Coupe de France 2008 / 2009 : 1/2 finale : Le Mans - SIG

Visiblement, on recoit une nouvelle fois... Et ce sera Cholet.

En cas de qualification pour les 1/4, on se déplacera forcément (certainement Gravelines).

Tableau complet :

http://www.basketfrance.com/_cdf/docs/cdf0809.pdf

D'après les stats, très gros match de Essart et de Obasohan.
Pour le reste, du classique, à part Rush qui se rate.

En face, Krupalija, il s'est baladé...
Quand on voit comment il avait été anéanti par la défense de l'ASVEL...

de retour du rhénus, un match agréable sans plus.
gros match de essart et obasohan(j'en profite de le voir parce qu'à la fin de la saison on peut lui dire adieu,dès qu'il shoote c'est dedans),rush s'est troué puis a été économisé,giffa pas mal,allen ça va mais simon HS et mendy en défense sur krupalija mon dieu...
c'est vrai qu'en seconde mi-temps c'était un festival de krupalija en attaque, tout y est passé et rob,david et elson n'y ont vu que du feu.je le prendrais volontiers dans l'équipe celui-là.
sanders n'a pas changé avec toujours son sens du placement et son shoot à une main..

De retour aussi, et franchement que ce fut laborieux. Avec davantage de sérieux, on doit le plier bien avant la dernière minute.

Merci Obasohan qui nous sauve la mise. Il met ses shoots ouverts et les patates chaudes avec une main sur la tronche
Pour Simon, il va falloir faire quelque chose, Sarre était dépité de le voir faire boulette sur boulette.
Essart a été très bon, Rush en dedans complet et Giffa monte quelque peu en régime.
Par contre, j'ai été très déçu par Allen, qui est plein de bonnes volontés dans la création mais qui n'a pas les capacités pour distancer ses adversaires tout simplement et en plus qui met pas ses shoots ouverts.
En défense, on a de superbes séquences et d'énormes trous d'air (Au moins 10 points des Dijonais seuls dans la peinture)

En ce qui concerne Dijon, Krupalija est énorme, pour le reste, c'est quand même un peu le néant. Cope et Williams par moment, et super déçu du match de Sanders.

Bref, une victoire c'est une victoire et place à Cholet, mais si on joue comme cela à Chalon, on verra jamais Le Havre.

françois a écrit:de retour du rhénus, un match agréable sans plus.
gros match de essart et obasohan(j'en profite de le voir parce qu'à la fin de la saison on peut lui dire adieu,dès qu'il shoote c'est dedans),rush s'est troué puis a été économisé,giffa pas mal,allen ça va mais simon HS et mendy en défense sur krupalija mon dieu...
c'est vrai qu'en seconde mi-temps c'était un festival de krupalija en attaque, tout y est passé et rob,david et elson n'y ont vu que du feu.je le prendrais volontiers dans l'équipe celui-là.
sanders n'a pas changé avec toujours son sens du placement et son shoot à une main..

Pour moi la priorité actuel serait déjà de tenter de resigner Obasohan que Sarre voulait à Gravelines avant qu'il ne signe à la SIG et qui cette saison s'éclate sous ses ordres.
Rush passe au travers sa arrive et l'on a pu l'économisé, Allen comme d'habitude, Essart gros matche et un Giffa efficace.
Mendy 9 d'éval. en 11minutes 30 pas mal du tout.

Quant à Simon il n'a joué que 15minutes 45 avec une éval. de 4 est-t-il retombé dans ses travers?

DNA du 21 janvier 2009

Basket-ball / Coupe de France - 16e de finale : la SIG qualifiée

Inspecteur Derrick

Empêtrée dans un match très moyen, la SIG doit une fière chandelle à Derrick Obasohan et Steeve Essart, le premier inscrivant le panier primé décisif à 23 secondes de la fin. L'aventure en coupe se poursuit. La défense a resserré les rangs. A confirmer impérativement à Chalon.

