PRO A : 3ème journée : SIG - Le Mans

Namele a écrit:

yannickos a écrit:

Namele a écrit:

bibi a écrit:mais allez soyez heureux et bonne dégustation à tous!!

....tout ceux qui sont invités en VIP plutôt . Triste à dire effectivement

ouais ils auraient pu t'embaucher pour faire des flamkueche aussi??

Mmm moi je suis pas très doué pour ça . Et puis, je ne sais pas si j'ai la côte à la SIG maintenant

Ah ben ouais... Toi, t'invite carrément Eric Girard chez toi! Il te laisse encore entrer au Rhénus?

Fabrice a écrit:Ah ben ouais... Toi, t'invite carrément Eric Girard chez toi! Il te laisse encore entrer au Rhénus?

Avec une cagoule et par l'entrée de derrière, ça va plutôt pas mal

un truc plutot rassurant:dijon prend une tannée 80-50 dans le 3ème quart à chalon(braud s'en donne à coeur joie 8/10 3pts).ya moyen de faire quelque chose la semaine prochaine!

françois a écrit:un truc plutot rassurant:dijon prend une tannée 80-50 dans le 3ème quart à chalon(braud s'en donne à coeur joie 8/10 3pts).ya moyen de faire quelque chose la semaine prochaine!

C'est aussi ce que je pense : nous avons joué à domicile deux équipes qui sont annoncées comme très fortes pour la saison à venir. Celles qui devraient être du même standing (voire du niveau en dessous) que la SIG apparaissent comme prenables (et même mieux, avec le déplacement à Vichy).
On pourrait espérer un coup à Dijon effectivement, tout dépendra de l'état de santé de D.Simon je pense !

DNA du 19 octobre 2008

Basket-ball / Après la défaite de la SIG face au Mans (64-69)

Quatre minutes en question

De l'aveu même de Frédéric Sarre, il a manqué « quatre minutes de lucidité et d'efficacité » à la SIG face au Mans (64-69) pour plier une rencontre qu'elle avait admirablement bien ficelée jusque-là. Retour en quatre questions, plus ou moins essentielles, sur ces quatre minutes de trop.
RUSH A-T-IL TROP JOUÉ ? - Difficile à première vue de reprocher quoi que ce soit au pistolero strasbourgeois. En plus d'avoir été une nouvelle fois prolixe en attaque (22 points), Brion Rush a aussi capté un nombre assez phénoménal de rebonds (14, dont 11 défensifs) pour un petit gabarit comme le sien.

« On y a laissé des plumes »

