PRO A : 14ème journée : Paris-Levallois - SIG

DNA du 07 janvier 2010

Avant PL - SIG, samedi (20h)

Paris à nouveau magique

Adversaire de la SIG samedi, le Paris-Levallois vient de s'imposer à Roanne, ce qu'aucune équipe n'était parvenue à faire cette saison. Emmené par la révélation A.D. Vassallo, le promu francilien est toujours en course pour la Semaine des As.
PERF. - Le Paris-Levallois a créé la sensation de la 13e journée, samedi dernier, en s'imposant (71-84) sur le parquet de Roanne. La Chorale était invaincue cette saison à domicile et restait même sur dix succès de rang dans sa Halle Vacheresse, toutes compétitions confondues. Les hommes de Jean-Marc Dupraz ont compté jusqu'à 27 longueurs d'avance (44-71, 29e'), sur les ailes d'un excellent Lamont Hamilton (19 points, 11 rebonds, 28 d'évaluation), et ont su faire preuve de sang-froid dans le dernier acte.
AS. - Avec ce succès à Roanne, le promu francilien, qui a aussi pu compter sur une doublette Ball - Albicy efficiente à trois points (4 sur , est toujours en course pour la Semaine des As. A priori, quatre équipes - le PL, Hyères-Toulon, Orléans et Vichy - devraient se disputer les deux tickets encore à attribuer. Le Orléans - Paris-Levallois de la dernière journée aller pourrait être décisif.
VASSALLO. - Le rookie Angel Daniel Vassallo est sans conteste l'une des révélations de la Pro A cette saison. Le récent «All Star» de Bercy n'a donc pas mis bien longtemps à justifier son probant cursus universitaire - il a notamment terminé 5e meilleur scoreur de l'histoire de la fac de Virginia Tech.
Deuxième réalisateur de Pro A (19,3 pts de moyenne), derrière Derrick Obasohan, 7e à l'évaluation (17,6), l'ailier international portoricain est d'une précision diabolique sur la ligne des lancers-francs (48 sur 53, à 90,5 %, 3e réussite de la Ligue) - il a d'ailleurs été décisif dans cet exercice lors du succès à Villeurbanne - et n'est pas manchot derrière l'arc (43,75%).
« A.D. » a la capacité de dégainer vite et, parfois, de très loin. Attention, cet homme est dangereux.
ANCIEN(S). - Le site du Paris-Levallois consacre un long article à Sacha Giffa, « l'enfant du pays » et un ancien de la maison. Le natif de Moscou a évolué quatre saisons à Levallois (1995-99) et a participé à la montée du club dans l'élite lors de la saison 1997-98. Pour l'anecdote, c'est lors de sa dernière saison à Levallois que le « Shaker », joueur de devoir en premier lieu, a signé sa meilleure performance offensive (10,8 pts/match).
Outre Sacha Giffa, il y aura deux autres anciens de la glorieuse époque des « Cardiac Kids » - champions de Pro B en 1998 et finalistes de la Coupe de France contre Cholet sous la houlette de Ron Stewart - sur le parquet de Marcel-Cerdan après-demain : Steeve Essart pour la SIG et Wilfrid Aka, l'actuel capitaine parisien.

R. Sch.

J'essaierai d'y aller. Un adversaire pas invincible car bien inconstant, mais qui sort d'un match autrement plus probant que le nôtre.

Et puis, ce serait dommage de manquer l'occasion d'admirer une fois de plus un des plus beaux shooteurs du championnat, l'extraordinaire Vassallo !

DNA du 08 janvier 2010

Basket-ball / Avant Paris-Levallois - SIG, demain (20h)

Le gardien du temple

Chouchou du public, Michel Jean Baptiste Adolphe, le costaud de la raquette parisienne, est plus que satisfait du comportement de son équipe, promue parmi l'élite à l'issue de la saison dernière. Son travail à l'intérieur est assurément à l'origine du bon comportement de l'escouade francilienne.
Il y a deux ans, Paris-Levallois quittait l'élite du basket français après une saison qui avait très vite tourné au tragique. Le PBR venait alors de fusionner avec Levallois, Antoine Rigaudeau était promu manager et le président Essar Gabriel ambitionnait de faire de Paris-Levallois un grand d'Europe.
En descendant en Pro B, le club a perdu son côté parisien pour revenir aux valeurs de la formation périphérique. Un esprit que les dirigeants ont voulu conserver en remontant au niveau supérieur.

