dans cet exercice. Fâché avec son shoot primé avant ce déplacement en Alsace - 6/28, à 21% -, l'ex-Orléanais a fait feu de tout bois au Rhenus, pour finir à 5/8.
Lors des deux premiers quart-temps, c'est Laurent Foirest, sur la lancée de son festival face à Chalon/Saône, qui a permis aux visiteurs de rester au contact. Et au coup de sifflet final, l'ASVEL compile un gaillard 12 sur 24 à 6,25 m. « Ce qui nous tue, c'est la performance de leurs shooteurs, reconnaît Fred Sarre. C'est tombé de partout ».
Dommage car la SIG a affiché un visage franchement convaincant en première mi-temps et plutôt plaisant durant toute la rencontre. « Il était fondamental de ne pas faire dans l'a-peu-près. Les garçons ont globalement répondu présent », poursuit Fred Sarre. « C'est une victoire précieuse, acquise contre une équipe qui a fait un match vraiment plein et nous a posé beaucoup de problèmes. Il a vraiment fallu aller la chercher », relève pour sa part Vincent Collet.
Dominée au cours des vingt minutes initiales, l'ASVEL a ainsi pu s'estimer heureuse de ne compter que quatre points de débours à la pause. « Strasbourg nous a repoussés sans cesse. Ils avaient fait le boulot pour nous distancer davantage », admet le technicien rhodanien.

Le travail de sape des géants verts a fini par payer.

Avec un repli défensif bien plus efficient, Villeurbanne a resserré les boulons au rebond en seconde période. Et le travail de sape des géants verts a fini par user et donc par payer. « On manque d'impact à l'intérieur, regrette coach Sarre. On est couvert athlétiquement et quand on y va en un contre un au pivot, on n'obtient pas toujours la faute ou le panier ». La SIG n'a ainsi pris que neuf tirs intérieurs après les citrons pour deux réussites. La différence s'est aussi faite-là.
A l'arrivée, John Allen et les Strasbourgeois concèdent donc leur quatrième défaite de la saison sur un écart de cinq points ou moins. De quoi définitivement s'arracher les cheveux...

Régis Schneider

Le malaise de Campbell

Éric Campbell a été contraint de sortir du terrain à cinq minutes de la fin, en proie à des difficultés respiratoires. L'intérieur villeurbannais, qui souffrait de la gorge avant le coup d'envoi, s'est allongé à côté du banc avant d'être pris en charge par l'équipe médicale du Rhenus. Évacué sur une civière, placé sous oxygène, le joueur a été examiné par le Dr Sarbacher, médecin-référent de la SIG, et devait passer un électrocardiogramme de contrôle dans la foulée. Plus de peur que de mal a priori pour le n°13 de l'ASVEL.