L'arrière de la SIG a cependant manqué de discernement en fin de match. A 1'25" du terme (64-64), il met le pied en touche en tentant de récupérer un ballon qui devait, de toute façon, revenir à la SIG, Obasohan n'ayant pas touché la gonfle après l'échec de Spencer. A 58" du buzzer (64-67), l'ex-Roannais déclenche un shoot à huit mètres qui se solde par un air ball. Allen, sur sa gauche, agitait pourtant les bras pour réclamer le ballon...
Plus gros temps de jeu avant-hier (38'15"), Rush a t-il trop joué au point d'en perdre ses moyens ? « Sur la première action, difficile d'apprécier si le ballon a été ou non touché. Dans le doute, c'est bien que Brion se batte, c'est une bonne démarche de sa part, observe son entraîneur. Ce qui manque peut-être, c'est une forme de communication entre lui et Derrick. Sur le shoot, on est bien obligé à un moment donné de tirer sur la g... des mêmes ».
Rush n'est pas à blâmer. Comme ses coéquipiers, il a beaucoup donné avant cela. « Il fallait être dans le rapport physique et on y a laissé des plumes », dit Fred Sarre.
ÉTAIT-IL POSSIBLE DE NEUTRALISER BLUTHENTHAL ? - Discret, pour ne pas dire transparent, pendant une bonne partie du match, il a été décisif dans le money time. Un écran pour Spencer (64-59), une passe pour Koffi (64-61) et, surtout, deux paniers primés en 50" qui offrent la victoire au MSB : David Bluthenthal a été le facteur X au moment M. La marque des très grands.
Mais pouvait-il en être autrement ? « Il fait partie de ces joueurs capables d'être effacés dans un collectif et de surgir quand il le faut, décrypte coach Sarre. Il a un niveau de jeu et d'expérience, une force de caractère qui n'ont pas d'équivalent dans le championnat. Qui, dans notre équipe, a disputé un Final Four ? Qui a joué l'Euroligue avec un véritable impact ? Personne ».
FALLAIT-IL RELANCER SIMON ? - Dissuasif en défense jusque-là, David Simon, touché à la cheville dans un duel avec Batista, a momentanément quitté ses coéquipiers dans le troisième acte. Revenu sur le parquet à 3' du terme (64-61), le pivot de la SIG n'a plus été dans le coup, à l'image de ce rebond offensif qui se dérobe sous ses doigts dès son retour aux affaires.
Fallait-il le relancer ? « Il avait été bon, me dit qu'il est OK et je suis pour ma part à la recherche d'impact offensif, explique Frédéric Sarre. J'ai besoin d'avoir un nouvel élan, de quelqu'un qui puisse m'apporter un nouveau rythme ». Ça se tient...
ALLEN EST-IL VRAIMENT PASSÉ AU TRAVERS ? - Un shoot à trois points contré par Spencer à 35" de la fin, une passe à terre hasardeuse cinq secondes plus tard qui se mue en balle perdue (avec, au passage, une faute non sifflée du même Spencer).
Ces deux ratés dans la dernière ligne droite sont symptomatiques des difficultés qu'Allen a rencontrées vendredi (2/11 aux shoots, 1 d'évaluation). Fred Sarre n'accable pas son ailier. « John aura des moments fastes et des moments moins fastes cette saison. Il a quand même fait un job assez intéressant sur Dee qui a été obligé de rentrer des tirs très difficiles ».

Trente-six minutes ?

QUESTION SUBSIDIAIRE (ET PARFAITEMENT INUTILE) : FAUT-IL RAMENER LA DURÉE DES MATCHES EN PRO A A 36 MINUTES ? - Il a manqué quatre minutes à la SIG pour s'offrir le scalp du MSB. Alors Fred Sarre, partisan de rencontres en 36 minutes ? Sourire de l'intéressé. « Plutôt en 48 minutes, comme en NBA. Comme ça, ceux d'en face seraient aussi cramés ! ».

Régis Schneider


L'Alsace du 19 octobre 2008

Deux défaites en deux matches à domicile : les chiffres bruts sont implacables. Mais après l’ouragan Orléans (75-80) et la tornade MSB (64-69), les Strasbourgeois peuvent envisager les prochaines semaines avec un certain optimisme.

Comme une drôle d’impression. Un goût sucré-salé qui laisse dubitatif. Le Mans a-t-il joué une bonne partie du match avec le frein à main à quelques jours de l’Euroleague ou a-t-il été objectivement mis sous l’éteignoir par la SIG ? « On a bien débuté, avec beaucoup d’envie, beaucoup d’intention », note le meneur alsacien Steeve Essart. « La dernière fois, contre Orléans, on avait déjà montré de belles choses mais on avait perdu de 5 points. Là, on perd aussi de 5 points, mais pour moi il y a une progression. »
Impossible de le démentir. Déjà parce que Le Mans, sans faire offense aux Orléanais, ne joue pas dans la même division. Et puis parce que les Strasbourgeois ont livré une partie remarquable. Jusqu’à à la 36e minute. « On finit sur un 0/12 au tir », soupire "Speedy" Essart, qui avait retrouvé pour l’occasion les cannes du Cardiac Kid qu’il était. La faute peut-être à des choix trop précipités, comme sur cette contre-attaque à 64-61 où Gauthier Darrigand tente un shoot express à trois points. Facile à dire après coup, mais assurer deux points à ce moment du match aurait peut-être permis aux Strasbourgeois de mieux gérer le money time.

