Transferts et blessures 2008-2009

Mat a écrit:

philippe a écrit:

Vincent a écrit:

françois a écrit:nouvel échange dans la saga PAU:l'iranien nikkah quitte le club pour retourner dans son ancien club, et c'est ce bon vieil alain digbeu qui était au chômage...le retour des anciens se poursuit en tout cas...

Faut suivre, à Pau ! Dans l'épisode 2351, L'Elan divorce donc de Nikkhah Bahrami, qui retourne vers sa première épouse Téhéran, et se console en draguant un ancien amour (cf. épisode 657), alain Digbeu. Gare à celui qui a manqué un épisode !

c'est vrai que c'est plus simple ici!

C'est vrai que dans ce domaine, entre Pau et la SIG on tient peut être les deux extrêmes opposés de la Pro A.

John White a écrit: Tierre Brown est le remplaçant de Fellah (blessé) à Besançon.

mtjb a écrit:

John White a écrit: Tierre Brown est le remplaçant de Fellah (blessé) à Besançon.

Ah oué quand même c'est du très lourd!
Le mec a taté de la NBA aux Lakers et de l'Euroleague à Naples avec Morandais si mes souvenirs sont bons, c'est pas rien et surtout pour remplacer Fellah.
Par contre j'avais un peu perdu sa trace donc peut être qu'il n'a pas joué depuis un moment et qu'il était pas trop cher du coup?

John White a écrit:Claude Marquis est blessé et ne jouera pas ce soir contre Bonn tout comme Vincent Grier suspendu par le club ce dernier ayant causé la blessure de Marquis en l'agressant résultat 14 points de sutures pour Marquis.

Angel a écrit:Comment Diarra pourrait-il signer à Pau? Rimac est blessé pour 3 semaines seulement.

l'équipe.fr a écrit:ASVEL, PROMESSES ET RÉALITÉ

Par Xavier COLOMBANI, à Villeurbanne

Sur l'ASVEL, tout a été dit. Club le mieux structuré de France, futur OL du basket, quasi imbattable grâce à sa grande salle, l'implication de Tony Parker et un budget démultiplié. Mais qu'en est-il vraiment ? Où en sont les projets ? Antony Thiodet, le vice-président, fait le point sur ces sujets.

1. Le club le plus structuré de France, ça veut dire quoi ?

A.T. : «Quand on a commencé à travailler, on avait une vision du basket qui passait nécessairement par des enceintes plus conséquentes. Or si on laissait faire le marché, ces grandes salles n'allaient pas se remplir toutes seules. Quand on est allé voir les Spurs, on était persuadés qu'avoir Duncan, Parker et Ginobili, ça suffisait. On s'est aperçu en arrivant qu'il y avait vingt téléprospecteurs qui travaillaient pour remplir la salle. Ils nous ont dit : si on laisse faire, sur un marché de 1 500 000 personnes - c'est intéressant parce que c'est le même que Lyon -, il n'y a que 7 à 8000 personnes dans la salle. Nous, si on laissait faire ici, on aurait 2 à 3000 personnes. On s'inspire très clairement de ce qu'ils font, à savoir qu'ils mutualisent leurs forces commerciales pour différentes franchises. Ils cumulent de la NBA, de la WNBA, du hockey, etc. Dans Gones & Sport, on a déjà en musette le Grand Prix de tennis de Lyon, le marathon, le hockey et on a des ambitions sur le basket féminin.
Ca se traduit par le fait qu'il y a une structure administrative et commerciale composée de 35 personnes, qui consacrent 60, 65% de leur temps à l'ASVEL, et qui peut fonctionner dans un périmètre grande salle. Donc toutes les recettes aditionnelles seront consacrées au sportif. On peut aller beaucoup plus loin dans les conditions de travail des professionnels, notamment en terme de suivi médical. Ca passera par l'académie Tony Parker, qui concentrera et le centre de formation et l'espace d'entraînement des pros, et par la salle.»

2. La salle, quand ? où ? comment ?

A.T : «L'objectif est de rentrer dans la nouvelle salle, d'un peu moins de 15 000 places, au cours de la saison 2012-2013. Le financement, on l'a. Un groupe s'est positionné clairement pour libérer les 120 millions d'euros parce qu'on l'a convaincu que sur Lyon, avec des concerts, du sport, des loges, le modèle est assuré. Maintenant, il faut paufiner le tour de table pour la société d'exploitation, mais en préservant les intérêts de l'ASVEL, qui apportera 40% du chiffre d'affaire de la salle. Ca signifie notamment la priorité dans les dates, notamment face aux concerts. A Hambourg, qui est pour nous un modèle, il y a du hand, du hockey, mais aussi 65 concerts dans l'année. Le Grand Lyon, qui décidera du lieu, a étudié quatre ou cinq sites. Si ca veut sourire, on aura un site désigné d'ici l'été et un permis de construire d'ici l'automne. Il faut vingt mois pour construire la salle à partir du moment où il est délivré. L'aspect coeur fait qu'on aimerait rester à Villeurbanne mais si ce n'est pas possible, ce ne sera pas un traumatisme.»