Une fidélité qui fait de lui le chouchou du public

Depuis 2006, Michel Jean Baptiste Adolphe (MJBA) a essuyé les revers et autres déconvenues sans sourciller ou presque. A 30 ans - il vient de les avoir-, cette force de la nature fait partie des pièces maîtresses du club francilien.
« J'ai le niveau pour jouer en Pro A ou plutôt, j'ai toujours le niveau, raconte-t-il. Je me le prouve à moi-même et j'aimerais évidemment être parmi les meilleurs intérieurs du championnat de France. » Du haut de ses 2,05 m, le Martiniquais s'est hissé parmi l'élite, est tombé, puis remonté. Une fidélité qui fait de lui le chouchou du public.
Cette reconnaissance populaire, il l'accueille avec beaucoup de philosophie. « Je donne le meilleur à chaque match et ça fait longtemps que je suis à Paris. J'ai traversé les problèmes, la descente et j'ai rebondi. Ce n'est pas toujours facile pour un club de revenir au plus haut niveau ».
La formation francilienne a fait bien plus que revenir puisqu'elle s'est payée le luxe de bousculer la hiérarchie en place. Elle a fait douter Nancy et Cholet, battu l'ASVEL, Hyères-Toulon et Roanne.
Une réussite que MJBA, qui a débuté sa carrière à Liévin (Nationale 1), attribue au collectif. « Au début, cela n'a pas été évident de revenir dans l'élite mais on a gardé la même dynamique que l'on avait en Pro B, confie l'homme aux quatre prénoms. Le groupe est à 80% le même que l'an dernier, mais nous avons corrigé les erreurs du passé. Il y a deux ans, la mayonnaise n'avait pas pris. Là, nous avons appris à nous connaître, nous sommes une bande de copains. Il y a beaucoup d'entraide entre nous sur le terrain et en dehors. J'ai vu passer beaucoup de joueurs, mais je trouve que ce groupe est vraiment intéressant ».

«L'appétit vient en mangeant»

Intéressant au point d'envisager mieux que de simplement rester parmi les meilleurs. « L'objectif, c'est le maintien et nous pouvons nous appuyer sur notre défense qui est notre force, rappelle Michel Jean-Baptiste Adolphe, physique d'intimidateur et crème de joueur, Mais l'appétit vient en mangeant et j'espère qu'on ira le plus loin possible. Si l'on peut viser les play-offs, on ne s'en privera pas, on va pas faire la fine bouche ».
Mais avant les play-offs, il y a « les As » et Paris-Levallois est en ballottage favorable pour valider son ticket. « Contre Strasbourg, ce sera un match difficile parce que, eux comme nous, avons besoin de résultats. Ensuite, on joue Orléans. Il faudra gagner au moins l'une des deux rencontres. Cela dit, s'imposer à domicile, c'est toujours mieux ».
Il n'y a rien de tel en effet lorsqu'on on veut s'attirer les faveurs du public.

Guylaine Gavroy

Etant sur Paris ce weekend, je vais me rendre au match. Passer de la Q à la salle Marcel Cerdan ne sera pas facile mais j'essayerai de faire un petit résumé !

DNA du 09 janvier 2010

Basket-ball / Paris-Levallois - SIG, ce soir (20 h)

Des vertus capitales

Toujours à la recherche d'un premier succès cette année, la SIG aborde dans ses petits souliers son déplacement, ce soir, sur le parquet du Paris-Levallois, plus que jamais en course pour les As. S'ils ne se décident pas à faire preuve de davantage de constance, les Strasbourgeois s'exposent inévitablement à une nouvelle déconvenue.
D'une Tour Eiffel à l'autre. Quatre jours après leur très ennuyeuse défaite face aux « Towers » de Den Bosch (70-74) en Eurochallenge, un revers qui compromet leurs chances de qualification pour le deuxième tour de l'épreuve, les Strasbourgeois retrouvent la Pro A à l'occasion de ce déplacement sur le parquet du Paris-Levallois.
Cette virée dans la capitale n'a toutefois rien d'une excursion touristique et ne sera pas davantage une partie de plaisir. La formation parisienne avance avec « confiance et une certaine certitude dans son basket », relève Frédéric Sarre, et vient de s'imposer à Roanne (71-84), pourtant « démoniaque dans sa salle » depuis le début de la saison. Autant de paramètres qui inspirent le respect et la méfiance.

