[NBA Saison 2006-2007]

Sans role players consistants, je ne crois pas que Boston puisse rêver de titre.

C'est jutement ce que je crains...

Ca va faire un Yao Ming+McGrady bis...

Allen et Gomes sont plutot pas mal en back up de Allen et Pierce...après c'est sur que leur point faible s'est le poste 5 mais San Antonio a bien gagné le titre avec Fransisco Elson

La rumeur est confirmée... ça fait quand même un échange de 5 joueurs contre 1.

J'adore Boston... j'ai juste les boules que Gerald Green s'en aille...

Evidemment, c'est le problème de toutes les équipes... faire une équipe équilibrée, ou s'appuyer sur quelques joueurs majeurs. L'histoire de la NBA montre que c'est plutot la deuxième formule qui a réussi outre-Atlantique.
Cela dit, il faut quand meme que les role-player se hissent au niveau.

Mais bon, on ne peut pas reprocher à Boston de tenter quelque chose.

On peut simplement se poser des questions sur Garnett qui voulait partir pour gagner des titres...Je vois mal Boston remporté quelque chose dans les prochaines années !

Phoenix aurait été un bien meilleur choix par exemple !

Jack a écrit:On peut simplement se poser des questions sur Garnett qui voulait partir pour gagner des titres...Je vois mal Boston remporté quelque chose dans les prochaines années !

Phoenix aurait été un bien meilleur choix par exemple !

Oui mais est ce que Phoenix le voulait vraiment?
Est ce que Phoenix proposait quelque chose d'intéressant (ou suffisament intéressant) aux yeux des Wolves?
Faut pas oublier que l'employeur c'est les Wolves et qu'il est normal qu'il regardent le deal le plus intéressant pour eux.
Il n'avait peut être pas d'autre choix que Boston. Dans ce cas, on ne peut pas lui reprocher de tenter sa chance.

Il semblerait que Gomes parte à Minnesota avec Telfair, Ratliff, Jefferson, Green et deux choix de draft !

Le banc va être très léger à Boston. En plus, Allen et Pierce ne sont pas des assurances en matière de physique.

oui, pour moi il y a 3 clés pour la saison des celtics:
1: Le rendement des autres joueurs pendant la saison et pendant les play-offs. Je me préocupe surtout du rendement à l'intérieur (en excluant KG, bien sûr); l'année ou jamais pour Olowokandi...
2: Les blessures. Si KG se blessent sérieusement, la saison est terminé! Dites moi ce qu'il y aurait en dessous sans lui...

obiwanfrenchy a écrit:
3: Quel va être le rendement à l'intérieur en excluant KG? l'année ou jamais pour Olowokandi

Y a le jeune Kendrick Perkins qui a du talent mais il a du mal a éclore...

David67350 a écrit:

obiwanfrenchy a écrit:
3: Quel va être le rendement à l'intérieur en excluant KG? l'année ou jamais pour Olowokandi

Y a le jeune Kendrick Perkins qui a du talent mais il a du mal a éclore...

Hum...pardon?? Perkins? d'accord il fait un bon boulot Défensif mais c'est tout! Un vrai bencj player, quoi! rien de plus

obiwanfrenchy a écrit:

David67350 a écrit:

obiwanfrenchy a écrit:
3: Quel va être le rendement à l'intérieur en excluant KG? l'année ou jamais pour Olowokandi

Y a le jeune Kendrick Perkins qui a du talent mais il a du mal a éclore...

Hum...pardon?? Perkins? d'accord il fait un bon boulot Défensif mais c'est tout! Un vrai bencj player, quoi! rien de plus

Ben ca suffit. Aux cotés de Garnett, pas besoin d'avoir un gros scoreur. Un pivot rebondeur et défensif fait l'affaire.

et si KG se blesse?

obiwanfrenchy a écrit:et si KG se blesse?

Ben, a ce moment la c'est mort pour les Celtics!

ba oui, mais moi je respecte cette prise de risque de la part de Danny Ainge. Sinon ca aurait été une autre saison de merde, sûrement un peu mieux (vers 35, 40 victoires...) mais tj pas ca...
Au moins il y a une équipe ds l'EST qui se bouge pour concurrencer l'ouest....

Voilà, le deal est fait.

Effectivement, Garnett a été échangé contre Telfair, Ratliff, Green, Jefferson, Gomes et deux tours de draft.

