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PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
rocky Jeu 10 Avr - 9:16
DNA du 10 avril 2008
Une question de mental ?
En perdition il y a quelques semaines encore, Gravelines s'est remis à gagner depuis l'arrivée de François Élie, le tout nouveau préparateur mental du club nordiste. Les cinq succès décrochés par le BCM en mars doivent sûrement aussi à ce renfort d'un genre nouveau.
SAUVEUR ? - L'avenir dira si Élie a été un sauveur. Élie, François de son prénom, est le tout nouveau préparateur mental de Gravelines. Ancien joueur de rugby - à Angoulême, en deuxième division -, consultant pour de grosses firmes, François Élie est un ami de longue date de Philippe Namyst, le coach nordiste. Les deux hommes avaient été de la montée des féminines de Calais en Ligue.
L'homme se définit comme un « facilitateur »
Ni psy, ni gourou, l'homme se définit volontiers comme un « facilitateur, un accompagnateur ». Appelé au chevet d'une équipe « traumatisée », conspuée par son public et au bord de la crise de nerfs comme de la relégation, Élie a échangé avec les joueurs et établi des profils individuels. Les Brun, Schmitt, Stanley et Grier se sont métamorphosés en machine à gagner et le BCM a enchaîné cinq victoires en mars (quatre en championnat, une en coupe de France). Peut-être plus qu'une simple coïncidence.
SLAUGHTER. - Il a déjà affronté la SIG cette année, mais... sur la scène continentale. Recruté par l'Hapoel Jérusalem peu de temps auparavant, Marcus Slaughter avait pris part à la victoire israélienne lors de la première journée de coupe ULEB (74-73) le 6 novembre, avec 8 points et 4 rebonds. Barré par Jamie Arnold, l'intérieur US (23 ans, 2,03 m) a rebondi à Gravelines fin janvier. L'ancien de Karsiyaka (Turquie) tourne à 10 pts et 7,2 rbds en neuf matches et est aujourd'hui le meilleur Nordiste à l'évaluation (16).
BUNN. - Il était le meilleur marqueur et rebondeur des Corsaires avant sa blessure, une lésion musculaire qui l'a tenu éloigné des parquets depuis le 23 février. Joe Bunn a fait son retour samedi contre Cholet (77-80). Retour timide avec deux petits points et une passe en sept minutes. Le petit - 1,98 m - intérieur américain, qui avait compilé 21 pts et 6 rebonds lors du revers contre la SIG à l'aller (77-81), va devoir retrouver sa place dans un groupe qui a enregistré ses meilleurs résultats... en son absence.
SARRE. - Membre du club des cinq, des cinq coaches remerciés cette saison, avec Olivier Cousin (Pau), Elias Zouros et Ron Stewart (Paris) et donc Éric Girard, Fred Sarre est aujourd'hui sans contrat. Et en coulisses, son nom revient, comme celui de Jean-Aymé Toupane à présent, en tant que possible entraîneur de la SIG la saison prochaine. « Je dois avoir trois ou quatre candidatures pour des coaches chaque jour, dont certaines vont directement à la poubelle », sourit Jérôme Rosenstiehl. « On est dans la récolte d'infos, on est à l'écoute, c'est normal. C'est même bien qu'on ait un éventail de possibilités le plus large possible », ajoute le directeur sportif strasbourgeois qui précise que « le club a défini un profil et n'entend pas faire tout et n'importe quoi ».
Un gars du sérail ?
WEISSLER. - Et si le futur coach de la SIG était un gars du sérail ? Autrement dit, et si Olivier Weissler était prolongé sur le banc strasbourgeois l'an prochain ? « Tout est ouvert, indique encore Jérôme Rosenstiehl. Olivier s'est vu assigner une mission pour la fin de la saison. Et s'il nous démontre qu'il a l'étoffe, pourquoi ne pas continuer ensemble ? ».
INFIRMERIE. - Kevin Houston (pointe à la cuisse) ne s'est pas entraîné mardi et a de même manqué la séance hier matin. L'ailier US doit reprendre avec le groupe aujourd'hui.
TARIFS. - Dans le contexte actuel, la SIG et ses partenaires écrasent au moins les prix. Contre Gravelines, samedi, les sociétaires Coop Alsace bénéficieront d'un tarif exceptionnel de 5 € - au lieu de 14 - sur présentation de leur carte. L'offre est valable en prévente au siège du club, à compter d'aujourd'hui, et le soir du match au guichet du Rhenus Sport. A l'occasion de la venue d'Orléans, le 26 avril, c'est le Crédit Agricole qui propose des billets à 1 € aux jeunes de moins de 25 ans. Le bulletin de réservation est à remplir avant le 22 avril et les billets seront disponibles deux jours plus tard dans l'agence du Crédit Agricole choisie par le bénéficiaire.
R. Sch.
Une question de mental ?
En perdition il y a quelques semaines encore, Gravelines s'est remis à gagner depuis l'arrivée de François Élie, le tout nouveau préparateur mental du club nordiste. Les cinq succès décrochés par le BCM en mars doivent sûrement aussi à ce renfort d'un genre nouveau.
SAUVEUR ? - L'avenir dira si Élie a été un sauveur. Élie, François de son prénom, est le tout nouveau préparateur mental de Gravelines. Ancien joueur de rugby - à Angoulême, en deuxième division -, consultant pour de grosses firmes, François Élie est un ami de longue date de Philippe Namyst, le coach nordiste. Les deux hommes avaient été de la montée des féminines de Calais en Ligue.
L'homme se définit comme un « facilitateur »
Ni psy, ni gourou, l'homme se définit volontiers comme un « facilitateur, un accompagnateur ». Appelé au chevet d'une équipe « traumatisée », conspuée par son public et au bord de la crise de nerfs comme de la relégation, Élie a échangé avec les joueurs et établi des profils individuels. Les Brun, Schmitt, Stanley et Grier se sont métamorphosés en machine à gagner et le BCM a enchaîné cinq victoires en mars (quatre en championnat, une en coupe de France). Peut-être plus qu'une simple coïncidence.
SLAUGHTER. - Il a déjà affronté la SIG cette année, mais... sur la scène continentale. Recruté par l'Hapoel Jérusalem peu de temps auparavant, Marcus Slaughter avait pris part à la victoire israélienne lors de la première journée de coupe ULEB (74-73) le 6 novembre, avec 8 points et 4 rebonds. Barré par Jamie Arnold, l'intérieur US (23 ans, 2,03 m) a rebondi à Gravelines fin janvier. L'ancien de Karsiyaka (Turquie) tourne à 10 pts et 7,2 rbds en neuf matches et est aujourd'hui le meilleur Nordiste à l'évaluation (16).
BUNN. - Il était le meilleur marqueur et rebondeur des Corsaires avant sa blessure, une lésion musculaire qui l'a tenu éloigné des parquets depuis le 23 février. Joe Bunn a fait son retour samedi contre Cholet (77-80). Retour timide avec deux petits points et une passe en sept minutes. Le petit - 1,98 m - intérieur américain, qui avait compilé 21 pts et 6 rebonds lors du revers contre la SIG à l'aller (77-81), va devoir retrouver sa place dans un groupe qui a enregistré ses meilleurs résultats... en son absence.
SARRE. - Membre du club des cinq, des cinq coaches remerciés cette saison, avec Olivier Cousin (Pau), Elias Zouros et Ron Stewart (Paris) et donc Éric Girard, Fred Sarre est aujourd'hui sans contrat. Et en coulisses, son nom revient, comme celui de Jean-Aymé Toupane à présent, en tant que possible entraîneur de la SIG la saison prochaine. « Je dois avoir trois ou quatre candidatures pour des coaches chaque jour, dont certaines vont directement à la poubelle », sourit Jérôme Rosenstiehl. « On est dans la récolte d'infos, on est à l'écoute, c'est normal. C'est même bien qu'on ait un éventail de possibilités le plus large possible », ajoute le directeur sportif strasbourgeois qui précise que « le club a défini un profil et n'entend pas faire tout et n'importe quoi ».