SIG 78 - DIJON 73
Rhenus Sport. - 2 650 spectateurs. Arbitres : MM. Mateus, Perier, Machabert. Les quarts-temps : 17-18, 19-18 (mi-temps 36-36 ), 23-19 (59-55) , 19-18.
SIG : 28 paniers sur 60 tirs (47 %) dont 11 sur 23 à trois points (48 %), 11 LF sur 11 (100 %), 34 rebonds (Lewin dont 9 offensifs, 18 passes décisives (Essart , 10 interceptions, 16 balles perdues, 17 fautes.
Essart 14, Rush 8, Allen 9, Giffa 14, Lewin 4, puis Obasohan 21, Mendy 4, Simon 4, Darrigand.
DIJON : 26 paniers sur 57 tirs (46 %) dont 7 sur 16 à trois points (44 %), 14 LF sur 23 (61 %), 34 rebonds (Williams 11) dont 11 offensifs, 14 passes décisives (Diabaté 7), 8 interceptions, 16 balles perdues, 15 fautes (dont une anti-sportive à Williams).
Diabaté 4, Mbaye 8, Williams 16, Krupalija 26, Cope 11, puis Sanders 5, Lombahe-Kahudi 3, Tanghe, Bourhis.
Sans croire à un possible exploit de Gries-Oberhoffen, Frédéric Sarre acceptait volontiers la perspective d'un derby alsacien en 8e de finale, rendu possible par la magie du tirage au sort. « Cela voudrait dire que la SIG serait qualifiée. »

12 égalités et... 30 changements de leader

Voilà qui est fait. Mais que ce fut dur, pénible, au terme d'un match que ses hommes n'ont jamais su débloquer, face à un Dijon pourtant en manque d'atouts. Les Strasbourgeois sont ainsi restés englués dans une partie serrée de bout en bout, comme en attestent les 12 égalités et... les 30 changements de leader !
Randoald Dessarzin, le coach suisse des Bourguignons, pouvait nourrir des regrets. « On a bien défendu sur Rush, mais il a su se montrer altruiste. Ça se joue à rien. Quand je vois nos neuf lancers égarés, comparé au 11/11 de Strasbourg... »
Bombardé meneur en chef en l'absence de Chatfield, Souleyman Diabaté relevait « le manque de lucidité en toute fin de match et la réussite strasbourgeoise au shoot, avec Obasohan qui a pris feu. 21 points en 23 minutes, chapeau ! »
Il fallait bien ça pour sortir et la SIG et le Rhenus Sport dégarni de leur torpeur. Une mi-temps durant (36-36 au repos), les maladresses avaient supplanté les coups d'éclats, dont un passage de mort de faim d'Elson Mendy (4 points, 4 rebonds en 4'30").

En convalescence, après le traumatisme rouennais

Toujours aussi serrée, la partie prenait enfin des couleurs. Utilisé avec parcimonie jusque là, Obasohan plaçait les débats à un niveau supérieur, imité par Steeve Essart et, à la JDA, par le Bosniaque Krupalija, lui aussi économisé jusque-là (10 points d'affilée, 14 dans le quart-temps, 24 en seconde période).
L'écart n'excédera jamais les quatre unités, avant le 4e tir primé d'Obasohan (5/7 à l'arrivée) qui offrait enfin un précieux matelas aux siens 64-56 (32e'). Oui mais voilà, la SIG dilapidait le tout en encaissant un 9-0 en trois minutes (64-65, 34e'). Tout était à refaire, le Nigérian portant finalement l'estocade à 73-73 et 23 secondes à jouer.
Merci Derrick. Merci Steeve, aussi, avec ses 86 % de réussite et ses 8 passes. « Contrôle, organisation, engagement, efficacité au tir : il sort un gros match », tenait à relever Fred Sarre, conscient que son équipe était en convalescence, après le traumatisme rouennais. « On doit être susceptible de faire beaucoup mieux. En attaque, on manque de fluidité. La balle ne voyage pas assez vite. »
A l'inverse, le contrat - fixé comme par hasard à 73 points - a été rempli par une défense qui était en accusation. « Il fallait un tel objectif pour se raccrocher à quelque chose. Il était important de retrouver attitudes et volonté. »
Les bases sont jetées pour tenter, à Chalon, de s'inviter à la Semaine des As. Mais ça, c'est une autre histoire.

Rémy Sauer


L'Alsace du 21 janvier 2009

Basket-ball La SIG passe en force

Les basketteurs strasbourgeois se sont difficilement défaits de Dijon, hier soir au Rhénus, en 16e de finale de la Coupe de France (78-73). Ils retrouveront néanmoins Cholet au prochain tour.

