PRO A 20ème journée : SIG - Besançon

DNA du 05 mars 2009

Avant SIG - Besançon, samedi (20 h), au Rhenus

Le promu compte ses troupes

Besançon, une équipe que la SIG pourrait retrouver au début du mois d'avril pour un match amical, déboule au Rhenus avec une infirmerie bien remplie.

EN SOUFFRANCE. - Ce n'est pas le grand soleil sur l'effectif bisontin. Alors qu'il reste sur une série de trois défaites consécutives et est devenue relégable en perdant face à Gravelines samedi dernier (74-90), le promu franc-comtois est plombé par les blessures. Pour le rendez-vous face à la SIG, Alain Thinet devra se passer notamment d'Éric Schmieder, out jusqu'à la fin de la saison, ainsi que de son Franco-Américain Antwan Hoard, en délicatesse avec son dos. Dans le même temps, John Ford soigne une pubalgie en faisant l'impasse sur la plupart des entraînements et Ahmed Fellah a été touché face à Gravelines.

HISTOIRE DE MENEUR. - Le panorama bisontin est encore obscurci par une mésaventure qui touche le poste de meneur. Mystérieusement choisi par les Denver Nuggets au premier tour de draft en 2002, le polyvalent (et un peu insignifiant) Julius Hodge était destiné à être remplacé par Tierre Brown, en provenance de la D-League, la ligue de développement américaine. Sauf que le nouvel élu a joué la carte de la surenchère. Ne désirant pas céder aux exigences exprimées, Besançon a décidé de réintégrer Julius Hodge.

HEUREUSEMENT DUBIEZ. - Dans ce contexte, la venue de Thomas Dubiez, à la fin du mois de janvier, s'est apparentéeà une bénédiction. Recruté jusqu'à la fin de la saison, l'ancien de Gravelines a rejoint le promu après une pige au mois de janvier à Antibes. Il a réalisé son match le plus intéressant, l'autre soir, face à son ancien club (13 points). A noter également la présence sur la feuille de match bisontine du jeune pivot Raphaël Giaimo. Celui qui apassé une saison en Alsace n'est néanmoins jamais rentré en jeu dans le cadre de la pro A.

RETROUVAILLES COMPLIQUÉES. - Le calendrier se singularise par un sensible trop plein en ce mois de mars. Le 8e de finale de coupe de France programmé entre la SIG et Cholet s'avère très compliqué à programmer. Dans la litanie des soucis, un match de gala entre la SIG et... Besançon pose problème. Il est organisé dans le cadre des festivités inaugurales de l'Axone, une salle de Montbéliard. La date des retrouvailles alsaco-franc-comtoises est prévue le 7 avril. Or, il s'agit d'une date de repli pour le match de coupe de France, étant donné qu'il ne pourra pas avoir lieu le 17 mars, comme initialement prévu - aventure européenne choletaise oblige -, ni le 24, puisque la SIG affrontera alors Roanne. « On est en train de faire le tour des solutions, a indiqué le directeur sportif de la SIG, Jérôme Rosenstiehl, hier. Et il se pourrait très bien que l'on doive faire l'impasse sur l'invitation de Montbéliard. La Fédération ne semble pas vouloir retenir notre solution du 12 avril, pour un éventuel quart le 14. »

RUSH ENFIN ? - Il a déjà fait partie de la pré-sélection mensuelle cette saison. Mais Brion Rush pourrait enfin être l'heureux élu du mois de février dans la désignation de l'homme du mois de la pro A. L'arrière américain de la SIG est en concurrence avec Dee Spencer, le Manceau, et David Teague, le Vichyssois. Au regard de son rendement tout au long du mois, le shooteur au bandeau peut nourrir quelques espoirs de remporter la timbale cette fois-ci.

Fr.N.