Un gars du sérail ?
WEISSLER. - Et si le futur coach de la SIG était un gars du sérail ? Autrement dit, et si Olivier Weissler était prolongé sur le banc strasbourgeois l'an prochain ? « Tout est ouvert, indique encore Jérôme Rosenstiehl. Olivier s'est vu assigner une mission pour la fin de la saison. Et s'il nous démontre qu'il a l'étoffe, pourquoi ne pas continuer ensemble ? ».
INFIRMERIE. - Kevin Houston (pointe à la cuisse) ne s'est pas entraîné mardi et a de même manqué la séance hier matin. L'ailier US doit reprendre avec le groupe aujourd'hui.
TARIFS. - Dans le contexte actuel, la SIG et ses partenaires écrasent au moins les prix. Contre Gravelines, samedi, les sociétaires Coop Alsace bénéficieront d'un tarif exceptionnel de 5 € - au lieu de 14 - sur présentation de leur carte. L'offre est valable en prévente au siège du club, à compter d'aujourd'hui, et le soir du match au guichet du Rhenus Sport. A l'occasion de la venue d'Orléans, le 26 avril, c'est le Crédit Agricole qui propose des billets à 1 € aux jeunes de moins de 25 ans. Le bulletin de réservation est à remplir avant le 22 avril et les billets seront disponibles deux jours plus tard dans l'agence du Crédit Agricole choisie par le bénéficiaire.
R. Sch.
rocky- Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
Mat Jeu 10 Avr - 11:11
« Je dois avoir trois ou quatre candidatures pour des coaches chaque jour, dont certaines vont directement à la poubelle », sourit Jérôme Rosenstiehl.
Par respect pour les candidats et par professionnalisme dans la démarche de recrutement, ce n'est pas une chose dont je me vanterait dans la presse...
Sinon, pas grand chose à signaler... sauf peut être qu'on pourrait demander une pige à François Elie?...
Mat- Age : 49
Date d'inscription : 17/05/2006
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
dan Jeu 10 Avr - 11:17
Mat a écrit:« Je dois avoir trois ou quatre candidatures pour des coaches chaque jour, dont certaines vont directement à la poubelle », sourit Jérôme Rosenstiehl.
Par respect pour les candidats et par professionnalisme dans la démarche de recrutement, ce n'est pas une chose dont je me vanterait dans la presse...
j'ai pensé excatement la meme chose
dan- Age : 59
Date d'inscription : 04/04/2008
BOB- Localisation : Strasbourg
Date d'inscription : 18/05/2006
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
Hoop Jeu 10 Avr - 11:24
Mat a écrit:« Je dois avoir trois ou quatre candidatures pour des coaches chaque jour, dont certaines vont directement à la poubelle », sourit Jérôme Rosenstiehl.
Par respect pour les candidats et par professionnalisme dans la démarche de recrutement, ce n'est pas une chose dont je me vanterait dans la presse...
Sinon, pas grand chose à signaler... sauf peut être qu'on pourrait demander une pige à François Elie?...
Idem, J'ai trouvé ça excessivement prétentieux...
C'est très maladroit de dire ça dans la presse, surtout actuellement avec les événements récents qui ne lui confèrent pas une image très humaine...
Hoop- Age : 44
Date d'inscription : 04/04/2008
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
philippe Jeu 10 Avr - 11:29
Mat a écrit:« Je dois avoir trois ou quatre candidatures pour des coaches chaque jour, dont certaines vont directement à la poubelle », sourit Jérôme Rosenstiehl.
Par respect pour les candidats et par professionnalisme dans la démarche de recrutement, ce n'est pas une chose dont je me vanterait dans la presse...
Sinon, pas grand chose à signaler... sauf peut être qu'on pourrait demander une pige à François Elie?...
là, tu retrouves une certaine arrogance du staff strasbourgeois........
philippe- Age : 65
Date d'inscription : 18/05/2006
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
David67350 Jeu 10 Avr - 12:01
philippe a écrit:Mat a écrit:« Je dois avoir trois ou quatre candidatures pour des coaches chaque jour, dont certaines vont directement à la poubelle », sourit Jérôme Rosenstiehl.
Par respect pour les candidats et par professionnalisme dans la démarche de recrutement, ce n'est pas une chose dont je me vanterait dans la presse...
Sinon, pas grand chose à signaler... sauf peut être qu'on pourrait demander une pige à François Elie?...
là, tu retrouves une certaine arrogance du staff strasbourgeois........
Je ne mettrais pas tout le monde dans le même sac... Je pense qu'il fallait plutôt dire: "là, tu retrouves une certaine arrogance de JR..." !
David67350- Age : 34
Localisation : Alsace
Date d'inscription : 19/05/2006
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
John White Jeu 10 Avr - 17:05
mick a écrit:
SARRE. - Membre du club des cinq, des cinq coaches remerciés cette saison, avec Olivier Cousin (Pau), Elias Zouros et Ron Stewart (Paris) et donc Éric Girard, Fred Sarre est aujourd'hui sans contrat. Et en coulisses, son nom revient, comme celui de Jean-Aymé Toupane à présent, en tant que possible entraîneur de la SIG la saison prochaine. « Je dois avoir trois ou quatre candidatures pour des coaches chaque jour, dont certaines vont directement à la poubelle », sourit Jérôme Rosenstiehl. « On est dans la récolte d'infos, on est à l'écoute, c'est normal. C'est même bien qu'on ait un éventail de possibilités le plus large possible », ajoute le directeur sportif strasbourgeois qui précise que « le club a défini un profil et n'entend pas faire tout et n'importe quoi ».
Je pense que les infos JR et le club vont les récolter principalement auprès de Darrigand qui a évolué 2 saisons sous les ordres de Sarre à Pau autant sous ceux de Toupane à Clermont et avec les A', de Giffa qui connait Toupane depuis des années avec l'équipe de France et Schmitt qui a évolué sous les ordres des 2, Sarre en club (5 saisons) et Toupane en sélection.
Quelqu'un sait quel profil le club a-t-il défini si c'est le même qu'à l'époque pour Girard le meilleur candidat est Sarre qui d'ailleurs l'est déjà en comparaison de Toupane.
John White- Date d'inscription : 25/05/2006
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
rocky Ven 11 Avr - 9:31
DNA du 11 avril 2008
Il dégaine tous azimuts
Il a flingué en décembre et cartonné en mars. Stephen Brun, l'ailier-fort du BCM Gravelines, a brillé le mois dernier en même temps que son équipe retrouvait le chemin de la victoire. Dans la course au maintien qui mobilise les Nordistes, l'ex-Mulhousien n'entend pas en rester là. Histoire aussi de revoir la vie en bleu.
Il n'a pas sa langue dans la poche. Et ça ne date pas d'hier. « J'ai toujours été honnête et droit, parce que j'ai été élevé comme ça tout simplement ». Son franc-parler en tout cas tranche dans le milieu policé et « politiquement correct » du sport professionnel. « Je me suis souvent fait taper sur les doigts à cause de cela. Ça m'a coûté et ça me coûtera sûrement encore », concède Stephen Brun, 27 ans, l'ailier-fort du BCM Gravelines.
