4e journée: Besançon (2-2)- SIG (1-3): 76-74

Après sa probante victoire contre l'EBPO, la SIG se rend chez son voisin francomtois, le BBCD (www.bbcd.org). D'ailleurs, pour vous donner une idée du jeu de Besançon et de ses joueurs, je vous oriente vers ce lien, BBCD TV: http://www.bbcd.org/bbcdtv.php?id=6

Besançon est un promu; mais attention, malgré un bilan délicat, le même que le nôtre, c'est un promu armé. D'une part, Germain Castano a gardé une ossature du champion de proB (Ford, Hoard, Labeyrie, Eleleara). D'autre part, il a procédé à un recrutement malin: les brothers Ruzic en premier lieu: qu'un promu aille faire son marché au Mans et à l'ASVEL n'est pas commun ! D'autre part, le recrutement de Harrison, bon arrière au Havre et à Rouen la saison passée vient étoffer le banc bisontin. J'ajoute le recrutement de quelques pointures de proB: Pierre Wooten, Mory Correa, et la signature d'un arrière US prometteur, Bradford.

Pour le moment, Besançon a concédé deux défaites: une défaite à l'arrachée à Chalon (79-78), une défaite à domicile contre le Havre (81-86). Mais il a enregistré son premier succès à Clermont (73-66).

Besançon présente les points forts suivants: le rebond principalement; avec 41 rbs/match, le BBCD est premier exaequo avec Nancy, grâce à l'abattage de Ford (8.3rbs/m), Hoard (7.3), T. Ruzic (7) et J. Ruzic (5.3).; ensuite, le contre: avec près de 4 contres par match (3.7), Besançon est sur le podium de cette catégorie, grâce à Ford (1.7 blks/m). Enfin, comme les dernières stats vous le montrent, le principal point fort de Besançon, c'est John Ford: 18.7pts, 8.3 rbs, 1.7 blks, 22.3 d'évaluation. Tel Turner il y a quelques années, il semble tout à fait en mesure de dominer les raquettes de proA après celles de proB.

Analyse poste par poste:

Meneurs:

Darrigand vs Wooten/Eleleara

Gautier assume de mieux en mieux son rôle de meneur. Je ne verrai le match de Pau que ce soir, mais j'ai beaucoup lu qu'il jouait de façon tès sobre. La comparaison avec Jeanneau est ressortie. Face à lui, deux meneurs: Pierre Wooten, terreur de proB la saison passée (20pts, 4rbs, 5pds à St Quentin), peine davantage en proA, en témoignent ses chiffres en balles perdues et au niveau de l'adresse à 2pts. Après une entrée en matière calamiteuse (-1 à Chalon), il se reprend avec 16 d'évaluation contre le Havre: ses stats: 12.7pts à 37% à 2pts, 42% à 3pts, 2.3rbs, 4.3pds, 3.7bps. Ce n'est, a priori, pas le meilleur meneur que rencontrera la SIG cette année, mais ça reste un joueur dangereux. La rotation est Eleleara, qui a un rendement indigent en attaque et qui est surtout là pour défendre. Egalité a priori.

Arrières:

Smith/Nissim vs Bradford/D. Harrison

Le duo d'arrières de la SIG s'est particulièrement mis en valeur contre Pau: Smith dans son registre de shooteur/rebondeur (7 rbs/m!), Nissim dans son rôle de pyromane extérieur. Les pourcentages sont en progrès pour les deux joueurs: 36% à 3pts pour les deux. Face à eux, Bradford. Plutôt saignant en préparation, le jeune arrière est en graves difficultés maintenant: 7pts à 33% à 2pts, 23% à 3pts, 1rbs pour 1.7 d'évaluation ! L'arrivée de Harrison était donc bien venue, lui qui cumulait 13pts, 5rbs de moyenne à Rouen. Avantage SIG, mais il faut se méfier d'un réveil de ces deux shooteurs.