DNA du 06 mars 2009

Basket-ball / Avant SIG - Besançon, samedi, 20 h

Dubiez dans l'urgence

Thomas Dubiez revit en Franche-Comté. En galère avec la fin de son contrat à Gravelines, l'été dernier, l'ailier a pu renouer avec le haut niveau en deux étapes. Après une pige à Antibes au mois de janvier, il se consacre au maintien du promu bisontin, mais ne masque pas les difficultés de la tâche.
Une forme de malédiction le poursuivrait-elle ? Thomas Dubiez peut se poser la question. Avec la fin de son contrat longue durée, à Gravelines, où il a passé quatre saisons, l'arrière de 28 ans a pu sérieusement s'interroger.
Certes, il a connu la saveur de quelques rendez-vous internationaux, au côté de Ronny Turiaf, Boris Diaw et les tauliers de l'équipe de France, l'été dernier. Mais l'aventure en Bleu s'est achevée quelques jours avant les matches qualificatifs (ratés) de l'équipe de France pour l'Euro 2009. Et la convocation de Michel Gomez masquait une réalité plus angoissante. C'est avec le statut de chômeur que la saison 2008-2009 a débuté pour lui.
Il a guetté le marché et s'est mué en candidat à la pige médicale en s'entretenant dans le sud de la France. Et, après un contrat d'un mois à Antibes, il renoue depuis la fin du mois de janvier, avec les parquets de la Pro A.
« Ce n'est pas une nouvelle carrière pour autant, précise le fruit du centre fédéral lancé dans le bain du professionnalisme depuis presque dix ans. Il est clair que je n'ai pas une saison entière pour prouver. Dans mon cas, il faut être performant au plus vite. Mais je n'avais jamais perdu de vue mon objectif, évoluer en pro A. »

« Il va (...) falloir taper des gros »

Il a donc la possibilité de le faire à Besançon, en prenant le relais d'un Ahmed Fellah peut-être out jusqu'à la fin de saison, mais avec l'assurance aujourd'hui de demeurer dans l'équipage franc-comtois jusqu'à l'heure du verdict. L'arrière ne masque pas sa surprise devant le confort du promu. « D'abord, il y a un bon groupe et, à ma grande surprise, le club est bien structuré pour un promu, constate-t-il. Je bénéficie d'une chance ici. Le minimum pour moi, c'est de tout faire pour contribuer au maintien. »
Le défi ne s'annonce pas aisé. Besançon a une infirmerie bien remplie. Les allers et venues ne contribuent guère à asseoir un collectif. La perspective de rafler la mise au Rhenus afin de se relancer apparaît improbable. « Mais dans notre situation, il n'y a pas de question à se poser, souligne celui qui s'est fendu de 13 points face à son ancien club de Gravelines samedi dernier. Il va de toute façon falloir taper des gros. Et puis, dans notre championnat, quelles sont les petites équipes ? On a le potentiel, il s'agit juste de le concrétiser. »
La lutte acharnée dans les bas fonds de la Pro A dont le BBCD occupe l'avant-dernière place ne laisse aucun répit. Elle impose même de réagir au plus vite. « La saison passée, avec Gravelines, on avait décroché le maintien sur la dernière journée (ndlr : avec une victoire à Orléans), rappelle-t-il. J'espère vraiment que l'on s'en sortira avant. » Entretenir l'espoir passe par un éventuel coup au Rhenus samedi.

François Namur


20 Minutes du 06 mars 2009

LA SIG doit tenir Ferme son rang

Un faux pas ferait mauvais genre. La SIG reçoit Besançon, pour la 20e journée de Pro A, demain à 20 h au Rhenus, et une victoire s'impose. Car face au promu bisontin, les coéquipiers de Sacha Giffa, cinquièmes du championnat, doivent faire fructifier leur victoire obtenue à Cholet (56-71). Surtout, ils ne doivent plus perdre de points à domicile pour satisfaire leurs ambitions de fin de saison, une place en play-off et la plus haute possible.
La sortie de route face à Dijon (79-103), il y a quinze jours, ne peut donc décemment pas se répéter. D'autant plus que les Franc-Comtois sont dans la nasse. Ils viennent d'enchaîner coup sur coup trois défaites, sont désormais quinzièmes et premiers relégables, et pour ne rien arranger connaissent quelques soucis d'effectif. Bref, on retrouve pas mal d'ingrédients de la large victoire ou du match piège par excellence. Ça avait été le cas lors du match aller où les Strasbourgeois s'étaient inclinés (74-72). F.H.

Je pense que Sarre a raison d'un peu se méfier... Parce que personne ne parle de ce match, mais il faudra tout de même le jouer pour le gagner... Et il suffit de tomber sur une équipe euphorique pour être surpris. Après c'est clair que les absences du côté de Besançon n'arrangent rien pour eux!

simbad88 a écrit:Je pense que Sarre a raison d'un peu se méfier... Parce que personne ne parle de ce match, mais il faudra tout de même le jouer pour le gagner... Et il suffit de tomber sur une équipe euphorique pour être surpris. Après c'est clair que les absences du côté de Besançon n'arrangent rien pour eux!

Surtout qu'on a perdu contre pleins d'équipes ayant pleins de blessés cette année déjà...