« Il fallait se demander pourquoi on perdait autant »
En décembre, quelques jours avant la venue de la SIG au Sportica, Brun avait allumé la mèche dans la presse locale. « On s'apprêtait à disputer un match couperet. Il fallait se demander pourquoi on perdait autant. Avec le budget du club et le potentiel de l'équipe, on n'avait pas le droit d'être à la place qui était la nôtre », se souvient celui qui tient, par ailleurs, un blog sur le site officiel du BCM. Dans la foulée du match perdu contre les Strasbourgeois, l'ancien joueur du FCM basket (Pro B), en 2001/02, était suspendu quinze jours par son club et manquait le déplacement à Dijon. S'il s'est toujours défendu d'avoir voulu « la peau » de son entraîneur - « C'est un énorme technicien, même si au niveau relationnel c'est autre chose » -, Stephen Brun le reconnaît : sa prise de position a été « le commencement de pas mal de chamboulements ». Exit donc Fred Sarre, remplacé par son adjoint Philippe Namyst. « Le changement de coach n'a pas constitué un déclic immédiat. On jouait mieux, mais on perdait encore ». L'équipe enregistre alors les signatures de Michael Mokongo, « qui nous apporte sa rigueur défensive », et surtout de Marcus Slaughter. « On n'avait pas beaucoup de joueurs athlétiques dans la raquette. Lui nous apporte sa verticalité et fait le spectacle. C'est un showman ». Enfin, les Maritimes se renforcent encore avec... un préparateur mental (DNA d'hier). « Il a cherché à savoir pourquoi on craquait dans les quatrièmes quart-temps (trois défaites de moins de dix points entre le 19 janvier et le 16 février, ndlr) et a modifié certains comportements ». La conjonction de tous ces paramètres change complètement la donne et le BCM décroche, en mars, cinq succès (quatre en championnat, un en coupe) en autant de rencontres. Profitant de la blessure de Joe Bunn et toujours autant aimanté par le parquet - « Je suis négatif pour un coach quand je suis sur le banc, j'ai besoin d'être sur le terrain quand c'est chaud » -, « le Dirk Nowitzki de la Côte d'Opale » se fend de stats rutilantes lors de cette série : 16,7 points, 6,2 rebonds et 3 passes. « Même si je ne mettais pas mes trois premiers shoots, il n'allait pas y avoir mort d'homme et j'allais rester sur le terrain. Et ça, ça change tout », explique Stephen « The Gun ». Même stoppé dans son élan par Cholet samedi dernier (77-80), le BCM respire un peu mieux à présent. « Ça nous a enlevé un peu de poids sur les épaules, mais on est loin d'être tiré d'affaire. A nous de nous mettre à l'abri le plus vite possible ». Et s'il n'oublie pas que c'est au Rhenus Sport qu'il a fêté sa première cape avec les Bleus, l'été dernier lors du Tournoi de Strasbourg, Stephen ne versera pas dans la nostalgie à l'heure de retrouver cette salle : « On va faire en sorte que la SIG reste dans une spirale négative ».
« A moi de bien finir la saison pour continuer à faire parler de moi »
Pour avoir retrouvé des couleurs, Brun se pose à nouveau en prétendant à l'équipe de France remodelée qui tentera de décrocher sa qualification pour les championnats d'Europe cet été. Y pense-t-il en se rasant le matin ? « A moi de bien finir la saison pour continuer à faire parler de moi. Ce qui est sûr, c'est que si je suis appelé, j'y vais en courant ! Même si ce n'est que pour disputer trois matches ». La franchise du grand blond lui va décidément bien au teint.
Régis Schneider
Souvenirs choletais
Passé par la pépinière choletaise, Stephen Brun a côtoyé Éric Girard dans les Mauges. Il en garde un bon souvenir. « C'est sûrement l'un des meilleurs entraîneurs français, dit le MVP de Pro B en 2005 avec Brest. Son éviction ne change rien. Quand les résultats ne suivent pas, c'est souvent le coach qui trinque ».
20 Minutes du 11 avril 2008
Weissler, première à domicile
Olivier Weissler va connaître son baptême du feu au Rhenus Sport, samedi soir, contre Gravelines (20 h), lors de la 25e journée de Pro A. S'il a déjà étrenné son costume d'entraîneur à Pau, le week-end dernier, ce sera cette fois-ci sa première à domicile. Cette sortie devant le public alsacien ne semble en tout cas pas l'angoisser. « On verra bien le moment venu, avoue le nouvel homme fort strasbourgeois. J'essaie d'enlever cette pression en préparant bien le match. »
Après le revers palois, Olivier Weissler espère bien décrocher son premier succès contre Gravelines (14e) pour inverser la spirale négative dans laquelle est engluée la SIG, neuvième avec cinq défaites consécutives. Mais attention aux Nordistes, qui restent sur deux victoires à l'extérieur.
L. B. - ©2008 20 minutes
Il dégaine tous azimuts
Il a flingué en décembre et cartonné en mars. Stephen Brun, l'ailier-fort du BCM Gravelines, a brillé le mois dernier en même temps que son équipe retrouvait le chemin de la victoire. Dans la course au maintien qui mobilise les Nordistes, l'ex-Mulhousien n'entend pas en rester là. Histoire aussi de revoir la vie en bleu.
Il n'a pas sa langue dans la poche. Et ça ne date pas d'hier. « J'ai toujours été honnête et droit, parce que j'ai été élevé comme ça tout simplement ». Son franc-parler en tout cas tranche dans le milieu policé et « politiquement correct » du sport professionnel. « Je me suis souvent fait taper sur les doigts à cause de cela. Ça m'a coûté et ça me coûtera sûrement encore », concède Stephen Brun, 27 ans, l'ailier-fort du BCM Gravelines.
« Il fallait se demander pourquoi on perdait autant »
En décembre, quelques jours avant la venue de la SIG au Sportica, Brun avait allumé la mèche dans la presse locale. « On s'apprêtait à disputer un match couperet. Il fallait se demander pourquoi on perdait autant. Avec le budget du club et le potentiel de l'équipe, on n'avait pas le droit d'être à la place qui était la nôtre », se souvient celui qui tient, par ailleurs, un blog sur le site officiel du BCM. Dans la foulée du match perdu contre les Strasbourgeois, l'ancien joueur du FCM basket (Pro B), en 2001/02, était suspendu quinze jours par son club et manquait le déplacement à Dijon. S'il s'est toujours défendu d'avoir voulu « la peau » de son entraîneur - « C'est un énorme technicien, même si au niveau relationnel c'est autre chose » -, Stephen Brun le reconnaît : sa prise de position a été « le commencement de pas mal de chamboulements ». Exit donc Fred Sarre, remplacé par son adjoint Philippe Namyst. « Le changement de coach n'a pas constitué un déclic immédiat. On jouait mieux, mais on perdait encore ». L'équipe enregistre alors les signatures de Michael Mokongo, « qui nous apporte sa rigueur défensive », et surtout de Marcus Slaughter. « On n'avait pas beaucoup de joueurs athlétiques dans la raquette. Lui nous apporte sa verticalité et fait le spectacle. C'est un showman ». Enfin, les Maritimes se renforcent encore avec... un préparateur mental (DNA d'hier). « Il a cherché à savoir pourquoi on craquait dans les quatrièmes quart-temps (trois défaites de moins de dix points entre le 19 janvier et le 16 février, ndlr) et a modifié certains comportements ». La conjonction de tous ces paramètres change complètement la donne et le BCM décroche, en mars, cinq succès (quatre en championnat, un en coupe) en autant de rencontres. Profitant de la blessure de Joe Bunn et toujours autant aimanté par le parquet - « Je suis négatif pour un coach quand je suis sur le banc, j'ai besoin d'être sur le terrain quand c'est chaud » -, « le Dirk Nowitzki de la Côte d'Opale » se fend de stats rutilantes lors de cette série : 16,7 points, 6,2 rebonds et 3 passes. « Même si je ne mettais pas mes trois premiers shoots, il n'allait pas y avoir mort d'homme et j'allais rester sur le terrain. Et ça, ça change tout », explique Stephen « The Gun ». Même stoppé dans son élan par Cholet samedi dernier (77-80), le BCM respire un peu mieux à présent. « Ça nous a enlevé un peu de poids sur les épaules, mais on est loin d'être tiré d'affaire. A nous de nous mettre à l'abri le plus vite possible ». Et s'il n'oublie pas que c'est au Rhenus Sport qu'il a fêté sa première cape avec les Bleus, l'été dernier lors du Tournoi de Strasbourg, Stephen ne versera pas dans la nostalgie à l'heure de retrouver cette salle : « On va faire en sorte que la SIG reste dans une spirale négative ».