Allen dans tous ses états

En dépit de quelques difficultés à arrêter ses vis-à-vis, l'ailier américain a été le détonateur du jeu strasbourgeois. Comme face à Orléans, en vain.
RUSH. - 33'30 de temps de jeu ; 12 pts ; 4/20 aux tirs (20 %), dont 1/10 à 3 pts ; 3 LF sur 5, 4 rebonds, 3 passes décisives, 3 interceptions, 1 faute. Évaluation : 4.
Il faudra s'y faire. L'ancien meilleur marqueur de la Pro A est désormais surveillé comme le lait sur le feu. Collet, le coach d'en face, lui a réservé l'une de ses spécialités, une forme d'isolement qui empêche les coéquipiers de lui donner le ballon. Dès lors, l'ancien de Roanne a eu tendance à forcer et à galvauder des occasions de prendre le large. La Winchester de première classe est enrayée et le jeu de la SIG doit, au moins en partie, s'en affranchir. A l'heure de jouer les dernières chances de revenir, Rush les a toutes forcées et ratées.
DARRIGAND. - 11'15 de tps de jeu ; 2 pts ; 0/1 aux tirs ; 2 LF sur 2, 3 rbd, 4 pd, 3 bp, 3 fte. Éval : 6.
Dans le cinq de départ, il a longtemps dû se contenter des cinq premières minutes pour patienter. Le Dacquois avait été l'auteur d'une entrée en matière correcte, mais terne. Relancé dans le 4e quart temps, il a paru déconnecté du match et ininspiré.
ESSART. - 28'45 de tps de jeu ; 10 pts ; 3/5 aux tirs (60 %) dont 2/4 à 3 pts (50 %) ; 1 LF sur 1, 4 rbd, 3 pd, 2 bp, 1 int. 4 fte. Éval : 14.
Numéro un au poste de numéro un, l'ex-Gravelinois a tiré son épingle du jeu, inscrivant ses paniers quand l'ASVEL tentait de se rapprocher. Il aurait pu être l'homme du « money time » en provoquant l'antisportive de Troutman. Il enchaînait toutefois sur un ballon dans les tribunes.
ALLEN. - 27'45 de tps de jeu ; 17 pts ; 7/11 aux tirs (64 %) dont 1/2 à 3 pts ; 2 LF sur 2, 5 rbd, 4 pd, 1 bp, 1 int, 2 fte. Éval : 22.
Rush de plus en plus ciblé, le transfuge de la Bundesliga doit prendre plus de responsabilités. Hier, auteur d'une première mi-temps époustouflante, il y a d'abord parfaitement réussi. Reste que les ailes rhodaniennes sont d'envergure et Foirest, Sy ou Dewar lui ont parfois shooté sur la tête. Un peu moins tranchant après la pause, il a réussi une partie de haut niveau. Comme face à Orléans, sur un match conclu sur une défaite.
GIFFA. - 36' de tps de jeu ; 12 pts ; 4/10 aux tirs (40 %) dont 1/3 à 3 pts ; 3LF sur 3, 5 rbd, 3 pd, 3 bp, 1 int, 4 fte. Éval : 12.
Il y a d'abord eu de quoi faire la fine bouche, avec un « Shaker » apparaissant comme le point faible de la SIG quand le jeu de cette dernière se montrait bien huilé. Mais quand il s'est agi de sortir ses tripes pour réparer l'éclat, l'international est revenu en première ligne pour rallumer la flamme.
OBASOHAN. - 18'45 de tps de jeu ; 11 pt ; 3/4 aux tirs (75 %), dont 3 sur 3 à 3 points ; 2LF sur 2, 2, 2 rbd, 2, fte. Éval : 12.
Entre les postes 3 et 4 où il est partagé, l'ancien de l'aile doit d'abord se contenter de miettes. Il en a fait un petit plat plutôt digeste, même si un petit temps d'adaptation est toujours préjudiciable à son rendement. A gagné son temps de jeu à force de l'utiliser avec efficacité.
SIMON. - 26' de tps de jeu ; 11 pts ; 4/9 aux tirs (44 %) ; 6 rbd, 1 bp, 1 int, 4 fte. Éval : 11.
Dans la guerre de positions pour la raquette, le pivot américain a filoché dur et le jeu intérieur strasbourgeois a plutôt fait bonne figure hier. Toutefois, Simon a plié dans la dernière ligne droite et semblé perdre de la lucidité quand le match s'est joué.
LEWIN. - 18' de tps de jeu ; 6 pts ; 1/3 aux tirs (33 %) ; 4 LF sur 6, 7 rbd, 1 pd, 1 bp, 1 int, 1 ctre, 5 fte. Éval : 11.
Au relais de Simon, il a assuré un bel effort dans la maîtrise des géants verts. Son inefficacité offensive demeure une limite rédhibitoire pour jouer un rôle phare face à une équipe carénée comme l'ASVEL.

Fr.N.