« Ma seule satisfaction de la soirée est d’avoir remporté ce match car on se doit de faire beaucoup mieux », lance Frédéric Sarre, le coach strasbourgeois à l’issue de la victoire de son équipe face à Dijon. La partie entre les deux pensionnaires de Pro A démarre sur un faux rythme et la SIG inscrit son premier panier après seulement trois minutes par Allen (2-4).
Maladroite aux tirs (7/17 dont 1/6 à trois points), la SIG profite des approximations dijonnaises pour enfin passer devant (7-6, 6e) sur un shoot primé de Rush. Privé de Chatfield, son meilleur marqueur en championnat, Dijon s’en remet alors à son Cop, 9 points lors de ses dix premiers minutes - dont 7 de suite - pour prendre les devants (17-18) à la fin du premier quart.
Le jeune Elson Mendy, quatre points en quatre minutes, permet aux Bas-rhinois de repasser en tête dès l’entame du deuxième quart-temps (24-21, 12e) en se trouvant à la conclusion de deux beaux mouvements collectifs. Le chassé croisé se poursuit jusqu’à la mi-temps (36-36).
Invisible en première période (2 points seulement), l’intérieur bosniaque de Dijon, Damir Krupalija (26 points au total) tient son équipe à bout de bras dès le début du troisième quart-temps en réussissant une série impressionnante de 12 points de suite (de 36-38 à 48-50). Heureusement, la SIG retrouve enfin son adresse à trois points avec trois missiles signés Essart puis Obasohan, par deux fois, qui permettent aux Alsaciens de prendre l’avantage à la marque avant le dernier quart (59-55). Obasohan réussit ensuite son troisième panier primé de suite et les Strasbourgeois, sous la houlette d’un bon Steeve Essart (14 points et 8 passes décisives), creusent le premier véritable écart de la partie (64-56, 31e). Mais, Krupalija, toujours en réussite, permet à son équipe de repasser devant à la marque (66-67, 35e). Comme on pouvait s’en douter, le match ne va pourtant basculer en faveur des Alsaciens que dans la dernière minute.
Menés d’un petit point (70-71), les Strasbourgeois vont repasser devant sur à un nouveau tir à trois points de Giffa. Le Dijonnais M’Baye égalise à 40 secondes du terme (73-73) avant qu’Obasohan, encore une fois, ne donne un avantage décisif à la SIG sur un shoot extérieur venu d’ailleurs (76-73) à 23 secondes de la fin du match. Grâce une dernière bonne défense, les joueurs strasbourgeois se qualifient dans la douleur pour les 8es de finale de la Coupe de France où ils affronteront Cholet, tombeur de Gries, le 17 mars prochain au Rhénus.

Olivier Arnal

youpiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeee!
le meilleur des scenarios avec une victoire dans la douleur au cours d'un match soporifique devant un rhenus sonnant creux......et ceci malgre les invitations distribuees aux etudiants. il y avait autant de monde à Gries pour voir Cholet qu'au rhenus pour voir la SIG.......c'est aussi tres inquietant et est la preuve d'une "certaine " desaffection.
ceci est aussi la consequence des episodes precedents.
pour les suivants, faut etre realiste mais d'une part la sig n'a pas l'ombre d'une chance d'aller s'imposer au colisee contre chalon (ce deplacement a souvent ete difficile alors cette annee.......) et d'autre part que les doux reveurs ne se fassent aucune illusion mais Derrick ne sera plus là la saison prochaine. ce mec merite bien mieux qu'une equipe du ventre mou de la proA. n'avait il pas quitte le htv pour jouer le haut de tableau? le voilà revenu à la case départ et ce mec n'a vraiment pas eu de chance en venant ici pour deux annees qui s'averent, malheureusement pour lui etre de mauvaises annees pour la sig.......

Je confirme,Obasohan et Essart vraiment au top avec une envie évidente tout comme sacha pas tjs irreprochable mais sautant de joie comme u n gamin apres ses 3 points! Le bon mr sarre a osé pendant 6 mn un truc pas ordinaire ,faire sortir en meme temps rush et obasohan! sarre parfois tt à fait dépité-il y avait de quoi!- surtout lors de defenses inexistantes,avec un david simon affligeant!