Fabrice a écrit:

simbad88 a écrit:Je pense que Sarre a raison d'un peu se méfier... Parce que personne ne parle de ce match, mais il faudra tout de même le jouer pour le gagner... Et il suffit de tomber sur une équipe euphorique pour être surpris. Après c'est clair que les absences du côté de Besançon n'arrangent rien pour eux!

Surtout qu'on a perdu contre pleins d'équipes ayant pleins de blessés cette année déjà...

Et qu'on a déjà perdu contre Besançon...

Ptite info en passant, Gravelines vient de taper Orléans 70-60...
Perte de vitesse de l'entente!

simbad88 a écrit:Ptite info en passant, Gravelines vient de taper Orléans 70-60...
Perte de vitesse de l'entente!

Oui, et il faut dire que sur ce coup là, ça nous arrange pas des masses, v'la qu'ils vont retrouver leur adresse lors de notre confrontation

DNA du 07 mars 2009

Basket-ball / SIG - Besançon, ce soir, au Rhenus (20 h)

Des comptes à régler

La bande à Frédéric Sarre reste sur deux sorties assez convaincantes. Elle n'en a pas moins la nécessité de confirmer, ce soir, au Rhenus, face à un promu en difficulté.
En dépit de la grisaille qui n'en finit pas de s'éterniser sur nos contrées, il n'est pas loin de faire grand bleu du côté du Rhenus. L'effectif de Frédéric Sarre affiche complet. Pas le moindre petit bobo n'a perturbé la semaine d'entraînement.
Et l'entraîneur n'est pas loin d'avoir décelé un match référence avec la victoire décrochée à Cholet voilà huit jours (56-71). « Ce que je souhaite, c'est que l'on reste dans les registres d'Orléans et de Cholet, a ainsi souligné le technicien strasbourgeois à la veille d'accueillir Besançon. On a désormais montré que l'on était capable de faire du bon jeu, même s'il y a des moments où on n'y est pas. »

« Une alternance de jeu sympa »

A la faveur de ses récentes sorties, la SIG a aussi ajouté quelques cordes à son arc, ce qui lui permet de jouer quelques séquences enlevées. En marquant vingt points à eux deux, Essart et Darrigand ont prouvé à la Meilleraie que le poste 1 n'avait pas vocation à demeurer purement défensif cette saison. David Simon affiche un visage séduisant dans la peinture depuis la fin du mois de janvier.
Et l'obsession bisontine de limiter Rush, le meilleur artilleur strasbourgeois, ne pourrait suffire à ne pas rentrer bredouille de son court périple alsacien. Accessoirement, le BBCD est plongé dans une vilaine série, enchaînant trois défaites qui le place ce matin dans la charrette des relégables.
« Besançon a perdu contre trois équipes solides, poursuit Frédéric Sarre. Et perdre d'un point à Roanne, ce n'est pas honteux. En plus, je considère que c'est l'une des équipes qui fait preuve d'une alternance de jeu vraiment sympa. Ce n'est pas une équipe simple à jouer. » Elle semble pourtant bel et bien en souffrance.
Son leader, Tommy Gunn, a rejoint les États-Unis pour des raisons familiales. Après avoir coupé Julius Hodge, les dirigeants franc-comtois l'ont rattrapé par la manche quand son remplaçant a fait faux bond. John Ford, la pierre angulaire du système intérieur, gère une pubalgie qui l'empêche de s'entraîner.

La Pro A marche un peu sur la tête

Quelques funestes souvenirs ne manquent néanmoins pas de garder la SIG en éveil. Frédéric Sarre préfère oublier le précédent. Mais les Strasbourgeois demeurent sur une énorme déconvenue dans son antre, fessés par des Dijonnais lors d'un match qui rappelle que la Pro A marche un peu sur la tête (79-103). Le week-end dernier, les victoires de Rouen à l'Astroballe ou de Chalon à Orléans ont confirmé que la hiérarchie était écornée à chaque journée.
Et le précédent entre les deux équipes y a participé. Au Palais des Sports bisontin, la SIG avait échoué à la faveur d'une ultime possession gâchée. A ce jour, c'est la seule victoire des Bisontins cette saison face à un membre du top 8.

François Namur


L'Alsace du 07 mars 2009

Basket-ball : la SIG doit faire la loi

Ce soir (20 h) au Rhénus, les basketteurs strasbourgeois doivent vaincre Besançon, avant-dernier du championnat, pour poursuivre leur route vers les play-offs. Et surtout confirmer leur bonne prestation réalisée à Cholet la semaine passée.