Le film du match

SIG 81 - ASVEL 86
Rhenus Sport. 4050 spectateurs. Arbitres : MM. Conderanne, Guedin et Antiphon. Quart-temps : 24-19, 22-23 (mi-temps : 46-42), 14-17 (60-59), 21-27 (81-86).
- SIG : 26 paniers sur 63 tirs (41 %), dont 8 sur 22 à trois points (36 %), 21 LF sur 26 (81 %), 37 rebonds (Lewin 7) dont 14 offensifs, 18 passes décisives (Darrigand 4), 8 interceptions, 10 balles perdues, 25 fautes (Lewin, 39e', éliminé). Darrigand 2, Rush 12, Allen 17, Giffa 12, Simon 11, puis Essart 10, Obasohan 11, Lewin 6.
- ASVEL : 26 paniers sur 56 tirs (46 %), dont 12 sur 24 à trois points (50 %), 22 LF sur 28 (79 %), 36 rebonds (Traoré 9) dont 12 offensifs, 19 passes décisives (Eïto 4), 6 interceptions, 12 balles perdues, 26 fautes. Reynolds 5, Sy 17, Foirest 18, Campbell 6, Traoré 14, puis Troutman 7, Jeanneau 4, Dewar 15, Eïto.
Quatre points, une passe dans la course de Rush : Allen est de tous les bons coups en début de rencontre (6-7, 3e'). Un panier primé de l'ailier US place pour la première fois la SIG aux commandes (11-9, 5e'). Foirest sévit pour la 2e fois à longue distance, mais la belle activité de Giffa et un Allen saignant (13 pts, 15 d'évaluation dans ce quart) permettent aux Strasbourgeois de maintenir la cadence : 17-12 (6e'), puis 23-16 (e') après la 2e interception de Rush.
Fin du 1er quart : 24-19.
Foirest, par deux fois, et Dewar allument à 6,25 m ; l'ASVEL vient de shooter à 6/9 derrière l'arc (28-30, 15e'). Essart et Obasohan claquent à leur tour de loin (34-30, 16e'). La SIG reste sous la menace de Dewar, ressuscité à trois points (38-37, 18e') avant d'écoper de sa 3e faute. Les coups de sifflet du trio en gris laissent franchement perplexes et valent à Sy d'égaliser aux lancers-francs (42-42) à 50" de la pause. Le dernier mot reste à Allen et Rush, bien servi par Essart.
Mi-temps : 46-42.
La réussite villeurbannaise à trois points ne se tarit pas. Dans le corner, Sy dégaine victorieusement à deux reprises ((48-50, 23e'). La troupe de Vincent Collet en est alors à 9 paniers en 14 tirs (64%) ! Le tandem Essart - Simon remet la SIG dans le sens de la marche (55-50, 25e'). Traoré abat un gros chantier, Dewar poursuit son récital et Jeanneau réduit l'écart à sa portion congrue...
Fin du 3e quart : 60-59.
Alors qu'il tournait à 21 % à 6,25m avant ce match, Dewar inscrit son 5e panier primé de la rencontre en sept tentatives ! Troutman conclut un 0-13 pour l'ASVEL (60-67, 32e'). Obasohan et Giffa remettent les compteurs à zéro à l'entame du money-time (69-69, 35e'). Après sept échecs en périphérie, Rush trouve enfin la mire (72-69, 37e'). Traoré égalise aux lancers (76-76) à 1'15" du terme. Sy griffe à trois points (76-79) à 34" du buzzer de fin, puis contre Rush. La SIG ne s'en remettra pas...

Code:

 Fin du match : 81-86

.

R. Sch.


L'Alsace du 16 novembre 2008

Basket-ball : la SIG peut s’en vouloir

Au terme d’une rencontre âpre, la SIG s’est inclinée de justesse face à Villeurbanne (81-86) hier soir au Rhénus. Une cruelle désillusion pour les Strasbourgeois qui ont une nouvelle fois dominé le match.

