PRO A 21ème Journée : Chalon - SIG

DNA du 06 mars 2008

L'Élan se shoote au tir primé
Chalon-sur-Saône a érigé le tir primé au rang d'art de (sur)vivre. La troupe de Greg Beugnot, adversaire de la SIG après-demain, est l'équipe de Pro A la plus gourmande derrière l'arc. La réussite, elle, n'est pas toujours au rendez-vous.
6,25 M. - Chalon-sur-Saône est l'équipe de Pro A qui prend le plus de shoots à trois points par match. Avec 534 tentatives à 6,25 m depuis le début de la saison (26,7/match), les hommes de Greg Beugnot devancent Le Havre (533) et Roanne (525).
Avec 171 paniers inscrits à cette distance, l'Élan n'affiche toutefois que la 11e adresse à trois points de la Ligue (32 %). A titre de comparaison, la SIG a inscrit 158 paniers en 428 tentatives, soit une adresse de 36,9 % qui en fait la deuxième formation la plus adroite dans ce domaine derrière Hyères-Toulon (37,2 %).

Braud, 77 % de tirs à trois points l'an passé

BOULIMIQUES. - Ils sont quelques uns à se nourrir du shoot longue distance. L'ailier Rowan Barrett prend à lui seul plus de 22 % des tirs primés de Chalon cette saison. L'international canadien a ainsi tenté sa chance à 119 reprises derrière l'arc - dont 12 fois lors de la réception du Mans fin novembre -, pour un total de 44 réussites (36 %).
Une adresse quelque peu en baisse par rapport à la saison dernière, lorsque celui qui portait alors le maillot de l'ASVEL avait converti 109 de ses 252 tentatives, à 43 %. Philippe Braud est un autre exemple de cette fringale primée. S'il a rééquilibré son jeu cette année, l'arrière bourguignon avait, l'an passé, pris... 77 % de ses shoots (120 sur 157) derrière la ligne des trois points !
FLUCTUANT. - Chalon vit et meurt donc par l'adresse à trois points. Certains soirs, cela sourit. Comme face à Gérone en 16e de finale aller de la Coupe ULEB, lorsque les Bourguignons s'étaient fendus d'un étincelant 14/25 à 6,25 m pour l'emporter 93-85. D'autres fois, cela ne veut pas rigoler. Contre l'ASVEL, vendredi dernier, les Chalonnais ont « déchiré » en périphérie : 3/15 à la pause, 6/26 à l'arrivée, soit un douteux 23 % au coup de sifflet final. Incapable de rivaliser avec le secteur intérieur villeurbannais, l'Élan ne pouvait qu'y laisser des plumes (58-82).

Première pour Lang, le Mulhousien

COLÈRE. - La rouste reçue contre l'ASVEL n'a pas du tout été du goût de Greg Beugnot. Le coach de l'Élan l'a fait savoir au micro de Sport + : « C'est trop gros pour être vrai ! On peut passer à côté en terme d'adresse, mais à condition de se battre et de s'investir. Quand on n'a pas les armes techniques, on doit faire preuve d'orgueil. Ça n'a pas été le cas ». Ironie du sort, le meilleur Chalonnais, ce soir-là, avait été l'intérieur Bryan Bracey (17 pts, 5 rbds), un joueur que le club avait pensé couper en décembre !
LANG. - Au vu de la tournure prise très tôt par les événements, Greg Beugnot a fait tourner son effectif vendredi dernier et lancé sa classe biberon dans le grand bain. Nicolas Lang, né à Mulhouse il y a 17 ans, a ainsi pu fouler pour la première fois le parquet avec les pros. Le jeune meneur chalonnais avait fait parler de lui en mai dernier, offrant la victoire à l'Élan (61-59) face à Pau-Orthez en finale du Trophée cadets après avoir inscrit un panier miraculeux au buzzer depuis sa propre ligne de lancer-franc ! Contre l'ASVEL, le minot a été discret avec 3 rbds, 1 pd et 0/3 aux tirs en 8'.