Tout porte à croire que le duel entre Strasbourgeois et Bisontins, comptant pour la 20e journée de Pro A ce soir au Rhénus, va forcément tourner en faveur des Alsaciens. La SIG reste sur une démonstration en déplacement à Cholet (56-71) et un match plein, malgré la défaite, contre Orléans (87-82) lors de la semaine des As. De leur côté, les Doubistes viennent de subir trois défaites de suite et présentent un effectif diminué par les absences et les petits bobos.
Pourtant, Frédéric Sarre, l’entraîneur strasbourgeois, ne veut pas entendre parler de match facile : « À chaque fois que j’ai vu jouer les Bisontins, ils m’ont fait une bonne impression. Ils possèdent de bons joueurs, une alternance de jeu assez sympa, avec pas mal de variété, qui n’est pas forcément simple à contrer ».
Besançon vient de se frotter successivement à Nancy, Roanne et Gravelines, trois équipes du top 8. Un calendrier difficile qui incite à la méfiance, en se rappelant notamment du naufrage strasbourgeois face à Dijon (79-103) lors de leur dernière prestation au Rhénus, il y a trois semaines. « Ce match, il faut l’oublier parce que nous n’avons rien fait de bon. Je souhaite surtout qu’on ait la capacité à reproduire nos dernières prestations d’Orléans et Cholet, note Frédéric Sarre. Mais je suis dans l’incertitude parce que nous sommes capables de bien jouer et, par moments, de ne plus être présents ».
Avant-dernier de Pro A, le promu bisontin n’a pas vraiment le choix. Avec seulement six victoires en 19 matches, les Doubistes occupent désormais une position de relégable, avec seulement une victoire de retard sur le ventre mou du championnat. Autant dire que rien n’est encore joué pour les Bisontins qui viendront au Rhénus la peur au ventre. Privés d’Éric Schmieder (douleurs dos), Antwan Hoard (lombaires) et d’Ahmed Fellah (aponévrose plantaire), ils ne se présenteront pas avec toutes leurs forces vives.

« Engagement et intensité »

Ménagés cette semaine à l’entraînement, Simon Darnauzan (tendon d’achille) et John Ford (pubalgie) seront par contre bien présents sur le parquet du Rhénus. Les Bisontins peuvent compter sur l’adresse de Justin Hawkins, qui tourne à 13 points de moyenne et à 39 % de réussite à longue distance, et sur Thomas Dubiez, de retour au club fin janvier et qui a déjà démontré ses qualités de shooteur (35 % de réussite à trois points) lors de ses sept premiers matches.
Lors du match aller, Besançon s’était imposé de justesse (74-72) face à une équipe strasbourgeoise inconstante. Une courte défaite qui reste en travers de la gorge des Alsaciens. « Cette défaite nous a laissé un gout amer. Je peux vous dire qu’on va avoir à cœur de gagner ce match retour », lance Gauthier Darrigand, le meneur de jeu alsacien, qui avait la balle pour égaliser en toute fin de match.
Avec un effectif au complet, la SIG affiche clairement ses ambitions. Avant un déplacement compliqué à Villeurbanne, coleader de Pro A, la semaine prochaine, elle a tout intérêt à ne pas passer à côté de son match. « Je me répète toutes les semaines, mais il faut mettre de l’engagement et de l’intensité dés le début de la rencontre pour ne pas les laisser prendre confiance », conclut Frédéric Sarre, qui attend un succès de ses joueurs pour faire un pas de plus vers les play-offs.

SIG : 4. Rush ; 5. Darrigand ; 6. Mendy ; 7. Essart ; 9. Allen ; 10. Giffa ; 13. Obasohan ; 14. Simon ; 15. Lewin ; 17. Gentil ; 18. Soumahoro ; 19. Weber ; 20. Zonnet. Entraîneur : Frédéric Sarre.
Besançon : 4. Hodge ; 6. Hawkins ; 7. Darnauzan ; 8. Dubiez ; 9. Diene ; 10. Desroses ; 12. Curti ; 13. Giaimo ; 14. Ford ; 15. Doellman. Entraîneur : Alain Thinet.

Olivier Arnal


Basket Besançon: à moins d’un exploit...