Il reste 34 secondes au chronomètre lorsqu’Amara Sy dégaine une nouvelle fois à trois points sous les yeux du banc strasbourgeois. Comme un symbole, le longiligne ailier villeurbannais vient de donner un avantage décisif à son équipe (76-79) sur un tir à longue distance. La SIG ne reviendra pas. « Nous avons fait un match correct face à une grosse armada du championnat mais une nouvelle fois, les garçons n’arrivent pas à conclure en fin de rencontre » souligne Frédéric Sarre, l’entraîneur strasbourgeois très déçu. Après les courtes défaites face à Orléans et Le Mans, la SIG s’incline encore une fois de peu sur son terrain après avoir globalement maîtrisé les débats. Au cours d’un premier quart temps très disputé, la SIG prend les devants grâce notamment à un John Allen en pleine réussite qui inscrit 13 des 24 points de son équipe et une étonnante domination aux rebonds (13 contre 6). Mais grâce à un Laurent Foirest intenable -14 points et 4/6 à trois points à la pause- les Villeurbannais recollent rapidement au début du deuxième quart temps. En signant un trois sur quatre derrière la ligne, l’ailier villeurbannais Benjamin Dewar permet même à l’ASVEL de reprendre l’avantage. Mais Essart puis Obasohan lui répondent dans la foulée. Avec un Brion Rush retrouvé en fin de mi-temps, les Strasbourgeois rentrent aux vestiaires nantis de quatre points d’avance (46-42). Toujours dominateurs aux rebonds (21-15), les locaux pèchent à longue distance avec un petit 3/12 contre un 7/11 pour Villeurbanne.
À la reprise, Strasbourg poursuit sur sa lancée sans parvenir à creuser l’écart. Avec Ben Dewar toujours présent à trois points et le réveil d’Amary Sy, auteur de 6 pts et 4 rbds dans ce troisième quart temps, Villeurbanne revient à un point (60-59). « Nous avons eu un peu de chance pour gagner ce match. Mais on ne s’est jamais affolé lorsque la SIG a mené au score et on a su trouver les ressources nécessaires pour renverser le cours du match » explique Amara Sy, le bourreau des Alsaciens avec 17 points et 12 rebonds. Plus agressif à la reprise du match, Villeurbanne signe un 8-0 en moins de deux minutes (60-67). Heureusement, Obasohan puis Giffa retrouvent l’adresse à trois points et la SIG ne se laisse pas détacher (35e, 69-69). À l’entame de la dernière minute, les deux équipes se retrouvaient donc toujours à égalité (76-76) suite à une nouvelle égalisation du Villeurbannais Traoré. La suite, malheureusement, on la connaît. La réussite insolente des visiteurs à trois points (12/24) a raison de la bonne volonté alsacienne. Avec cette défaite, les Strasbourgeois sont loin de la tête du classement. « Pour nous, l’enjeu est de remporter nos deux prochains matchs face au Havre et Pau pour se repositionner » espère Frédéric Sarre. Une double mission dans les cordes des Alsaciens. S’ils parviennent à tenir un match durant quarante minutes.

Olivier Arnal

D'accord avec les autres spectareurs au rhenus,darrigand pathetique,simon insuffisant par rapport à l'ogre annoncé,en réalité un bon gros nounours,essart le meilleur avec l' Allen fraiche des 20 premières minutes,ensuite broyé comme rush par un traitement spécial collet et ses géants,sacha des hauts et des bas avec sa grande spécialité:faute dès les 1ères sec et tjs inutile,rob uniquement en defense,derrick pas mal et bcp de bonne volonté et l'asvel vraiment une grosse machine avec Sy et Traoré superbes batailleurs et foirest et dewar,quels scoreurs à 3pts! les moins bons,les 2meneurs dont aymeric!

Je trouve que les constats laissés sur le forum sont un peu dur, à vrai dire j'aime beaucoup cette équipe de la sig qui nous offre à chaques matchs du beau spectacle (contrairement à l'année drenière), malheureusement une nouvelle défaite sur un petit écart mais il faut la relativiser, en effet Sy, Foirest et dewar cumulent 58 d'éval, cela ne leurs aient jamais arrivée cette saison et je ne pense pas que cela se reproduira de si tôt (surtout 3 shoots à 3 pts dans une mi-temps pour Sy), d'un autre côté Rush est à 4/20 aux tirs et on ne meurt qu'à 5 petite unitée, c'est certe rageant mais des points positifs sont à retenir comme par exemple rester dans le match sans "rushdépendance"...
Par contre je vous suis dans le fait que Darrigant n'est vraiment pas au niveau de la pro A (le 13-0 encaissé alors qu'il est sur le parquet) et qu'effectivement un joueur suppémentaire ne serait pas du luxe quand on voit Essart (qui fait un trés bon match) faire une passe dans les tribunes dans le money-time c'est plus du à la fatigue qu'à autre chose...
Bref une victoire hier soir aurait pu véritablement lancer la saison de nos sigman, espérons que cette nouvelle défaite de peu n'entache pas la bonne ambiance qu'il semble y avoir dans le groupe et que (comme la saison passée) les joueurs ne tentent pas de sauver l'équipe de manière individuelle... Réponse contre Pau la semaine prochaine...