« Les joueurs ont une volonté, quelque chose qui les fait avancer ensemble »

Le promu francilien n'a, aujourd'hui, de promu plus que le nom et brigue une place à la Semaine des As. Et cette réussite n'est pas usurpée. « Ils sont très consistants dans leur jeu, ont pas mal d'arguments et jouent de manière cohérente, observe l'entraîneur strasbourgeois. Les joueurs ont une ambition, une volonté, quelque chose qui les fait avancer ensemble, le coach a mis son empreinte sur le jeu et, à l'arrivée, tout ça est plutôt bien ficelé ».
Avec A.D. Vassallo, la formation de Jean-Marc Dupraz dispose d'un formidable shooteur dans ses rangs. Mais, comme le souligne Fred Sarre, « il y a, autour de lui, un paquet de joueurs qui amènent ». En disant cela, le stratège de la SIG pense notamment au secteur intérieur du PL. Lamont Hamilton vient de dominer Uche Nsonwu, Rodney Elliott fait preuve d'« une maturité absolue », Michel Jean-Baptiste Adophe s'engage sans retenue et LaQuan Prowell a des bâtons de dynamite à la place des mollets.
Pour qui a en mémoire les difficultés récurrentes des intérieurs strasbourgeois à se faire respecter, la perspective de se coltiner l'une des raquettes les plus denses de la Ligue n'est pas pour rassurer. Avec, en prime, un Jimmall Ball décisif à Vacheresse et « des remplaçants qui jouent leur rôle », l'ensemble parisien paraît effectivement bien difficile à manoeuvrer.

« Quand il y a un grain de sable, au lieu de nettoyer, on remet de la terre »

Si elle veut imiter Nancy, Le Mans et Vichy, les trois tombeurs du PL dans sa salle cette année, la SIG devra être exemplaire, afficher consistance et surtout constance. Le refrain est seriné depuis le début de la saison, mais les récentes productions contre Gravelines et Den Bosch sont venues en rappeler le caractère prégnant. « On est une équipe bipolaire, constate Fred Sarre. On peut commencer très bien ou très mal, finir très bien ou très mal. On a une vraie difficulté à stabiliser le niveau de jeu, c'est terrible ».
Cette insoutenable légèreté des êtres, cette propension à la frivolité et à la versatilité voient les Strasbourgeois « alterner des situations super bien jouées et de grosses catastrophes ». Non seulement « le même cinq fait parfois des trucs très bien, puis des trucs de m... », mais le collectif alsacien a de surcroît une fâcheuse tendance à perdre les pédales sans le moindre signe avant-coureur. « Quand il y a un grain de sable, au lieu de nettoyer les engrenages, on remet de la terre », ajoute le coach.
« Dureté, intensité, engagement » : Fred Sarre liste donc, pour la énième fois, les « incontournables », les « fondamentaux » que ses hommes devront garder à l'esprit s'ils veulent tenir tête à leurs hôtes. A Paris, peut-être plus qu'ailleurs, ces vertus-là seront capitales.

Régis Schneider


Bobos sans gravité

Anthony Roberson a été contraint d'écourter la séance d'hier matin en raison d'une douleur au mollet droit. Pris en charge par Pierrick Ortscheit, l'ostéopathe du club, l'arrière américain tiendra sa place à Levallois. Ben Mc Cauley (dos bloqué), Steeve Essart et Thomas Heurtel (gastro) ont été ménagés à des degrés divers ces derniers jours, mais ils seront également sur le pont.


Sacha Giffa

« Un match très spécial »

Il retrouve, ce soir, le club de ses jeunes années. Sacha Giffa ne sera pas le moins motivé des Strasbourgeois.
Il revient dans le « 9-2 » avec plaisir. Comme les autres « Parisiens » (Mendy, Soumahoro) de l'effectif alsacien d'ailleurs. « On voudra faire un bon match là-bas. »
A Levallois, Sacha Giffa a appris les bases. Symboles de la formation à la française, les « Cardiac Kids » (Essart, Masingue, NKembe...) ont aujourd'hui bien grandi, bien réussi aussi. « Tu as toujours envie de prouver que tu es devenu un homme lorsque tu reviens au bercail », sourit le « Shaker ».
La réussite actuelle du club de son coeur ne le surprend pas outre mesure. « Paris-Levallois a bien construit. Il y a du talent, avec Vassallo, et des postes quatre intéressants, des athlètes et des mecs qui défendent. C'est physique, harmonieux et cohérent. »
Le fidèle du Quai 54 a encore en travers de la gorge les revers « frustrants » contre Gravelines et Den Bosch. A Marcel-Cerdan, ce soir, Sacha Giffa a donc « très envie de faire un truc ». « C'est un match très très spécial et je prendrai plaisir à le gagner en portant le maillot strasbourgeois. »