Mitchell, le retour

INFIRMERIE. - Pour la venue de la SIG, Chalon-sur-Saône enregistre le retour de son meneur US Darrel Mitchell, remis de l'élongation à la cuisse gauche qui lui avait valu de manquer trois matches. Touché au mollet, Joakim Ekanga-Ehawa, l'ancien joueur du FCM basket entre 2002 et 2004, sera lui toujours absent.
A Strasbourg, Aaron Pettway est incertain. Ménagé en début de semaine pour soigner une tendinite, le pivot américain a effectué un test hier matin, mais a dû stopper la séance au bout de dix minutes. « On redoute à présent une entorse sur ce même genou », confie, « inquiet », Éric Girard.
DÉPLACEMENTS. - Le « Stork Team », club des supporters de la SIG, organise deux déplacements, ce samedi à Chalon et le vendredi 21 mars à Épinal pour le 16e de finale de la Coupe de France contre Get Vosges. Renseignements : Jacques Walter, Tél: 06 03 28 01 34.

R. Sch

Si Pettway a une entorse du genou on pourra dire que cette saison niveau blessure on a été plus que servis.

Si Pettway est out je redoute le pire, en plus Darrel Mitchell va faire son retour du coté de Chalon!

Va falloir contenir les Chalonnais derrière l'arc et attention a Rowan Barrett qui aime bien joué contre nous!

John White a écrit:Si Pettway a une entorse du genou on pourra dire que cette saison niveau blessure on a été plus que servis.

c'est clair c'est vraiment la saison galère.ça tombe vraiment mal en plus vu que chalons doit absolument gagner pour le maintien.et le retour de mitchell qui est un joueur spéctaculaire qui s'ajoute à cela ça s'annonce plutot mal.

David67350 a écrit:Si Pettway est out je redoute le pire

Ce que redoute le plus n'est pas sa possibe absence contre Chalon mais la durée de son indisponibilité.

DNA du 08 mars 2008

Gare au gros grain
Douchée par Paris-Levallois samedi dernier, la SIG est bien décidée à repartir d'un pas alerte ce soir à Chalon, autre équipe en quête de rachat. Les Strasbourgeois devront toutefois prendre garde aux rafales primées bourguignonnes. Il y va de leur équilibre.
Entre averses de neige et franc soleil, la météo est pour le moins capricieuse en ce moment. Le baromètre de la SIG, aussi, n'échappe pas à ces variations saisonnières. Au beau fixe après deux éclatants succès contre Nancy et à Clermont, le ciel alsacien s'est quelque peu obscurci samedi dernier, au sortir de la douche froide actionnée par Paris-Levallois (79-90). « On n'avait pas obligatoirement été à la hauteur ce soir-là », confesse Éric Girard.

Un nuage à dissiper

En Bourgogne, les Strasbourgeois voudront dissiper ce vilain nuage et prouver que ce contre-temps domestique n'a pas porté à conséquence. « Il faut qu'on arrive à rebondir, même si Chalon n'est pas forcément le meilleur endroit pour cela », énonce le coach de la SIG. Rincé par l'ASVEL il y a huit jours (58-82), l'Élan ne peut en effet se permettre de perdre la face deux fois de suite sur ses terres. « Ils n'ont pas vu le jour contre Villeurbanne, observe coach Girard. Il a dû y avoir pas mal de mises au point ».
C'est donc un « match important » entre deux équipes désireuses de se racheter une conduite qui se profile à l'horizon. Encore que les enjeux sportifs divergent ostensiblement. « On y va pour reprendre notre marche en avant, refaire une série et conforter notre place dans le Top-6. Et eux nous attendent pour montrer autre chose que ce qu'ils ont montré la semaine dernière et pour se donner un peu d'air par rapport aux deux dernières places ».
Candidat déclaré au haut du tableau en début de saison, les Chalonnais avancent dans le brouillard, au point d'être désormais plus préoccupés par le maintien que par les play-offs. « C'est un club structuré, qui s'appuie sur de très bons techniciens et de bons joueurs. Et pourtant, c'est dur pour eux. Cela montre que dans un championnat aussi serré, un statut ne permet pas d'être automatiquement à tel ou tel niveau », détaille Éric Girard, convaincu que les Bourguignons « ne sont pas à leur place ».
Ce soir, les coéquipiers du vaillant John McCord devront se méfier de ces bourrasques toujours à même de venir s'engouffrer dans une salle au demeurant bruyante et fervente. C'est que Chalon est une équipe atypique, avec pléthore de canardeurs capables de servir chaud derrière l'arc. « A l'aller, ça avait été galère, rappelle Éric Girard. Ça partait de sept ou huit mètres et ça tombait dedans ».