Se faire trouer le cul sur un 3pt d'amara sy ca fait mal...Je me dis que si on avait eu les mondiaux 2010 on aurait rapeller Foirest en EDF, tout le parcours au rhenus et hop on serait champion parce que ce mec ne sait que shooter ici
Sinon, je trouve que Rush est quand meme un peu jeune pour etre le go to guy, il force trop de tirs. D'ailleurs pourquoi ne pas plus utilisé Obasohan qui me semble etre le mec le plus fiable a 6m25??
Je suis pas trop d'accord avec les propos sur Simon, le mec a rarement ete servit, je trouve qu'il a vraiment de quoi etre dominant physiquement et avec un bon shoot a 5m.
Gauthier, faut faire attention, s'il joue pas plus il va bientot mener une nouvelle fronde contre Sarre cette fois
Essart vraiment pas mal, Giffa a fait du Giffa, Allen fabuleux en premiere mi temps.

Enorme le rhenus qui jette des petits trucs aux arbitres a la mitemps
D'ailleurs pourquoi les arbitres empreintent le meme couloir que les visiteurs?

Il nous faut vraiment signer un 4, preter Elson, j'ai un peu mal au coeur pour lui, je me demande vraiment a quoi ça sert de le garder.
Enfin, il nous manque un petit quelque chose pour devenir competitif mais j'aime bien cette équipe.

Essart joue vraiment juste, c'est plaisant. Par contre Darrigand n'apporte rien et c'est rageant! On ne va pas relancer la polémique mais j'ai du mal à comprendre comment on a pu faire confiance à un gars qui enchaîne les mauvaises perfs depuis 3ans?

Il manque clairement une menace offensive dans la raquette. Simon n'arrive pas à trouver des positions et devait se contenter, hier soir, de shooter à 4-5 mètres. Lewin défendait le fer contre Troutman mais est inexistant de l'autre côté du terrain. Enfin Sacha se content de shooter extérieur au lieu de venir secouer les cocotiers dessous. Quant à Obasohan, en 4, c'est du bricolage. L'engagement d'un intérieur le replacerait sur l'aile et permettrait ainsi à Rush de souffler plutôt que de forcer ses shoots.

L'équipe tourne bien et il ne manque pas grand chose pour gagner. Espérons que ces défaites n'entraînent pas de spirale négative.

yannickos a écrit:
Je suis pas trop d'accord avec les propos sur Simon, le mec a rarement ete servit, je trouve qu'il a vraiment de quoi etre dominant physiquement et avec un bon shoot a 5m.

Il nous faut vraiment signer un 4, preter Elson, j'ai un peu mal au coeur pour lui, je me demande vraiment a quoi ça sert de le garder.
Enfin, il nous manque un petit quelque chose pour devenir competitif mais j'aime bien cette équipe.

Simon semble frustré d'être si peu servi et que le jeu offensif ne ce passe qu'en périphérie avec depuis le début de saison un nombre incalculable de shoot Avé Maria pris à la toute dernière seconde du à cela.

Pour Elson je suis 100% d'accord depuis 3 saisons son temps de jeu et son rôle est identique, il a eu de très bonnes stats en espoirs mais n'a jamais réussi à concrétiser en Pro, alors pourquoi n'avoir pas signé ce joueur sur 2/3 ans et le prêter dès la 1ère saison à un club de Pro B comme le font beaucoup de club de Pro A pour que leurs jeunes apprennent ce qu'est le niveau pro et progressent dans les meilleurs conditions possibles afin d'être performants à cours ou moyen terme.

Quand après les défaites on lit toujours qu'en fin de matche les joueurs ont manqués de lucidités du à un manque de fraicheur et que l'ont manque aussi d'impact à l'intérieur.
Le besoin d'un 4 supplémentaire est plus que flagrant ce que demandait d'ailleurs Sarre depuis le début de saison, les dirigeants avaient alors déclarés que 9 Pro suffisaient vu que le club ne jouait pas de coupe d'europe malheureusement depuis le début de saison ce manque est plus que flagrant tout le monde l'a remarqué surtout ici et l'effectif ne compte vraiment que 8 pros vu que Mendy tiens le rôle d'un espoir.

http://alsace.france3.fr/info/48639184-fr.php

Résumé du match et interviews

http://www.alsatic.com/visio.php?emission=24&date=16/11/2008

Pour le renfort, Sarre a l'air très clair.... rien du tout....

mick a écrit:Résumé du match et interviews

http://www.alsatic.com/visio.php?emission=24&date=16/11/2008

Pour le renfort, Sarre a l'air très clair.... rien du tout....

c'est quand meme incroyable!il dresse pourtant le même constat que nous à savoir qu'on finit carbonisé à la fin et qu'on n'a plus la lucidité pour l'emporter.même jeanneau dit que on est cours au niveau des rotations et qu'on arrive pas à varier notre jeu en seconde mi-temps fautes de rotations!