Ailiers:

Eidson/Mendy vs J. Ruzic/Hoard

Face au feu-follet Eidson , sorte de couteau suisse apte à répondre à toutes les demandes (points, défense, rebonds, passes, interceptions, etc.), la paire de role players de luxe, J. Ruzic et Hoard. Ruzic, c'est un 4 avec un formidable shoot extérieur (14pts à 41% à 3pts depuis le début de saison). Il peut évoluer en 3 comme en 4, où il joue de son physique aux rebonds (5.3/m). Défenseur honnête, c'est un joueur malin. Hoard, souvent blessé, est un 3/4 avec un profil plus rebondeur (7.3/m) et défenseur, même si son apport en attaque n'est pas négligeable (9pts/m). Les deux devraient se relayer sur Eidson. Le duo est tout de même l'un des points forts de Besançon. Avantage SIG.

Intérieurs:

Sanders/Mc Cord vs T. Ruzic/Labeyrie

Les deux tacherons de la SIG, qui font le sale boulot aux rebonds et en défense n'auront pas, face à eux, des joueurs comparables à Johnsen et Rupert. T. Ruzic, que j'ai toujours vu mauvais contre la SIG (la faute à Mc Cord !), reste néanmoins un 4 de grande taille (2m08), avec un shoot extérieur intéressant (49% à 3pts). Toutefois, sa défense est plus suspecte. Labeyrie, plutôt bon en proB la saison passée, n'a pas encore franchi le cap de la proA mentalement. Son apport reste discret: 6pts, 2rbs (4 d'évaluation). Avantage SIG.

Pivot:

Marquis/Mädrich vs Ford/Correa

Vous l'aurez compris, le gros danger pour la SIG sera le numéro 14, John Ford, un 5 au physique de Mc Cord, très longiline, très vif et monté sur ressorts. Ce joueur, auteur de 35 d'évaluation à Chalon, est capable de tirer extérieur comme de jouer in the paint. Marquis aura fort à faire, même s'il aura l'avantage de la puissance, comme face à Mahinmi. Faire faire des fautes à Ford semble être la solution, lui qui fait 3.3 fautes par match. La rotation, Correa, n'a pas non plus franchi le cap de la proA avec 2pts, 2rbs. La profondeur de banc de la SIG, avec l'option Mädrich qui a montré de très belles choses face à Pau, devrait faire la différence. Egalité.

En somme, la force de Besançon, c'est son 5 majeur et en particulier les postes 3/4/5 avec les frères Ruzic et Ford. Wooten est encore irrégulier, et les remplaçants d'impact son rares: Hoard et le nouveau venu Harrison. Il faudra se méfier de Harrison, qui aura à coeur de se montrer et de prendre une place de titulaire. N'oublions pas non plus la salle, le BBCD a une salle particulièrement chaude.
Toutefois, en gardant l'état d'esprit affiché mardi, la SIG a largement les moyens de l'emporter. C'est sans doute l'une des rencontres les plus abordables de ce mois d'octobre; avec deux défaites au compteur, la SIG n'a plus beaucoup de matchs à laisser en route.

Très bonne analyse !

Pour Cory Bradford, il faut savoir qu'il est blessé à l'épaule depuis 2 matchs.
En pleine santé, il est capable de s'enflammer rapidement.
David Harrison est lui arrivé mardi à Besançon, même si il est probablement d'un bon niveau il ne devrait pas être d'une grande utilité pour son 1er match. J'espere le contraire bien évidemment ....

Pour compléter je dirais qu'évidemment il existe de multiples aspects imprévisibles du jeu qui peuvent influencer le cours du match...
gestion des fautes, arbitrage, pression du public, fatigue, joueur X-factor, motivation et envie etc ...
Après c'est sûr que la comparaison poste par poste vous est forcémment favorable.

Reste à voir à quel niveau évolurera la SIG ! En jouant comme contre Pau, le BBCD va certainement exploser rapidement, mais si Strasbourg joue comme lors des 2 premiers matchs vous repartirez avec une défaite ....

Pour rappel, lors du dernier BBCD-SIG en 2003, Kelley McClure et ses 35 d'éval avaient offert au palais des sports un match très agréable. Espérons que ça soit pareil samedi soir !

Bon match.

Ok, pour Bradford, j'avais oublié qu'il était blessé: ça explique son faible rendement. Au temps pour moi.