Le Bien Public du 21 janvier 2009

coupe de france (16es de finale) - Strasbourg-jda dijon 78-73

Obasohan crucifie la JDA

Bien plus en jambes que face à l'ASVEL, la JDA n'a pas été loin de renouer avec la victoire en Alsace. Mais Derrick Obasohan en a décidé autrement (78-73)
Dans un match aussi indécis que ce Strasbourg-Dijon (30 changements de leader), la décision ne pouvait venir que d'un homme fort. Si Damir Krupalija réussissait une seconde période de feu (24 points en seconde période), le dernier mot revenait à Derrick Obasaohan. Le Nigérian, auteur de 21 points en 23 minutes, était le clutch player de ce 16e de finale de coupe de France. A 23 secondes du buzzer, il prenait ses responsabilités. Il inscrivait son 7e panier à trois points de la soirée, sans doute le plus important puisqu'il offrait la qualification aux Alsaciens (76-73, 40e). Sur la relance dijonnaise, la balle n'arrivait jamais à Krupalija. Diabaté tentait le tout pour le tout mais en vain. Le train de la qualification venait de passer et les Dijonnais restaient à quai. « Ce genre de match peut basculer sur peu de choses », expliquait déçu Randoald Dessarzin. Comme les lancers francs par exemple. « Eux font 100 % et nous, on en galvaude 9 », renchérissait-il encore. Mais l'entraîneur dijonnais ne faisait pas une fixation sur cet exercice même s'il a coûté cher à son équipe.
Entre une défaite et un collectif, son cœur balançait forcément. « C'est toujours l'histoire de la bouteille à moitié vide et à moitié pleine », notait-il. Il poursuivait, se voulant positif : « Nous repartons dans la bonne direction mais l'équilibre est encore précaire. Malgré tout, c'est rassurant avant la venue de Roanne.»
Krupalija redonne l'espoir
Face à une équipe de Strasbourg, loin d'être à son sommet, la JDA a effectivement montré qu'il y avait du mieux dans son jeu. L'objectif défensif initial (75) a presque été atteint et surtout les joueurs dijonnais n'ont jamais lâché le morceau.
Dès le coup d'envoi, ils démontraient que la faillite offensive de vendredi dernier à Villeurbanne n'était plus qu'un mauvais souvenir. Sans réussir un show, ils étaient tout simplement efficaces à l'image de Cope et de Williams (26-26, 12e). Cela permettait de tenir la baraque car les Alsaciens pouvaient s'en remettre à Essart, Rush et Giffa. Obasohan, lui, n'avait encore montré que le bout de son nez.
Si longtemps, la rencontre s'est tenu à deux ou trois points, l'accélération strasbourgeoise au début du quatrième quart aurait pu être fatale en d'autres temps (de 59-55 à 64-56, 32e). Avec une balle de + 11 dans les mains, la JDA frisait pratiquement la correctionnelle mais Allen ratait la cible.
Krupalija, déjà auteur d'un festival au retour des vestiaires (14 des 19 points dijonnais sur le 3e quart), remettait ses coéquipiers dans le sens de la marche et Dijon repassait devant, dans un match un peu fou (64-65, 36e).
Le jeu du chat et de la souris allait perdurer jusque dans les dernières secondes de la rencontre. Jusqu'à ce que Obasohan ne mette fin au suspense.
De notre envoyé spécial à Strasbourg Jean-Yves rouillé


Souleymane Diabaté : « Il y a du mieux »

Souleymane Diabaté (Dijon) : « Ils ont eu de la réussite au shoot et en particulier Obasohan. Cela nous a coûté cher à la fin. Malgré tout, il y a du mieux et notamment défensivement. »
Brion Rush (Strasbourg) : « Nous sommes bien sûr content d'avoir gagné. Notre production en défense a été plutôt satisfaisante. »
Frédéric Sarre (entr Strasbourg) : « C'était vraiment nécéssaire d'avoir un objectif défensif ce soir car ces derniers temps, nous étions trop permissifs dans ce domaine. Dans ce type de match, la première satisfaction est bien évidemment la victoire. »

De retour du Rhénus au trois quart vide. Mais c'est juste la conséquence de la politique désastreuse de notre duo de choc, JC et JR (qui avait par ailleurs anniversaire hier).

Un faux rythme pendant toute la rencontre et surtout en 1ère mi-temps (36-36).

Très bon match d'Essart qui a pris ses responsabilités quand il le fallait. Obasohan énorme à 3 points et quand il attaque le cercle. Rush est passé à travers, Allen a fait du Allen (sobre mais pas toujours efficace), Mendy pas mal sauf en défense, Lewin sérieux en défense même s'il se faisait souvent passé, Darrigand a eu le droit de remplacer un peu Essart dans le 2è QT.

Quant à Simon, il est complèment à la masse! Je l'ai toujours défendu jusqu'à présent, en disant qu'il avait sans doute du talent et qu'on ne se servait pas assez de ses qualités. Mais en l'ayant vu jouer pour la 1ère fois ce soir, je crois surtout qu'il faudrait qu'il y mette du sien. Il est lent, il marche ou trottine pour faire une pointe. Il a eu plusieurs fois la balle sous le cercle en attaque, mais la plupart du temps, il se faisait bâcher, la perdait bêtement ou shootait n'importe comment. Et en défense, toujours en retard sur son joueur, et très lent. Faudrait qu'il se bouge un peu. Est ce que c'est le cadre de l'équipe qui ne lui convient pas? Le système de jeu? Mais il parait démotivé...