R. Sch.


Le Parisien.fr

Paris-Levallois concentré

Auteur de 3 succès en quatre journées et désormais 6e avec Hyères-Toulon et Orléans à deux journées de la phase aller, le Paris- Levallois peut, en cas de victoire contre Strasbourg, effectuer un pas important pour la Semaine des As. Une compétition où s’affronteront mi-février les 7 premiers de la phase aller plus l’organisateur, Villeurbanne.

« Honnêtement, le plus important, c’est le maintien, assure le directeur sportif, Ron Stewart. Notre objectif est de prendre le plus de victoires le plus rapidement possible… mais si on peut se qualifier pour la semaine des As, ce sera forcément un plus. »
Le promu, qui vient d’infliger à Roanne son premier revers à domicile, se présente au complet.


L'Alsace du 09 janvier 2010

SIG : un rendez-vous capital

Les hommes de Frédéric Sarre se rendent ce soir (20 h) à Paris-Levallois pour tenter d’obtenir un premier succès en 2010. Pour vivre une deuxième partie de championnat moins stressante, les Strasbourgeois n’ont pas le choix : ils doivent s’imposer face à un promu en grande forme.
Dans un championnat, il y a des rendez-vous à ne pas manquer. Un déplacement chez un promu, en l’occurrence le Paris-Levallois, en est un. Pourtant, les Strasbourgeois n’arrivent pas au Palais des Sports Marcel Cerdan de Levallois avec le plein de confiance. Avec déjà deux défaites au compteur - contre Gravelines et Den Bosch -, la SIG ne pouvait pas plus mal débuter la nouvelle année en proposant uniquement des moitiés de matches réussies. « On est une équipe trop inconstante, on peut être aussi bien que mal. Il n’y a aucune consistance. On est capable d’alterner les belles actions avec des catastrophes derrière. Pareil en défense. Pourquoi ? C’est fou, je n’arrive pas à l’heure actuelle à stabiliser la chose ! C’est terrible », précise Frédéric Sarre.

Le coach strasbourgeois sait pourtant que son équipe vaut mieux que son classement actuel. Elle devra le prouver en développant un jeu cohérent sur le parquet du promu parisien qui jouera ce match de la 14 e journée de Pro A sans pression. « On a un vrai potentiel pour jouer dans une position plus confortable. Ce qui est décevant, c’est justement cette incapacité à se stabiliser. Il faut de la dureté, de l’intensité et de l’engagement, au moins même si on n’est pas bon, on peut compenser. Ça me paraît être incontournable. La démarche ne peut venir que de chacun de nous. Si chaque individu fait un effort durable pour aller dans ce sens, les résultats seront bien meilleurs », explique encore le technicien bas-rhinois.

« Une équipe trop inconstante »

Le Paris-Levallois de Jean-Marc Dupraz est l’une des formations surprise de cette première partie de saison (voir encadré). Forcément, Fred Sarre s’attend à une forte opposition. « Cette équipe joue bien en ce moment, elle est très dynamique et a confiance en son basket. L’ensemble est parfaitement équilibré et dur à manœuvrer. Ça ne va pas être une partie de plaisir surtout dans la salle de Levallois, où ils ont beaucoup de repères, plus que lorsqu’ils jouent à Coubertin. »

La semaine strasbourgeoise a été perturbée par quelques petites contrariétés : Anthony Roberson a stoppé l’entraînement hier matin en raison d’une douleur au mollet droit, tout comme Ben Mc Cauley, ménagé pour un dos bloqué. Un peu plus tôt dans la semaine, les deux meneurs de jeu, Thomas Heurtel et Steeve Essart, malades, ont dû être arrêtés. Malgré ces bobos, tout le monde sera sur le pont ce soir à Levallois. Tant mieux car la SIG aura bien besoin de toutes ses forces vives pour remporter, enfin, une première victoire en 2010.