Présentation de la SIG par le site officiel du BBCD:

http://www.bbcd.org/dossier.php?id=1418&pr%E9sentation-de-strasbourg&sid=4b0af931a3808915a8c4add75d73a11a

L'impressionnante armada strasbourgeoise s'est réveillée fort mardi face à Pau qui a carrément explosé ! Avant le voyage à Besançon l'intérieur alsacien Claude Marquis fait le point.

BESANÇON. Une défaite surprise d'entrée contre Roanne au Rhenus Sport (74-77), une autre dans la foulée à Paris face à un PBR qui n'avait pas encore fini de compléter son roadster (74-65). Assurément Strasbourg donné comme l'un des favoris de Pro A, a raté son entame de saison. Mais voilà, mardi, les hommes d'Eric Girard se sont réveillés fort pour plonger un peu plus Pau dans le doute et lui passer la bagatelle de 29 points (95-66). Enorme !

Depuis, l'ancien Choletais, Claude Marquis débarqué cette année en Alsace et tous ses coéquipiers baignent dans une énorme bonne humeur. Un signe qui ne trompe pas, hier au téléphone à 13 heures 30, tout juste après la séance d'entraînement du matin, l'ambiance était bruyante et joyeuse dans le vestiaire : « Là, je crois qu'on a vraiment lancé notre saison. On n'a pas paniqué après les deux premiers revers. Je savais qu'après la tempête viendrait le beau temps... Mais, moi comme les autres, on s'est tous remis en question individuellement et au sein du collectif. Et surtout, on a attaqué ce match remontés comme des pendules. Ça a payé ! De plus, une victoire comme celle-là face à un concurrent direct pour les premières places, vous ne pouvez pas savoir comme ça fait du bien ».


En fait, Claude Marquis explique combien, au départ du championnat, Strasbourg s'est trouvé déstabilisé par la blessure du meneur Lonnie Cooper qui s'est blessé tout juste avant le match contre Roanne et qui ne reviendra à la compétition que dans trois semaines : « Lonnie nous faisait bien jouer. Il a fallu digérer cette absence. Il nous manque beaucoup, même si Gauthier Darrigand a su prendre ses responsabilités ».

« Donner de l'intensité »

Au delà de ce pépin, Strasbourg a aussi manqué d'agressivité. Claude Marquis l'avoue : « Il fallait qu'on se batte davantage sur 40 minutes. On y est parvenu contre Pau. On doit maintenant se faire respecter, maintenir ce rythme défensif qui nous a permis de n'encaisser que 66 points contre les Palois ». Avant d'ajouter sur un plan plus technique : « L'équipe a été presqu'entièrement relookée lors de l'intersaison, peut-être fallait-il également que les complémentarités se fassent mieux et qu'on trouve une meilleure relation entre intérieurs et extérieurs ».

A titre personnel, le pivot alsacien (26 ans - 2,04m) se dit heureux de son sort après avoir passé dix ans à Cholet : « Pour moi, c'est une nouvelle expérience qui a commencé, la première dans une des plus grosses équipes françaises avec des joueurs très costauds comme Edson, Sanders ou encore Nissim. Tout doucement, je m'adapte à mes nouveaux coéquipiers et à ce que me demande Eric Girard ». Sur les trois premiers matches, il tourne à 8,3 pts (4e marqueur de l'équipe) et 4,7 rebonds de moyenne. Avec ce commentaire sur ses stats : « Je sais que je dois encore travailler ».

Bien évidemment, Claude Marquis évoque le déplacement de samedi à Besançon : « Le début du championnat nous a prouvé que mis à part peut-être Bourg et Reims qui paraissent avoir du mal, il n'y a pas de petites équipes. Souvent, ça se joue sur les rotations. Besançon fait partie de ces équipes dont il va falloir se méfier. On sait qu'on est attendus et que pour gagner dans le Doubs, on devra obligatoirement continuer à donner de l'intensité à notre basket ». Strasbourg s'y est préparé.

Pierre LABBE

(http://www.estrepublicain.fr/sportsfc/2006100600224538.html)

Soyons clair : je suis persuadé que Besancon offrira une résistance bien plus consistante que celle de Pau-Orthez.

C'est une équipe qui est bien en place, qui ne paniquera donc pas, et dont le secteur intérieur n'est pas susceptible de s'écrouler.