« Donner le minimum de shoots ouverts »

S'ils leur arrivent, parfois, de se noyer dans ce déluge, les coéquipiers de Rowan « la gâchette » Barrett peuvent aussi étourdir leur adversaire sous un orage de grêlons primés. Gérone, en 16e de finale aller de la coupe ULEB, en a récemment fait les frais. Éric Girard a donc insisté sur ce point cette semaine. « Il faudra que l'on soit bien dans les attitudes individuelles et collectives. On a vraiment travaillé par rapport à ça, sous forme de petits jeux visant à donner le minimum de shoots ouverts à trois points ».
Si la SIG négocie au mieux ce risque de gros grain, ce voyage en Bourgogne ne peut que déboucher sur l'éclaircie attendue.

R. Sch.

Feu vert pour Pettway
Ménagé en début de semaine afin de soigner une entorse au genou contractée face à Paris-Levallois, et un temps incertain, Aaron Pettway tiendra sa place au Colisée. Le pivot strasbourgeois s'est entraîné normalement jeudi soir et hier matin. Victime d'une entorse au pied jeudi à la fin de la séance, John McCord sera lui aussi d'attaque. « Il faudrait déjà lui couper la jambe pour l'empêcher de jouer », plaisante Éric Girard. Seul Afik Nissim, dont le retour est « espéré » en Coupe de France, manquera donc à l'appel

L'Alsace du 8 mars 2008

Basket-ball Reprendre de l’Elan

Battue par Paris la semaine dernière, la SIG espère renouer avec la victoire ce soir à Chalon-sur-Saône.

Toutes les séries sont faites pour s’arrêter. La SIG l’a vérifié à ses dépens la semaine dernière. En forme ascendante depuis le début de l’année, les Strasbourgeois ont subi de plein fouet le réveil du Paris Levallois. Résultat, une défaite 90-79 sur le parquet du Rhénus face à des Franciliens qui restaient pourtant sur six matches sans victoire. « Perdre contre Paris a peut-être remis les idées de certains en place. Avec cette défaite, on s’est remis la pression », analyse sans concession Eric Girard.
Toutefois, la pression ne sera pas uniquement sur les épaules strasbourgeoises. Loin de là. Car quand McCord et les siens se sont inclinés face à Paris Levallois, son adversaire de ce soir soir, l’Elan de Chalon, s’est fait tout bonnement laminer à domicile par l’ASVEL sur le score sans appel de 82-58 ! « C’est vrai qu’ils restent sur une grosse désillusion, ils n’ont pas vu le jour samedi dernier », note Girard. Autant dire que le technicien s’attend à tout sauf à une partie de plaisir ce soir sur le parquet du Colisée. A l’image de Dijon, Gravelines ou Pau-Orthez, l’Elan fait partie de ces clubs à gros budget encore menacés de relégation. Aux côtés de Clermontois déjà condamnés, il reste encore une place dans la charrette qui prendra la direction de la Pro B. D’où l’importance d’une victoire ce soir pour des Chalonnais qui sont privés de l’ancien Mulhousien Joachim Ekanga-Ehawa mais qui enregistrent le retour de leur meneur titulaire Darell Mitchell. « Sans lui, ce n’est pas la même équipe. Ils seront plus en confiance mais également plus sous pression car là, ils n’auront plus d’excuse en cas de défaite. Ils sont au complet et ont quelque chose à se faire pardonner». Eric Girard se méfie d’un Elan blessé mais pas brisé. « Je connais bien Greg Beugnot, il a dû les rebooster toute la semaine», sourit le coach alsacien.