DNA du 17 novembre 2008

Basket-ball / Après la défaite de la SIG face à l'ASVEL (81-86)

Comme un air de déjà-vu

Les défaites frustrantes succèdent aux revers rageants. Samedi, la SIG s'est à nouveau inclinée sur le fil, face à l'ASVEL cette fois (81-86), à l'issue d'un match qu'elle a globalement dominé. En plus d'aviver les regrets, l'incapacité chronique des Strasbourgeois à plier les rencontres finit fatalement par poser question.
L'ASVEL a eu chaud. Mais l'ASVEL a gagné. Et à l'heure des bilans, au quart du championnat donc et à mi-parcours de la Semaine des As, seul le résultat fait loi. « On fait un match correct, mais on ne va pas au bout. Il nous a manqué la maîtrise des dernières minutes », relevait Frédéric Sarre au coup de sifflet final. Une déclaration qui résonne comme une éloquente synthèse des maux strasbourgeois du moment.

Une précision frisant l'indécence

Rudoyée en première période, la « Green Team » de Vincent Collet a su trouver, samedi, les ressources nécessaires pour emporter la décision. Moins dispendieuse que de coutume - 12 balles perdues contre près de 18 avant cette rencontre -, l'écurie rhodanienne a surtout réussi son meilleur match de la saison en termes d'adresse, un constat qui ne peut qu'attiser les regrets dans le camp strasbourgeois
Au Rhenus, les snipers villeurbannais ont fait mouche avec une précision frisant l'indécence (12 sur 24 à 6,25 m). Les quatre paniers primés de l'indémodable Laurent Foirest ont permis aux visiteurs de limiter la casse à la pause, la patte retrouvée de Ben Dewar et d'Amara Sy a ensuite privé la SIG d'un succès qu'elle s'était pourtant échinée à bâtir avec conviction. « On était averti que Foirest était très fort en ce moment, regrettait, à chaud, Steeve Essart. Dommage qu'on n'ait pas pu contrôler le match car, dans l'ensemble, on montre des choses intéressantes ».
Ce matin, il subsiste donc une impression tenace de déjà-vu, un agaçant sentiment de sempiternel recommencement. Depuis le début de la saison, la SIG offre en effet un spectacle attrayant, s'appuie sur un jeu bien léché, mais ne parvient pas à plier ces rencontres qu'elle a si bien ficelées. Le scénario de ses sorties face au Mans ou à Besançon s'est répété samedi dans d'assez déconcertantes proportions. « On refait les mêmes erreurs et on n'arrive pas à finir les matches », ne pouvait que constater Steeve Essart, le visage marqué.
Après s'être inclinés de cinq points face à Orléans (75-80), sur le même écart face au MSB (64-69) et de deux unités à Besançon (74-72), les hommes de Frédéric Sarre ont persisté dans leurs fâcheuses habitudes ce week-end. Galvaudant plusieurs occasions de creuser un écart plus conséquent en fin de troisième quart-temps, les Alsaciens ont une nouvelle fois mal négocié le money time pour échouer à cinq longueurs, un écart décidément récurrent, de leurs hôtes (81-86).
Steeve Essart, en grand seigneur, a tenu à endosser une partie des responsabilités. « Peut-être que je n'annonce pas les systèmes qu'il faut pour tuer le match », avançait le Guyanais. La parole est auguste, mais la répétition de ces revers ne saurait être imputée au dépositaire du jeu strasbourgeois dont le coup de poignet salvateur derrière l'arc a aussi, par deux fois avant-hier, replacé la SIG aux commandes alors que l'ASVEL venait de faire l'effort.