Dans le rouge physiquement

Frédéric Sarre regrettait ce manque de lucidité. Il accorde toutefois à ses joueurs le mérite d’avoir « combattu, de s’être montrés courageux. Mais on est court sur les réserves d’impact et de percussion en fin de match. » Sûr que la sortie sur blessure de David Simon à la fin du troisième quart a porté un sacré coup à la rotation strasbourgeoise. Le pivot américain avait tenu la baraque au retour des vestiaires en dominant la raquette, malgré Batista et Koffi, avec notamment 9 rebonds et 10 points au compteur.
L’intérim Lewin avait été probant mais la profondeur du banc manceau a obligé Sarre à remettre son « grand » strappé à la cheville gauche pour les cinq dernières minutes. Pour Steeve Essart, cette blessure « arrive au pire moment ». La SIG mène alors de quatre points (55-51). Obasohan, Lewin, Giffa et Allen vont tous donner un surplus d’énergie pour compenser cette sortie. Rush finira même meilleur rebondeur du match avec 14 prises ! Et forcément, c’est en attaque que ça se paye.

Chercher des points faciles

Le pourcentage de réussite des Strasbourgeois est de 56 % à la fin du premier quart, 46 % à la mi-temps, 43 % au troisième, pour finir à 37 %. La déliquescence du shoot alsacien va évidemment de pair avec la débauche d’énergie nécessaire pour contenir l’armada du MSB. « On laisse Le Mans à 69 points, on n’a rien à se reprocher en défense », constatait encore Frédéric Sarre. « Je ne voulais pas me faire écraser la g… à l’intérieur. On a réussi mais on a été en souffrance au tir. Il faut absolument chercher des solutions en fin de match pour mettre des points. »
Les Manceaux, profil bas, savaient, eux, ce qu’ils devaient à Dewarick Spencer, son 4/8 à trois points, dont deux déclenchés au buzzer, à 9 mètres, avec une main devant… « On ne peut pas mieux défendre sur lui », pestait Essart. « Il fait son travail, c’est ailleurs là qu’on perd le match. » Peut-être. Mais sans ces deux tirs, Strasbourg aurait un point d’avance. Et avec un John Allen un peu plus précis (2/11) également. La SIG avait les moyens de gagner. Elle les aura encore lors des prochains matches.

Sébastien Ruffet

David67350 a écrit:

Fabrice a écrit:

françois a écrit:
EDIT:une autre chose positive c'est la joie de vivre dans cette équipe(on l'a bien vu à l'échauffement).
par contre c'est le 2ème match à moins de 4000personnes au rhénus alors qu'il y avait quand même deux très grosses cylindrées à chaque fois
le mal serait-il si profond chez le public?ou faut-il attendre nancy pour voir un rhénus plein?

Ouais, les Nancéens vont venir nous remplir le Rhénus.
Plus sérieusement, je pense que les gens étaient pas mal déçus par la prestation de leur équipe l'an dernier, et qu'ils attendent de voir comment l'équipe va évoluer pour revenir. Si les résultats sont moyens, on va stagner à 4000 places.

De mon côté, ça fait des années que je suis et supporte la SIG, mais quelque chose s'est cassé l'an dernier. Je suis sûr que cette équipe a du potentiel, mais elle est dirigé par des gens que je n'apprécie, qui sont au bord de l'incompétence, et qui ne représente pas l'idée que je me fais du basket. En plus, et c'est ce qui me saoule le plus, il n'y a pas d'ambiance au Rhénus : la salle est remplie de costume-cravate qui sont plus intéressés par la saucisse de la mi-temps que par le match.

Tu as très bien résumé la situation actuelle de la Sig...

C'est la situation dans un peu près tous les clubs qui ont un espace VIP et qui cherchent à séduire ceux qui plus que tout les autres, font vivre le club.

C'est con à dire, mais si on comptait sur les supporteurs pour faire vivre un club, ceux là même qui essaient de grignoter des reducs à tout va, on irait pas loin.

C'est un juste équilibre à avoir...

Namele a écrit:

Fabrice a écrit:Ah ben ouais... Toi, t'invite carrément Eric Girard chez toi! Il te laisse encore entrer au Rhénus?