Une équipe au profil atypique

Girard sait aussi que ses hommes auront en face d’eux une équipe au profil atypique. Une équipe mobile, très rapide, qui n’hésite pas à prendre des shoots parfois impossibles. Mais l’arrosage intempestif du cercle - Chalon est l’équipe de Pro A qui tente le plus souvent sa chance à 3 points - a ses limites. Les coéquipiers du MVP 2005 Jermaine Guice l’ont vérifié lors de la rouste face à Villeurbanne avec un famélique 6/26 derrière la ligne des 6,25m. « C’est évident, c’est à double tranchant. Même quand ce n’est pas ouvert, ils n’hésitent pas à arroser. A l’aller, on n’avait galéré, ça partait de partout et quand ça tombe dedans, ils sont tout simplement injouables. Ils tombent dans l’euphorie, encore plus à domicile dans une salle chaude. Le public est très près du parquet, il pousse ses joueurs et met la pression sur l’équipe adverse et sur le corps arbitral», juge Girard.
Pour ses hommes, l’objectif sera d’empêcher les shooteurs adverses de prendre feu et d’enflammer le Colysée. La tenue de pompier sera de rigueur et la grande échelle de sortie. « Nous avons travaillé toute la semaine la défense pour leur offrir le moins de solutions possibles », prévient un Girard qui, Nissim excepté, pourra compter sur l’ensemble de son effectif. « Pour nous, précise le technicien, il s’agit de retrouver notre marche en avant, de repartir sur une série. On a les moyens de faire un bon match ». Et de prouver que la défaite face à Paris n’était qu’un accident de parcours.

Elan Sportif Chalonnais : 4. B. Bracey (2,01 m, US naturalité Irl.) ; 5. Ph. Braud (1,93 m) ; 6. J. Hoyaux (1,92 m) ; 8. R. Barrett (Can); 9. X. Corosine (1,85 m) ; 10. M. Badiane (2,08 m) ; 11. J. Guice (1,93 m, US) ; 12. D. Mitchell (1,81 m, US) ; 13. C. Elecka (1,95 m) ; 14. John Ford (2,07 m, US) ; 15. Rolan Roberts (1,98 m, US). Absents : Joachim Ekanga. Ent: Gregor Beugnot
SIG : 4. Aaron Pettway (2,11, US) ; 5. Gauthier Darrigand (1,84m); 6. Elson Mendy (2,00m) ; 7. Kevin Houston (1,93m, US); 8. Issife Soumahoro (1,97m) ; 10. Sacha Giffa (1,97m) ; 12. John McCord (2,01m, Ang) ; 13. Derrick Obasohan (1,99m, Nig) ; 14. Eddie Shannon (1,80m, US) ; 15. Rob Lewin (2,01m, US). Absent: Afik Nissim. Ent: Éric Girard

Jonathan Lange

Hormis Nissim, il n'y a pas d'absence à déplorer, c'est déjà ça.

et en plus quelques supporters peut-être,

samedi 8 mars 2008 (le journal de Saone et Loire)

Elan Chalon - Strasbourg (ce soir 20 h au Colisée)
Remettre les choses au point


Humilié par l'Asvel il y a une semaine, l'Elan a beaucoup à se faire pardonner face à Strasbourg. Cela passe nécessairement par une victoire.