« Cadrer notre effort dans le temps »

Au chapitre des individualités, l'incapacité de Brion Rush a être, ces temps-ci, l'indispensable go to guy doit aussi alimenter la réflexion (lire également notre encadré). Tout comme l'utilisation par intermittence de Derrick Obasohan au poste quatre, ce qui, par ricochet, laisse la porte ouverte à un éventuel débat concernant le recrutement d'un intérieur de métier supplémentaire.
Dans les vestiaires du Wacken, Frédéric Sarre, lui, a préféré dépersonnaliser le jugement. « Soit on est trop court pour jouer contre des équipes qui maîtrisent leur basket, soit on donne tout ce qu'on a et il nous manque quelque chose à la fin. A moins que ce ne soit un peu des deux ». Le stratège strasbourgeois esquissait en tout cas un début de remède pour en finir avec les gueules de bois dominicales. « Il faut absolument qu'on soit capable de cadrer notre effort dans le temps ».
Le générique de fin ne pourra que s'en trouver bonifié.

Régis Schneider


Brion s'est éteint

Douze points à Besançon, à 5 sur 15 aux shoots, douze points face à l'ASVEL, à 4 sur 20 aux tirs : Brion Rush, étincelant en début de saison, s'est éteint. Ciblé par les défenses adverses, l'arrière strasbourgeois connaît une période de disette offensive. « Ça fait deux matches qu'il passe au travers, admet Fred Sarre. Mais il demeure intéressant de par sa qualité de contrôle, de dribble ». L'ancien Roannais a forcé pas mal de shoots avant-hier. « A lui de faire en sorte de ne pas tirer la couverture à lui, ajoute son coach, mais je ne suis pas inquiet car ce n'est pas le genre du garçon. A nous aussi d'être capables de jouer sans lui ».


L'Alsace du 17 novembre 2008

Basket-ball La SIG se sent frustrée

Battus de peu par l’ASVEL (81-86) après avoir dominé la rencontre, les Strasbourgeois ne sont pas parvenus à valider leur bonne performance de samedi soir par une victoire. Une issue malheureusement récurrente pour la SIG en ce début de saison.

Encore une fois, les basketteurs strasbourgeois sont battus sur le fil par un favori du championnat après avoir livré une prestation de très bon niveau, mais malheureusement incomplète pour parvenir à remporter une deuxième victoire dans leur salle. « On fait un match très correct mais la problématique est que l’on ne va pas au bout. Soit l’équipe est trop courte pour jouer face à des équipes de ce niveau-là, soit il nous manque seulement un petit quelque chose pour faire basculer un match » tente d’expliquer Frédéric Sarre, l’entraîneur strasbourgeois. Pourtant, la SIG n’a jamais été aussi près de faire tomber l’ogre villeurbannais qui a semblé plier sans jamais rompre grâce à une insolente réussite à trois points. Le scénario de cette quatrième défaite de la saison est identique aux trois premières : la SIG domine, prend le match en main mais ne parvient pas à se mettre à l’abri. Puis en fin match, les basketteurs alsaciens perdent inexplicablement des ballons et font les mauvais choix en attaque. « Cette défaite est agaçante car nous avons fait ce qu’il fallait pendant une grande partie du match. Malheureusement, on n’a pas été capable d’appuyer là où il faut pour conclure notre domination » poursuit Steve Essart, le meneur de jeu strasbourgeois.
Pour Frédéric Sarre, difficile de reprocher quelque chose à ses joueurs sur l’état d’esprit. « Je pense que les garçons ont fait le match que j’attendais d’eux. » Insuffisant toutefois pour contrer les shooteurs villeurbannais qui s’en sont donnés à cœur joie sur le parquet du Rhénus.