Avec une cagoule et par l'entrée de derrière, ça va plutôt pas mal

Et on ne t'impose pas un passage par le caisson de décontamination ? Tu l'as fréquenté de près, tu es peut-être contagieux !

...à moins que tu ne corrompes les cerbères avec une des fameuses tartes flambées de tes parents !

Ouest France du 19 octobre 2008

Basket-ball : Le MSB nouveau est arrivé

Strasbourg - Le Mans : 64-69. Poussif pendant un long moment, bousculé même, le MSB s'est repris pour souffler la victoire aux Alsaciens.
Qu'on se le dise ! En prenant l'option de confier les rênes de l'équipe mancelle à JD Jackson, les dirigeants du club possédant l'un des plus gros budgets de la Pro A, avaient décidé de ne pas donner dans la révolution en promouvant quelqu'un du sérail. Pour autant, JD Jackson n'est pas Vincent Collet et, au fil des rencontres, la différence se fait jour.
Dans un passé récent, Vincent Collet avait tenté de bâtir une équipe où l'homogénéité était de rigueur, avec plus de volume dans le jeu. JD Jackson n'a pas les mêmes attentes. Le nouveau coach du MSB a bâti une équipe taillée pour l'Euroligue et cela se voit. Il a fait appel à des compétiteurs, à des joueurs de talent, capables de renverser la vapeur à n'importe quel moment du match. « Nous avons les armes pour répondre présent », soulignait Antoine Diot, l'ancien de la bande avec Alain Koffi. Le Bressan voit le contraste, comparé à la saison dernière où il a manqué cette petite dose de génie pour faire basculer les destinés d'une rencontre en leur faveur.
Pour ne rien cacher, c'est parfois déroutant à regarder. Comme à Strasbourg vendredi soir. Pendant presque trois quart-temps les Sarthois ont donné l'impression de jouer en dedans, sur la réserve, se faisant manger au rebond offensif comme s'ils étaient amorphes. La performance de la SIG n'était pas étrangère à cette conclusion. Les Alsaciens avaient ébauché les bons plans pour mettre sous l'éteignoir les individualités mancelles. Quand les liaisons sont coupées, le MSB devient de suite plus laborieux, surtout quand Chase est peu inspiré, que Spencer se perd dans des considérations individualistes et que Bluthenthal n'est pas à son niveau. Dans cette configuration, la formation mancelle devient poussive.
Ce n'est que le début de saison et le MSB se cherche encore. Il gagne et c'est peut-être bien là l'essentiel. JD Jackson ne cachait pas que ce succès au finish était « encourageant », tout en reconnaissant de manière humble qu'il avait sans doute commis quelques erreurs de coaching. Son impulsivité a même failli coûter cher à son équipe lorsque dans le deuxième quart-temps, il s'est vu infliger une technique pour contestation alors que sa formation était menée (34-28). Jackson ne faisait pas mystère de cette somme de détails perfectibles. « Certains rôles ne sont pas encore pleinement définis et puis dans les rotations, je pêche encore un peu. » N'Doye et surtout Badiane peuvent en témoigner. Même si, au final, N'Doye rend une copie satisfaisante.

« Le championnat et l'Euroligue sont deux compétitions différentes »

En ce début de championnat, le MSB est encore bancal. Cela ne prête pas à préjudice en Pro A. Qu'en sera t-il en Euroligue mercredi à Malaga, c'est toute la question. Christophe Le Bouille, le président délégué, était le premier à le reconnaître. « En début de match, face à une équipe comme Malaga, on est susceptible d'accuser 20 points de retard si on joue comme on l'a fait vendredi. » Même si Strasbourg était fort, sans faire injure aux hommes de Frédéric Sarre, cette équipe alsacienne n'a pas le calibre d'un ténor de la Liga. Jackson se veut rassurant. « Le championnat et l'Euroligue sont deux compétitions bien distinctes. À Malaga, ce sera différent, je n'ai pas peur » précisait le coach franco-canadien. « Nous allons à présent jouer tous les trois ou quatre jours, il nous faudra allumer la mèche à chaque sortie. »
C'est la marque de fabrique de cette équipe version Jackson dans un championnat dont la formule n'incite pas à griller toutes ses cartouches en saison régulière. Qui plus est lorsque l'on possède un club engagé en Euroligue. Il faut savoir ménager ses atouts et le MSB en est l'illustration avec ses individualités fortes où le talent est bel et bien présent. Le travail de Jackson est d'apprendre à le distiller au moment voulu.