« A moi de bien finir la saison pour continuer à faire parler de moi »
Pour avoir retrouvé des couleurs, Brun se pose à nouveau en prétendant à l'équipe de France remodelée qui tentera de décrocher sa qualification pour les championnats d'Europe cet été. Y pense-t-il en se rasant le matin ? « A moi de bien finir la saison pour continuer à faire parler de moi. Ce qui est sûr, c'est que si je suis appelé, j'y vais en courant ! Même si ce n'est que pour disputer trois matches ». La franchise du grand blond lui va décidément bien au teint.
Régis Schneider
Souvenirs choletais
Passé par la pépinière choletaise, Stephen Brun a côtoyé Éric Girard dans les Mauges. Il en garde un bon souvenir. « C'est sûrement l'un des meilleurs entraîneurs français, dit le MVP de Pro B en 2005 avec Brest. Son éviction ne change rien. Quand les résultats ne suivent pas, c'est souvent le coach qui trinque ».
20 Minutes du 11 avril 2008
Weissler, première à domicile
Olivier Weissler va connaître son baptême du feu au Rhenus Sport, samedi soir, contre Gravelines (20 h), lors de la 25e journée de Pro A. S'il a déjà étrenné son costume d'entraîneur à Pau, le week-end dernier, ce sera cette fois-ci sa première à domicile. Cette sortie devant le public alsacien ne semble en tout cas pas l'angoisser. « On verra bien le moment venu, avoue le nouvel homme fort strasbourgeois. J'essaie d'enlever cette pression en préparant bien le match. »
Après le revers palois, Olivier Weissler espère bien décrocher son premier succès contre Gravelines (14e) pour inverser la spirale négative dans laquelle est engluée la SIG, neuvième avec cinq défaites consécutives. Mais attention aux Nordistes, qui restent sur deux victoires à l'extérieur.
L. B. - ©2008 20 minutes
rocky- Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
Titeuf 67 Sam 12 Avr - 9:31
La SIG dans l’urgence (L'Alsace)
La SIG (9e) et ses cinq défaites d’affilée en Pro A reçoit ce soir (20 h) une équipe de Gravelines 14e du classement et première non relégable. Au regard des dernières prestations des deux équipes, le favori n’est peut-être pas celui que l’on croit.
L’hémorragie est là. La SIG se vide, et si à son chevet on s’agite beaucoup, personne n’a encore appliqué le garrot. Il y a bien quelques joueurs soucieux de son état de santé, passant la tête par-dessus l’épaule d’un Olivier Weissler balancé là en pleine galère. Depuis qu’on a lourdé le médecin chef, on a du mal à trouver les compresses. Et ce n’est pas donné à tout le monde de poser des points de suture.
Mais le grand corps malade est encore debout. Vacillante, sa silhouette affaissée lorgne encore sur des play-offs qu’elle aurait tant aimé croquer à pleines dents. Elle s’appuie sur Weissler et McCord. Récemment, Rob Lewin est venu filer un coup de main. L’intérieur, si brillant face à Pau, lui a redonné une raison d’y croire. « C’est dur à vivre pour une équipe comme celle-ci, confie le Jamaïcain. Il y a beaucoup de talent, mais on commence toujours très mal nos matches. On doute, et on ne fait pas ce qu’on devrait faire. Je ne sais pas d’où ça vient. »
Touché par les critiques, Lewin fait partie des derniers guerriers d’une équipe en mal de révolte. Parfois maladroit ou mal inspiré – mais ce n’est pas son job – « A-Rob » donne toujours le maximum. « Je me donne à fond, je suis comme ça. Je défends, je prends des rebonds, je contre, c’est ça mon boulot. Et ça, ça doit aider à mettre les shooteurs dans de bonnes dispositions. » Mais après, le brave Rob ne peut pas non plus tout faire.
Nommé à la tête du service, Olivier Weissler vivra sa première expérience au Rhénus. Dans le contexte que l’on sait bien entendu. Pour l’aider à retaper la SIG, le coach a « demandé aux joueurs d’être concentrés et déterminés, de s’enlever toute cette pression. » Les meneurs ont eu droit à une explication de texte : « Il faut qu’on gère mieux le tempo, le jeu d’alternance, afin de toujours garder une dynamique dans notre jeu. On ne doit pas aller contre-nature mais prendre ce que le jeu nous propose. »
En face, Gravelines. Convalescente, l’équipe normande a trouvé un second souffle. Quatre victoires consécutives (Vichy, Nancy, Paris et Clermont) avant une petite rechute la semaine passée au Sportica face à Cholet (77-80). Remise de sa pneumonie, Gravelines se déplace donc en Alsace avec la goutte au nez. 14e, elle n’est qu’à deux victoires de Strasbourg, premier non qualifiable. Et l’équipe de Phlippe Namyst compte dans ses rangs quelques gais fossoyeurs : Marcus Slaughter (10 pts, 7 rbd), Joe Bunn (15 pts, 6.5 rbd), ou Vincent Grier (13 pts, 4.5 rbd, 2.6 pd) pour ne citer qu’eux.
Olivier Weissler est bien conscient de la qualité d’un adversaire qu’on rangerait trop vite dans la catégorie « victime rédemptrice ». « C’est une équipe qui a une hiérarchie bien en place, des habitudes de jeu, et qui valide des choses sûres match après match. Ça laisse présager un match dur et rigoureux. Il y a toujours des hauts et des bas dans un match. Il va donc falloir gérer au mieux les moments d’euphorie qu’aura peut-être Gravelines. Tout le monde est bien conscient qu’il faudra tenir tout le match. » Pour continuer à tenir debout.
Houston hospitalisé
Dans la nuit de jeudi à vendredi, Kevin Houston s’est plaint auprès du docteur Nicolas Sarbacher de violents maux de ventre. L’ailier américain a été conduit aux urgences de Hautepierre pour y pratiquer une batterie de tests. Les examens n’ont rien relevé d’alarmant, mais les médecins du service de gastro-entérologie ont préféré garder Houston en observation. Le joueur sera bien évidemment absent pour la rencontre face à Gravelines. Une saison décidément bien noire pour Kevin Houston et la SIG.
La SIG (9e) et ses cinq défaites d’affilée en Pro A reçoit ce soir (20 h) une équipe de Gravelines 14e du classement et première non relégable. Au regard des dernières prestations des deux équipes, le favori n’est peut-être pas celui que l’on croit.
L’hémorragie est là. La SIG se vide, et si à son chevet on s’agite beaucoup, personne n’a encore appliqué le garrot. Il y a bien quelques joueurs soucieux de son état de santé, passant la tête par-dessus l’épaule d’un Olivier Weissler balancé là en pleine galère. Depuis qu’on a lourdé le médecin chef, on a du mal à trouver les compresses. Et ce n’est pas donné à tout le monde de poser des points de suture.