L'équipe PDF du 01 août 2007

Garnett relance tout
La superstar quitte Minnesota pour les mythiques Boston Celtics, transformés aussitôt en favoris de la Conférence Est.
SAN ANTONIO –
de notre correspondant
NOËL EST VENU TÔT à Boston, où le nom de Kevin McHale, l’ancienne star des Celtics, est loué sans retenue de Faneuil Hall à Cambridge Street. Certaines filiations ne meurent jamais. Telle est l’explication avancée par certains aux États-Unis pour expliquer la décision de McHale, manager des Minnesota Timberwolves, de se défaire ainsi de la star du club, Kevin Garnett, en échange d’Al Jefferson, Ryan Gomes, Gerald Green, Sebastian Telfair, Theo Ratliff et deux premiers tours de
draft 2009. Soit, potentiellement, sept joueurs contre un seul. Mais quel joueur !Car Kevin Garnett (22,4 pts, 12,8 rbds, 4,1 p.d. la saison écoulée), « The Big Ticket » pour les intimes, est une star. L’un des plus grands nomsde la NBA. Et tant pis s’il a échoué régulièrement en play-offs avec Minnesota. À trente et un ans, Garnett entame donc sa deuxième vie NBA après douze saisons avec les Wolves, marquées par dix sélections au All-StarGame (et un titre deMVPde la saison régulière en 2004) et autant de crève-coeur dans les phases finales. Le deal était déjà sur la table avant la draft de juin. Mais à l’époque, Garnett n’avait pas daigné donné son feu vert à une telle affaire, expliquant par d’officieux conduits son refus de prolonger son contrat avec Boston dans deux ans. Mardi, « KG » a accepté de s’engager pour trois ans de plus avec les Celtics, assurant ainsi sa présence dans le Massachusetts pour cinq longues et prospères années.
La fin d’un long
cauchemar ?
Un formidable coup pour Danny Ainge, ancien coéquipier de McHale, qui a retrouvé le droit de sourire après avoir souvent été critiqué pour son incapacité à sortir le club du marasme. Après avoir mis la main sur le shooteur de Seattle Ray Allen (26,4 pts, 4,5 rbds, 4,1 p.d.), le soir de la draft, le directeur sportif de Boston offre désormais à Paul Pierce (25 pts, 5,9 rbds, 4,1 p.d.) et à toute la Celtics Nation le droit de croire à nouveau après quinze longues et frustrantes années. « Kevin Garnett est un des grands joueurs de notre ligue. Il est féroce, compétitif et il va apporter tout son talent offensif et défensif à notre équipe », communiquait Ainge dans la folie d’une journée historique pour les deux clubs. Boston ne pourra pasmiser sur le long terme. La fenêtre de tir étant limitée à deux ou trois ans en raison de l’âge déjà avancé de ses joueurs. Mais au coup d’envoi de la prochaine saison, aucune autre équipe de la Conférence Est ne pourra aligner un tel trio de All-Stars. Trois formidables basketteurs trentenaires, incapables jusqu’à ce jour de conquérir le titre suprême. Une belle brochette de revanchards dont le coût, 54,4 millions de dollars, n’aura alors pas d’équivalent en NBA. Même à ce prix, l’excitation était palpable dans une ville de Boston privée de la magie de ses Celtics depuis la retraite de Larry Bird en 1992. Quinze ans après la Dream Team, Boston semble appelé à sort ir d’un long cauchemar…
OLIVIER PHEULPIN