Stéphane BOIS.

STRASBOURG - LE MANS : 64-69 (23-13, 19-23, 13-15, 9-18).

Arbitres : MM. Mateus, Julien et Gueu.

STRASBOURG : 26 paniers (dont 5 sur 24 à trois points) sur 70 tirs, 7 lancers francs sur 10 tentés, 45 rebonds, 11 passes décisives, 14 balles perdues, 13 fautes personnelles. La marque : Rush 22, Darrigand 4, Essart 5, Allen 5, Giffa 4, Obasohan 8, Simon 10, Lewin 6. Entraîneur : Frédéric Sarre.

LE MANS : 27 paniers (dont 10 sur 21 à trois points) sur 59 tirs, 5 lancers francs sur 9 tentés, 35 rebonds, 10 passes décisives, 14 balles perdues, 14 fautes personnelles. La marque : Chase 7, Spencer 22, Koffi 8, Ndoye 8, Batista 6, Badiane 5, Bluthenthal 13. Entraîneur : JD Jackson.

Ouest-France

Perso, j'ai peur qu'au fil des matchs, il se forme une grosse "rush dépendence"...
Allen était clairement à coter de ses pompes, et le seul joueur créateur et très dangereux est rush...
Il faut je pense se pencher sur le cas Allen et ésperer qu'il sorte un gros match à dijon histoire d'avoir d'avoir un duo rush Allen de feux!

Allen rate son premier match de la saison. Il est un peu tôt pour s'inquiéter, à mon sens. D'ailleurs, si l'on excepte l'adresse aux tirs (2/11), il fait tout de même un match solide en défense et aux rebonds, secteurs où l'on a été bons. Il a manqué ses tirs ouverts, ça peut arriver.

Je ne m'inquiète pas non plus sur le niveau d'Allen. Il est toujours au four et au moulin. Il a certes été maladroit vendredi, mais ce n'est pas encore catastrophique.
Mais je rejoins simbad88 sur la Rush-dépendance. On a bien sûr de bon joueurs (Simon, Allen, Lewin....), mais au scoring on se raccroche beaucoup au talent de Rush. C'est un peu risqué. Mais c'est vrai qu'avec notre budget en baisse, on n'avait pas beaucoup d'option. Il faut juste espérer que le jour où Rush sera moins bien ou blessé, les autres sauront prendre le relai.

Il faut dire que certains joueurs ne sont pas encore au niveau offensif auquel ils peuvent prétendre. Un Simon à 9.7 pts alors qu'il émergeait à plus de 15 la saison passée ; un Obasohan à 6.0 alors que l'an passé il réalisait les 10 pts ; des Giffa et des Lewin à 4 pts alors qu'on en pourrait attendre le double. Seuls les meneurs, Rush et Allen me semblent au niveau attendu.

Plus globalement, on sent bien le déséquilibre offensif entre les extérieurs (54 pts à eux cinq) et les intérieurs (18 pts à eux trois). C'est principalement dans ce secteur précis que l'on doit progresser.

Namele a écrit: Elles sont plutôt sympathiques tes vidéos, tu devais être assez prêt du terrain pour avoir de telles images ?

Normal, je suis une des balayeuses pendant les matchs, je suis assise tout au bord du terrain pendant tous les matchs je profite de ma situation
Pour être plus près, il faudrait que je joue

Le très bon résumé du match et les réactions de SIG - Le Mans sont en ligne

http://www.alsatic.com/visio.php?emission=24&date=20/10/2008

Les plus belles actions du match en plein écran

http://www.lnb.tv/