Mais le grand corps malade est encore debout. Vacillante, sa silhouette affaissée lorgne encore sur des play-offs qu’elle aurait tant aimé croquer à pleines dents. Elle s’appuie sur Weissler et McCord. Récemment, Rob Lewin est venu filer un coup de main. L’intérieur, si brillant face à Pau, lui a redonné une raison d’y croire. « C’est dur à vivre pour une équipe comme celle-ci, confie le Jamaïcain. Il y a beaucoup de talent, mais on commence toujours très mal nos matches. On doute, et on ne fait pas ce qu’on devrait faire. Je ne sais pas d’où ça vient. »
Touché par les critiques, Lewin fait partie des derniers guerriers d’une équipe en mal de révolte. Parfois maladroit ou mal inspiré – mais ce n’est pas son job – « A-Rob » donne toujours le maximum. « Je me donne à fond, je suis comme ça. Je défends, je prends des rebonds, je contre, c’est ça mon boulot. Et ça, ça doit aider à mettre les shooteurs dans de bonnes dispositions. » Mais après, le brave Rob ne peut pas non plus tout faire.
Nommé à la tête du service, Olivier Weissler vivra sa première expérience au Rhénus. Dans le contexte que l’on sait bien entendu. Pour l’aider à retaper la SIG, le coach a « demandé aux joueurs d’être concentrés et déterminés, de s’enlever toute cette pression. » Les meneurs ont eu droit à une explication de texte : « Il faut qu’on gère mieux le tempo, le jeu d’alternance, afin de toujours garder une dynamique dans notre jeu. On ne doit pas aller contre-nature mais prendre ce que le jeu nous propose. »
En face, Gravelines. Convalescente, l’équipe normande a trouvé un second souffle. Quatre victoires consécutives (Vichy, Nancy, Paris et Clermont) avant une petite rechute la semaine passée au Sportica face à Cholet (77-80). Remise de sa pneumonie, Gravelines se déplace donc en Alsace avec la goutte au nez. 14e, elle n’est qu’à deux victoires de Strasbourg, premier non qualifiable. Et l’équipe de Phlippe Namyst compte dans ses rangs quelques gais fossoyeurs : Marcus Slaughter (10 pts, 7 rbd), Joe Bunn (15 pts, 6.5 rbd), ou Vincent Grier (13 pts, 4.5 rbd, 2.6 pd) pour ne citer qu’eux.
Olivier Weissler est bien conscient de la qualité d’un adversaire qu’on rangerait trop vite dans la catégorie « victime rédemptrice ». « C’est une équipe qui a une hiérarchie bien en place, des habitudes de jeu, et qui valide des choses sûres match après match. Ça laisse présager un match dur et rigoureux. Il y a toujours des hauts et des bas dans un match. Il va donc falloir gérer au mieux les moments d’euphorie qu’aura peut-être Gravelines. Tout le monde est bien conscient qu’il faudra tenir tout le match. » Pour continuer à tenir debout.
Houston hospitalisé
Dans la nuit de jeudi à vendredi, Kevin Houston s’est plaint auprès du docteur Nicolas Sarbacher de violents maux de ventre. L’ailier américain a été conduit aux urgences de Hautepierre pour y pratiquer une batterie de tests. Les examens n’ont rien relevé d’alarmant, mais les médecins du service de gastro-entérologie ont préféré garder Houston en observation. Le joueur sera bien évidemment absent pour la rencontre face à Gravelines. Une saison décidément bien noire pour Kevin Houston et la SIG.
Titeuf 67- Localisation : Strasbourg
Date d'inscription : 18/05/2006 -
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
World B. Free Sam 12 Avr - 9:48
Mick tu es en retard auj...
Une victoire, sinon rien
Pour s'éviter une fin de saison déprimante, les Strasbourgeois, privés de Houston, seraient bien inspirés de renouer avec une victoire qui les fuit depuis cinq rencontres. Car si faire entendre raison à une équipe de Gravelines nettement plus pimpante depuis quelque temps ne s'annonce pas aisé, il y a désormais urgence.
Éric Girard avait vu juste lorsqu'il prédisait, à l'orée de cette saison, que ce championnat serait un championnat de séries. Parce qu'il n'est pas médium, mais coach de basket, le désormais tout nouvel ex-entraîneur de la SIG n'avait toutefois pas deviné que cette très exacte prophétie lui coûterait aussi sa place.
Mettre fin à cette disette qui n'a que trop duré
Sevrée de victoires depuis le 23 février, un bail donc, et le succès décroché sur le parquet de la lanterne rouge clermontoise, la SIG se trouve aujourd'hui aspirée dans une spirale négative dont elle ne parvient pas à s'extirper. Ce qui suffit à situer toute l'importance de la réception de Gravelines, ce soir, un rendez-vous crucial pour mettre fin à une période de disette qui n'a que trop duré. Olivier Weissler ne veut toutefois pas encore entendre parler d'une échéance à quitte ou double, d'un match couperet et déjà capital. « Ça reste un match à jouer. On va essayer de gommer les tares vues la semaine dernière pour retrouver de l'allant positif », dit celui qui effectuera ses débuts au Rhenus Sport en qualité d'entraîneur de l'équipe pro. « J'essaie de me servir du vécu de Pau pour prendre du recul par rapport à ça. D'être le plus serein possible pour transmettre de la sérénité aux joueurs ». Le discours se veut donc résolument optimiste. Et même s'il doit composer avec le forfait de Kevin Houston (lire ci-contre), le technicien alsacien a foi en son équipe et la pense parfaitement capable de redresser la barre. A la condition aussi de se serrer les coudes. « Ce groupe est à même de répondre présent, reprend Olivier Weissler. Mais je sais aussi, pour l'avoir vécu en tant que joueur, que les mauvaises habitudes reviennent souvent au galop dans l'adversité. A nous de rester solidaires dans la difficulté ». Et la difficulté ne manquera pas tout à l'heure. Puisqu'il est dit que ce championnat fait la part belle aux séries, le BCM Gravelines-Dunkerque en a signé une fort probante en mars, en alignant cinq succès, dont quatre en championnat. Seulement battus sur le fil par Cholet le week-end dernier, les Maritimes ont le vent dans le dos et n'ont plus grand chose à voir avec la formation moribonde affrontée à l'aller. « C'est une équipe qui a une nouvelle hiérarchie en place et se base sur des choses sûres. Ça laisse présager un match dur », souligne Olivier Weissler.
« Garder de l'enthousiasme car on peut trouver du plaisir dans la dureté »
S'ils veulent à nouveau lever les bras au coup de sifflet final, John McCord et ses coéquipiers devront donc être « concentrés et déterminés, mais aussi garder de l'enthousiasme car on peut trouver du plaisir dans la dureté ». « On doit jouer notre jeu, prendre ce que le jeu nous propose et ne pas aller contre-nature. Mais aussi gérer le tempo et être investi dans un jeu d'alternance », préconise encore l'ancien responsable des espoirs, au terme d'une ultime séance d'entraînement pour le moins dynamique, où les oublis défensifs ont été « sanctionnés » par une... série de pompes. Des séries, on y revient toujours. Une victoire, ce soir, et la machine alsacienne pourrait bien repartir pour un tour. Une nouvelle déconfiture et la SIG ne couperait sûrement pas à une fin de saison morne et cafardeuse. Il n'y a plus trop le choix à présent.