L'équipe PDF du 07 août 2007

L’Est regonfle le torse
L’arrivée de Kevin Garnett à Boston offre à la Conférence Est des raisons d’espérer en l’avenir.
SAN ANTONIO –
de notre correspondant
EN ACCEPTANT de rejoindre les Boston Celtics avec une prolongation de contrat de trois ans et 60 millions de dollars (43,5 millions d’euros), Kevin Garnett n’a pas redessiné la carte des forces en présence en NBA, mais il a certainement redonné un pouls à un marché des transferts bien calme. Après la draft de juin, Portland et Seattle s’imposaient comme les grands gagnants de l’intersaison avec les arrivées des prometteurs rookies Greg Oden et Kevin Durant. Mais, après la loterie, il y a cette guerre des nerfs durant laquelle le téléphone se greffe à l’oreille et les possibilités d’échanges germent en continu. Danny Ainge, le manager des Celtics, est sorti vainqueur de ce grand jeu du mois de juillet. Un triomphe à même de ressusciter Boston, privé de magie verte depuis 1992 et la retraite de Larry Bird. Et, dans la faiblesse chronique de la Conférence Est, le renfort de taille de Garnett, associé à celui du shooteur Ray Allen, a déjà transformé les Celtics en finalistes potentiels, un anseulement après une dernière place de ladite division avec 24 petites victoires en 82 matches ! Si le basket se jouait avec trois joueurs, les Celtics pourraient même être favoris pour conquérir leur premier titre depuis 1986. Car rien n’a changé à Detroit, Chicago, Cleveland etMiami, les têtes de pont de l’Est. Les Pistons ont prolongé le contrat de Chauncey Billups et conservé intact un déconcertant noyau dur. La polyvalence des joueurs des Bulls est omniprésente, et l’absence d’un joueur dominateur à l’intérieur plus encore. La palette offensive très limitée de l’excitant Joakim Noah n’est pas la panacée aux maux des Bulls sous le cercle. Finalistes heureux en 2007, les Cavs n’ont toujours pas réglé leur problème demeneur de jeu et la saison du Heat tiendra dans l’épaule gauche opérée de Dwyane Wade.
Houston prend du volume Les secousses de l’effet Garnett ont même été ressenties jusqu’à Los Angeles, où Kobe Bryant n’a pas enterré la hache de guerre avec ses dirigeants. La star des Lakers n’a plus confiance en personne et veut aller voir ailleurs. Mitch Kupchak, le manager du club, a longtemps fait miroiter la possible arrivée de l’intérieur allstar des Pacers, Jermaine O’Neal,mais rien ne vient. Et après avoir aussi rêvé d’une collaboration envoûtante avec Jason Kidd, Kobe a récemment appris le retour au bercail du vieillissant meneur Derek Fisher… Memphis a réalisé un bel été avec la draft du meneur d’Ohio State, Mike Conley Jr., et l’arrivée de l’Espagnol Juan CarlosNavarro, grand ami de son compatriote Paul Gasol. Et Houston est aussi à féliciter avec le renfort du solide Argentin Luis Scola et des meneurs Steve Francis etMike James. Mais les vrais gagnants sont de l’autre côté du Rubicon. Même s’il est urgent de ne pas s’exciter, on imagine que l’Est peut ronronner après les arrivées de Jason Richardson (à Charlotte), Rashard Lewis (à Orlando), Zach Randoph (à New York) et, bien sûr, Kevin Garnett et Ray Allen à Boston. « Voir des stars pareilles passer d’un côté à l’autre du Mississippi explique clairement que cette conférence a effectué un significatif pas en avant, admet Donnie Nelson, le président des opérations basket des Dallas Mavericks. Comme pour tout, le temps vient toujours corriger les déséquilibres. » Vince Carter, Chauncey Billups, Gerald Wallace ou Maurice Williams, les free agents de l’Est les plus prisés cet été, ont même décidé de rester sur place. De bon augure pour rivaliser avec les superpuissances d’en face, les San Antonio, Phoenix et Dallas, toujours favoris du prochain
Championnat.
OLIVIER PHEULPIN

 MICKAËL PIETRUS PATIENTE.
– Présent hier à Sarcelles (Val-d’Oise) pour l’opération caritative organisée par la NBA, « Basketball Without Borders », Mike Pietrus, en fin de contrat àGolden State, est toujours à la recherche d’une situation pour la saison prochaine. Si Dallas, Cleveland et Miami ont montré leur intérêt, le Guadeloupéen ne voit toujours rien venir de la part des Warriors, de qui il espérait une proposition de contrat longue durée. Si ce n’est une offre sur un an. S’en contenterait-il ? « Un an ou six, àGolden State ou ailleurs, je prendrai la meilleure situation.Mamotivation sera la même. Je suis toujours en pleine négociation et je patiente, comme j’ai patienté pendant quatre ans sur le terrain. Cela va être long mais je serai enNBAla saison prochaine », assurait-il, avant d’indiquer qu’il repartait à San Francisco le 11 août pour reprendre un entraînement et une préparation individuels.

LE TOP 10 DES JOUEURS LIBRES
Anderson Varejao (Cleveland)
Mike Pietrus (San Francisco)
Chris Webber (Detroit)
Matt Barnes (San Francisco)
Ruben Patterson (Milwaukee)
Charlie Bell (Milwaukee)
Sasha Pavlovic (Cleveland)
Ime Udoka (Portland)
Earl Boykins (Denver/Milwaukee)
James Posey (Miami)

Tu peux rayer Matt Barnes qui vient de resigner avec les Warriors.

Pietrus est tout proche de Miami...

J'aime ce que Boston fait cet été!!!!
En plus de l'arrivée de KG, de ray allen, de Jackie Manuel, de Eddie House et de Brandon Wallace, il semble que les Celtics veulent ajouter là où ils sont plus faible (poste 1 et 5). C'est ainsi que Dikembe Mutombo et Scott Pollard pourrait apporter une aide précieuse à l'intérieur. Mais pour moi, c'est surtout la possible arrivée de jasickevicius dont je suis persuadé qu'il peut devenir un meneur de premier plan en NBA. A mon avis, cette opportunité peut changer sa carrière NBA!

il vienne de signer Pollard en back up les Celtics...

Pollard J'aime ses coiffures, à part ca...

lol c'est clair les têtes qu'il sort il a pas peur lol

Il fait le spectable au moins...sur le banc !