3. Comment Tony Parker peut-il avoir le temps de s'occuper de l'ASVEL ?

A.T. : «Déjà, son investissement financier, c'est bien... Cela nous permet de renforcer nos actifs, donc notre capacité d'endettement, de lancer un projet comme la Tony Parker Académie et ainsi de suite. Mais c'est plus que cela. Il y a quinze jours, Pierre Grall (directeur exécutif de l'ASVEL) était avec lui pendant une semaine pour parler des orientations de la politique sportive à appliquer sur les trois prochaines saisons. On a posé la question aux Spurs. J'aurais tout à fait compris leur réticence à ce que l'un de leurs joueurs majeurs rentre dans un projet comme celui-là. Ils nous ont répondu : "de toute façon, Tony est un hyperactif et on préfère encore qu'il fasse ça plutôt que du rap". Là, c'est moi qui vait y aller, plus pour les aspects marketing, pour voir comment il peut exister dans les médias locaux. Bien sûr, ce n'est pas simple, a chaque fois c'est de l'avion, des milliers de kilomètres, mais on apprend beaucoup et on rencontre des gens par son intermédiaire. Et in fine, ça le regarde, à lui de voir ce qu'il peut le faire. A nous de l'accompagner. D'un autre côté, il est dans son rôle de vice-président, c'est à dire qu'il fait confiance à ses équipes. Il oriente et il valide.»


4. L'ASVEL sera-t-elle hors concours pour la Pro A dès la saison prochaine ?

A.T : «L'année prochaine, on table sur 7 millions d'euros, voire un peu plus, avec 4 à 4,5 millions d'euros sur la masse salariale. Ce qui signifie que les deux millions d'euros de budget en plus seront tous mis sur la masse salariale. Ces deux millions, ils viennent de l'augmentation des droits télévisuels et des recettes guichet grâce à l'Euroligue, ainsi que de l'augmentation du sponsoring grâce à l'attractivité de Tony Parker. J'ai entendu que dans les autres clubs, on allait plutôt vers -10, -15%. Dans l'effectif pour la saison 2009-2010, Vincent (Collet) veut que les efforts soient faits sur le poste 1 (meneur) et le poste 5 (pivot). Sur le 1, il y a toujours matière a faire un coup mais sur le 5, il faut de la sécurité. Un garçon comme Nikola Vujcic, c'est peut-être un standard un peu élevé pour nous, mais c'est vrai que nous voulons recruter un, voire deux joueurs comme on n'en voit plus en France. Après, il faut observer ce qui se passe sur le marché du basket. En Espagne, où beaucoup de clubs sont liés à des groupes immobiliers, ou à l'Est, il y a des signaux négatifs. Mais il faudra qu'on soit patient parce que les agents ont souvent du mal à répercuter ces baisses...»

mick a écrit:Le projet de l'ASVEL se dessine

l'équipe.fr a écrit:ASVEL, PROMESSES ET RÉALITÉ

Par Xavier COLOMBANI, à Villeurbanne

Sur l'ASVEL, tout a été dit. Club le mieux structuré de France, futur OL du basket, quasi imbattable grâce à sa grande salle, l'implication de Tony Parker et un budget démultiplié. Mais qu'en est-il vraiment ? Où en sont les projets ? Antony Thiodet, le vice-président, fait le point sur ces sujets.

1. Le club le plus structuré de France, ça veut dire quoi ?

A.T. : «Quand on a commencé à travailler, on avait une vision du basket qui passait nécessairement par des enceintes plus conséquentes. Or si on laissait faire le marché, ces grandes salles n'allaient pas se remplir toutes seules. Quand on est allé voir les Spurs, on était persuadés qu'avoir Duncan, Parker et Ginobili, ça suffisait. On s'est aperçu en arrivant qu'il y avait vingt téléprospecteurs qui travaillaient pour remplir la salle. Ils nous ont dit : si on laisse faire, sur un marché de 1 500 000 personnes - c'est intéressant parce que c'est le même que Lyon -, il n'y a que 7 à 8000 personnes dans la salle. Nous, si on laissait faire ici, on aurait 2 à 3000 personnes. On s'inspire très clairement de ce qu'ils font, à savoir qu'ils mutualisent leurs forces commerciales pour différentes franchises. Ils cumulent de la NBA, de la WNBA, du hockey, etc. Dans Gones & Sport, on a déjà en musette le Grand Prix de tennis de Lyon, le marathon, le hockey et on a des ambitions sur le basket féminin.
Ca se traduit par le fait qu'il y a une structure administrative et commerciale composée de 35 personnes, qui consacrent 60, 65% de leur temps à l'ASVEL, et qui peut fonctionner dans un périmètre grande salle. Donc toutes les recettes aditionnelles seront consacrées au sportif. On peut aller beaucoup plus loin dans les conditions de travail des professionnels, notamment en terme de suivi médical. Ca passera par l'académie Tony Parker, qui concentrera et le centre de formation et l'espace d'entraînement des pros, et par la salle.»