Houston out
Kevin Houston manquera à l'appel ce soir pour la réception de Gravelines. Déjà laissé au repos en début de semaine en raison d'une pointe à la cuisse, l'ailier US, qui avait repris l'entraînement avant-hier, a été admis d'urgence à l'hôpital de Strasbourg-Hautepierre dans la nuit de jeudi à vendredi. L'ancienne gâchette de Mons a ressenti de violentes douleurs abdominales après le dîner qui l'ont contraint à prévenir le docteur Nicolas Sarbacher, médecin référent du club, vers minuit. Houston a été transporté en ambulance à l'hôpital où les premiers examens ont établi qu'il souffrait d'un syndrome abdominal douloureux. Transféré dans le service de gastro-entérologie, le joueur devra rester quelques jours en observation. Le bilan qu'il a passé hier matin a en effet révélé un certain nombre d'« anomalies ». Déjà opéré du talon d'Achille en novembre, Houston est décidément maudit.« Ça offre une solution en moins, mais il y aura des joueurs pour jouer », tente de relativiser Olivier Weissler.
Une victoire, sinon rien
Pour s'éviter une fin de saison déprimante, les Strasbourgeois, privés de Houston, seraient bien inspirés de renouer avec une victoire qui les fuit depuis cinq rencontres. Car si faire entendre raison à une équipe de Gravelines nettement plus pimpante depuis quelque temps ne s'annonce pas aisé, il y a désormais urgence.
Éric Girard avait vu juste lorsqu'il prédisait, à l'orée de cette saison, que ce championnat serait un championnat de séries. Parce qu'il n'est pas médium, mais coach de basket, le désormais tout nouvel ex-entraîneur de la SIG n'avait toutefois pas deviné que cette très exacte prophétie lui coûterait aussi sa place.
Mettre fin à cette disette qui n'a que trop duré
Sevrée de victoires depuis le 23 février, un bail donc, et le succès décroché sur le parquet de la lanterne rouge clermontoise, la SIG se trouve aujourd'hui aspirée dans une spirale négative dont elle ne parvient pas à s'extirper. Ce qui suffit à situer toute l'importance de la réception de Gravelines, ce soir, un rendez-vous crucial pour mettre fin à une période de disette qui n'a que trop duré. Olivier Weissler ne veut toutefois pas encore entendre parler d'une échéance à quitte ou double, d'un match couperet et déjà capital. « Ça reste un match à jouer. On va essayer de gommer les tares vues la semaine dernière pour retrouver de l'allant positif », dit celui qui effectuera ses débuts au Rhenus Sport en qualité d'entraîneur de l'équipe pro. « J'essaie de me servir du vécu de Pau pour prendre du recul par rapport à ça. D'être le plus serein possible pour transmettre de la sérénité aux joueurs ». Le discours se veut donc résolument optimiste. Et même s'il doit composer avec le forfait de Kevin Houston (lire ci-contre), le technicien alsacien a foi en son équipe et la pense parfaitement capable de redresser la barre. A la condition aussi de se serrer les coudes. « Ce groupe est à même de répondre présent, reprend Olivier Weissler. Mais je sais aussi, pour l'avoir vécu en tant que joueur, que les mauvaises habitudes reviennent souvent au galop dans l'adversité. A nous de rester solidaires dans la difficulté ». Et la difficulté ne manquera pas tout à l'heure. Puisqu'il est dit que ce championnat fait la part belle aux séries, le BCM Gravelines-Dunkerque en a signé une fort probante en mars, en alignant cinq succès, dont quatre en championnat. Seulement battus sur le fil par Cholet le week-end dernier, les Maritimes ont le vent dans le dos et n'ont plus grand chose à voir avec la formation moribonde affrontée à l'aller. « C'est une équipe qui a une nouvelle hiérarchie en place et se base sur des choses sûres. Ça laisse présager un match dur », souligne Olivier Weissler.
« Garder de l'enthousiasme car on peut trouver du plaisir dans la dureté »
S'ils veulent à nouveau lever les bras au coup de sifflet final, John McCord et ses coéquipiers devront donc être « concentrés et déterminés, mais aussi garder de l'enthousiasme car on peut trouver du plaisir dans la dureté ». « On doit jouer notre jeu, prendre ce que le jeu nous propose et ne pas aller contre-nature. Mais aussi gérer le tempo et être investi dans un jeu d'alternance », préconise encore l'ancien responsable des espoirs, au terme d'une ultime séance d'entraînement pour le moins dynamique, où les oublis défensifs ont été « sanctionnés » par une... série de pompes. Des séries, on y revient toujours. Une victoire, ce soir, et la machine alsacienne pourrait bien repartir pour un tour. Une nouvelle déconfiture et la SIG ne couperait sûrement pas à une fin de saison morne et cafardeuse. Il n'y a plus trop le choix à présent.
Houston out
Kevin Houston manquera à l'appel ce soir pour la réception de Gravelines. Déjà laissé au repos en début de semaine en raison d'une pointe à la cuisse, l'ailier US, qui avait repris l'entraînement avant-hier, a été admis d'urgence à l'hôpital de Strasbourg-Hautepierre dans la nuit de jeudi à vendredi. L'ancienne gâchette de Mons a ressenti de violentes douleurs abdominales après le dîner qui l'ont contraint à prévenir le docteur Nicolas Sarbacher, médecin référent du club, vers minuit. Houston a été transporté en ambulance à l'hôpital où les premiers examens ont établi qu'il souffrait d'un syndrome abdominal douloureux. Transféré dans le service de gastro-entérologie, le joueur devra rester quelques jours en observation. Le bilan qu'il a passé hier matin a en effet révélé un certain nombre d'« anomalies ». Déjà opéré du talon d'Achille en novembre, Houston est décidément maudit.« Ça offre une solution en moins, mais il y aura des joueurs pour jouer », tente de relativiser Olivier Weissler.
World B. Free- Date d'inscription : 01/06/2006
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
rocky Sam 12 Avr - 9:57
J'arrive 
La voix du Nord du 11 avril 2008
BASKET-BALL Joe Bunn : sous le bicorne, un mec à suivre
« Napoléon, il est comme moi, un petit homme avec une énorme détermination. Il a connu beaucoup de succès. » Féru d’histoire, Joe Bunn a un faible pour l’empereur des Français. Mais l’intérieur américain du BCM, petit (1,96 m) pour un poste de « big guy », a sans doute un atout de plus : une humilité exemplaire qu’il a fait parler pour son retour au jeu.
PAR SANDRINE ARRESTIER
La scène se passe dans le vestiaire samedi dernier après l’entraînement du matin. Joe Bunn, appelé à retrouver les parquets le soir même contre Cholet, prend la parole. « J’ai dit à l’équipe qu’elle jouait bien sans moi, que je ne voulais pas arriver et perturber ça. Tout va bien, toute l’équipe est heureuse, le coach est heureux, M. Beddeleem est heureux : si je dois rester sur le banc, pas de problème, je peux me contenter de vous encourager. » Meilleur marqueur gravelinois (15,4 pts) avant de se blesser à la cuisse contre Roanne le 23 février, pas détrôné depuis, l’intérieur américain était prêt à s’effacer avec élégance. Juste parce que « le plus important c’est l’équipe, il n’y a que ça qui compte ».
Pendant son absence, drôle de coïncidence, le BCM a relevé la tête. Joe Bunn n’en a pas pris ombrage. Convaincu que, désormais, le maintien est en vue, que la défaite contre Cholet (77-80) n’a pas brisé l’élan qu’il faut reprendre à Strasbourg ce soir, il a simplement constaté : « L’équipe est différente. Elle fait bien ce qu’elle a à faire, certains joueurs jouent davantage, et maintenant, en plus, elle gagne des matchs ! Chacun joue mieux, avec la confiance. Le coach a toujours une attitude positive, à l’entraînement et en match. Il a fait du bon boulot, a expliqué son rôle à chacun qui l’a compris et surtout accepté. Alors je dois regarder où je peux aider et quelle place occuper. » Et pourtant, l’attente a été longue. « Se contenter de regarder les entraînements, les matchs, ça a été dur », confesse le New-Yorkais. Mais pour récupérer sa place, il se passera de coups bas. « Stephen (Brun) jouait super bien, je lui ai dit de continuer. Maintenant, c’est un bon joueur, moi aussi, on est en concurrence. » Ce comportement force l’admiration de Philippe Namyst. « C’est très rare chez un joueur. Son geste montre la grandeur du monsieur.