Dès lors, c'est un vrai test : face à une vrai mène, Darrigand sera-t-il aussi à l'aise que mardi ? Pourra-t-on dominer les rebonds ? Et devant une équipe qui jouera sa chance jusqu'au bout au lieu de démissionner, saurons-nous garder le sang froid et remporter un match peut-être bien serré ?

Si les réponses sont positives, alors oui, l'optimisme de Marquis est justifié. Mais l'an passé aussi, on avait écrasé Pau. Cela n'avait pas empêché des défaites, parfois surprenantes, de s'ensuivre.

Les travaux d'Hercule

Après avoir décroché son premier succès mardi à Clermont, le BBCD accueille Strasbourg impressionnant d'efficacité contre Pau. Une dure soirée attend les basketteurs bisontins.

BESANÇON. Que Pau ne soit pas encore à la hauteur de sa réputation, sans doute. Chacun dans le petit monde du basket s'accorde à le penser. Toutefois ce qu'a réalisé mardi soir Strasbourg face à la formation pyrénéenne a de quoi faire froid dans le dos... Dans un match sensé être un choc équilibré entre poids lourds de Pro A, les hommes d'Eric Girard -avec le MVP de la Bundesliga 2005-06 Chuck Eidson en habits de gala (25 pts en 27 minutes)- ont en effet passé une véritable correction à leurs adversaires. Avec 31 longueurs d'écart maximum et 29 à l'arrivée, on n'était pas loin de l'humiliation...

Ainsi donc, bâtie pour jouer les premiers rôles, l'équipe alsacienne qui avait connu deux fois de suite la défaite s'est-elle parfaitement ressaisie en gommant les deux défauts majeurs qui l'avaient handicapée en ouverture du championnat. D'abord en montant fort son niveau d'agressivité défensive. Par ailleurs, le jeune Darrigand et l'Israëlien Nissim ont mieux su suppléer Lonnie Cooper, le meneur titulaire et ancien palois blessé en préparation et qui récupère d'une opération à la cheville droite. Ce qui a forcément bonifié l'ensemble.


Germain Castano qui a vu les images de Strasbourg-Pau et en a fait un montage à l'adresse de ses joueurs, a apprécié à sa juste valeur la démonstration. Mais il a surtout essayé d'imaginer son équipe face à cette armada : « On vient de remporter une victoire précieuse à Clermont. Là, on affronte Strasbourg. Ce sont deux mondes différents. Mais on va essayer de tout faire pour nous adapter, pour les gêner ».

Le coach bisontin a donné les trois axes principaux sur lesquels il faudra ne rien lâcher.

Freiner Eidson

D'abord la défense pour ne pas laisser s'enflammer les talents adverses tels le gaucher Eidson capable de s'exprimer sur les postes 2, 3 voire 4, Smith ou encore Nissim.

Ensuite, savoir offensivement trouver vite les réponses à une défense à géométrie variable qui passe de l'individuelle à la zone sans oublier une « press » parfois très haute, très chaude.

Enfin contrôler au mieux le rebond et la paire Marquis - Sanders, avec McCord et Madrich en rotation. Pour info, Strasbourg a pris la bagatelle de 24 rebonds offensifs mardi contre Pau...

Autant de tâches pour lesquelles Germain Castano a piloté sa troupe depuis le retour vainqueur de Clermont. Les duels seront autant de clefs. Ford face à Sanders dans la peinture ne sera pas le moindre, tout comme celui qui opposera Jurica Ruzic ou Hoard à Eidson, le maître à jouer de la SIG.

Mais pour créer des failles aussi bien dans le jeu que dans les esprits alsaciens, pour tenter de semer le doute chez cet adversaire haut de gamme, il sera nécessaire que tous les Bisontins montent leur volume de jeu individuellement et collectivement. Aussi bien les joueurs du cinq majeur comme Wooten à la baguette que ceux qui seront appelés à sortir du banc. Et puis, il faudra bien évidemment hausser le niveau de réussite longue distance en faillite à Clermont (15 %) à l'image d'un Bradford totalement muet (0/4) et qui sera peut-être poussé par l'arrivée de Harrison, un complément voire un concurrent sur ce poste. On l'aura compris, pour espérer, le BBCD devra être ce soir à son maximum. Et si possible au delà...