Place à la Coupe de France

En première période, Laurent Foirest (18 pts et 4/8 à 3 pts) et Ben Dewar (15 pts et 5/8 à 3 pts) assurent le show avant de laisser la place à Amara Sy (17 pts et 3/6 à 3 pts) en fin de match. « Effectivement, nous n’avons pas été capables de tenir les shooteurs villeurbannais. Pourtant le coach nous avait prévenus qu’ils pouvaient être très forts » constate Steve Essart. L’autre clé de la rencontre se situait à l’intérieur. Bien en place en première mi-temps, la SIG domine aux rebonds (21 contre 15) avec une bonne réussite aux tirs de 53 % à 8 sur 15. Après la pause, la tendance s’inverse puisque même si Strasbourg remporte d’un rien le match des rebonds (37/36), les Alsaciens n’ont plus trouvé de solution à l’intérieur avec seulement 2 petits paniers inscrits sur 9 tirs tentés. La faute à une défense villeurbannaise retrouvée et à un manque de réussite de Brion Rush. Le meilleur marqueur du championnat a été de nouveau en difficulté avec seulement 12 points inscrits -comme à Besançon- mais surtout un 1 sur 10 à trois points. Malgré les 17 points de John Allen, la SIG a besoin de son arrière américain pour faire la différence face à des formations du calibre de l’ASVEL. « Cela fait deux matchs où il passe un peu à travers mais il demeure un joueur très important pour nous, même si on doit en effet être capable d’apprendre à jouer sans lui » souligne le coach. Après l’intermède Coupe de France demain soir à Longwy, la SIG se déplace vendredi au Havre pour un match qu’il faudra absolument gagner pour ne pas se laisser décrocher irrémédiablement de la tête du classement.

Olivier Arnal

Rush et Allen ont certainement subit un traitement de faveur de la part de l'ASVEL mais on aurait pu en faire autant dans ce cas avec Foirest et Sy. Déjà Le Mans nous a crucifié chez nous à 3 pts en fin de match donc ça commence à bien faire. En face en fin de match, ça défend comme des morts de faim et ils ne laissent aucune place à des shoots à 3 pts. De notre côté on laisse Sy seul dans le coin à 35 sec de la fin.

Il fallait défendre comme des fous pour tenir les secondes restantes. Idem contre Le Mans.
C'est sûr que tout ne se joue pas en dernière minutes mais bon quand même c'est frustrant...

Un peu désabusé depuis le match de Besançon (voire avant, mais je ne vais pas raviver les souvenirs de l'an passé ! ). On sait très bien :

-qu'on a bâti notre équipe sur des paris autour de quelques ricains et que dès que l'un est bien pris ou passe à travers, le reste lâche

-que, sauf effondrement, les dirigeants ne lâcheront jamais leur bas de laine pour acquérir l'intérieur qui nous manque

-que, par conséquent, notre équipe, quoique jouant bien, quoique séduisante, n'a pas la longueur de banc ni les grands joueurs d'expérience pour remporter un match serré

-et qu'on continuera donc à se battre pour la 8e place des PO, jusqu'à la fin de la saison. Je ne vois pas de solution à court terme.

Bref, si on voit à la 35e que la SIG n'a pas 10 pts d'avance, pas la peine de s'énerver, c'est perdu.

En parlant de renfort intérieur, d'après une info venue d'Allemagne Marcus Slaughter a quitter aujourd'hui Bremerhaven pour rejoindre un club français.

Il y a-t-il un petit espoir que ce soit pour la SIG?

En tout cas il connait déjà le championnat, Essart et le Rhénus lui qui était venu 2 fois la saison dernière une fois avec Jérusalem et plus tard dans la saison avec Gravelines.

John White a écrit:En parlant de renfort intérieur, d'après une info venue d'Allemagne Marcus Slaughter a quitter aujourd'hui Bremerhaven pour rejoindre un club français.

Il y a-t-il un petit espoir que ce soit pour la SIG?

Il va atterrir à Pau le pigiste de Duncan est attendu sous peu!

boon a écrit:

John White a écrit:En parlant de renfort intérieur, d'après une info venue d'Allemagne Marcus Slaughter a quitter aujourd'hui Bremerhaven pour rejoindre un club français.

Il y a-t-il un petit espoir que ce soit pour la SIG?

Il va atterrir à Pau le pigiste de Duncan est attendu sous peu!

Non, non : le pigiste de Duncan est un... meneur ! D. Horton, déjà vu, en bien, sous les couleurs de Hyères. Le poste 1 était en effet le plus pressant, paraît-il.

L'intérieur qui arrivera à Pau ne sera donc ni joker, ni pigiste médical. C'est à dire que cela sera l'unique exception permise par le règlement : un chômeur inscrit depuis au moins 45 jours aux ASSEDICS. Je ne crois pas que ce soit le cas de Slaughter
Plus sérieusement, on parle de Demba Mbengue.

Vincent a écrit:
-et qu'on continuera donc à se battre pour la 8e place des PO, jusqu'à la fin de la saison. Je ne vois pas de solution à court terme.

Et à long terme?...