Quand il a parlé, c’était limpide, ça a coulé d’un trait. Les autres sont restés stupéfaits. On a vécu plein de mauvais moments mais rien que pour ça, ça valait la peine ! » Mature et intelligent, Joe Bunn fait preuve d’une ouverture d’esprit pas courante, notamment chez les Américains, très centrés sur le business. Volonté affichée de comprendre, assimiler, s’intégrer. Son entraîneur raconte encore une anecdote significative : quand il arrive en salle de musculation, ouverte à tous, son joueur tend la main à chacun quand ses compatriotes sont plus habitués à un salut général. « Il a vu beaucoup de pays, de cultures, j’ai l’impression qu’il s’en est nourri. Ça explique qu’à un moment, il soit capable de s’oublier. » Depuis sa sortie de l’université de Virginie, l’Américain a écumé la planète. En moins de dix ans, Venezuela, Corée, Argentine, Philippines, et encore Espagne, Italie et France cette saison ! « Il a aussi vécu aussi des moments pas faciles », ajoute pudiquement le coach. Orphelin, le futur basketteur s’est plongé dans la lecture : « Gamin, je lisais tout le temps. » Dévoreur d’histoire(s).
Qu’on se rassure toutefois, Joe Bunn le conquérant n’a pas l’intention de battre en retraite pour se consacrer à la seule lecture. Philippe Namyst lui a juste demandé un peu de patience : « On a besoin de lui. » •
STRASBOURG (9e) - BCM (14e), 25e journée de Pro A, à 20 heures.
– Absent : Morlende (genou).
La voix du Nord du 11 avril 2008
BASKET-BALL Joe Bunn : sous le bicorne, un mec à suivre
« Napoléon, il est comme moi, un petit homme avec une énorme détermination. Il a connu beaucoup de succès. » Féru d’histoire, Joe Bunn a un faible pour l’empereur des Français. Mais l’intérieur américain du BCM, petit (1,96 m) pour un poste de « big guy », a sans doute un atout de plus : une humilité exemplaire qu’il a fait parler pour son retour au jeu.
PAR SANDRINE ARRESTIER
La scène se passe dans le vestiaire samedi dernier après l’entraînement du matin. Joe Bunn, appelé à retrouver les parquets le soir même contre Cholet, prend la parole. « J’ai dit à l’équipe qu’elle jouait bien sans moi, que je ne voulais pas arriver et perturber ça. Tout va bien, toute l’équipe est heureuse, le coach est heureux, M. Beddeleem est heureux : si je dois rester sur le banc, pas de problème, je peux me contenter de vous encourager. » Meilleur marqueur gravelinois (15,4 pts) avant de se blesser à la cuisse contre Roanne le 23 février, pas détrôné depuis, l’intérieur américain était prêt à s’effacer avec élégance. Juste parce que « le plus important c’est l’équipe, il n’y a que ça qui compte ».
Pendant son absence, drôle de coïncidence, le BCM a relevé la tête. Joe Bunn n’en a pas pris ombrage. Convaincu que, désormais, le maintien est en vue, que la défaite contre Cholet (77-80) n’a pas brisé l’élan qu’il faut reprendre à Strasbourg ce soir, il a simplement constaté : « L’équipe est différente. Elle fait bien ce qu’elle a à faire, certains joueurs jouent davantage, et maintenant, en plus, elle gagne des matchs ! Chacun joue mieux, avec la confiance. Le coach a toujours une attitude positive, à l’entraînement et en match. Il a fait du bon boulot, a expliqué son rôle à chacun qui l’a compris et surtout accepté. Alors je dois regarder où je peux aider et quelle place occuper. » Et pourtant, l’attente a été longue. « Se contenter de regarder les entraînements, les matchs, ça a été dur », confesse le New-Yorkais. Mais pour récupérer sa place, il se passera de coups bas. « Stephen (Brun) jouait super bien, je lui ai dit de continuer. Maintenant, c’est un bon joueur, moi aussi, on est en concurrence. » Ce comportement force l’admiration de Philippe Namyst. « C’est très rare chez un joueur. Son geste montre la grandeur du monsieur.
Quand il a parlé, c’était limpide, ça a coulé d’un trait. Les autres sont restés stupéfaits. On a vécu plein de mauvais moments mais rien que pour ça, ça valait la peine ! » Mature et intelligent, Joe Bunn fait preuve d’une ouverture d’esprit pas courante, notamment chez les Américains, très centrés sur le business. Volonté affichée de comprendre, assimiler, s’intégrer. Son entraîneur raconte encore une anecdote significative : quand il arrive en salle de musculation, ouverte à tous, son joueur tend la main à chacun quand ses compatriotes sont plus habitués à un salut général. « Il a vu beaucoup de pays, de cultures, j’ai l’impression qu’il s’en est nourri. Ça explique qu’à un moment, il soit capable de s’oublier. » Depuis sa sortie de l’université de Virginie, l’Américain a écumé la planète. En moins de dix ans, Venezuela, Corée, Argentine, Philippines, et encore Espagne, Italie et France cette saison ! « Il a aussi vécu aussi des moments pas faciles », ajoute pudiquement le coach. Orphelin, le futur basketteur s’est plongé dans la lecture : « Gamin, je lisais tout le temps. » Dévoreur d’histoire(s).
Qu’on se rassure toutefois, Joe Bunn le conquérant n’a pas l’intention de battre en retraite pour se consacrer à la seule lecture. Philippe Namyst lui a juste demandé un peu de patience : « On a besoin de lui. » •
STRASBOURG (9e) - BCM (14e), 25e journée de Pro A, à 20 heures.
– Absent : Morlende (genou).
rocky- Age : 104
Localisation : Molsheim
Date d'inscription : 03/03/2007
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
frederic Sam 12 Avr - 11:15
Houston out
joueur qui as vraiment pas de chance cet annee
joueur qui as vraiment pas de chance cet annee
frederic- Age : 48
Localisation : eschau
Date d'inscription : 26/10/2006
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
philippe Sam 12 Avr - 11:19
pleures npas comme cela........frederic a écrit:Houston out
joueur qui as vraiment pas de chance cet annee
les plus beaux matchs de la sig l'ont ete sans houston.
Depuis son retour, c'est la cata.......le chat noir de la SIG en quelque sorte
peut etre fallait quand meme prendre un pigiste? 
faut demander son avis à JR.......
philippe- Age : 65
Date d'inscription : 18/05/2006
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
philippe Sam 12 Avr - 11:20
dites au journaliste de l'Alsace que Gravelines, c'est pas en Normandie!
philippe- Age : 65
Date d'inscription : 18/05/2006
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
frederic Sam 12 Avr - 14:42
philippe a écrit:pleures npas comme cela........frederic a écrit:Houston out
joueur qui as vraiment pas de chance cet annee
les plus beaux matchs de la sig l'ont ete sans houston.
Depuis son retour, c'est la cata.......le chat noir de la SIG en quelque sorte
Alors victoire ce soir ?
frederic- Age : 48
Localisation : eschau
Date d'inscription : 26/10/2006
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
Titeuf 67 Sam 12 Avr - 15:38
frederic a écrit:philippe a écrit:pleures npas comme cela........frederic a écrit:Houston out
joueur qui as vraiment pas de chance cet annee
les plus beaux matchs de la sig l'ont ete sans houston.
Depuis son retour, c'est la cata.......le chat noir de la SIG en quelque sorte
Alors victoire ce soir ?