Pierre LABBE

« Un challenge »

- Jurica Ruzic, comment cette première victoire obtenue à Clermont a-t-elle été ressentie au sein de l'équipe bisontine ?- C'est la preuve qu'on peut gagner des matches loin de nos bases. C'est aussi un bon bol d'oxygène et un peu de confiance également. C'était hyper important de gagner. A titre personnel, je donne tout ce que je peux pour rendre au coach la grande confiance qu'il m'accorde. Après cette victoire, je vais moins appréhender les matches qui viennent. Et puis Strasbourg arrive, c'est un challenge, un vrai challenge. La motivation est forcément là, pour moi comme pour nous tous...

- Comment expliquez-vous ce manque d'adresse à 3 pts connu en Auvergne ?- On a eu de bons tirs avec de bonnes positions. Peu ont été forcés. Mais je crois qu'on n'a pas eu de chance que ce soit Cory Bradford, Pierre Wooten, Mehdi Labeyrie, moi également, même si j'en rentre trois. En fait, on a tout simplement manqué de chance : de nombreux ballons ont tourné sur le cercle et sont ressortis du panier. On aurait pu gagner tellement plus largement... Le jour où ça rentrera alors je pense que le BBCD sera une bonne équipe de Pro A.

- Strasbourg débarque ce samedi avec son armada. Individuellement, vous serez opposé à un certain Chuck Eidson, le maître à jouer de l'équipe. Des craintes ?- Je n'y pense pas car je ne raisonne pas individuellement mais collectivement. On a travaillé, j'espère que ça paiera...

Recueilli par P.L. (avec D.C.)

(www.estrepublicain.fr)

A Besançon, les frères Ruzic vont voir débarquer une équipe de Strasbourg qui fort de sa convaincante victoire devant Pau retrouve la confiance et sera dure à manoeuvrer. Chuck Eidson monte en puissance à la SIG, ça promet pour la suite.


La cote: Besançon 40/60 Strasbourg

(www.planetebasket.net)

Besançon – Strasbourg
Large vainqueur de Pau-Orthez mardi dernier, Strasbourg veut confirmer à Besançon samedi. Les Bisontins ont eux aussi ouvert leur compteur de victoire lors de la dernière journée à Clermont. Lonnie Cooper toujours blessé, Gauthier Darrigand sera le meneur titulaire de la SIG, face à Pierre Wooten.

(www.lnb.fr)

5-4.

9-6: Eidson en est à 4pts. Déjà 2 balles perdues et 3 fautes du côté de la SIG.

11-6: 2 fautes de Sanders, remplacé par Mc Cord.

ON a du mal aux rebonds: 5-2

11-8 après un panier de Darrigand. Il provoque la 2e faute de J. Ruzic. And one ! 11-9

13-11: 6pts pour Ford et pour Eidson

Bloqué par une dissertation de philo à rendre pour lundi je n'ai pas pu me déplacer à Besançon... mes parents avec mon copain et quelques supporters sont partis mettre un peu d'ambiance pousser nos joueurs.

13 à 11 pour l'instant c'est pas un trop mauvais départ

ALLEZ LA SIG!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Déjà 5 balles perdues côté SIG.

Salut à toi Jenn, tu me tiendras compagnie !

On passe devant: 13-15. On tient beaucoup mieux le rebond: 8-10

La SIG provoque les fautes: 13-18 après des lancers de John et Afik. Mädrich cadenasse le rebond déf (3)

c'est vrai que tu as l'air un peu seul... lol

13 à 18

du coté de la sig tous les joueurs (pro) sont déjà rentré sur le terrain au 1/4 temps

13-18 fin du premier quart: 6pts pour Eidson, 4 pour Nissim. Mädrich: 4rbs déf, Mc Cord 3rbs.

Ford en est à 6pts, 4rbs.

Adresse: 19% pour Besançon, 47 pour la SIG.

La défense strasbourgeoise est excellente pour le moment.

13-20 après un panier d'Afik.

15-23 après le premier 3pts de la SIG (de Smith). 3e faute provoquée par Mc Cord.

A noter le réveil de Bourg: 24-15 à Paris.

17-23: deux échecs de Marquis aux lancers.

Beaucoup de déchets de part et d'autre: 21% de réussite pour Besançon, 8bps côté SIG.