Meurtri par les blessures et absences, le BBCD se déplace ce soir (20h) à Strasbourg avec une chance minime de gagner.
La Pro A a montré encore la semaine dernière que gagner chez le leader est possible, même pour les clubs en fond de classement. La seule différence avec Besançon est que ces clubs ont un effectif complet. On ne peut pas dire que cela soit le cas du BBCD qui se déplace ce soir à Strasbourg avec un demi-effectif. Hoard out, Schmieder out, Fellah out, Ford diminué, cela fait 4 joueurs sur 11 absents ou non au top. Sans vouloir enlever de la valeur aux autres joueurs et Alain Thinet le rappelle bien, « quand on n’a pas l’effectif pour s’entraîner correctement, on s’entraîne mal et par conséquence, on joue mal en match ».
Pour Besançon, il s’agit désormais de limiter la casse par rapport aux autres afin de pouvoir donner un coup de collier sur la dernière ligne droite. Strasbourg ne prendra pas la venue de Besançon à la légère. Frédéric Sarre sait que Besançon est au plus mal, mais que c’est exactement dans ces conditions que des joueurs peuvent prendre feu et que son équipe un peu trop confiante pourrait se laisser déborder. Il n’est pas question, maintenant que Strasbourg est revenu dans le top 8 en visant la 3e place d’ici la fin de la saison régulière de perdre un point contre une équipe qui joue le maintien et qui avait déjà fait perdre un point à Strasbourg en début de saison. Pour Besançon, le but est de rester dans le sillage des 4 clubs juste devant au classement, car à six, la deuxième place de relégué en fin de saison est plus facile à jouer que quand elle vous est destinée d’office.

BBCD (l’équipe) : Darnauzan, Hodge, Dubiez, Hawkins, Doellman, Ford, Diene, Desroses, Curti, Giamo

Sarre innove en laissant Brion sur le banc. Pour le reste, c'est du classique. Déjà deux 3 pts pour Sacha.

2 fautes pour John Ford, une bonne opération.

13-4, mais avec une passe décisive de Hodge pour John. Vous avez dit bizarre ?

14-10, avec 8 pts pour le Shaker en 6'.

La SIG appuie en dessous. Après les deux fautes de Ford, voici les 3 de Diene ! 18-12

22-14 à la fin du 1er quart. De l'adresse (67 %), du rebond (7 à 4), mais aussi déjà 6 bps !

Malgré un rapproché bisontin, la SIG conserve une petite avance.

45-38 à la mi-temps, soit 23-24 sur le quart. Il faudra resserrer les boulons en défense. David, Sacha, Rob et Elson ont marqué plus de 7 pts chacun, signe que la SIG appuie dessous. A noter que l'on n'a plus perdu de balles.

Après l'égalisation bisontine à 49-49, voici la SIg lancée dans une belle série : 15-0, série en cours (64-49).

67-49 à la 30', soit 22-11 sur le quart. La série strasbourgeoise est toujours en cours (18-0).

L'irréelle série strasbourgeoise s'est arrêtée à 24-0 !

moi a écrit:L'irréelle série strasbourgeoise s'est arrêtée à 24-0 !

0 bp dans le 3ème quart !

Bon, victoire tranquille 91-76. On a dominé dans tous les secteurs, le quatuor intérieur Mendy/Giffa/Lewin/Simon cumulent un impressionnant 58 pts, 23 rbds ! Le 24-0 à cheval sur les 3e et 4e quart-temps a scellé le sort de la rencontre.

Jack a écrit:

moi a écrit:L'irréelle série strasbourgeoise s'est arrêtée à 24-0 !

0 bp dans le 3ème quart !

Ainsi que dans le 2e. On passé vingt minutes sans perdre une seule balle !

moi a écrit:Bon, victoire tranquille 91-76. On a dominé dans tous les secteurs, le quatuor intérieur Mendy/Giffa/Lewin/Simon cumulent un impressionnant 58 pts, 23 rbds ! Le 24-0 à cheval sur les 3e et 4e quart-temps a scellé le sort de la rencontre.

J'aime bien les stats de Simon qui n'a pas joué beaucoup mais qui signe quand même 12 pts - 4 rebonds - 4 pds (!) - 2 contres. Lewin a eu plus de temps de jeu et a été performant !

Rush, 19 shoots (!) mais qui a également bien distribué le jeu. Notre poste 1 revient dans ses standards (8 d'évaluation cumulé)

J'ai l'impression qu'ils n'ont jamais vraiment tremblé.. C'est quand même plus sérieux... Le match de Dijon a t-il servi de leçon ? A suivre...

A noter que tous nos concurrents ont gagné ce soir... On revient au niveau de Nancy qui perd contre Cholet...