Dix. C'est le nombre de matches qu'il reste à l'Elan pour sauver sa saison et assurer définitivement son maintien. Ou inversement. Car après la déculottée (58-82) reçue voilà une semaine face à l'Asvel, on n'ose plus parler de play-offs.
Avec trois victoires de retard sur le trio (Cholet, Le Havre, Strasbourg) en ballottage pour le dernier strapontin qualificatif pour les quarts de finale, il faudrait désormais un miracle, ou tout au moins un concours de circonstances assez invraisemblable, pour que les Chalonnais accèdent aux play-offs.
Pour y faire quoi ? Vu le déficit récurrent de densité athlétique affichés par les hommes de Gregor Beugnot et plus encore l'inconstance chronique qui caractérise leur parcours cette saison, on est en droit de se poser la question.
Revoilà Mitchell !
« Ce n'est pas que l'équipe ne travaille pas à l'entraînement, observe le coach chalonnais ; le problème c'est que malgré tout notre travail, on n'arrive pas à faire évoluer certaines de nos lacunes. Dès qu'on est sous la dominante de l'équipe adverse, on perd de nos moyens, de la lucidité, et cela finit par destabiliser complètement l'équipe. Et comme on n'arrive pas à se faire violence pour passer outre ces situations-là, eh bien c'est tout le château de cartes qui s'écroule ». Comme face à l'Asvel.
Le retour de Darrel Mitchell, éloigné des terrains depuis trois matches en raison d'une élongation derrière la cuisse, suffira-t-il à redonner des couleurs et de l'enthousiasme à une équipe chalonnaise qui en a beaucoup manqué face à l'Asvel ? « Avec ou sans Darrel, acquiesse Raphaël Gaume, l'adjoint de Gregor Beugnot, on n'est pas dans le même monde. On l'a vu cette semaine à l'entraînement. Avec lui, il y a des choses qu'on fait très bien ; mais quand c'est un autre que lui qui les fait, c'est beaucoup moins évident ».
Quoi qu'il en soit, l'Elan doit d'attendre à résoudre la même problématique ce soir face aux Alsaciens qu'il y a une semaine face à l'Asvel. Strasbourg ne manque en effet pas de répondant physique ni d'arguments dans la raquette avec Pettway, Lewin sans oublier un Sacha Giffa qui, chaque fois qu'il remet les pieds au Colisée, ne manque jamais une occasion de se rappeler aux bons souvenir du public chalonnais.
« C'est une équipe, confirme Gregor Beugnot, qui s'appuie sur une grosse puissance intérieure mais qui n'hésite pas non plus à prendre plus de 22 tirs à trois points par match. C'est d'ailleurs cette qualité d'adresse qui nous avait fait très mal au match aller car avant on avait fait mieux que rivaliser ».
Stoppés net (79-90) dans leur dynamique ascendante - 9 victoires lors de leurs 11 derniers matches - par le Paris-Levallois, les Alsaciens ne viendront pas au Colisée la fleur au fusil. Mais au contraire l'esprit revanchard et bien décidés à récupérer les deux points perdus face à l'équipe de la capitale. Un match charnière en quelque sorte. Pour les deux équipes. Mais sans doute un peu plus pour l'Elan qu'une nouvelle défaite mettrait en grosse difficulté au classement. Surtout après les résultats d'hier soir. Pour lui c'est donc le moment ou jamais...
Pierre Desbois

Strasbourg : Pettway bon pour le service Aaron Pettway, qui a repris l'entraînement jeudi, est
« Gagner au Colisée serait un gros plus pour nous. Nous allons jouer dans une salle chaude et bruyante qui donne plus de pression aux adversaires et au corps arbitral », explique Eric Girard, qui pourra compter pour ce match à Chalon sur le même groupe que la semaine passée. Aaron Pettway, qui a repris l'entraînement jeudi, est remis d'une entorse au genou. John McCord, qui souffre d'une légère entorse au pied, ainsi que Rod Lewin, qui soigne toujours les séquelles d'une béquille, sont également opérationnels. Ne manquera à l'appel qu'Afik Nissim (cuisse) encore absent des parquets pour une durée de 4 à 6 semaines.

c parti

4 a 7 apres 5 pts de shannon

manque de reusite

deja 7 bp

impossible de gagner avec 8bp par qt.........;

9 bp en 12 min c trop

le reveille par Houston ?

Y a t-il un joueur à la SIG a part Houston ???

pour le moment Pettway 0 fautes c bien

pour Houston c 10pts 5rebs 4fp en 10min

30 a 40 pur la sig a la mi temps
Houston 11pts 7rebs 5fprs en 14min

Si les résultats en restent la, on rejoint Vichy à la 5ème place. Enfin, on en est qu'à la Mitemps.

Domination au rebond 22 à 10 pour la SIG

faut gerer et tenir

bon retour des vestiaires! déjà 15 assists pour l'équipe!

bon retour de vestiaire 30 a 45 pour la SIG