Triste soirée.
Un Rhénus où l'on entend le banc encourager à l'autre bout de la salle, un nouveau speaker plein d'enthousiasme, et une équipe qui ne montre que peu d'envie et de solidarité. Ou est l'enthousiasme des années Girard? Où sont les guerriers qui jouent le couteau entre les dents? Ah oui, partis!
Aucun système défensif, et des combinaisons en attaque douteuses: combien de fois le meilleur joueur (Obasohan) donnait la balle au plus mauvais (Simon) à 5 mètres du panier et 3 secondes du Buzzer?

Un match lent, sur un faux rythme, limite chiant... Heureusement, l'invitation étudiante permettait de remplir la salle et de me faire économiser 5 euros.

Ca va être dur à Chalon!

boon a écrit:

Ca va être dur à Chalon!

on reconnait bien là le vieux sage maniant l'euphémisme!

plus prosaiquement, tu voulais sans doute dire "mission impossible" non?

dans l'etat d'esprit actuel de l'equipe et compte tenu du talent offensif de Chalon, je vois bien une bonne petite doudoune pour affronter les frimas de l'hiver......entre -15 et -20! pas grave, la Normandie et le Havre en cette periode de l'annee, c'est à c.... !

philippe a écrit:

boon a écrit:

Ca va être dur à Chalon!

on reconnait bien là le vieux sage maniant l'euphémisme!

plus prosaiquement, tu voulais sans doute dire "mission impossible" non?

dans l'etat d'esprit actuel de l'equipe et compte tenu du talent offensif de Chalon, je vois bien une bonne petite doudoune pour affronter les frimas de l'hiver......entre -15 et -20! pas grave, la Normandie et le Havre en cette periode de l'annee, c'est à c.... !

C'est bien le problème de la constance qui m'incite à la prudence. La SIG est capable de battre Nancy ou Gravelines, d'accrocher Orléans, Le Mans et L'Asvel, tout en perdant contre des équipes plus "faibles" et privées de joueurs... Ca sera dur de gagner mais rien n'est impossible avec cette équipe!

Sinon hier c'était l'anniversaire de JR...

boon a écrit:

philippe a écrit:

boon a écrit:

Ca va être dur à Chalon!

on reconnait bien là le vieux sage maniant l'euphémisme!

plus prosaiquement, tu voulais sans doute dire "mission impossible" non?

dans l'etat d'esprit actuel de l'equipe et compte tenu du talent offensif de Chalon, je vois bien une bonne petite doudoune pour affronter les frimas de l'hiver......entre -15 et -20! pas grave, la Normandie et le Havre en cette periode de l'annee, c'est à c.... !

C'est bien le problème de la constance qui m'incite à la prudence. La SIG est capable de battre Nancy ou Gravelines, d'accrocher Orléans, Le Mans et L'Asvel, tout en perdant contre des équipes plus "faibles" et privées de joueurs... Ca sera dur de gagner mais rien n'est impossible avec cette équipe!

Sinon hier c'était l'anniversaire de JR...

il s'est acheté un nouveau portable?
il doit aimer ces appareils, pendant les matchs il joue souvent avec le sien......peut etre equipe d'un NBA 2009, version Sony Ericsson!

A lire les premiers posts, on aurait pu croire que le match était sympa à voir mais c'est justement l'inverse.
Franchement entre la salle au 3/4 vide, le faux rythme et la victoire de justesse contre une équipe à qui on est sensés mettre 20 pts dans les dents, ça fait beaucoup pour que ce soit sympa à voir...

Bref on a gagné, c'est l'essentiel mais s'ils perdent à Chalon, le rhénus va continuer à se vider. Merci JC/JR ! xxxxxxxxx

Moi je resignerais bien Essart vu que de toute façon Obashohan n'est pas assez con pour resigner maintenant avec nous et que JR est trop xxx pour le lui proposer. Il pourrait former une bonne paire avec Dar... euh, un meneur US!