Olivier Arnal

mick a écrit:« On est une équipe trop inconstante, on peut être aussi bien que mal. Il n’y a aucune consistance. On est capable d’alterner les belles actions avec des catastrophes derrière. Pareil en défense. Pourquoi ? C’est fou, je n’arrive pas à l’heure actuelle à stabiliser la chose ! C’est terrible », précise Frédéric Sarre.

Bel aveux d'impuissance avec un soupçon de résignation.

je sais pas si vous avez vu le match de poitiers hier soir mais au vu de l'ambiance qu'il y avait dans la salle, l'équipe avec 7 français et 3 ricains, un certain esprit familial, ça laisse rêveur...

Bon mi-temps à 47-44, et donc - 3
On est clairement dans le match offensivement grâce à Robinson "ON FIRE" avec 16 pts.
Mais si on se met pas à défendre une bonne fois pour toute, la défaite est assurée.
47 pts en une mi-temps, c'est encore près de 100 à la fin, c'est beaucoup trop, là on tient avec notre attaque, mais on sait aussi qu'on aura un trou à un moment et on risque de prendre un éclat.
Bref, une grosse défense en seconde
Sinon, j'ai l'impression que l'arrivée de Robinson a annihilé quelque peut Darden et du même coup le reste de l'équipe dans la prise de responsabilité et donc de shoots. Si Robinson s'éteint, on va dérouillé.

et ben il se réveille le darden, robertson est gardé au chaud avec ses 4 fautes.

et sinon cholet l'emporte au buzzer à l'asvel avec un gros shoot de meija

mick a écrit:Sinon, j'ai l'impression que l'arrivée de Robinson a annihilé quelque peut Darden et du même coup le reste de l'équipe dans la prise de responsabilité et donc de shoots. Si Robinson s'éteint, on va dérouillé.

11 pts sur ce 1/4, merci à Darden de me renvoyer dans les cordes.
Apparemment, va y'avoir une fin de match serré et depuis le début de la saison on les a toutes perdues....
Ce soir pour une première

72-71, sur panier de Mc Cauley et faute technique d'Heurtel...celle-là elle fait mal

mick a écrit:72-71, sur panier de Mc Cauley et faute technique d'Heurtel...celle-là elle fait mal

Non en fait

pourquoi il laisse mendy sur le terrain à ce moment-là???

rhaa ils ont décidé de nous faire souffrir ce soir

Anti-sportive à la 39ème

ça sent bon ça sent bon!!
quel culot ce heurtel

OOOOhhhhh ppppppuutttttaiiiinnnnnnn, on a jamais été aussi proche d'une victoire d'un match accroché et importantissime pour nous.

YESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

YYYYYYYYYYYYYYYEEEEEEEEEEEEEEEESSSSSSSSSSSSSSSSSS

Putain qu'elle fait du bien celle-là

françois a écrit:YESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Bravo François, on est sur la même longueur d'onde

elle fait du bien celle la avec une meilleure defense en seconde periode

franchement j'y croyais pas une seconde qu'on irait gagner là-bas,je pensais qu'on se serait fait défoncer physiquement et par les coups de boutoirs de vassalo.

vassallo ce soir: 10pts à 2/17 aux tirs

je sais pas pourquoi mais j'y croyais, d'ailleurs ca doit etre un des rares bon pronos que j'ai eu.
Rouen et Chalon ont aussi gagne, ca se ressere

mick a écrit:Bon mi-temps à 47-44, et donc - 3
On est clairement dans le match offensivement grâce à Robinson "ON FIRE" avec 16 pts.
Mais si on se met pas à défendre une bonne fois pour toute, la défaite est assurée.
47 pts en une mi-temps, c'est encore près de 100 à la fin, c'est beaucoup trop, là on tient avec notre attaque, mais on sait aussi qu'on aura un trou à un moment et on risque de prendre un éclat.
Bref, une grosse défense en seconde
Sinon, j'ai l'impression que l'arrivée de Robinson a annihilé quelque peut Darden et du même coup le reste de l'équipe dans la prise de responsabilité et donc de shoots. Si Robinson s'éteint, on va dérouillé.

Y'a pas photos, je suis clairement un visionnaire , Robinson s'est effectivement éteint, mais Darden a claqué, on a mis l'accent sur la défense et on gagne un match serré.

Je vous annonce une élimination de la SIG en Eurochallenge pour que l'on puisse fêter leur qualification mardi soir.