2. La salle, quand ? où ? comment ?

A.T : «L'objectif est de rentrer dans la nouvelle salle, d'un peu moins de 15 000 places, au cours de la saison 2012-2013. Le financement, on l'a. Un groupe s'est positionné clairement pour libérer les 120 millions d'euros parce qu'on l'a convaincu que sur Lyon, avec des concerts, du sport, des loges, le modèle est assuré. Maintenant, il faut paufiner le tour de table pour la société d'exploitation, mais en préservant les intérêts de l'ASVEL, qui apportera 40% du chiffre d'affaire de la salle. Ca signifie notamment la priorité dans les dates, notamment face aux concerts. A Hambourg, qui est pour nous un modèle, il y a du hand, du hockey, mais aussi 65 concerts dans l'année. Le Grand Lyon, qui décidera du lieu, a étudié quatre ou cinq sites. Si ca veut sourire, on aura un site désigné d'ici l'été et un permis de construire d'ici l'automne. Il faut vingt mois pour construire la salle à partir du moment où il est délivré. L'aspect coeur fait qu'on aimerait rester à Villeurbanne mais si ce n'est pas possible, ce ne sera pas un traumatisme.»

3. Comment Tony Parker peut-il avoir le temps de s'occuper de l'ASVEL ?

A.T. : «Déjà, son investissement financier, c'est bien... Cela nous permet de renforcer nos actifs, donc notre capacité d'endettement, de lancer un projet comme la Tony Parker Académie et ainsi de suite. Mais c'est plus que cela. Il y a quinze jours, Pierre Grall (directeur exécutif de l'ASVEL) était avec lui pendant une semaine pour parler des orientations de la politique sportive à appliquer sur les trois prochaines saisons. On a posé la question aux Spurs. J'aurais tout à fait compris leur réticence à ce que l'un de leurs joueurs majeurs rentre dans un projet comme celui-là. Ils nous ont répondu : "de toute façon, Tony est un hyperactif et on préfère encore qu'il fasse ça plutôt que du rap". Là, c'est moi qui vait y aller, plus pour les aspects marketing, pour voir comment il peut exister dans les médias locaux. Bien sûr, ce n'est pas simple, a chaque fois c'est de l'avion, des milliers de kilomètres, mais on apprend beaucoup et on rencontre des gens par son intermédiaire. Et in fine, ça le regarde, à lui de voir ce qu'il peut le faire. A nous de l'accompagner. D'un autre côté, il est dans son rôle de vice-président, c'est à dire qu'il fait confiance à ses équipes. Il oriente et il valide.»


4. L'ASVEL sera-t-elle hors concours pour la Pro A dès la saison prochaine ?

A.T : «L'année prochaine, on table sur 7 millions d'euros, voire un peu plus, avec 4 à 4,5 millions d'euros sur la masse salariale. Ce qui signifie que les deux millions d'euros de budget en plus seront tous mis sur la masse salariale. Ces deux millions, ils viennent de l'augmentation des droits télévisuels et des recettes guichet grâce à l'Euroligue, ainsi que de l'augmentation du sponsoring grâce à l'attractivité de Tony Parker. J'ai entendu que dans les autres clubs, on allait plutôt vers -10, -15%. Dans l'effectif pour la saison 2009-2010, Vincent (Collet) veut que les efforts soient faits sur le poste 1 (meneur) et le poste 5 (pivot). Sur le 1, il y a toujours matière a faire un coup mais sur le 5, il faut de la sécurité. Un garçon comme Nikola Vujcic, c'est peut-être un standard un peu élevé pour nous, mais c'est vrai que nous voulons recruter un, voire deux joueurs comme on n'en voit plus en France. Après, il faut observer ce qui se passe sur le marché du basket. En Espagne, où beaucoup de clubs sont liés à des groupes immobiliers, ou à l'Est, il y a des signaux négatifs. Mais il faudra qu'on soit patient parce que les agents ont souvent du mal à répercuter ces baisses...»