Evidemment qu'on va gagner.
Juste un petit truc Frederic, ne t'attends surtout pas à une réponse intelligente de Philippe en ce moment, il est un peu aigri en ce moment
Titeuf 67- Localisation : Strasbourg
Date d'inscription : 18/05/2006 -
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
frederic Sam 12 Avr - 15:43
[quote="Titeuf 67"]
merci Titeuf tu me connais sa me touche pas je prend sa comme de l humour
frederic a écrit:philippe a écrit:pleures npas comme cela........frederic a écrit:Houston out
joueur qui as vraiment pas de chance cet annee
les plus beaux matchs de la sig l'ont ete sans houston.
Depuis son retour, c'est la cata.......le chat noir de la SIG en quelque sorte
Alors victoire ce soir ?
Evidemment qu'on va gagner.
Juste un petit truc Frederic, ne t'attends surtout pas à une réponse intelligente de Philippe en ce moment, il est un peu aigri en ce moment
merci Titeuf tu me connais sa me touche pas je prend sa comme de l humour
frederic- Age : 48
Localisation : eschau
Date d'inscription : 26/10/2006
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
Titeuf 67 Sam 12 Avr - 16:04
[quote="frederic"]
Juste qu'au bout d'un moment ça commence à ètre lourd
Titeuf 67 a écrit:frederic a écrit:philippe a écrit:pleures npas comme cela........frederic a écrit:Houston out
joueur qui as vraiment pas de chance cet annee
les plus beaux matchs de la sig l'ont ete sans houston.
Depuis son retour, c'est la cata.......le chat noir de la SIG en quelque sorte
Alors victoire ce soir ?
Evidemment qu'on va gagner.
Juste un petit truc Frederic, ne t'attends surtout pas à une réponse intelligente de Philippe en ce moment, il est un peu aigri en ce moment
merci Titeuf tu me connais sa me touche pas je prend sa comme de l humour
Juste qu'au bout d'un moment ça commence à ètre lourd
Titeuf 67- Localisation : Strasbourg
Date d'inscription : 18/05/2006 -
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
alme67 Sam 12 Avr - 17:59
QUESTION VRAIMENT INUTILE : QUI EST CE QUI JOUE POUR NE PAS GAGNER!!!!!!frederic a écrit:philippe a écrit:pleures npas comme cela........frederic a écrit:Houston out
joueur qui as vraiment pas de chance cet annee
les plus beaux matchs de la sig l'ont ete sans houston.
Depuis son retour, c'est la cata.......le chat noir de la SIG en quelque sorte
Alors victoire ce soir ?
alme67- Age : 48
Date d'inscription : 21/09/2007
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
David67350 Sam 12 Avr - 18:11
alme67 a écrit:QUESTION VRAIMENT INUTILE : QUI EST CE QUI JOUE POUR NE PAS GAGNER!!!!!!frederic a écrit:philippe a écrit:pleures npas comme cela........frederic a écrit:Houston out
joueur qui as vraiment pas de chance cet annee
les plus beaux matchs de la sig l'ont ete sans houston.
Depuis son retour, c'est la cata.......le chat noir de la SIG en quelque sorte
Alors victoire ce soir ?
Les vendus...
David67350- Age : 34
Localisation : Alsace
Date d'inscription : 19/05/2006
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
Invité Sam 12 Avr - 18:19
Les ricains qui vont partir dans 5 matchs ?
Invité- Invité
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
Fabrice Sam 12 Avr - 20:21
Bon premier QT, en tout cas, en termes offensif. Il faudrait resserrer la défense. Pettway, 7 pts en 3 mn. Nissim et Giffa 5 pts chacun.
Fabrice- Date d'inscription : 30/05/2007
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
le FILS DE HAKKENATON Sam 12 Avr - 21:43
Voila, victoire de la sig, comme prévu....
le BCM sera en proB l'an prochain
il ne pêut en etre autrement, tant la ligue , (vous en avez fait les frais il y a un mois) a décidé de sauver le club de la capitale
contre choletsamedi dernier ce fut flagrant
, et, parait il, ce soir, les arbitres ont suivi les consignes
tant mieux pour vous
Bonne fin de saison
le BCM sera en proB l'an prochain
il ne pêut en etre autrement, tant la ligue , (vous en avez fait les frais il y a un mois) a décidé de sauver le club de la capitale
contre choletsamedi dernier ce fut flagrant
, et, parait il, ce soir, les arbitres ont suivi les consignes
tant mieux pour vous
Bonne fin de saison
le FILS DE HAKKENATON- Date d'inscription : 03/07/2007
Re: PRO A 25ème Journée : SIG - Gravelines
Coach Kira Sam 12 Avr - 22:12
De retour du match.
Pour la première sortie de la SIG version Weissler, on a eu droit a une sortie correcte, très brouillonne par moment, mais la victoire est au bout !
La première mi-temps a été très offensive, ou plutot pas du tout défensive, aussi bien pour nous que por le BCM. Pettway, Giffa et Nissim ont permis à la SIG de prendre sept points d'avance à deux minutes de la pause, mais un relachement a permis à Gravelines de recoller à 49 à 48 à la pause.
Le début de seconde mi-temps est calamiteux. D'abord, on a commencé avec un 5 assez particulier, et on est resté 6 minutes sans marquer, en enchainant les balles perdues et mauvais choix. Heureusement que le BCM a été très maladroit sinon on passait à -15.
Mais le BCM n'a pris que 6 longueurs d'avance, comblés par Shannon avec 5 points marqués à l'issue d'une faute technique de Mokongo.
Puis on passe devant et on conserve notre avance grace à une bonne défense, notamment Lewin. On prend 10 points d'avance, mais pour ne pas etre serein jusqu'au bout, on permet au BCM de revenir à 4 pts à 20" de la fin. J'ai pas bien compris le timeout de Weissler à 3" de la fin, avec 4 pts d'avance vu qu'on avait déjà gagné à l'aller, on n'avait pas besoin du panier-average et au final on perd la balle sur la remise en jeu. Sans conséquence.
Victoire finale 76 à 72. A noter le superbe alley-oop de Pettway.
Les résultats sont favorables, on repasse 8eme.
Pour la première sortie de la SIG version Weissler, on a eu droit a une sortie correcte, très brouillonne par moment, mais la victoire est au bout !
La première mi-temps a été très offensive, ou plutot pas du tout défensive, aussi bien pour nous que por le BCM. Pettway, Giffa et Nissim ont permis à la SIG de prendre sept points d'avance à deux minutes de la pause, mais un relachement a permis à Gravelines de recoller à 49 à 48 à la pause.
Le début de seconde mi-temps est calamiteux. D'abord, on a commencé avec un 5 assez particulier, et on est resté 6 minutes sans marquer, en enchainant les balles perdues et mauvais choix. Heureusement que le BCM a été très maladroit sinon on passait à -15.
Mais le BCM n'a pris que 6 longueurs d'avance, comblés par Shannon avec 5 points marqués à l'issue d'une faute technique de Mokongo.
Puis on passe devant et on conserve notre avance grace à une bonne défense, notamment Lewin. On prend 10 points d'avance, mais pour ne pas etre serein jusqu'au bout, on permet au BCM de revenir à 4 pts à 20" de la fin. J'ai pas bien compris le timeout de Weissler à 3" de la fin, avec 4 pts d'avance vu qu'on avait déjà gagné à l'aller, on n'avait pas besoin du panier-average et au final on perd la balle sur la remise en jeu. Sans conséquence.
Victoire finale 76 à 72. A noter le superbe alley-oop de Pettway.
Les résultats sont favorables, on repasse 8eme.
Coach Kira- Age : 39
Localisation : Washington
Date d'inscription : 04/06/2006
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