Fabrice a écrit:

Quant à Simon, il est complèment à la masse! Je l'ai toujours défendu jusqu'à présent, en disant qu'il avait sans doute du talent et qu'on ne se servait pas assez de ses qualités. Mais en l'ayant vu jouer pour la 1ère fois ce soir, je crois surtout qu'il faudrait qu'il y mette du sien. Il est lent, il marche ou trottine pour faire une pointe. Il a eu plusieurs fois la balle sous le cercle en attaque, mais la plupart du temps, il se faisait bâcher, la perdait bêtement ou shootait n'importe comment. Et en défense, toujours en retard sur son joueur, et très lent. Faudrait qu'il se bouge un peu. Est ce que c'est le cadre de l'équipe qui ne lui convient pas? Le système de jeu? Mais il parait démotivé...

Tu as très bien résumé ce que je pense de Simon depuis le début de la saison ayant vu tout les matches à domicile.

c'est la crise actuellement dans le monde et les tunes pour le sponsoring spotif vont sans doute se faire de plus en plus rares.
Dans ces conditions, elles iront sans doute aux projets sportifs talentueux, ambitieux et porteurs........il ne faut tout de même pas oublier que le sponsoring c'est de la pub avant tout et la pub a pour but de toucher le plus grand nombre. Dans ces conditions, le basket n'est deja pas tres bien loti......
la SIG arrivera t elle à survivre avec la manne de Rond Point Coop Alsace, dont on peut noter d'ailleurs qu'il a ete rachete recemment par Leclerc......
doit on craindre dans ces conditions une redefinition du partenariat? tout cela laisse tres perplexe, à l'heure actuelle, surtout si on le place dans le contexte sportif morose que vit actuellement la SIG........
je m'interroge?????????


Merci Eric!

DNA du 12 mars 2009

SIG - Cholet le 14 avril

En raison de la qualification de Cholet pour les quarts de finale de l'Eurochallenge, le 8e de finale de la Coupe de France entre la SIG et « CB », initialement programmé le 17 mars, est reporté au mardi 14 avril (20h), a annoncé, hier, la Fédération française de basket-ball. Si elle se qualifie pour les quarts de finale, la formation de Fred Sarre se déplacera à Gravelines ou à Clermont le mardi 21 avril.

DNA du 23 mars 2009

Quelle date pour Cholet ?

Alors qu'on pensait l'affaire enfin ficelée, la programmation du 8e de finale de Coupe de France contre Cholet continue à tenir du casse-tête. « C'est un sacré imbroglio », résume Jérôme Rosenstiehl, le directeur sportif strasbourgeois. Pour faire simple, en cas de défaite de Cholet contre Kiev, mercredi, lors de la « belle » de ce quart de finale d'Eurochallenge, le match sera maintenu au 14 avril.
Si, par contre, Cholet se qualifie pour le Final Four européen, le 8e de finale franco-français sera fixé à une autre date. S'ils venaient à battre la SIG, les joueurs des Mauges n'auraient pas intérêt à se déplacer à Clermont le 21 avril pour embrayer dans la foulée sur le dernier carré continental, estime la Fédération.
Alsaciens et Choletais pourraient donc se retrouver... le 7 avril. La formation de Fred Sarre n'est en effet pas certaine de pouvoir disputer son match amical contre Besançon à L'Axone de Montbeliard, la salle, en configuration basket, n'ayant pas reçu l'agrément préfectoral ! Resterait, dans ce cas de figure, un dernier point d'interrogation : le Rhenus sera-t-il rendu à la SIG, et donc disponible, trois jours après le sommet de l'OTAN ?

http://www.lequipe.fr/Basket/breves2009/20090326_172204_strasbourg-cholet-le-8-avril.html

Ce sera le 8 !

De Colo devrait louper le match de cdf contre la sig.il est arrete pour fracture du nez contre Kiev jusqu'a la mi-avrill.........

Avec un masque à la "Hamilton", il risque de revenir rapidement non ?

L'équipe du 27 mars 2009

 CHOLET : DE COLO OUT JUSQU’AU 20 AVRIL. – Victime d’une fracture du nez mercredi face à Kiev, l’arrière de Cholet Nando De Colo est arrêté jusqu’au 20 avril. Il sera de retour pour le Final Four de l’Eurochallenge (24-26 avril).

http://www.lequipe.fr/Basket/breves2009/20090403_161341_limoges-ira-a-nancy.html

Ca c'est assez énorme !

Jack a écrit:http://www.lequipe.fr/Basket/breves2009/20090403_161341_limoges-ira-a-nancy.html

Ca c'est assez énorme !

Autant leur donner une invitation pour la finale de la CDF à Bercy. ça leur permettra de remporter le ranking pour la place éventuelle en EL